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Tout ce qui a été posté par Don Juan
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Voila quelque chose qui nous éclaire sur l'inconscient, enfin ! À moins que ce soit censé nous éclairer sur les ordinateurs. les activités un peu folles de l'inconscient.... Ha ha ha!
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Je pourrais vous répondre que publier n'est pas chose si difficile, voyez tout ce qui est quotidiennement publié, j'ai moi-même été atteint de cette faiblesse et publié plusieurs ouvrages, cela ne fait pas de nous naturellement de meilleurs hommes. Je ne suis pas dans une démarche d'affirmation d'un savoir, et donc pas non plus dans une intention de publication ou de prosélytisme, je n'ai pas d'opinion précise sur quelque domaine que ce soit, pour tout vous dire une fois encore, je ne crois pas au savoir. Ce qui m'importe, c'est la critique, le ménage, l'instabilité, l'inconfort, le dérangement. Votre esprit rationnel - que j'apprécie par ailleurs- doit pouvoir un jour comprendre que les autres auront toujours un fonctionnement différent de ce qu'il vous sied.
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Est-il possible que vous n'ayez pas entendu que seul l'inconscient peut résoudre les problèmes complexes? Mais que sont les problèmes complexes pour vous, des équations ? Est-il possible que vous ne sachiez pas que le conscient se vautre dans sa baignoire dans laquelle il n'y a que des problèmes qu'il a lui-même causés et qui ne sont donc pas de vrais problèmes complexes. Qualifier les problèmes de complexes ou de moins complexes dans un référentiel que seule la raison est capable d'inventer est une blague probablement. Ce qui est visible et de loin visible n'est jamais complexe. Ce qui est caché, cela n'existe même pas pour le conscient, et voila ce qui est complexe, ce qui est caché. Je vous aime bien quand-même.
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Oui, le silence donne corps à la musique. La définition du symbole qui serait une représentation n'est pas fausse, elle est simplement incomplète. Cela revient à penser que les feuilles qui tombent de l'arbre sont le vent et tout ce qu'il y a à connaître du vent. Le philosophe veut croire en ce qu'il voit, mais comme il ne sait voir ce qu'il voit, il ne peut que croire ce qu'il croit.
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Vos expressions sont courtes et toujours assez fines.
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La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Vous ne savez pas me lire, j'en ai peur. Abandonner un enfant, est-ce un "faire" ? Avant cet abandon, n'y-a t-il pas une intention ? Si vous cochez les bonnes cases vous fournissez vous-même la réponse à vos fausses questions. Je pense que je ne vous demanderai rien. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
C'est difficile, ça ne peut pas marcher avec tout le monde, et pas tout le temps, ça implique des conditions, c'est plus compliqué que de réussir une pizza, mais ne dites pas que ça ne marche pas, avec vous peut-être, mais pour d'autres ça peut marcher, et cela suffit à se poser des questions nouvelles. La vie réelle c'est quoi ? C'est la vôtre, pas celle des autres ? Partir, oui, c'est parfois la seule solution, mais la solution non violente est encore autre chose, elle ne peut commencé que si toute peur a disparu. Mais peut-être faudrait-il préciser qu'il y a plusieurs "visions" de la non violence. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Voila qui va transformer l'attitude Christique devant la violence, en incitation criminelle. J'aurais tout entendu..... -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Une telle rubrique n'est pas pour moi, quand il n'y a pas d'intérêt, je me tais. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Et bien ce n'est pas si simple, vous dites : personne ne connaît la définition de l'intelligence, et c'est faux, le premier problème, c'est qu'il y a des tas d'intelligences et qu'il est bien difficile au moment où l'on parle de traiter de la même intelligence si l'on ne s'accorde pas, comme les musiciens s'accordent avant de jouer. Le second problème, c'est qu'il y a une telle confusion dans les esprits et dans l'utilisation du langage, qu'une personne qui vous donne sa définition de l'intelligence à 8 heures du matin, ne parlera plus de l'intelligence conforme à cette définition à 8 heures du soir, cela est un véritable problème, que nous ne faisions pas l'effort de préciser ce qu'est l'intelligence pour nous à telle heure ou à telle autre moment. Mais ceci n'est pas vrai que pour le sujet de l'intelligence, il en va de même pour presque tous les sujets. Rien ne peut entrer dans une unique définition, valable pour tout le monde toute la journée, toute la semaine, toute l'année, si c'était le cas, je pense que nous serions des fantômes errant sur une planète morte. Toute définition vaut son "prix", la mienne ne peut être meilleure que la votre, aucune ne peut être, dans l'absolu, meilleure que la votre, mais presque toujours, une seule est adaptée à une situation précise dans l'espace et dans le temps. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Tout ce que nous disons est une proposition de définition, relisez-vous et vous verrez que vous n'échappez pas à cette règle. Et non, ne pouvons pas échanger, en tous les cas pas vous et moi, si nous ne définissons pas. Et oui nous sommes en math, car penser c'est toujours poser des équations, sinon des problèmes tout simplement. Ça n'a donc aucune importance pour vous, c'est bon à savoir, inspirez d'autres sujets sans importance dans ce cas. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Si c'est indélicat, pourquoi s'avancer à proposer des définitions? Personnellement, je crois qu'il y autant de définitions que d'être vivants, c'est la raison pour laquelle je questionne toujours mon interlocuteur sur le sens qu'il donne à un mot. Les définitions des systèmes sont souvent confuses, lorsqu'elles ne se plient pas à d'autres contingences aussi confuses pour le quidam. Lorsque les premiers gazés de la grande guerre arrivèrent dans les hôpitaux militaires avec des troubles neurologiques sévères allant jusqu'à l'impossibilité de tenir debout, les médecins qui les reçurent, qui sont, rappelons-le des représentants du monde scientifique, les qualifièrent de simulateurs, ils auraient pu être fusillés pour refus d'aller au combat. Voyez-vous la définition dépend surtout de celui qui définit. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Si vous voulez, pour moi, il y a abus de langage et de sens. Définissez l'acte criminel. Définissez les critères qui font passer une négligence dans la colonne : crimes. je vous écoute. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
On dit à peu près tout et son contraire. Une négligence est donc criminelle, et pourquoi pas une erreur aussi, une faiblesse, un défaut, tout sera donc criminel si vous voulez. Pour moi, derrière ou dessous un acte criminel, il y a une intention criminelle. Une négligence est une négligence, si l'on commence par confondre tous les sens entre eux, je vais me perdre. Est-ce que ce sera criminel ? -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Je ne pense pas que ce soit une bonne définition de l'acte criminel, qui je pense, est un "faire" et non un "ne pas faire". Mais cela n’exclut pas en effet de tenir obligé de rendre compte à celui qui s'abstient comme à celui qui agit. Les deux options pouvant présenter des cas devant une morale sociétale comme devant un droit pénal. -
La non-violence peut-elle être criminelle ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Philosophie
Si pour secourir la "veuve et l'orphelin" agressés et menacés , je n'ai pas d'autre choix que de saisir mon épée et pourfendre les agresseurs lorsqu’ils ne veulent prendre la fuite, que dois-je faire ? Dois-je trouver des arguments les plus "valables" pour ne pas me trouver dans une situation de meurtrier moi-même ? Dois-je penser, par exemple, que rien ne peut justifier de donner la mort pour empêcher une autre mort ? Dois-je considérer que je ne peux être ni l'arbitre ni un juge en cette occasion . Dois-je obéir à mes ressentiments, mais lesquels ? Ceux qui, peut-être, m'inclineront à prendre la fuite moi-même pour ne pas risquer d'écrire mon nom sur la liste des victimes ? Ou ceux qui m'interdiront de passer mon chemin en me disant que cette affaire ne me concerne pas, que je ne dois pas me mêler des affaires des autres, que je ne suis pas un super héro ? User de violence, c'est une question de regard, si je regarde à gauche, de nombreuses raisons, de nombreuses justifications seront à mes côtés pour me souffler dans les voiles : l'énergie et le courage, la force et le droit, la raison et la justice, l'honneur et le sens des responsabilités, l'empathie et l'éthique, tout cela m'ordonnera d'agir, et le monde avec moi criera OLÉ ! Je me défendrais, rendrais coups pour coups, et le double de coups sans doute, quand on aime on ne compte plus, je me défendrais comme je défendrais tout autre dans un rôle de victime. Mais si je regarde à droite, j'entendrais d'autres arguments. Ceux-là me diront que répondre à la violence par la violence ne peut pas être une totale solution, que c’en sera peut-être une là, ici et maintenant, mais que mon choix sèmera encore de la violence, que je ne peux pas arrêter le champ de la violence, de toutes les violences humaines en faisant barrage de mon bouclier et de mon épée. Ils me diront que la violence de tout un chacun est sœur de la mienne, et que si je sais la cacher le plus souvent au fond de moi, je continue à la nourrir par ma démarche, mes pensées, mes choix, mes croyances. Que si je veux espérer produire un acte réellement pacifiste, un acte qui ait des effets sur le long terme, sur moi et sur les autres, je dois laisser la bête mourir de faim, ne plus l'entretenir. -
Je n'ai pas lu tout le reste, je me suis arrêté à ces mots, chaque jour suffit sa peine. Là, vous m'épatez tellement que je me demande comment l'entendre.
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Si proches, et pourtant si éloignés.
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Si donc les conditions sont les mêmes, les centimètres ont mêmes dimensions, les secondes, même durée, et cela suffira à nous accorder l'objectivité. Une objectivité qui sera le produit d'une démarche de raison, elle-même basée sur des informations collectée par nos sens, j'ai entendu dire que la matière adoptait des comportements différents selon la présence d'un témoin ou non, peut-être aussi selon la nature d'un regard, dans ce cas, l'objectivité serait-elle encore possible ?
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Mais, si le mètre n'a pas même valeur qu'un autre mètre parce que les conditions sont différentes, peut-on penser que l'objectivité soit possible ?
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Merci, et je peux être d'accord avec cette définition, le problème ne sera pas la définition, si le mètre peut ne pas être égal à lui même selon les conditions. Pensez-vous que le mètre, le gramme, le centilitre,etc, demeurent ce qu'ils sont dans toutes les conditions ?
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Vous n'avez pas été désagréable, je vous suis depuis assez longtemps pour ne pas douter de votre courtoisie, mais il vient un moment où les quiproquos s'empilent et ça en devient trop fastidieux pour moi, ce n'est que partie remise, de toutes façons, depuis plus de quinze ans ce sont toujours les mêmes sujets qui reviennent. À plus. Il en manque au moins un, ça j'en suis sûr, merci toutefois.
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Mon cher D.U. J'ai peur que vous ne compreniez pas de quoi je parle lorsque je dis : Amour. L'amour dont je parle n'est pas sentiment, n'est pas ressentiment, ne se trouve pas sur les sites de rencontre, n'a rien à voir avec le sexe, et il est rare qu'on le croise sur les trottoirs des avenues des cités. Sujet clos pour ce qui me concerne.
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Une idéologie, c'est rien. C'est de l’imagination, une idée qui fait du tapage. Dans mon univers, une idée, qu'elle fasse consensus ou non, qu'elle soit silencieuse ou non, c'est du vent. Vous n'êtes pas tenu de suivre ou de comprendre. je le dis comme un partage. L'amour n'est pas une idéologie, que vous mettiez l'amour dans le rang des idéologies me chagrine et m'inquiète un peu.
