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Litteul Kevin

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Tout ce qui a été posté par Litteul Kevin

  1. C'est absolument vrai d'un point de vue arithmétique : la multiplication des candidatures, notamment de petits candidats, multiplie le risque d'absence d'un quelconque candidat de gauche au second tour. Qui plus est, le mode de scrutin ne colle pas aux critères de Condorcet. La droite a un mérite : son unité. En intégrant une large portion du spectre de droite dans un seul parti avec un seul candidat, le risque d'échec est nettement moindre. Face à une gauche plurielle, ayant plusieurs offres, c'est un avantage réel.
  2. Démontrant le savoir-faire français à exporter sa connerie ! Comme quoi, il ne faut pas désespérer de notre compétitivité dans ce vaste monde.
  3. Les votes extrêmes ont toujours été des votes désespérés.
  4. J'ai déjà donné ! Aux autres de faire ça.
  5. Ce sont des personnes publiques. Ça fait partie de leur job de montrer l'image du couple parfait.
  6. Sincère et pur ? Question de position : intéresse-toi aux mariages de la grande et haute bourgeoisie. Pureté et sincérité sont très secondaires, au profit d'alliance et d'une promotion sociale. Je ne doute pas que les mariés s'aiment mutuellement. Mais je crois surtout que beaucoup aiment surtout eux-même et veulent satisfaire cet amour-propre. C'est propre à notre époque.
  7. Bof, vu ce que devient le mariage, une espèce d'activité qui se pratique plus pour le fun et les paillettes et qui n'est plus unique dans une vie... Si je veux des paillettes, de la gloire et du fun, tu l'as dit, y a les anniversaires pour ça. Le mariage est à l'image de son époque.
  8. J'dis pas que tous les mariages sont comme ça. Mais j'en ai assisté à quelques uns, et le moins que je puisse dire, c'est qu'ils furent pour la plupart (donc avec quelques exceptions) à la hauteur de l'ego (et du porte-feuille) des mariés que de leur amour mutuel. L'apparat est tellement poussé à l'extrême dans certaines situations que c'est à se demander si c'est pour réellement marquer ce jour en l'honneur l'amour de sa moitié ou en l'honneur de l'amour de sa propre personne. Célébrer l'amour ne nécessite pas de cérémonies aussi grandiloquentes que monstrueuses en dépenses. Il me semble possible de célébrer une relation dans un cadre plus intimiste, sans crier à la face du monde ce moment de gloire.
  9. Dixit le mec qui parle de victoire populaire d'un autre mec qui a gagné avec moins de voix que sa concurrente et dans un contexte de forte abstention. J'ai pas dit "Faut plus rien financer", mais qu'il est inutile de financer davantage une machine déjà bien abreuvée. C'est pas pareil que "Laisse rouiller". Mais c'est moi qui déforme pas vrai ? La guerre en Irak, en Afghanistan et la lutte contre le terrorisme ont coûté la bagatelle de 1 600 milliards de dollars au contribuable américain en 13 ans depuis 2001 jusqu'à 2014 (sachant que la guerre en Irak se terminant en 2011 officiellement). C'est la conclusion du Congrès des Etats-Unis. J'appelle pas ça une modeste économie. Rapportée à l'année, cela pèse en moyenne 123 milliards de dollars, sachant que le budget annuel de l'armée US fut de 635 milliards de dollars pour l'année 2009 par exemple. http://fas.org/sgp/crs/natsec/RL33110.pdf Conclusion, faire l'économie de quelques interventions stupides, outre d'éviter de créer des infirmes, des champs de mort et une instabilité politique monstre dans une région déjà bien merdique, aurait permis d'économiser une énorme quantité de pognon déversée pour... Rien. Ça fait cher pour du rien ! Il s'agit d'une tribune (et non un article) d'un soutien de Trump de la première heure nommé Ted Mulloch. Le même Ted Mulloch qui expliquait dans Breibart en mai de cette année pourquoi construire un mur à la frontière mexicaine était faisable et qui expliquait comment faire payer cette construction au Mexique. Autant demander à Florian Phillipot de dire ce qu'il pense de Marine Le Pen dans une tribune ! J'ai connu mieux comme analyse indépendante. Quant à Santi, il ne prend que la baisse d'impôt et l'investissement dans l'infrastructure pour parler de politique keynésienne. Or, une politique keynésienne implique aussi une redistribution des richesses par l'aide sociale et la réglementation du travail, point sur lequel Trump s'avère assez clair car il veut faire sauter l'ObamaCare, imposer un moratoire sur toute législation du travail ou des entreprises, ou encore abolir la loi Dodd-Franck qui oblige les banques à disposer de fonds propres importants. Seule promesse en ce sens, une hausse du salaire minimum à 10 $/h, tout en disant "qu'il est déjà trop élevé" (une façon de préparer le terrain à l'absence de hausse promise ?). On n'est plus à une incohérence près cela dit de sa part. Dans le même temps, une politique keynésienne implique aussi une baisse du taux directeur de la banque centrale. Or, là aussi, Trump s'est prononcé récemment en faveur d'une hausse du taux directeur de la Fed sur conseil de son staff (en dépit du fait qu'il disait lui-même être un homme préférant les taux bas). Dans les faits donc, sa politique concernant la Fed reste un total mystère, même s'il est pas exclu qu'il poursuive la politique des taux bas de la banque fédérale, politique initiée depuis 2009, donc sous Barack Obama, si l'inflation reste faible. Si l'inflation repart comme cela semble l'indiquer, la Fed relèvera les taux. Et là, bye bye Keynes. On le saura durant sa première année d'exercice, surtout quand la majorité républicaine promet de réduire le champ d'action de la Fed. http://www.nytimes.com/2016/11/13/business/economy/trump-the-fed-yellen-gets-ready-for-reckoning.html?_r=0
  10. N'est-ce pas précisément ce que vous faites à longueur de temps en coupant les morceaux qui vous arrange de réfuter tout en laissant de coter ceux que vous ne pouvez pas réfuter ? La moitié de mon propos est passé à la trappe plus d'une fois avec vous. Je ne fais qu'appliquer votre propre technique. Quand on n'a plus rien à dire, on fait dans l'ad personam pas vrai ? Les USA sont largement loin devant en matière de technologie, et ce sans besoin réel d'augmenter un budget déjà élevé en matière de R&D en armement. Donc cet argument ne tient pas. Et à vrai dire, j'm'en fous volontiers du Congrès, puisqu'on parle des promesses de Trump et de leur cohérence? Inutile d'allumer un contre-feu pour tenter en vain de ne pas s'expliquer sur le sujet. Encore une fois, rien ne justifie une telle hausse du budget tout en prétendant réduire l'intervention US à l'extérieur. Pas même l'argument technologique. Ce lien (menant vers un site de "ré-info", rien que ça) n'a aucune valeur, car je me fie à la comparaison faite entre le programme officiel de Trump et les applications passées de Roosevelt. Vous pouvez balancer tous les liens de tous les sites élogieux vis-à-vis de Trump, cela ne change rien. Trump n'est pas du tout une version 2016 de Roosevelt, et j'ai déjà démontré pourquoi. De plus, la finance ne semble pas trop flipper de sa présence, ce qui est plutôt le signe d'une certaine quiétude : le Dow Jones ne plonge pas, idem pour les autres places boursières qui, en dehors du soir de l'élection, ont vite repris des couleurs et continué le business comme si rien n'était. Répéter un mensonge ne le rend pas vrai pour autant.
  11. Faux. Vous parliez de peuple avant : C'est pas bien de mentir. Où ai-je parlé une seule fois des classes pop' française et leur vote FN au juste ? Vous spéculez maintenant ? Force est de constaté que Trump, comme la plupart des présidents US, a été élu par une minorité d'électeurs inscrits. Qu'ils viennent des classes populaires ou pas, ça n'en fait pas un candidat populaire. Juste un énième président désigné par une minorité dans un pays traditionnellement marqué par un fort taux d'abstention. Et vous éludez le propos. On ne gonfle pas un budget des armées déjà énorme pour enfiler des perles dans des casernes à la maison. Si les USA veulent être moins présents sur la scène internationale, il suffit de moins intervenir et de faire des économies sur l'absence d'opex, voire en réduisant les effectifs pour transférer les fonds économisés vers l'investissement dans le matériel. On ne propose pas de gonfler le budget de l'armée la plus puissante du monde tout en proposant de moins intervenir. C'est un non-sens total. Chaque fois qu'une grande puissance gonfle le budget armée, c'était pour préparer un conflit, en qualité d'attaquant ou de défenseur conscient d'une menace imminente. C'est n'importe quoi. Roosevelt avait mis en place : - un investissement massif dans les infrastructures ; - un contrôle extrêmement strict des banques avec obligation de solvabilité pour réouvrir ; - une loi de garantie des dépôts ; - un organisme de contrôle des marchés financiers (Trump affirme sur son site que la régulation est un poids à la croissance américaine sur diverses questions comme l'énergie, etc.) ; - l'interdiction de la possession de pièces, lingots et titres de détention d'or ; - la séparation de banques de dépôt et d'investissement (soi-disant proposé par Trump, mais vu nul part dans son programme sur son site de campagne, curieux non ?) ; - la subvention des agriculteurs ; - l'autorisation de se syndiquer et de signer des conventions collectives ; - création d'une sécurité sociale fédérale avec une assurance vieillesse à 65 ans, une assurance chômage et des aides aux handicapés ; - une baisse de la durée légale de travail ; - la conservation d'un taux d'imposition élevé hérité de l'administration Hoover (Trump propose de baisser l'impôt au contraire) ; - une politique interventionniste à l'étranger longtemps empêchée par un Congrès isolationniste ; Le seul point commun, c'est le financement des infrastructures. Le reste, c'est absolument tout le contraire. C'est aberrant de mensonge et de détournement de la réalité historique pour simplement lustrer l'image d'un ploutocrate qui, comme il défend une ligne sévère en matière d'immigration et se montre très conservateurs sur les questions sociétales, suffit aux autres chauvins de d'autres pays d'y voir l'homme défenseur du peuple qu'ils ont envie de voir. Balancer de pareilles affirmations relève soit de l'ignorance la plus crasse, soit du mensonge le plus culotté qu'il m'a été donné de lire à ce sujet.
  12. Il parle de faire sauter une déduction fiscale (parmi d'autres), pas créer une taxe spéciale. Vous avez appris l'anglais où ? Sans compter que cette déduction sautée combiné à la baisse d'impôt n'impliquera aucune taxation supérieure des entreprises, Wall Street inclus. Faut être sérieux 5 minutes. Vous parliez de victoire populaire avant. Je corrigeais ce point-là. Si c'est si grotesque, pourquoi alors balancer des images et poncifs affirmant que c'est un candidat populaire, surtout quand on est élu par 62 millions de personnes sur 133 millions électeurs inscrits sur un total de 318 millions d'habitants ? Se faire élire par moins de 20% des habitants d'un pays au poste de président, j'trouve ça léger pour un candidat du peuple, surtout quand c'est une catégorie bien précise de la classe pop' qui vous a choisi. Raison de plus pour pas parler de victoire populaire alors je crois, non ? Ils dépensent déjà 4% de leur PIB dedans, c'est énorme pour un pays industriel qui a 1,4 millions de soldats. Si les USA intervenaient moins à l'étranger, augmenter le budget serait inutile car des économies seraient faites (les opex, ça coûte cher !) et donc ils pourraient améliorer leur matos non ? Ou réduire en partie les effectifs et transférer les économies vers le matériel ? De plus, comment financer ces dépenses quand il y a une grosse baisse d'impôt en même temps, à part passer par l'endettement ? Et tant mieux qu'il fut raisonnable sur l'Irak à l'époque. On aurait aimé qu'il soit autant raisonnable aujourd'hui sur la plupart des sujets.
  13. Faux ! Il veut plafonner à 33% l'impôt fédéral sur le revenu pour les plus hauts revenus (à partir de 225 000 dollars) et passer l'impôt de 7 à 3 tranches. La tranche la plus élevée est actuellement à 39,6%. Dixit son site de campagne ! https://www.donaldjtrump.com/policies/tax-plan/ Son plan propose de passer de 35 à 15% la taxe sur les entreprises. Wall Street inclus donc. Dixit là aussi son site de campagne. Vous pourrez toujours le croire... C'est son programme qui est incohérent. J'y peux rien s'il propose tout et son contraire. Sauf qu'elles sont pas seules à être populaires, c'était le sujet du propos de départ. Donc il n'est pas complètement le candidat du peuple, juste d'une fraction du peuple. Mais une Amérique partielle, assez réduite. Donc pas populaire. Encore une fois. Vu le plaisir que vous avez de vous réjouir de la déception du camp adverse... J'm'en tiens aux propos de Trump. Il a dit moins d'interventions mais tout en voulant renforcer le budget des armées. Que X ou Y trouve ça pragmatique ou plus efficace, ça ce sera à voir dans le futur. Mais encore une fois pourquoi financer encore plus les armées pour en principe moins intervenir dans le monde ?
  14. 1997. [quote]Fillon a exécuté la feule de route de Sarko.[/quote] L'argument du "J'ai fait qu'obéir aux ordres" ne marche pas. On devient pas Premier Ministre d'un Président issu de la même majorité si on a de profonds désaccords. Sinon, on est un sacré hypocrite. [quote]Vous pourrez répète ad nauseam "c'est n'importe quoi " c'est factuel . Je n'incriminerais pas plus le sénateur PS Melenchon . Nous sommes dans un régime présidentiel . Point .[/quote] Que ce soit factuel n'empêche pas que ce soit n'importe quoi. Merci de prouver donc que le régime est donc absurde ainsi que sa classe politique.
  15. Ils ont été Premiers Ministres non ? Donc ayant eu la confiance d'une Assemblée dominée par un parti majoritaire auquel ils appartiennent non ? Parti qui est supposé avoir un projet politique promis un moment donné ? Encore une fois, c'est pas sérieux. 15 ans de promesses inutiles ou d'actes infructueux, et vous trouvez encore des excuses. C'est n'importe quoi. Pourquoi j'aurais pas le droit à la parole si je vote pas ? Et si aucune offre politique ne convenait au final (problème que je soulève), j'dois quand même fermer ma gueule ? Curieuse conception de la démocratie : obéis et tu peux parler (pour rien mais bon...), si t'obéis pas ben ferme ta gueule. C'est un peu restrictif comme modèle non ? Obliger de désigner des incompétents ou inutiles personnages pour ensuite avoir le droit d'exprimer un désaccord avec, c'est assez obscène comme modèle.
  16. Donc, encore une fois, [b]pourquoi voter pour des gens que vous savez pertinemment pas fiable à appliquer ce qu'ils promettent, peu importe la raison ?[/b] C'est pas compliqué à comprendre, si ? Si c'est pour juste s'occuper des affaires courantes, l'administration centrale peut s'en occuper toute seule. Mais désigner ceux qui on soit rien foutus de leurs promesses qu'ils ont tenu, soit ceux qui les ont tenu sans résultat sérieux, c'est juste du temps (et de l'argent pour le coup) perdu pour rien.
  17. Donc la droite qui a gouverné ce pays 15 ans depuis 1990 n'a jamais appliqué les programmes qu'elle promet depuis ? Qu'on se comprenne bien : - soit la droite applique la suite d'un programme vieux de plus de deux décennies sans résultats probants, [b]auquel cas il faudrait sérieusement songer à trouver des idées neuves et du personnel neuf[/b] ; - soit la droite n'applique pas son programme vieux de plus de deux décennies, auquel cas, [b]pourquoi bordel de merde vouloir voter pour des gens qui n'ont pas fait ce qu'ils promettent depuis tout ce temps avec 15 ans de majorité ?[/b] C'est décidément ahurissant. Comment est-il possible sérieusement d'accorder ne serait-ce que l'ombre d'une queue de crédibilité à des personnalités qui sont soit inutiles, soit incompétentes ?
  18. J'ai dit [u]nouveau[/u]. Et bien sûr qu'ils se font démolir. Par qui au juste ?
  19. Donc à défaut de proposer un programme et un personnel politique nouveau, on choisit des anciens. [u][i]Parce que y a que eux qui se proposent.[/i][/u] Suivant cette logique, on tourne en rond. C'est p'têt aux militants de faire aussi un peu le ménage. Si on attend du vieux politique qu'il vous propose du sang neuf, autant dire que ça n'arrivera pas demain. En démocratie, on a les dirigeants qu'on mérite. Qu'on se rassure, j'en pense pas moins concernant la gauche actuelle.
  20. Pour quelqu'un d'un peu plus neuf, portant des idées vraiment novatrices (et y en a des idées) ? Il existe bien autre chose que des fossiles des années 90 recyclant les programmes conservateurs qui ont, me semble-t-il, permis en rien l'amélioration de notre pays ? Le plus drôle, c'est qu'ils affirment pour certains ne pas avoir agi comme ils l'avaient promis et promettent donc de faire ce qu'ils n'ont pas fait avant, comme si 15 ans de gouvernance depuis 1990, ils avaient jamais eu de réelle occasion de le faire. Ce qui est affligeant, c'est la crédulité et mémoire courte des électeurs. Persister à voter pour les mêmes, parfois avec une conviction très forte, en pensant qu'un résultat différent se produira, c'est juste de la folie.
  21. S'il vous plaît... Ça reste encore les mêmes propositions depuis 30 ans. Que bidule ou truc change de position, ça veut pas dire qu'il y a une réelle nouveauté.
  22. C'est pour ça qu'il faut se focaliser sur le taux d'emploi en même temps, qui permet de bien sous-peser s'il existe du sous-emploi. Mais là encore, le taux d'emploi allemand ou britannique sont plus élevé jusqu'à 10 points environ au nôtre avec un taux de pauvreté supérieur de 2 points environ comparé à nous (pour le seuil à 50% et 60% du revenu médian). Il me semble que c'est assez éloquent.
  23. Sauf que leur pauvreté est supérieure à la nôtre avec justement cette approche et elle n'arrête pas d'augmenter. Mais visiblement, ça ne semble pas être compris. La pauvreté dans ces pays n'est pas dû au chômage mais à la précarité de l'emploi (leur taux de chômage étant 2 fois inférieur au nôtre). Si on suit le même schéma, on aura des travailleurs salariés en pagaille, mais davantage pauvres qu'avec notre modèle actuel. Ô joie. Donc nous aurons pleins de travailleurs pauvres, mais hey ! On n'aura quasiment plus de chômage et on pourra se palucher dans les comparaisons internationales pour flatter notre chauvinisme parce qu'on gère un pays comme on gère une entreprise en compétition avec d'autres... Je préfère un taux de chômage à 10% avec une pauvreté faible qu'un taux de chômage à 5% avec une pauvreté forte. Il est affligeant de constater que le leitmotiv "compétitif" surpasse tout le reste...
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