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Tout ce qui a été posté par zeugma
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c'est en effet créé un lien de causalité qui ferait que tout ce qui nous arrive ne dépendrait pas de nous...bien loin de moi cette idée, l'immanentisme n'est pas plausible, et "l'émanentisme" non plus... ce que dit ce poème est plus simple, c'est la responsabilité partagée...à méditer...
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no.....homo sum et nihil humani a me alienum esse puto
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sans doute, mais le temps qui se sera passé entre ces deux moments de théorisation, marque indélébilement les consciences, tant des scientifiques que des non-scientifiques, c'est à ceci que nous devons réfléchir...ensemble... ce que disent les sciences ne peut pas nourrir "toute" la conscience humaine, c'est en tout cas ma position...
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oui, ce serait une chose possible à faire, pourtant il me semble que nous devons essayer de ne faire exception de personne, car là où nous en sommes, tous nous devons coopérer...du moins c'est ce que je propose...
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cette phrase tout en étant vraie, pose la question de l'autorité de raison, qui repose en partie sur une forme de confiance, et reste donc sujet à doute...ou à la réversibilité de l’assentiment... et pose donc la question de l'unité entre l'assertion et l'assentiment...de l'union de l'intelligence et de la volonté...
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Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
reste que l'objectivité n'existe que si la subjectivité lui donne une forme existante compatible à un de ces socles dont je parlais, à savoir la présence individualisée... -
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
en effet je n'en déduis pas nécessairement que ce soit la cruche qui est vide, mais il y a une expérience personnelle de ma tête que je ne peux étendre à la cruche tout aussi parfaitement, car même si le vide est en partie dans ma tête et en partie dans la cruche, celui de ma tête est vital pas celui de la cruche, sauf si je me cogne la tête contre la tête d'une cruche (un fille) mais cela implique alors un jugement sur cette personne...ce que je ne fais pas juste sur un coup de tête... -
entre cité et comprendre il y autant de différences qu'entre penser par soi même et copier sur son voisin... c'est pourquoi les mauvais élèves s'assoient à coté des bons...
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si l'esprit bouge c'est qu'il fait un avec le vent et l'oriflamme... le chemin que tu empreintes c'est toi même en quête de l'unité de ton origine et de ta fin...
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Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
si Déjà-utilisé a dit dé-subjectivité, c'est peut-être que sa recherche l'a conduit jusqu'à ce lieu personnel où se trouve uni sa personne et l'effection de son vécu de chercheur en science, ce qui serait une bonne chose, puisque cet unité est source de prudence et de compassion pour nos semblables et pour nous même... ce qui risque par contre de se produire pour celles et ceux qui ne cherchent plus cette unité entre subjectivité et objectivité, c'est de faire de leur objectivité une construction de leur subjectivité, comme chez les scientistes par exemple, ou dans l'autre excès, faire de la subjectivité une objectivation totale, comme chez les extrémistes religieux ou les illuminés spiritualistes... bref la voie du milieu est encore à définir il me semble... -
honnêtement qui à lu la Bhagavad-gita ? moi oui et son sujet ainsi traité est une des clefs de notre agir humain...
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bonjour Jedino, je reprendrais de votre réponse ce passage qui vous fait honnêtement affirmer une des raisons pour lesquels nous devons redécouvrir le sens de la finalité en tout ce que nous pensons ou faisons... car évidement de la même manière que nous ne pouvons refaire toutes les analyses philosophiques, ni remonter tous les processus logiques, ni inventorier toutes les nouveautés de la pensé humaine, de même nous ne saurions expliquer le fonctionnement de toutes les technologies, ni définir toutes les expérimentations, ni entreprendre le tour d'horizon de tout ce qui fût nécessaire pour que le commerce soit tel que nous le voyons...bref vous avez raison, une par de confiance est à l'oeuvre dans nos vies et cela est un présupposé inextinguible... pourtant, en toute l'évolutivité humaine, une recherche semble perdurer, appelée quête pour certains, défi pour d'autres, challenge aussi, envie de maîtrise, projet de gestion, etc... cet élan particulier de notre espèce repose en partie sur des socles très anciens, que la mémoire historique ne peut pas même situer en lieux et temps exacts, mais toujours actif en ce moment, cet élan génère une dynamique que nous "respirons" dès notre entrée corporelle en ce monde, et que nous amplifions à notre mesure sitôt que nous réfléchissons et travaillons... ces socles, eux, sont connaissables, et seront présents même dans notre futur le plus avancé, même en des lieux et des temps où apparemment notre vie biologique n'a rien à faire et devra être soutenue par un transhumanisme affirmé, même si un cataclysme nous contraint de prendre un mode de survie hyper-contraignant, et surtout si, comme je le pressant, la construction complexe élaborée de notre civilisation techno-scientifique, fera établir une gestion de l'humanité numérique comparable à un élevage de cochons ou de poulets... les choix de la recherche scientifique ou technologique actuels ne modifient pas ces socles, au mieux les ignorent, au pire les contournent mais en aucun cas les dépassent, c'est pourquoi la connaissance et la lucidité de l'importance de ces socles restent une "garantie" de vie au delà d'un désir de survie... bien à vous...
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bonjours Déjà-utilisé, oui en effet cette bilocation de l'intelligence provient toujours un peu du fait que la disproportionnalité de certain "problème" et de notre conscience respective, opère des appréhensions sensiblement distincte de ces dits problèmes, d'où pour moi l'irréductibilité d'une coopération dans la recherche à les résoudre... je cite ce bloc de ton texte car il contient une des solutions pour moi de la sortie de notre crise civilisationnelle... "Ce n'est pas antinomique, comme dit au-dessus, je n'avais pas mis l'accent au même endroit dans mon commentaire, mais cela ne veut pas dire que je sois insensible à toute finalité, quoique cela renvoie aussi à l'idée puisque l'on parle de finalité, que c'est quelque chose qui s'inscrit dans un temps futur, et donc incertain ou indéterminé, et alors sources possibles d'angoisses, à moins de ne pas y mettre un impératif, mais uniquement une possibilité méliorative, et que l'échec est somme toute permis." quand tu dit :"que c'est quelque chose qui s'inscrit dans un temps futur"c'est juste, mais je me permets d'ajouter, que la "finalité" est aussi une présence de quelque chose qui nous finalise, comme le vrai et le bien par exemple, et que sans cette présence de la fin déjà ici et maintenant, nous ne saurions pas même poser un choix cohérent... tu ajoute :"donc incertain ou indéterminé" c'est vrai aussi, mais là encore je me propose d'ajouter que l'incertitude et l'indétermination sont deux réalités dû à notre condition d'êtres en devenir, mais peuvent être acceptées justement comme ce qui nous donne notre liberté et notre désir de connaitre, c'est pourquoi c'est en ces deux capacités de notre intelligence et de notre volonté que je vois le point d'ancrage le plus stable à notre recherche de bonheur, plus qu'en nos réalisations matérielles... aparté : c'est pourquoi aussi je parles souvent de la voie contemplative, puisqu'elle est en propre l'unité de l'intelligence et de la volonté... je cite le paragraphe suivant puisque tu y relève aussi une des causes de notre incapacité actuelle de trouver l'ordre par lequel notre savoir soit au service de notre bien et pas l'inverse, comme nous le voyons de nos jours... ainsi dans cette phrase : "Entends-bien que je ne suis pas contre ce que tu dis, mais j'avoue que les plus grands travers de l'humanité n'ont pas pour origine une faiblesse d'intelligence, mais bien un mauvais usage de celle-ci, c'est pour cela que je ne me focalise pas sur ça, et que le QI ( élevé ) est une notion peu pertinente à mes yeux, ni même celui ( de niveau ) de culture, le cheminement intellectif est l'essence même de ce qui nous distingue de machine sophistiquée biologique, c'est-à-dire avec en filigrane ces notions de Bien ou de Mal, dit autrement une éthique." tu distingues explicitement, l'acquisition/appropriation du savoir et son usage, c'est-à-dire le vécu qui en résulte... et tu as parfaitement raison, toutefois si nous recherchons les "moments" et les "lieux" par lesquels l'usage devient source de difficultés, nous retrouvons toujours un manque de vue d'ensemble de notre condition humaine, plus précisément un "oubli", (que je nomme ainsi mais qui sera analysé et défini plus tard en lui même), ou autrement dit, une dissonance entre plusieurs pôles de notre capacité à "inventer" notre quotidien...j'y reviendrais aussi plus tard... tu dis aussi : le cheminement intellectif est l'essence même de ce qui nous distingue de machine sophistiquée biologique, c'est-à-dire avec en filigrane ces notions de Bien ou de Mal, dit autrement une éthique." oui, mais qu'est-ce que l'éthique pour l'humain et quels sont ses points de contacts avec son milieu de vie ? c'est à cette recherche que nous devons fixer notre attention car c'est en ne prenant pas en compte de l'importance de cette spécificité de l'humain dans le monde, que le sens de sa présence devient aussi aléatoire qu'un phénomène physique, c'est-à-dire rejoint la cause matérielle, et ne se distingue plus, comme vivant, des déterminations du non-vivant... je sais que cette dernière phrase pourra paraître obscur et sans intelligence pour certains, mais si nous la lisons dans la perspective des dégradations du milieu de vie dont l'humanité est directement responsable, et du manque de vision cohérente en son avenir, cette phrase devient plus "parlante", il me semble... ainsi les deux notions de bien et de mal que nous accolons toujours comme une parité indissociable, et qui vient mesurer notre pensée morale et notre agir pratique, est un piège en lui même, puisqu'il met au même plan deux actualisations du jugement qui ne sont pas de même nature, en effet le mal n'est que la privation d'un bien, et n'existe que comme un manque, c'est pourquoi il n'est qu'un non-être pour l'être qui est le bien... cette petite distinction n'as l'air de rien, mais à qui veux la comprendre et la prendre comme lecture du réel, elle apporte ce nouveau regard indispensable pour sortir de l'opposition bien/mal...et même sur la difficulté dans le choix des "valeurs" qui reste une des causes de notre perdition actuelle... puis dans ta conclusion tu dis très justement : " je pense pour espérer un revirement de situation, alors que des êtres réellement intelligents anticiperaient une bifurcation avant l'avènement brutal, l'humain a toujours été particulièrement doué pour faire du curatif au lieu de faire du préventif: on fait d'abord on envisagera après... " tu es parfaitement lucide sur cette capacité de réaction in-extrémiste de l'intelligence, mais que de dégâts entre temps... je soumets à toutes personnes de bonne volonté, une position plus indissociablement proche de ce que la vie porte en elle dans sa capacité d'adaptation d'une espèce déjà constituée ou de l'émergence de nouvelles espèces telles que la terre en a porté, cette position est la symbiose...retrouver celle qui nous est échue naturellement est la seule sortie de cet enfermement dans notre logique de destruction et d'autodestruction... si je dis destruction, c'est pour insister sur le fait que chaque transformation produite par un des acteurs de la nature, est cause d'une destruction, mais que certaines de ces transformations sont hors de proportionnalité avec le milieu tout entier... et produisent donc un déséquilibre dans ce milieu, qu'il soit vivant ou matériel... cela est évident aujourd'hui et aurait dû être pensé au début de ces transformations... pour conclure, je te dirais que toute destruction extérieure provient d'une destruction intérieur, c'est pourquoi il est indispensable, pour moi au moins de me positionner dans une recherche d'écologie de l'intelligence... bien à toi Déjà-utilisé...
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il y a des contes à dormir debout, des comptes à vous tenir éveillé des nuits entières et des comtes qui veulent se faire passer pour des princes...suivez mon regard... souvent l'addition de tout ceux là ne fait que démontrer que cela ne sert à rien de vouloir la lune si on n'est pas apte à l'apprécier... sur ce, je vous donne un poème non pas qu'il soit génial, mais il révèle assez bien mon état esprit actuel concernant ce sujet... La graine c'est dans une vallée de la Creuse profonde là ou parfois un conte peut enfouir ses racines et toujours une rivière métronome de ses ondes compte le temps des vieux en mesures enfantines. Qui à bâtit ces murs et tracées ce chemin à quelles mains doit on faire le reproche de son œuvre car en bordure de l'eau et au pied du ravin cette place fût maudite comme un repaire de pieuvre... La bâtisse en elle-même serait bien accueillante, mais à cause de celui qui voyagea au loin et y laissa tomber la graine terrifiante elle devint le tombeau de trois morts sans témoin ! La plante avait poussé dans l'humide pénombre et quant la porte ouverte remuait un gaz épais paralysant les muscles, d'un corps raidi qui tombe naissait un son mouillé, d'os et suc mauvais...
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Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
réponse bienveillante de ma part...vous signez encore et toujours votre arrêt de mort intellectuelle par cette haine qui vous dévore...prenez des vacances cela vous fera du bien...et à nous aussi... -
en vos explicitations, que je redonne ici in extenso car elles se tiennent par leur propre logique, je n'aurais pas de commentaire trop long à faire ...je désignerais en gras les points qui me semblent les plus important de votre réflexion... et je garderais le "gros"de ma réponse à la question que vous posez ci dessus... Car l'évidence n'est pas un concept qui permet d'atteindre l'exactitude : c'est un pas éventuellement nécessaire, parfois, mais ce n'est pas un élément de vérité en tant que tel puisqu'il est affirmé et non pas démontré. Cela dit, votre emploi dans "son degré d'évidence" n'est qu'une subtilité sémantique, au mieux. Je n'ai pas l'impression que vous mettez quelque chose de très différent derrière cela (typiquement, cela me paraît évident, mais je suis bien incapable de démontrer que c'est vrai). "affirmé et non pas démontré". je voulais juste montrer et pas démontrer que l'évidence est aussi une source de véracité objective, et que la démonstration scientifique via la suite cohérente théorie/modélisation/expérimentation/preuve/résultats publiés, ne peut remplacer entièrement, ni qualitativement ni quantitativement le jugement de l'intelligibilité humaine dans son ensemble.. "son degré d'évidence" n'est qu'une subtilité sémantique, au mieux. non pas seulement et même pas premièrement une subtilité sémantique, puisqu'il s’agissait de savoir si le degré de certitude que l'intelligibilité scientifique tire du réel est le même que celui qui nous est commun dans le degré d'évidence perçu dans le réel par l'intelligibilité naturelle...je sais que cette notion de "naturelle"ne vous agrée pas, mais elle veut juste marquer la distinction d'intelligibilité entre la perception de de l'intelligence par les sens et de l'intelligence "aidée" par les outils techniques des sciences...Je n'ai pas l'impression que vous mettez quelque chose de très différent derrière cela... si c'est cette différence que je mets derrière tout cela...une différence de moyens perceptuels... J'ajouterai qu'affirmer que les preuves scientifiques sont irréfutables va à l'encontre du principe selon lequel la science se veut justement réfutable car toujours en mesure de progresser. Ces preuves ne sont, à moins d'être dans une vérité absolue, donc la réalité, que toujours vraie dans un cadre bien précis. du principe selon lequel la science se veut justement réfutable car toujours en mesure de progresser.c'est la temporalité du vrai en science qui est ici en question, puisque elle admet comme vrai temporellement un fait prouvé, mais ne lui attribut qu'une valeur de vérité relative à la durée de sa non-réfutabilité, cette fluctuation du vrai scientifique est souvent comprit par la conscience collective, comme, passez moi le mot "une relativité générale", où ce qui est vrai risque de ne plus l'être d'ici peu de temps, mais ma question est : est-ce que toutes les réalités perçues par l'intelligibilité humaine doivent avoir ce même "degré d"évolutivité" ? "dans une vérité absolue" il y a des connaissances qui ne sont pas liées à l'évolution des savoirs, mais reste vraies de la préhistoire jusqu'à notre prochain petit-déjeuné...j'en reparlerais au sujet de la voie contemplative... "vraie dans un cadre bien précis"ce cadre est pour la science un cadre fonctionnel, lui permettant de positionner les éléments du réel qu'elle juge nécessaire de mettre en relation, mais cette mise entre parenthèse d'une partie du réel par ce cadrage, ne laisse-t-elle pas certains rapports de ces parties isolées du Tout, sans étude ? et donc prive-t-on pas une partie de ces rapports, dans leurs usages finaux par les techniques, du Tout ? ce serait pour moi la cause première des erreurs humaines que nous nommons pollution artificielles...à creuser... Pour le coup, vous faites de la situation une situation de cause à effet, là où au contraire j'aurais plutôt tendance à le voir comme un système complexe, l'un n'appelant pas l'autre, mais l'un ayant besoin de l'autre pour être, sans être jamais nécessaire. Autrement dit, il me semble abusif de dire que la lumière a produit l'évolution de la potentialité de voir comme finalité de l’œil : il me semble plus prudent de dire que, de par la présence de la lumière, il était possible d'avoir une évolution faisant émerger un organe capable de l'exploiter pour se repérer dans l'espace. Ça n'a rien de nécessaire, en somme, c'est simplement un possible. "Ça n'a rien de nécessaire" si j'ai semblé dire nécessaire, c'était juste au niveau de l'évolution organique, pas de la nécessité que l’œil existe...vous avez bien saisie l'explicitation quand même que je vous donné...merci... J'ai sans doute dérivé, en effet, passant de l'acte de perception propre à son interprétation et sa conscientisation. C'est en effet la force de la capacité à démontrer qui détermine tout cela dans ma tête. Cependant, je n'exclus pas un moyen plus fort encore que la science, mettant le reste en-dessous de cela. C'est, oui, comme vous le dites, la force logique de ce qui est proposé qui est en mesure de me convaincre ou non. "je n'exclus pas un moyen plus fort encore que la science" oui et vous avez une idée en tête ? à part la logique...? Je parle de foi car j'ai conscience du fait que la science n'est pas un absolu et que c'est un accès à la réalité comme un autre, à la différence près que ses outils sont (généralement) plus solides pour y parvenir. J'use du terme de "foi" comme j'emploierais le terme "croire". Remplacez le terme "confiance" que j'employais au départ par "foi" ou "croyance" et vous obtiendrez la même chose : c'est le fait d'adhérer, sans remise en cause et en toute confiance, à quelque chose. "le terme "confiance" en effet il y a une confiance qui émane de la connaissance scientifique, mais existe-t-elle à partir du vrai de ses démonstrations, ou de ces applications tangibles...? pour vous les deux surement puisque vous percevez par vous même ce vrai en refaisant parfois en certaines expérimentations, l'expérience que "ça marche" comme on dit couramment...mais qu'en est-il pour tous les humains qui ne sont pas scientifique, doivent-ils juste avoir confiance dans les applications des sciences ? et faire confiance aux scientifiques parce qu'ils sont aussi des humains ? Le moindre mal ne l'est pas non plus à mes yeux, mais je n'en connais pas de meilleur. En quoi la contemplation est-elle meilleure pour parvenir à ce résultat-ci ? pour moi non plus le moindre mal ne me convient pas, et je vous dirais ce que "peut "la voie contemplative à ce sujet... J'emploie parfois un terme ou un autre selon la science qui me vient en tête et qui n'ont pas forcément les mêmes objets d'étude, en effet. Peut-être n'aurais-je pas dû employer celui qui laisse entendre davantage les sciences humaines et sociales (même si le comportement peut être employé abusivement pour des objets physiques) qui sont plus complexes de par la complexité même de l'objet d'étude qui ne permet pas toujours d'obtenir des résultats aussi solides et évidents que dans une science exacte. oui sans doute nous avons avec le langage une "gestation" parfois compliquée avant que ne naisse un nouveau mot usuel propre à désigner telle ou telle réalité, mis bon faut faire avec...sans... j'apprécie vraiment entretenir une dialogue avec vous, puisqu'il nous apprend l'un et l'autre à entrevoir des nuance du réel que nous n'aurions pas nécessairement vu seul... j'en viens maintenant à votre question au sujet de l'apport de la voie contemplative pour dépasser le moindre mal... tout d'abord il faut dire que l'acte de contemplation est un acte unitif de l'intelligence et de la volonté, comme je l'ai déjà dis plusieurs fois en ces forums, et qu'elle est une source d'ordre pour notre conscience puisqu'elle établit un lien direct entre notre personne et le Tout... elle est de fait apte à nous rendre l'évidence du choix le meilleur car elle repose entièrement sur l'ordre de perfection du Tout...mais comme est n'est pas discursive ni récursive, nous ne la choyions pas, étant la plus dé-possédante ou dé-possessive des modes d'actualisation du réel par intelligence... c'est alors le bien propre à chaque chose qui est vu comme unique vrai à mettre en action... il y a encore à dire sur cette voie, mais point trop n'en faut...en même temps... bien à vous Jedino...
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je passe au deuxième point de réflexion sur la place de la pensée scientifique dans son dialogue avec la philosophie, mais tout d'abord existe-t-il une différence entre l'abstraction de la pensée du scientifique et celle du philosophe ? ou dit autrement y a-t-il une spécificité de l'intelligibilité scientifique et de celle du philosophe ? pour ma part en essayant de répondre, j'aurais préférer la coopération avec des personnes qui ont acquis une intelligibilité scientifique, mais apparemment malgré de nombreux appels, ce débat n'a pas émergé, alors j'aurais pu convoquer des auteurs anciens et plus récents pour ouvrir cette recherche... mais là aussi, peut-on faire un patchwork historique des penseurs et scientifiques pour répondre à cette question ? je préfère essayer de comprendre selon un autre mode d'analyse, qui sera de prendre, à partir de l'intelligence humaine évolutive, ce qui à suscité ces deux modalités d'intelligibilités, ainsi en recherchant leur bases communes, leurs spécificités devraient être plus évidentes... pour ce faire quatre questions : 1/ quelle est la nature du questionnement pour l'intelligence humain ? 2/ quelle est le sens ultime du vrai pour l'intelligence humaine ? 3/ pourquoi et comment les langages participes à l'élaboration de l'intelligence humaine ? 4/ l'intelligence humaine comme fonction vitale est-elle une conséquence de l'individuation ? le questionnement : si nous questionnons, c'est que notre expérience sensible est partielle, et que la succession de ces expériences fait se recouper dans notre mémoire, une possibilité d'autonomie... le questionnement viendrait donc de cette possibilité d'autonomie du vivant... mais il instaure aussi ce que l'on peut appeler "un débat intérieur", comme première forme de délibération, qui lui même permet un choix, c'est-à-dire un positionnement de notre réel personnel dans et face au réel du monde, et face aux autres personnes bien sûr... le questionnement serait donc un contact directionnel avec le réel, et là se trouve surement aussi la spécificité respective de la philosophie et de la science... car la diversité de leurs intelligibilités proviendrait d'une diversité de contact directionnel avec le réel, pour le philosophe, le questionnement est dirigé vers une sagesse, qui est une maîtrise de sa conscience dans le monde, pour le scientifique vers une maîtrise du monde pour y stabiliser sa conscience...les deux se complètes même si elles prennent des chemins diverses... 2/ le sens ultime du vrai c'est la stabilisation de l'intelligence dans la connaissance du bien, et dans cette recherche, plusieurs causes sont à l'oeuvre... tout d'abord le vrai, comme premier moment de l'intelligence se trouve être issu de la certitude, face à une évidence le "ceci est", mais comme "ceci" provient de notre sensibilisation corporel, l'intelligence là aussi procède par recoupement pour faire de plusieurs contact avec le réel, une synthèse, qui peut être acceptée comme "certaine" puisqu'elle à passée le test du devenir mouvant de la sensibilité, pour se stabiliser dans la conscience sous forme d'idées vraies... ainsi, si je dis "chat", j'ai la certitude que je possède quelque chose de plus stable que si je regarde momentanément tel "chat"en telle circonstance, et avec telle intention... ce vrai stable de l'idée ne remplace pas, ni ne supprime pas la qualité de la rencontre avec tel chat, mais elle lui donne une autre perspective, c'est là aussi donc que l'intelligibilité scientifique et philosophique ont puisé leurs distinctions, (peut être la plus évidente) puisque l'idée vraie pour le scientifique est la fin de sa démonstration, c'est à dire la cohérence interne et la signification qu'elle donne au réel... alors que pour le philosophe l'idée vraie est ce qui lui donne une plus parfaite stabilité dans son jugement... 3/ la question du langage est centrale et pourtant pas déterminante dans l'élaboration de l'intelligence humaine, car si nous pouvons distinguer son pourquoi et son comment, nous pourrons aussi comprendre qu'elle est centrale et portant pas déterminante... comme j'ai pris le mot chat tout à l'heure pour centrer la distinction entre le contact sensible distinct de l'idée comme stabilité, je poserais le comment du langage comme la continuité de ce contact sensible du corps avec le monde et le pourquoi comme recherche d'amplification de la représentation du monde dans notre conscience... aussi bien nous comprenons dès lors que le langage est centrale puisqu'il est un mode de présence de la conscience du vivant dans le monde, c'est la performativité de la voix...mais pas déterminant dans l'élaboration de l'intelligence humaine, puisque qu'il ne fait qu'amplifier une représentation du monde dans notre conscience... c'est la spécificité symbolique du langage... il suit donc que quelque soit le type de langage, pour le philosophie le langage vernaculaire étant son référent par la syntaxe et la sémantique qui s'y déploie, il va l'utilisé au mieux pour transcrire sa pensée... pour le scientifique le langage qui est plus ancré dans une symbolique stricte et fonctionnelle, utilisera se langage propre pour transcrire le champs de son expérimentation... les deux aillant pour "mission" de prendre la parole dans la société, pour donner à leurs contemporains cette amplification du monde, avec les risque de sur-amplification que nous connaissons tous...idéologie etc... 4/ maintenant essayons de voir si l'origine vitale et matérielle de l'intelligence serait l'individuation... pour ce faire je donnerais deux pistes qui en fait se recouperont à la fin... première piste : si la nécessité de l'intelligence est fondée comme recherche d'autonomie et de stabilité, c'est dans la distinction qu'elle opère entre toutes les réalités d'abord sensibles, puis idéelles... deuxième piste : si l'intelligence est ce par quoi notre conscience est en présence subjective avec le monde, elle est une affirmation de cette présence, puisque c'est par elle que notre corporéité est intégré au monde... aparté, c'est dans cette deuxième piste que nous voyons le mieux notre nature "animal" puisque tous les animaux participes corporellement au monde naturel, comme individu autonome... l'intelligence animal que nous avons appelé très longtemps "instinct" est une des formes adaptatives de l'individuation, d'un vivant dans un milieu de vie... dans le cas de l'être humain, l'adaptabilité est devenu selon un point de bascule que je ne développerais pas ici, l'adaptation du milieu de vie à notre individualité... ce renversement est "la spécificité humaine", et pose en passant les questions de sa prévalence sur les autres animaux, de la notion d'appropriation, et d'autodétermination collective...que je ne développe pas non plus... ce qu'il faut mettre en parallèle c'est la finalité de chacune des deux pistes ouvertes, la première tend vers une gestion du conditionnement, la deuxième tend vers une contemplation du réel... comme je l'ai dis elle se recoupe, mais pas de manière aléatoire et accidentelle, mais en ces point ou justement l'individuation est toujours en acte dans le réel, la procréation, l'autonomisation, la désignation du bien commun... pour l'intelligence philosophique, l'individuation est source de l'élan et de la recherche d'équilibre dans la dynamique vitale de sa personne... c'est la raison qui établis des rapports entre les diverses réalités... mais aussi l'intelligence contemplative qui perçoit la place de la personne dans le tout... pour l'intelligence scientifique, c'est la cause de l'ordonnancement de son savoir en partie co-extensibles...qui un jour peut-être fusionneront... mais aussi une recherche à rendre compte du réel avec un niveau d'objectivité proche de ce que le réel à de plus stable, ses lois physiques... sur ces points, la philosophie et la science trouve parfois une similarité de choix de réflexion, parfois non... mais vouloir gérer le monde par l'une en excluant l'autre conduit inévitablement dans la négation d'une part de notre intelligibilité du réel... à suivre...
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Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
non le taoïste à discerné que les contraires justement était deux positifs, et que l'esprit qui les maintient comme des opposés est dans l'illusion d'affirmer cette opposition pour s'imposer... alors non toute affirmation n'implique pas sa négation, ce discourt est dualiste et stérile, il est l'héritage de la dialectique hégélienne qui dicte aux esprits faibles cette méthode contre la nature de l'intelligence... mais pour ceux qui ne savent pas distinguer ce qui est contraire et ce qui est opposé (car il y a bien des opposé mais leur nature est autre chose que celle des contraires) , un certain flou artistique reste possible, c'est dans cette imprécision de la pensée que trône l'orgueilleux, tellement suffisant que justement il use de la dialectique pour se prendre lui même comme résultat de cette opposition accepté... pour ce qui est de la tentative de réduire le chemin du spirituel à une explicitation scientifique voulant réintégré des notions non dualistes, quand on lit ceci : "Mais La spiritualité si elle est réellement dynamique et connectée aux sciences, prêtes à infléchir ses representations, est elle meme apte à interroger le scientifique sur ses propres perceptions du monde en provoquant une reflexion a minima voir une transformation comme chez notre chevalier Bohr" si la spiritualité vient d'un physicien dès lors elle est validée comme une réintégration de la transcendance dans la représentativité du réel, mais si cela vient d'une personne qui ne pratique pas la science cela ne vaut rien... je laisse juge ceux et celles qui savent encore pensée par eux même de la version réductrice de cette proposition... "Encore faut il un double cerveau et non un quart de neurone" si la personne qui écrit cette phrase se trouve supérieurement intelligente, c'est que sa forme d'intelligence est animée par une des schizophrénies dont je n'ai pas parler ici, celle qui consiste à entretenir dans une seule personne une dualité subjugué par l'impact de la positivité mathématique, une sorte de distorsion de l'intelligence qui éprouve dans son vécu, + de vrai dans l'affirmation de sa logique interne cohérente, que dans son jugement d'existence "ceci est"... c'est le prima de l'intériorisation quantitative des valeurs indifférenciés, ou plus exactement de l'objectivation de sa subjectivité, ce qui produit une jonglerie avec les concepts scientifiques qui deviennent force de raison, faute d'être vérités à partagées... non le monde n'est pas mathématique, il "est" un point c'est tout, et quant on lit cette autre phrase : La science fonctionne parfaitement dans le but qu'elle s'est fixée : l'étude et l'interprétation des phénomènes (et non La matiere vs le spirituel...) cette phrase est issue d'une vision scientiste, non pas de la science au service de l'humanité... non la science ne fonctionne pas parfaitement, mais totalement, dans le but non pas qu'elle c'est fixée, mais dans la soumission au réel qui existe pour tous et n'appartient pas à la science... la science même en interne est en proie à des oppositions d'ordre fonctionnel, qui la contraint à ajuster son interprétation selon l'enchaînement de ses résultats, puisqu'elle établie successivement des points de références théoriques, mais ne peut pas avoir une vue d'ensemble sur le réel... c'est en fait sa limite de conceptualisation qui lui sert de mesure du réel, et ce que certains font, c'est de détourner les résultats scientifiques à leur propres compte pour asservir la pensée collective...nul besoin de citer des noms, nous les connaissons tous... c'est cette mauvaise utilisation des résultats scientifiques qui font que certains se permettent de réduire le réel à ce qu'ils en comprennent mathématiquement et essaient de rabaisser toutes les autres formes d'intelligibilités, c'est là que nous devons être ferme et ne pas entrer dans cette opposition de principe, car la science c'est autre chose que ce qu'en font les petits potentats présent ici et ailleurs... -
je reprend juste les paroles de ce forumeur pour souligner, mais est-ce encore nécessaire, son manque absolu de créativité et de génie, car tirer cette phrase de ce que je venais de dire pose quand même le problème de savoir si la seule motivation de nuisance est légitime... aparté terminé... maintenant il serait bon de parler du génie de la langue française parce que c'est ma langue et puis parce que c'est aussi plus qu'un véhicule de la pensée, une certaine aire de repos, qui nous donne au temps où une fatigue peut arrivée dans une "disputatio"de mauvais aloi... pour commencer je vous donne un texte de Michel Serre que j'apprécie en tant que philosophe et chercheur mais ici en t'en qu'amoureux de la langue française... « Je voudrais d'abord dire que je ne suis pas du tout linguiste. Je ne connais rien à la linguistique et c'est sans doute pourquoi Pierre Léna m'a demandé de parler des mots, de la langue, et d'essayer de répondre à ces multiples questions : quelle langue parlons nous ? quelle langue parlent les scientifiques ? quelle langue parlent les divers spécialistes ? quelle langue parlent les littéraires ? quelle langue parlent nos élèves ? quelle langue parlent les maîtres ? — bref, des questions qui concernent la manière de parler. D'abord je ne suis pas linguiste et il faut que j'avoue que le français, celui que j'utilise maintenant, est ma seconde langue, puisque lorsque j'étais jeune j'ai été nourri en gascon, c'est-à-dire dans un patois d'Occitanie, et que cette langue régionale — car je vais beaucoup parler de langues régionales — que cette langue régionale est morte (ou à peu près) malgré tous les essais de la faire renaître, et que la question qui est posée à la mort d'une langue régionale est très simple : pourquoi et comment est-elle morte ? — puisque j'ai assisté à cette mort-là. Alors d'abord ya des livres d'histoire qui racontent qu'elle est morte parce que les instituteurs ont obligé les enfants des paysans à parler le français et non pas les dialectes régionaux — ce qui est vantardise ordinaire à nous autres professeurs : nous croyons toujours décider du monde entier ; ce n'est pas évidemment vrai qu'elle est morte de là. Je crois qu'elle est morte en partie parce que la paysannerie a disparu en nombre et que, à mesure que la paysannerie disparaissait, disparaissaient en même temps les langues régionales, mais que la vraie raison n'est pas celle-là. Que la vraie raison, c'est que, une langue disparaît lorsqu'elle ne peut pas tout dire ; et que cette question se pose aujourd'hui pour nous, dans le français et dans les langues — ou les réponses à la question que j'ai à poser : en quelle langue parlons-nous ? Et en effet, nous nous sommes mis à parler la langue d'oïl, ou le français, simplement parce qu'on ne pouvait pas dire ni <nucléotide> ni <octaèdre> en langue d'oc. Dès lors qu'une langue ne peut pas tout dire, elle est virtuellement morte. Et par conséquent j'appellerais langue régionale, non pas une langue attachée à une région — comme la Provence, l'Alsace, la Bretagne etc —, mais une langue qui n'est attachée qu'à une région cognitive. C'est-à-dire celle qui ne parle que d'un endroit, une région du sens, et qui ne peut pas s'exprimer dans une autre région du sens. Une langue régionale, c'est celle-là, et toute la question se pose aujourd'hui de savoir si la langue que nous parlons — la langue française — est devenue une langue régionale. Est-ce que nous pouvons tout dire en français ? Et bien entendu cette question est très urgente puisque pour le moment le français sait dire <nucléotide> et <octaèdre>, mais pour combien de temps ? » c'est en effet la question de la diversité qui se trouve posé là et donc la question de l'humanité vivante aussi par la pensée...
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bien le bonsoir à vous Jedino... je me réserve le droit de réponse pour demain matin, vu qu'il y a de très bonnes choses dans votre post, j'aurais trop fort à faire à y répondre dans le peu de temps que j'ai ce soir... à plus donc et merci de votre texte...
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d'où sortez vous cette déduction logique ? ou plutôt paralogique ? le débat ne parle pas uniquement de l'usage de la science ou de l'écologie, mais de savoir si l'écologie utilise des résultats scientifique en les détournant à des fins de propagande politique ou sociétale? P.S restez dans le cadre du sujet, svp cette mode de tirailler en tous sens le sujet est un peu comme les bagarres dans la cour d'école...
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pour en revenir au courant de pensée philosophique, il y a quand même une distinction à faire dans ces courants, puisqu'il naissent soit d'un milieu historique fort, soit d'une école de pensée qui génère une unité de connaissance additionnelle, dirigée vers une vision du monde... la différence entre ces deux modes pour philosopher se trouve assez déterminant pour la suite de leur incorporation à la conscience collective... les courants issus des oppositions historiques seront tournés vers une répartition des idées dans la conscience collective, selon leurs forces critiques... les courants issues des écoles de pensées ou influence de pensée, seront tournés vers une répartition des idées dans la conscience collectives, selon une co-régulation... si nous savons ainsi que ce qui domine aujourd'hui dans la conscience collective c'est une forme dérivé de l'existentialisme, à savoir un individualisme assumé par beaucoup de personnes vivants dans des sociétés qui ont été formées culturellement, socialement et politiquement, par ce courant... à suivre...
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le génie de certains est de porter le savoir par des mots et une logique implacable, tant en philosophie qu'en science, mais reste que le génie s'empare de ce qui fait le sens même, au delà des mots, dans sa contribution gratuite au bien commun, et offre de même gratuitement un sens, nouveau ou juste réactualisé du réel... c'est cette inventivité qui se trouve géniale, non pas seulement pour être un témoignage de la présence qu'une humanité vivante, mais aussi pour symboliser une unité de cette humanité par la vie, et tant que la vie humaine existera, des génies ouvrirons de nouvelle voie de connaissance ou de contemplation...
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Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
mais c'est aussi en cette recherche spirituelle que s'inscrit certaines initiatives pour faire du quotidien une autre forme d'harmonisation de l'esprit avec la matière... ce qui est aussi une recherche à mettre sur le mot "vide" autre chose que ce que nous apprend la physique, de mettre dans le mot "néant" autre chose que la négation positive qui projette toujours son ombre dans certains courants de pensées, je penses au négationnistes, et qui fait que l'homme en sa vacuité découvre que le verbe aimer" résonne plus et plus loin que ne raisonne son intelligence, même scientifique, même philosophique...