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Tout ce qui a été posté par satinvelours
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En définitive je fais une erreur de jugement. Je pense que ce comportement, courant sur le forum, qui consiste à s’en prendre à une communauté toute entière , les Russes, ou les Arabes, ou les Juifs, ou les Américains, ou les Femmes, ou les Jeunes, ou les Vieux, etc. est une dérive personnelle d’individus qu’il suffit de combattre. Mais je m’aperçois que cette attitude est structurelle, qu’elle est une structure de notre société. Cette structure que l’on nomme plus couramment de ce nom générique : racisme, est constitutive de nos sociétés. Il ne sert à rien de s’attaquer à un individu qui tient un discours raciste, comme je le fais, dès lors qu’il s’agit d’un comportement structurel, c’est à dire engendré par la nature même de nos sociétés. Je m’insurge contre le racisme anti russe qui sévit ici, lequel se déchaine en toute impunité en se cachant derrière la critique de Poutine, mais ce racisme pourrait demain se tourner contre n’importe quelle communauté. Je ne parviens pas à distinguer ce qui engendre cette disposition structurelle qui semble être le fait, surtout, des gens installés. Je parlais du ressentiment plus haut, mais il me semble qu’il y a un fondement plus profond, je pense que c’est l’insatisfaction. En tout cas je me rends compte que j’ai fait une erreur, et cette erreur je l’ai faite dès mon adolescence en pensant qu’il était possible de créer une nouvelle société. C’était une utopie. Je n’avais pas alors pris conscience qu’il existe des lourdeurs, des pesanteurs sociales qu’il apparaît impossible de surmonter. Ces lourdeurs sociales sont provoquées, entre autres lourdeurs, donc, par exemple, par l’insatisfaction et le ressentiment qui poussent au rejet de l’autre considéré comme cause de son insatisfaction personnelle. C’est cette causalité qui paraît structurelle. Mais il y a une autre lourdeur que je commence seulement à découvrir : c’est celle de l’inceste. Je n’avais pas pris conscience que l’inceste, qu’il soit vécu dans les actes ou seulement dans les attitudes ou les mots était aussi répandu. Il y a l’inceste classique, bien connu, mais il y aussi l’inceste culturel, qui conduit parce exemple les mères à pratiquer sans vergogne l’intrusion dans la vie intime de leurs filles ou de leurs garçons. Et bien d’autres attitudes. Or l’inceste a pour effet de desocialuser les individus en les tenant fermement scotchés à la tribu famille. Insatisfaction et inceste sont deux poids phénoménaux, et il y en a sans doute d’autres, qui rendent toutes philosophies de l’harmonie sociale impossibles à atteindre.
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En définitive Penrose pose ce jugement ou cette pensée : L’intelligence authentique exige la compréhension authentique laquelle exige la connaissance immédiate. C’est l’immédiateté de cette connaissance ( appelée parfois intuition) qui légitime l’authenticité de la compréhension et de l’intelligence. Toute la question ensuite est de savoir s’il est possible de doubler toute connaissance immédiate par un raisonnement éminemment logique pouvant être traduit par un algorithme ( un calcul). Ou encore : existe t il des connaissances immédiates qui échappent à tout calcul ? À tout algorithme ? À toute logique rigoureuse, si rigoureuse qu’elle permette une traduction en termes algorithmiques ?
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Penrose mentionne le mot « compréhension » mot qui implique pour lui une « connaissance immédiate ». Au passage il fait remarquer que le sens de ces mots peuvent faire l’objet d’une connaissance immédiate. C’est à dire qu’il existe des personnes qui ont une connaissance immédiate de certains mots alors que d’autres n’accèdent pas à cette connaissance immédiate. C’est à dire, encore, qu’il faut expliquer à ces autres le sens de ces mots, en constatant parfois qu’une telle explication est impossible. L’autre n’aura jamais fini de comprendre et s’enlisera dans des recherches sur l’origine de tels mots, sans jamais pourtant parvenir à en avoir une compréhension. Le cerveau, du moins le cerveau de certains, parvient à une connaissance immédiate de certaines réalités, pour les mathématiciens notamment de certaines réalités mathématiques, sans (apparent) raisonnement. C’est le vieux problème de l’intuition. L’intuition est elle une connaissance qui se passe de tout raisonnement, ou s’appuie t elle sur un raisonnement inconscient ? Ou encore : l’intuition permet elle de parvenir à une connaissance pour laquelle il n’existe pas de raisonnement possible sous jacent? L’objection de certains mathématiciens à l’encontre de Penrose c’est d’affirmer que ces connaissances immédiates sont en fait réductibles à des raisonnements impliquant une stricte logique, impliquant elle même la possibilité d’établir des algorithmes, qui, communiqués à des machines feront d’elles des machines intelligentes ( si nous relions l’intelligence à la compréhension, ce qui parait évident) . Au passage Penrose note l’existence d’une intelligence simulée. Les IA exhibent une intelligence simulée mais elles ne comprennent rien. Dans la vie courante nous avons des personnes dont le QI élevé n’est jamais que le résultat d’une simulation. Certaines personnes ont le don d’imiter ( sans s’en rendre compte) quiconque, y compris des personnes intelligentes, et grâce à cette imitation elles parviennent à présenter des QI élevés alors qu’elles sont, dans la vie réelle, manifestement des imbéciles, ou des gens sans relief.
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J’ai lu vos articles. Je les ai aimés. Vous pourriez lancer un sujet sur ce forum et voir comment il sera reçu, et comment vous pourriez l’animer.
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Un style très différent ici !!!
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En fait il ne s’agit pas d’une différence culturelle au sens usuel. C’est une différence très profonde qui tient à l’être même des personnes. Il y a ceux qui vont utiliser leur autorité d’adulte pour se substituer à l’enfant et ceux qui vont au contraire faire en sorte que l’enfant aille jusqu’au bout de son expérience. Il y a ceux qui croient que la transmission se fait par le verbe (la parole) et ceux qui croient que la transmission se fait par l’exemple. Cette fracture comportementale peut s’observer au sein de personnes d’une même famille. Ce n’est donc pas une différence culturelle, c’est beaucoup plus fondamental que ça.
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Mais cette affaire montre à quel point point nous pouvons chacun être de culture différente. Supposons que mon fils ( ou ma petite fille) aille dans un parc avec des jouets et qu’il ou elle soit bousculé par six autres enfants. Qu’est ce que je fais ? Qu’est ce que j’ai fait quand cela est arrivé ? J’ai toujours laissé faire les enfants entre eux. S’il est arrivé que cela aille trop loin alors j’ai pris mon enfant par la main et nous sommes allés ailleurs. Mais je ne suis jamais intervenue pour que mon enfant bénéficie de mon autorité d’adulte pour s’imposer. Simplement seule avec lui je lui dis : tu dois savoir apprécier le rapport de force lorsque tu t’opposes à d’autres. J’ai toujours laissé l’enfant faire son expérience. Quant au partage je sais que ce n’est jamais le verbe qui pousse l’enfant au partage, c’est l’exemple, c’est l’imitation du père ou de la mère. Si l’enfant voit dans la vie courante l’autorité à laquelle il croit être dans le partage alors il partagera ( peut être). Mais croire que le verbe : « partage mon petit sinon ce n’est pas bien suffit » c’est vraiment ne rien connaître de la transmission.
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Quand je vois comment les gens intellectualisent à propos de rapports entre enfants je me dis : ils n’ont jamais eu d’enfants, ou alors ce n’est pas eux qui s’en sont occupés. Et l’Américaine qui intellectualise et s’occupe ainsi de son enfant va faire de lui un handicapé. Laissez les enfants faire leur chemin entre eux et n’intervenez qu’en cas de conflit trop violent sans jamais enseigner votre enfant avec vos lubies sociologiques. En tout cas jamais l’un de mes fils ou l’une de mes petites filles ne seraient venus se plaindre au motif qu’un enfant ne lui prêtait pas ses jouets : il ou elle aurait connu ma réponse : demmerde toi. Et de toute façon je n’ai jamais enseigné mes enfants avec un verbe sentencieux et ridicule du genre employé ici, verbe qui passe très largement au dessus des enfants.
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Penrose, toujours dans ce même livre, les Ombres de l’esprit, « touche » quelque chose, que je ressentais mais que j’étais bien incapable de penser. Il y a un côté émerveillant chez quiconque sait dire, en mots simples, des sentiments complexes, apparemment indicibles. Selon lui ceux qui pensent qu’un jour une IA comprendra ( le mot comprendre est ici important) ce qu’elle fait se trompent. Car une IA s’appuie sur le calcul ( au moyen d’algorithmes descendants, nos algorithmes classiques, et d’algorithmes ascendants, algorithmes qui tiennent compte de l’expérience). Or le calcul est limité dans ses effets, Le calcul ne permet pas la compréhension du calcul lui-même. Il cite des exemples intéressants dans lesquels le calcul est impuissant à résoudre certains problèmes. Notemment l’exemple de la résolution de systèmes d’équations diophantiennes. Sans rentrer dans le détail de ce que sont ces équations, il suffit de savoir qu’il s’agit de certaines équations mathématiques. En 1970 le mathématicien russe Matiyasevitch a établi un théorème montrant qu’aucun programme informatique ( utilisant donc des algorithmes) ne peut décider systématiquement si un système de telles équations possède ou non une solution ( pour la petite histoire la question de la résolution de telles équations était connue sous le nom de dixième problème de Hilbert) Ce qu’il faut retenir c’est que le calcul ne permet pas de résoudre systématiquement ces équations ( le mot systématiquement est important). Donc il existe des problèmes, des questions qui sont irréductibles au calcul. Ce qui limite considérablement la puissance possible des futures IA tant que celles-ci ne s’appuieront que sur le calcul ( en fait cela limite le pouvoir des informaticiens qui ne sont pas capables d’aller au delà du calcul). Cette limitation des IA n’explique pas pour autant leur incapacité à comprendre ce qu’elles font. Mais Penrose pense justement que la compréhension va au delà du calcul. Qu’il est impossible de penser la compréhension par un calcul, par une mise en calcul.
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Dans « les Ombres de l’esprit » Penrose estime que la physique ne sera complète que lorsqu’elle aura intégré une théorie de la conscience. Ce qui paraît relever du bon sens puisque la conscience est avant tout un mode spécifique de traitement de l’information.Tout la physique actuelle passe par le crible de ce traitement. Aussi est il nécessaire de comprendre ce traitement. Il semble aussi tenir cette position : le mental est lui aussi une production ( encore que le mot production est peut être trop radical) du cerveau. Ce que je pense aussi désormais. Il y a aussi cette interrogation : comment savoir si une IA a une conscience ? Pour moi c’est simple puisque je pense que la fonction mentale est de permettre une communication directe d’un humain avec les autres. Nous saurons qu’une IA a une conscience mentale lorsqu’elle sera capable de communiquer directement avec d’autres IA par une méthode qu’elle aura inventée.
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connaissez-vous des adultes au prénom inusité ?
satinvelours a répondu à un(e) sujet de Ximène dans Education et Famille
Ça m’agace alors ce genre de réflexion : il y a pire, ou des parents ne pensent pas à leurs enfants. Des gens comme vous c’est une plaie. Parce qu’ils n’arrêtent pas d’agresser ceux qui donnent à leurs enfants des prénoms inusuels mais qu’en plus ils se font passer pour bons en prétendant être soucieux du sort des enfants ainsi prénommés alors que vous n’en avez rien à faire de ces enfants. Il faut que vous travestissiez en bonté ce qui n’est jamais chez vous que ressentiment contre quiconque ose ce que vous êtes incapables d’oser. C’est chiant ces insuffisants de l’audace qui ensuite pourrissent la vie de qui ose. -
connaissez-vous des adultes au prénom inusité ?
satinvelours a répondu à un(e) sujet de Ximène dans Education et Famille
Cela n’a pas gêné mon fils de se prénommer Orphée ( en 1985!). Il a une belle trajectoire et dirige désormais une entreprise aux USA. Là bas son prénom le sert plutôt, il n’y a pas ce type de jugement propre aux dinosaures comme toi. Quant à mon premier fils, appelé Lancelot en 1983, alors lui c’est l’aisance entrepreneuriale par excellence, mais lui non plus vit ailleurs qu’en France. Les dinosaures français l’ont aussi convaincu qu’il valait mieux qu’il parte. -
connaissez-vous des adultes au prénom inusité ?
satinvelours a répondu à un(e) sujet de Ximène dans Education et Famille
J’ai donné, avec mon conjoint, le prénom de : Orphée, à mon deuxième fils. C’était en 1985. Aujourd’hui il vit aux USA et là bas ils prononcent Orphiiii. C’est très musical. -
Pourquoi ne la trouverais tu pas ? Si j’avais une autorité sur toi je te dirais : affirme toi. Quitte à heurter. Affirme toi. Mais je n’ai pas d’autorité sur toi, aussi fais comme il te plaît des mots que je t’envoie.
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Qu'est ce qui est le plus excitant pour vous: le physique ou l'intelligence ?
satinvelours a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Cette remarque exprime l’essence la plus intime du catholicisme. Elle est exprimée par une femme catholique dont tout le discours sur Jesus est éminemment sexuel. Dommage que cette religion pratique le déni de son fondement, c’est le cas de le dire. Ça nous donne d’incroyables refoulements. -
C’est étonnant. Il se trouve que je me suis occupé d’un jeune garçon, quand il n’avait que 9 ans, avec une amie à moi. Il se prénomme Samuel et il était en sérieuse difficulté scolaire. À deux nous avons réussi à lui donner confiance. Aujourd’hui cet enfant est parti vivre en Russie ( à Moscou). Il est toujours en rapport avec nous. Ce qui me fascine chez lui c’est ce recours naturel au mythe. Il voit par exemple en Jupiter le lieu de ma résidence, et, pour lui, je siège là bas en tant que maître de l’univers. En fait c’est parce qu’il fit de moi ce maître qu’il parvînt à s’arracher de l’embourbement psychique dans lequel il se trouvait quand il était petit. En vérité je sais qu’au delà de moi, il perçoit autre chose. Bien sûr en Occident il fut raillé.Mais arrivé en Russie pas un seul Russe ne se moqua de lui. Aujourd’hui il a intégré la plus grande université de Moscou, section maths et physique. Il se destine à la recherche. Or où va t il des qu’il le peut ? En Iakoutie où il a fait la connaissance d’une belle Iakoute. Et là bas il s’est mis à la recherche des anciens iakoutes nomades dont nul ne sait s’il en existe encore. Et dans sa quête il a été adopté par une tribu iakoute où un sorcier ( le nom exact la bas doit être autre) l’a initié aux mondes parallèles. Ainsi il est riche aujourd’hui des mondes intermédiaires situés entre ciel et terre. Et je perçois que cette richesse explique son génie en sciences. Oui cette femme est une Iakoute, elle descend de l’ancien conquérant, celui qui disait : je suis le fils du loup bleu et de la biche fauve. Et quand Samuel reporta cette phrase à un vieux Iakoute comme étant une phrase mythique alors le vieil homme lui répondit : ce n’est pas un mythe, c’est réel, Gengis était réellement le fils du loup bleu et de la biche fauve. Samuel comme toi a le sens de la musique, il joue de plusieurs instruments, il apprend les langues rapidement. Arrivé à Moscou, à 16 ans il décida de démarcher les restaurateurs pour jouer devant eux ses instruments. Il a trouvé un restaurateur intéressé. Il a fait un tabac ! C’est pourquoi je me dis : et si toi aussi, tu allais te produire devant un public, n’en tirerais tu pas une force dont tu ne soupçonnes pas combien intense elle est en toi ?
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@lilineige Je l’ai écoutée sans la regarder. Alors je n’ai pas pensé que c’était une femme qui chantait. J’ai pensé que c’était un ou des hommes Je voyais un rituel propre à une communauté restée proche des origines, qui chantait, en l’imitant, le chant des oiseaux et le chant des chevaux ( si j’appelle chant leur hennissement). Avec ce mystère propre à l’imitation, une imitation qui est à la fois hommage rendu au monde animal sauvage mais aussi au monde animal associé à l’homme ( le cheval), et à la fois subtile appropriation de cette dimension sauvage. Je cherchais à situer cette communauté, en Afrique d’abord puis dans le Caucase ( à cause du hennissement). Apres quand je l’ai regardée, bien sûr j’ai vu une femme. Et là pour moi ça devient compliqué, autant que peut l’être mon affectivité, c’est à dire ma singularité ( mon expérience personnelle de la vie). Je l’ai située, cette femme, dans le Caucase, en fait non je l’ai située au dessus du Caucase, dans le territoire des anciens cosaques zaporogues ( mais ç’aurait aussi pu être les cosaques du Don), dans l’île entourée des eaux du Dniepr. Et là je m’envole dans le mythe, dans le souvenir des origines, si complexes, d’une autre femme, ma mère. Il est possible que la puissance de l’art ce soit sa capacité à unir l’universel ou le communautaire ou le collectif, avec le singulier, l’expérience personnelle, forcément unique.
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Ce qui limite la philosophie classique occidentale c’est le peu de cas qu’elle fait du domaine affectif. En se plaçant uniquement du côté de ce qu’elle appelle la raison elle rentre dans une concurrence avec la science, ce qui est vain à mon avis, mais surtout elle néglige que le futur de l’homme est aussi déterminé dans le rapport affectif qu’il a avec l’autre. L’autre ne peut pas être une réalité que j’aborde avec ma seule raison, il est aussi et surtout une réalité que j’aborde avec mon affectivité. Je découvre finalement que les questions affectives sont essentielles dans des domaines aussi importants que la politique par exemple, ou actuellement dans le domaine de l’écologie. La question du ressentiment par exemple doit être traitée avec sérieux. Mais il n’est pas possible de traiter cette question en lui opposant la colère, la morale ou son propre ressentiment. C’est compliqué du coup de traiter humainement cette question. Du coup en me penchant sur cette question du ressentiment je m’aperçois qu’il y a quantité de personnes dont le ressentiment est refoulé. Elles n’ont pas conscience de leur ressentiment. En leur présence parfois je chavire. Car ses personnes sont gentilles et affables mais il émane d’elles quelque chose qui ressemble à des ondes subtiles qui me rongent. Il est impossible de lutter contre ces personnes sinon en s’abstenant de les rencontrer. Et me voici avec des questions comme le ressentiment et le refoulement dont je m’aperçois que, si nous n’en tenons pas compte, ces questions non prises en considération, peuvent ruiner toute opération sociale de type politique par exemple.
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Tu dois probablement savoir jouer d’autres instruments. Est ce que tu tentes de te produire en public ?
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En effet c’est étonnant. Quelle énergie c’est fou ! Et cette créativité tout au long tient en haleine l’auditeur. Tu déploies ce même type d’énergie et d’inspiration ? Tu dois être inspirée quand tu joues. Merci de me faire découvrir ce que tu aimes.
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J’aime ces instruments que vous me faites découvrir. Je trouve qu’ils produisent une musique dont le timbre est inattendu. L’instrument dans la vidéo que vous avez mise après votre message est une kalimba donc. Après le polyphone et le hang. La musique est un domaine de l’art dont je ne suis pas spécialiste mais j’aime écouter. Si vous savez jouer d’un instrument cela vous permet peut être de tenter de jouer sur des objets originaux.
