-
Compteur de contenus
3 801 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Arn
-
Merci pour ce message. Nous pourrions en discuter des heures tant il aborde de sujets. 1ère interrogation Oui, sur le principe, je suis d'accord. La minorité dominante veut toujours avoir raison sur tout et cherche à nous imposer son système par la force, par l'éducation, par exemple. Au lieu d'apprendre aux jeunes de manière autoritaire ce qu'on exige qu'ils sachent pour participer au fondement du système, ne serait-il pas plus judicieux de leur apprendre le goût d'apprendre. L'éducation est à la fois indispensable, elle formate l'individu à sa manière, et avec tous ces contresens elle est quand même indispensable à l'être humain. Complexe!! Aujourd'hui un monarque est élu, soit, mais il reste un monarque. Et en même temps l'espèce humaine a besoin de relations sociales et donc des façons de communiquer communes. Cependant, je ne mets pas dans le même sac, le nazisme, le communisme, le impérialisme colonial, et la démocratie française, européenne.. libérale qui nous impose son système mais ne cherche pas à tuer les gens. 2ème interrogation: oui, je pense que nous agirions de la même mais avec des degrés différents sans doute mais semblables sur le fond. Il existe plusieurs raisons à cela chez les humains que nous sommes: l'ethnocentrisme et l'ego, la soif de domination, et la vénalité épouvantable qui nous tiens dans nos gènes. J'ajouterai que le dominant est toujours celui qui se montre comme le plus fort, et que si ce n'est pas elle ou lui, alors ce sera une autre personne. Par ailleurs, je ne sais pas pour vous, mais, avec un certain recul, je constate que j'ai eu dans ma vie des périodes de domination sans le réaliser sur le moment. Si j'étais dans la majorité dominante, je demanderais que l'on apprenne aux enfants que l'individu existe en se forgeant lui-même, et que l'individu a besoin des autres individus pour vivre et que l'on vit mieux en travaillant en commun, en partageant nos savoirs, nos compétences, nos vies, que seul dans son coin, même si je respecte totalement les individus qui font ce choix. Je leurs apprendrais que chaque humain est à la fois singulier et commun, et à la fois égal et différent, car l'égalité n'a jamais, et heureusement, voulu dire l'uniformité. Je ferai tout pour que nous allions vers une société où la police et l'armée et la fonction publique ne seraient plus nécessaire car nous serions tous fraternels les uns envers les autres, sans vouloir imposer nos idées, tout en les défendant, mais de manière totalement pacifique. Je leurs apprendrais que la vénalité est un maladie majeure de l'être humain, et qu'il faut en finir avec cette concurrence stupide, au lieu de comprendre que l'on peut être un génie en mathématique, tout ne sachant pas manier des objets, mais que ni pour l'une ou l'autre raison on est supérieur ou inférieur aux autres. Nous devons accepter les autres tels qu'ils sont avec les différences qui existent dans nos manières de vivre. Et je leur apprendrais aussi que chacun d'entre nous sommes des êtres libres et respectables tant que nous respectons aussi les autres. Mais! la liberté existe-t-elle ?? C'est une belle utopie, sans doute, mais cela reste une utopie, car j'ai du mal à croire que nous puissions y arriver car, est-il possible de créer une société avec des individus qui n'y sont pas prêts ?
-
Bonjour Seyar, je suis bien d'accord avec vous. Mais ne doit-on pas se demander pourquoi tous les systèmes fonctionnent plus ou moins de la même manière hiérarchique. Il est frappant de constater qu'une dictature (quelle soit-elle) ou une démocratie sont toutes les deux organisées de manière totalement identique avec une hiérarchie, etc.. Leurs buts peuvent être fondamentalement opposés mais leurs organisation sont pareilles!! On peut donc penser comme on l'a vu il n'y a pas si longtemps que la limite entre la dictature et la démocratie est très fragile. Mais, si vous et moi étions dans la minorité gouvernante, n'agirez-t-on pas de manière identique ?
-
Bonjour Demonax, oui je connais l'autisme mais depuis quelques années. J'ai un fils qui va avoir 25 ans bientôt. Il a été suivi par des centres psychologiques depuis l'âge de 4 ans. Nous avons participé à des réunions de discussion, rencontré de nombreux psychologues dans 2 villes de l'ouest. Nous avons toujours demandé, quel était le problème de notre fils et jamais de réponse. Il y a 3 ans, il a fini par découvrir qu'il était autiste de haut niveau et cela a été déclaré comme tel par le système de santé (si archaïque en France au sujet de ce handicap). Et nous avons enfin compris pourquoi il réagissait de cette manière. Il a parlé après son frère qui a 2 ans de moins (mais cela ne nous dérangeait pas trop parce que nous l'acceptions tel qu'il était). A 4 ans l'institutrice m'a dit qu'il ne saurait jamais lire (j'ai failli lui mettre une claque) et aujourd'hui sa chambre est rempli de livres, de romans essentiellement de toutes sortes, de toutes époques, de toutes langues et essentiellement de grands écrivains. Il a eu son bac. Sa difficulté essentielle est de pouvoir supporter la relation avec les autres, car il est vu différemment et souvent rejeté. Il y a des choses qu'il ne peut pas faire comme par exemple, mettre les assiettes verticales dans le lave vaisselle.... Si j'ai bien compris, il s'agit d'une malformation cérébrale, je crois. L'autisme est difficile à vivre car la société a tendance à rejeter ceux qui ne sont pas dans la "norme".
-
D'où viennent nos "qualités" ou nous "défauts" ? Oui!!
-
Quelle est la meilleure définition du devoir ?
-
Ce qui me dérange est que pour moi le "devoir" relève du mythe et pas de la réalité. Un humain est bon parce que c'est la conséquence de ses gènes et du regard des autres, idem pour un humain méchant.
-
Je suis bien d'accord avec vous, mais là, j'ai faim, je vais manger!! A+
-
Merci de me l'expliquer d'un manière différente, svp
-
Le terme LICRA me choque un peu. Ligue Contre Le Racisme et l'Antisémitisme. Pour moi cela sous-entend que l'Antisémitisme est une forme de racisme plus grave que les autres, autrement dit qu'il existerait une hiérarchie des racismes. Je trouve ce raisonnement honteux, car toute forme de racisme est honteuse et il n'existe pas de hiérarchie des racismes. La LICRA devrait tout simplement se nommer ou bien la LICR (contre le racisme)ou la LICA (contre l'antisémitisme) mais pas les deux. Je leurs ai même écrit (comme d'autres) pour qu'il change leur nom, mais bien entendu aucune réponse de leur part.
-
Quand une personne vend un produit elle essaiera quasiment toujours de la vendre le plus cher possible. Quand une personne achète le même produit elle essaiera quasiment toujours de l'acheter le moins cher possible. De facto, c'est la même logique. Donc, la vénalité n'est pas la spécificité de certains humains, mais de tous les humains. L'ultra-libéralisme, les démocraties, les dictatures ne fonctionnent tous pas t-ils sur les mêmes concepts ?
-
Je n'écrirais pas le terme "devoir" mais le terme "désir" ou "soif génétique". Pour moi le "devoir" n'a pas beaucoup de sens. Les gènes évoluent, c'est indéniable mais pas du tout à la même vitesse que la vie d'un humain qui dure en moyenne sur la planète autour de 60/65 ans en moyenne. En 65 ans que se passe-t-il comme gros changement dans nos gènes ?? Peanuts.
-
N'est-il pas judicieux de dire que tout être humain fera toujours passer son intérêt personnel avant toute chose ? Autrement dit, au lieu de toujours stigmatiser les autres, il serait bon de ne pas oublier que nous sommes des êtres humains comme les autres, et qu'il est probable qu'à leurs place nous ferons pareil. Petite question: si vous (ou moi) dormez dans une chambre d'hôtel, faites-vous attention à votre consommation d'eau chaude sous la douche ou à la chaleur que vous aimez avoir ? Vous pouvez tout mettre à fond et cela ne changera rien à votre facture. Mais si vous êtes chez vous, ne faites vous pas l'inverse ?
-
Les raisons sont certainement multiples. Mais plutôt que de mettre en cause les "dominants" (voir même les "dominants" démocrates), ne serait-il pas préférable de mettre en cause tout le monde, tout humain ?
-
La seule solution pour comprendre est de voir la réalité en face. Seul problème, c'est impossible. Notre vision du monde tient plus du délire que la réalité. En premier lieu, il serait judicieux de comprendre que notre connaissance de l’univers relève de la micro-microscopie et que, de fait, nous ne connaissons quasiment rien du monde, si immense, et qui relève de l’infini. Admettons une évidence : jamais l’humain ne sera en mesure de comprendre l’univers et son fonctionnement. Il y a aussi une seconde raison : nous les humains appartenons à l’univers. Alors comment pouvons-nous réussir à être à la fois l’acteur et le spectateur sans que l’un ne puisse avoir un impact sur l’autre ?? Cela me semble impossible, car d’une certaine manière, cela se rapproche du « conflit d’intérêt ». Justement, « le conflit d’intérêt » est limpide quand nous comparons la race humaine animale aux autres races animales. Le terme «animal», utilisé par l’humain, désigne en premier lieu la totalité des espèces (grands primates, oiseaux, fourmis, poissons…) mais n’y inclue pas l’espèce humaine. La science nous indique bien pourtant que les humains sont une espèce animale comme les autres. Nous les humains, nous sommes des animaux. Nous avons la sensation d’être plus développés, plus intelligents ? Mais, ne sommes-nous pas, plutôt, la race animale la plus dangereuse de la planète « Terre » que nous détruisons à petit feu (et à terme ce sera, -pourvu que non-, un incendie que nous ne pourrons jamais éteindre, si nous refusons de voir la réalité de la planète et que nous n’agissons pas pour que la vie des animaux s’améliore). Sans doute mais l'humain aura toujours des gènes proches.
-
Je ne crois absolument pas que le problème est là, car ceci est de mon point de vue une conséquence et pas une cause, où disons une cause de 2sde main. A la base le communisme est une belle idée de partage, mais le résultat a été contraire et bien pire que le but initial. Pourquoi ? Cuba est-elle une démocratie ? Non, c'est claire. Parce ce qu'il y a eu toujours ce qui est latent chez tout être humain qui est la soif de domination. Nous réagissons beaucoup plus avec nos instincts animaux qu'avec notre cerveau animal aussi et ceci est commun à la vasye majorité des animaux dont l'espèce humaine fait partie. J'ai pris l'exemple communiste mais cela aurais pu être tout autre forme sociétale. Nous ne comprenons toujours pas que nous sommes des primates avant toute chose.
-
Si j'écris pourquoi, ce n'est pas sans raison. L'économie n'est qu'un média de la vénalité humaine qui existe chez tout un chacun. Si j'achète une machine en essayant d'avoir le meilleur prix et en comparant l'argent qu'elle coûte, n'est-ce pas sur le même principe de fonctionnement que celui qui le vend en essayant de faire un maximum de profit ? De mon point de vue la vénalité est dans les gènes humains. Pourquoi est-ce ainsi depuis toujours ?? Il n'existe pas d'effets sans causes.
-
Sur la première partie ma question est "quelles sont les origines des consciences composantes du système politico-sociétal. Il existe c'est indéniable, mais rien ne peut exister sans rien (à l'exception de la pensée différente des croyants). Je crois qu'à la source existent sans doute dans les gènes humains à la fois la vénalité de la nourriture que l'humain a transformé en vénalité de l'argent, avoir plus, toujours plus, et aussi cette volonté génétique de domination. Non ? Même si ces explications sont insuffisantes. D'accord avec vous, à une différence près. Ce ne sont pas les gens au pouvoir mais je dirais, les gens qui accèdent au pouvoir, quelle que soit les convictions ou les origines des personnes. Je crois que le désir de domination est ancré dans chaque être humain, quel qu'il soit.
-
Qui sont ces brebis égarées en duperie ? Les dirigeants ?
-
Et bien je suis en train de lire "A se tordre" d'Alphonse Allais, après avoir fini "le Brave soldat Chèïk de Jaroslav Hasek et avant "Sylva" de Vercors
-
Je suis en partie d'accord, mais en reprenant votre message, j'écrirais: l'espèce humaine, comme beaucoup d'autres espèces animales, a dans ses gènes l'envie d'avoir plus (regardez votre chien, il fait pareil avec la bouffe, il en veut plus et si un autre chien est avec lui, ils peuvent se bagarrer pour un bout de fromage). La soif de dominer les autres aussi, bien entretenue par la concurrence didactique. Et puis, ne pas oublier que nous réagissons plus avec nos préjugés instinctifs que notre réflexion cérébrale. Parfois une personne comme tout le monde mais né avec une sale tête peut, grâce aux regards des autres, vivre une vie de faciès et finir par devenir une crapule.
-
Je ne pose pas la question en ces termes. Nous avons vu se mettre en place des systèmes divers de tous extrêmes et même démocratiques, mais d'une manière ou d'une autre cela se termine toujours par des guerres. Notre génération a eu la chance de ne la connaître de loin. Mais, on sent bien que la tension monte aujourd'hui, non loin de l'Europe existe une terrible guerre au Moyen-Orient et la tension est forte en Europe de l'Est avec la Russie et aussi la Corée du Nord. Et puis, comment allons nous faire dans 25 ans quand la population mondiale attendra 10 milliards d'habitants ? Par ailleurs, à ce jour la Russie, la Turquie, l'Inde, ces grands pays redeviennent des autocraties avec tout le mal-fait aussi des religions. Nous avons les moyens de faire vivre le monde dans la décence et nous ne le faisons pas car l'économie est devenu le cœur de la société humaine, avec la volonté permanente d'exploiter les plus nombreux sur la planète en ne les payant souvent pas assez pour vivre. Pourquoi ?
-
Je me pose la question. Cela commence à trotter dans ma tête et je m’interroge. Pourquoi tous nos systèmes politiques ont-ils échoués dans leurs objectifs, assez souvent humanistes (d’une manière ou d’une autre) à la base de leurs convictions. Ils ont souvent eu affaires à des crises politiques, économiques, militaires mais fort est de constater que leurs réponses ont toujours fait preuves de duretés, auxquelles il se doit d’ajouter que celles-ci l’ont été à des degrés divers. Parfois cette dureté de crise, duquel il ne faut surtout pas soustraire les contextes sociologiques, historiques, écologiques et religieux, aboutit à des dictatures mortifères.