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Don Juan

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Tout ce qui a été posté par Don Juan

  1. Bien sûr que je vous suis, cependant vous ne parlez pas, selon moi, de l'humanité, encore moins de la sur-humanité, votre exemple illustre parfaitement l'animalité. J'aurais pu vous citer en exemple qu'un chien né en chine parle la même langue qu'un chien né en france. Je vous assure que le recul est observé. Nord.
  2. Il n'y a pas de désaccord avec ce que vous dites dans vos derniers mots, le désaccord est sur votre conception de la sur-humanité et la mienne. La philospohie doit se servir de l'expérience et non de visions hypothétiques et utopiques. Vous pensez que mon observation des enfants ne concernent qu'un petit groupes d'enfants qui me sont proches ? Ce qui me gène dans votre vision, c'est que vous faites allusion à une recouvrance de condition perdue et innée, en bref il n'y aurait qu'à devenir ce que l'on est, donc, aucun travail supplémentaire est nécessaire selon cette représentation, cela ne me suffit pas, et justement, en suivant une démarche philosophique essentiellement basée sur l'expérience, je vous confirme que je n'ai pas rencontré une seule fois le résultat de ce que vous présagez. Les seuls humains que j'ai vus avancer vers cette condition du sur-humain ont bossé dur sur leurs hormones, c'est à cette condition seulement qu'ils ont pu instaurer un contrôle sur leur animalité. Nord.
  3. Alors vous devez savoir le poids qui pèse sur vos épaules dès votre naissance, et non parler de "charges inutiles". On ne naît pas humain, mais bien comme un vers, nu peut-être, mais avec la mémoire des affects des parents et de leurs ancêtres, ce à quoi s'ajoute, comme vous le rappeliez, le conditionnement et le formatage du monde qui est à l'accueil et qui vous guide jusqu'à "peu de chance" de chercher une liberté quelconque. Nord.
  4. Mais tout cela est faux! Avez-vous des enfants ?
  5. Ah mais nous naissons donc sur-humain et nous finissons par oublier que nous le sommes ? C'est ce qu'il faut comprendre ? Les enfants sont des sur-humains ? Bon ben ben voila que tout devient simple, il suffit de renouer avec notre état d'enfant, c'est magnifique, c'est juste un problème d'amnésie en fait. Voila comment la montagne redevint un modeste caillou. Et moi qui me désespérait de ne pas rencontrer d'adultes, de ne voir que des enfants, et moi qui ai tant eu d'enfants et de petits enfants, que n'ai-je pas été assez lucide pour reconnaître dans ces petis anges l'émanation du sur-humain, qu'ai-je fait en les laissant perdre cet état, qu'ai-je fait en laissant le monde leur voler cet état ? Mais non, le monde ne leur a pas volé la condition sur-humaine, il leur a juste retiré la mémoire, attends un peu ça va leur revenir. Pauvre Nietzsche, que n'as-tu su faire autre chose que de devnir un vieillard avant l'heure ? Ouest.
  6. L'impossibilité de maîriser ne me dérange plus lorsque j'ai fait tout ce que je pouvais pour maîtriser, cela se nomme "le lâcher prise". Il faut bien que la question de devoir maîtriser me dérange, sinon, comme saurais-je ce que je dois faire, et surtout, ce que je ne dois pas faire. Est
  7. Oui j'avais compris ce que vous vouliez exprimer, je jouais un peu sur l'absurdité des mots choisis, qui donnait une phrase qui avait perdue son souffle vital. Je pense qu'il est de ces mots dont il faut se méfier, à partir du moment où l'on se dit en guerre, c'est qu'on a des ennemis, personnellement je suis bien en guerre contre quatre ennemis, les quatre ennemis de l'homme qui est sur le chemin qui a du coeur. Il n'y a rien qui me gène dans le fait que vous soyez en guerre, assumez-le c'est tout! Si je peux me permettre de dire votre pensée à ma manière ainsi : Vous traquez votre animalité, vous voulez la chassez de vous, ou du-moins la maîtriser. J'aime celui qui cherche en tout la maîtrise. Est. C'est bien un paradoxe. Impliqué par le mot "deviens". En principe, on ne peut devenir ce que l'on est déjà. Mais l'on peut y voir une forme d'esprit nuancé de poésie abstraite, il sufit par changer le mot "deviens" par les mots "accepte", "découvre", "assume", "connais", etc. Est.
  8. C'est votre interprétation : s'il s'agit de devenir ce surhomme parce on le serait déjà, ça serait en effet très simple. On est quelque chose ok, si'l'on ne sait pas ce que l'on est, le découvrir résulte à le devenir. Mais il ne s'agit pas, à mon sens du sur-humain, sinon , il n'y aurait rien à surpasser. Nord. Oui, pourvu qu'il ne soit pas une voie sans issue. Ouest.
  9. C'est vrai, mais à par ça il faudra qu'on revienne sur votre histoire de surpassement sans rien changer en dessous. Là j'ai un peu la migraine. Ouest.
  10. Ahhh Mais on est dans un dessin animé ? Je ne suis pas surpassé là mais un peu dépassé. Ouest.
  11. Vous n'êtes pas en guerre contre votre ennemie ou ce n'est pas votre ennemie avec laquelle vous êtes en guerre, ou êtes-vous en guerre avec votre amie ? Ouest.
  12. Je pense.... Si le point d'assise du concept "ex-nihilo" se situe dans une démarche philosophique, il est discutable. Ma position est que rien s'est issu de rien. S'il se situe dans une démarche d'"expression" artistique, il n'est pas discutable. Ce qui naît de rien est très beau. Ce qui n'aît de quelque chose aussi. Ce qui ne naît pas ou s'abstient de naître, est magnifique. Rien lui-même est de toute beauté et dois pouvoir se défendre de tout. Mais je n'ai rien contre tout, d'un point de vue philosphique je pense que l'on peut démontrer qu'ils sont identiques, voire la même chose. Ouest. D'un point de vue philosophique, la liberté ne peut-être réduite à la possibilité d'agir sans contrainte.
  13. C'est ce qui me fait accepter la "chose", comme une manifestaion de l'art. Ce langage a cela de puissant qu'il illustre bien, selon moi, l'impuissance des mots, plus encore que l'impuissance des mots, mais l'absence de signifié jouant la musique pour un signifiant qui aime danser. Ouest.
  14. Il n'y a que ces mots qui m'accrochent. Ex-nihilo = à partir de rien. Ceci n'est pas rien, et ce que je serais en mesure de deviner sera à partir d'une chose au moins et pour vous citer à nouveau : Ou alors je vous ai perdu de vue, ce qui n'est pas rien. lol Est.
  15. Bien sûr, ça ne rime à rien de parler de faute ou de responsabilité au sujet de l'inconscient. Nord.
  16. Oui, mais tout est un mécanisme pour moi. Un simple "oui" comme un "non" est encore un mécanisme Oui. Quelque chose en moi le croira et cela suffira pour que cette instance soit. Même si je veille à ne pas croire. Comment se peut-il que ce soit ex-nihilo puisque c'est issu de mes réféfrences propres ? Dans ce cas, mes références propres sont le terreau et ce n'est pas rien. Nord.
  17. Je crois qu'il y a deux processus, un montant et un descendant, puisque les mots choisis sont "aval" et "amont". Il ne s'agit pas des mêmes phénomènes d'inflences portant sur la mémoire et ses répercutions, dans un sens je vois bien comment la mémoire et ses remous fait remonter jusqu'au "présent" inlassablement des forces qui pèsent sur nous dans notre présent. je vois bien aussi comment notre moi personnifié est en mesure de porter des coups de gomme lorsque c'est nécessaire ou déposer de nouvelles "chansons" gravées sur le support vinilisé de nos émotions. Notre écriture génétique ne saurait se modifier si ce n'était le cas. Est.
  18. Oui, nous sommes bien d'accord, et cette fois-ci, tu t'es exprimé en clair, ce dont je te suis gré. C'est un fait, que tu t'exprimes clairement (accessible à la compréhension du plus grand nombre) ou que tu t'exprimes selon ton langage hermétique (qui moi, me comble de bonheur), tu ne seras pas davantage compris. Nous sommes conditionnés pour percevoir et traduire de façon imprécise pour ne pas dire imcomplète, ce que tu essaies de communiquer c'est le goût d'un poisson cuisiné avec soin, qui n'existe pas sur nos étalages. Nord.
  19. J'en déduis donc, à la lecture de tes derniers mots, que ta crédibilité a une certaine importance pour toi. Mais mon impression est que tu n'as pas de crédibilité, excepté peut-être pour deux ou trois personnes dont je suis, mais sûrement pour d'autres raisons. Pour avoir une crédibilité, il faudrait en premier plan avoir une chance d'être intellectuellement compris. Est.
  20. Je comprends bien, relis mes premiers mots, je confirme ce que tu dis ici. Il pourrait y avoir dans ton "univers de compréhension" un discours semblable, analogiquement semblable, sur d'autres cellules. j'étais simplement curieux de la chose. Est.
  21. Je crois comprendre que tu ne parles pas des neurones dans le sens ou l'utilisation que les neurologues font de ce mot. Les neurones sont des celules qui fonctionnent électromagnétiquement. Mais alors qu'en est-il pour toi des autres celules, les astrocytes, qu'en aurais-tu à dire (si tu as quelque chose à dire) en utilisant le même code langagier ? Est.
  22. Don Juan

    Déluge?

    Ça, c'est pas sûr du tout que ce soit parce que ça plait. Faire peur, et installer un climat d'inquiètude, ça peut rapporter gros.
  23. Don Juan

    Déluge?

    Après tout réchauffement arrive un refroidissement. Le voyez-vous ?
  24. Merci, mais non je ne suis pas sous influence. Je suis amateur d'art, rien de plus. Un gourou, selon moi, c'est quelqu'un qui a quelque chose à vendre. Si c'est le cas, je n'ai pas encore découvert quelle marchandise il voudrait vendre. Ben oui, ça j'avais compris. Merci.
  25. Ben oui, c'est une évidence ! Mais quel est le rapport ? Si je vous comprends bien, vous ne cherchez pas être compris intellectuellemet. Vous employez dans ce cas un langage hermétique, une sorte de code. C'est donc que vous comptez bien que "votre" message, une forme de subliminal, une création artistique des plus abstraite en somme, passe tous les barrages? Ne me répondez pas, je sais bien ce que vous allez répondre, et personne ne comprendra de toute façon. Ouest
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