Aller au contenu

Steiner

Membre
  • Compteur de contenus

    1 332
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Points

    3,162 [ Donate ]

Tout ce qui a été posté par Steiner

  1. Elle vous échappe car c'est avant tout une" logique" (sordide) d'ordre culturelle qui défie la norme de notre appreciation morale occidentale. Je déteste le principe d'ingérence... neanmoins, dans ce genre de cas, il faut que les mœurs civilisées continuent de maintenir la pression afin que de telles pratiques soient annihilées le plus rapidement possible.
  2. Cela ne serait pas objectivement Justice. Emmanuel Macron défend un paradigme qui n'a pas pris racine en 2017, que l'on soit d'accord avec sa politique ou non.
  3. Détendez-vous, calmez-vous, Jacky, sinon, vous allez encore partir, toute émue, en fuites urinaires. (sourire) Les guillemets n'étaient pas là juste pour faire jolies mais pour renforcer le second degré, voir le 23 ème degré de ma saillie litteraire..facilement compréhensible pour peu qu'on ait pas le cervelet en friche et qu'on maîtrise la "langue de Moliére" .(Pas au sens propre, hein... J'vous connais, coquine) Ben oui, comme d'habitude, "j'ose".(sourire)
  4. Aimer le "115 E" menauposé, parfumée à la Gitane Maïs que l'on retrouve traditionnellement dans des cafés de corons de bassin minier, vous appelez ça avoir du goût ? (sourire)
  5. Encore une attaque de ce genre, Plouj, et vous êtes privé de dessert...
  6. Alors JE vous réponds que JE n'ai pas envie de répondre à ce qui ressemble à une injonction. Nan, mais !
  7. A votre avis ? Voyons si vous êtes dans les clous de la raison.(sourire)
  8. C'est pour cela que l'affaire Griveaux n'est que le énième marche-pied d'une inexorabilité incontrôlée, incontrôlable et amorcée depuis déjà fort longtemps. Nous subissons les choses de la pire des manières : insidieusement et "en pente douce".
  9. "La classe", "l'élégance" est un leitmotiv, chez vous, assurément.
  10. Tout à fait. J'invite d'ailleurs à regarder ses interventions. Sa conférence "repli et communautarisme" est tout bonnement une pépite. Horvilleur est une femme brillante, intellectuellement exaltante. Sa manière de "dérouler" ses conferences est positivement deconcertante pour la simple et bonne raison qu'elle arrive également à manier l'humour efficace au sein de sujets qui ne l'appellent pas nécessairement... et j'avoue que cela reste une prouesse. Soupçonnable, avec à priori, d'être une "intellectuelle progressiste", sans concession avec la Réaction, le soupçon s'efface vite face à sa subtile critique du progressisme idéologique, ("Neo-diktat institutionnel", à mon sens) définit comme "doctrine de l'innovation" (Peur "d'hier" mais aussi peur viscerale du "present obsolète" (sic !)). Son analyse de la genèse biblique de l'identité, sa critique du patriarcat rabbinique restent bluffantes, ses arguments finement acérés restent toujours limpides, imparables, néanmoins. Son propos va à contre-courant du traditionnel et binaire étalage idéologique que l'on peut retrouver dans le champ mediatico-intellectuel sans réelles nuances d'aujourd'hui... On peut comprendre, ainsi, que sa verve puisse déconcerter les esprits les plus retranchés et dichotomiques.
  11. Mais relisez-vous... On dirait que vous êtes à l'orée de la fin de vie mentale, prête à déclencher un plan ORSEC ou à organiser l'équivalent d'un Telethon. (sourire) Qu'est ce que je disais... On dirait que vous sortez de chimiotherapie, là, maintenant. (rires)
  12. Blagues de salle de garde, marcel souillé, le spectacle de la Josiane "muliti-galochée" par toutes les Bouches présentes et avinées doivent être un spectacle des plus succulents, pourtant... (sourire)
  13. Au risque de vous gâcher le plaisir, vous ne devriez point vous investir autant en acharnées plaidoiries...le triste sieur en question doit vous mettre à des années lumieres de ses pensées, croyez-le bien.
  14. Ah oui, mais non, Paul ! Il va falloir qu'on vous désintoxique, làààà ! (sourire)
  15. Je m'en moque comme de "mes premières garnitures"... Néanmoins, ça me fait plaisir de le voir rattrapé par "la patrouille". (petite boule jaune qui s'marre) J'm' en ouvrirais une bouteille de Dom Perignon. Niark Niark !
  16. Au regard des joyeusetés expediées sur les réseaux sociaux, je ne suis pas certain qu'il récupère sa mise, le Bedos.
  17. Le tout est de savoir si "les professionnels de l'indignation sélective" auraient crié à l'embastillement à coups de baïonnette dans le fondement si zemmour s'était permis la même outrecuidance ? (sourire)
  18. Après avoir lui-même été membre "des brigade d'intervention de la bien-pensante télévisuelle" , voilà qu'il vient de se faire lui même tirer l'oreille par l'opinion publique et en flag', m'sieur-dames... Hilarant !
  19. Les "coups bas" sont strategiquement inopérants avec les représentantes de votre genre, vous devriez le savoir, chère amie. (sourire). Une fessée devrait être assez efficace, neanmoins... Mais sachez-le, la prise en compte de votre âge couplée à la stricte bienséance qui m'anime ne m'autoriseront jamais à aller au delà du taquin tirage d'oreille, rassurez-vous... Ainsi, ne vous lancez point dans de longues et chouineuses complaintes alors que j'ai finalement à peine effleuré la soie de ma rapière.(sourire bis) Trouvez bien en peine le "chevalier-fou" que je suis de vous avoir froissée, neanmoins... car je devine aisément que ces mots employés (et pourtant retenus) ont pu tracer quelques profonds sillons dans le coeur de votre délicate sensibilité. Mais vous l'avez bien cherché... À titiller "le chevalier", même fou, petite ribaude, on finit toujours par goûter, à minima, au plat de son épée. Ainsi, si le séant de votre orgueil éprouvé avait du mal à se remettre de la correction infligée : Essayez les bains de siège reitérés ! (rires) "Domestiquer mon imagination" ?? Impossible...Vous connaissez les femmes...surtout quand elles sont libres et acérées... Rien ne peut les maîtriser ! (rires) Arf ! L'enfant que je fus était une diablerie sur quilles... Néanmoins, j'avais assez d'intelligence et d'empathie naturelle pour ne pas me laisser aller aux pires larcins ou autres comportements crasseux qui m'auraient amenés à poser mes mains sur la jeune voisine d'à côté, la faire tourner entre potes du quartier ou encore m'en prendre à l'inoffensive retraitée pour faire main basse sur sa pension mensuelle. Le seul regard apeuré d'une (future) victime devrait être un garde-fou pour chaque passage à l'acte et pour chacun des êtres... que seuls les esprits les plus dégénérés, malheureusement, ne peuvent qu'ignorer... et c'est en cela que je ne peux que vomir sur l'autel du déterminisme que vous portez au pinacle. Vos discours relativistes, en conscience ou hors conscience, peuvent être les rampes de lancement de l'excuse, et ça, c'est un travers qui depuis trop longtemps nécrose nos sociétés, et que je ne peux me permettre de laisser passer. Vous avez fait le choix du determinisme, moi, des vraies victimes... So be it. Quant à "mon éducation", vous avez l'imagination peu fertile, chère amie, car elle fut des plus classiques... En effet, j'ai été élevé par les "Hussards Noirs de la République" ... Les vrais Hussards... Hommes comme femmes, respectables et respectés, moraux et morales et surtout très cultivés... et non par "la fange pédagogiste", à l'autorité destructurée, permissive, déconstructiviste "cancer" de l'Education Nationale depuis plusieurs décennies, mais qui, je n'en doute pas, doit trouver les plus hautes bienveillances sur votre échelle de valeurs.(sourire) Conan Doyle ? Je le lisais à l'orée de ma puérile décennie. Vous ne pouvez définitivement faire mieux ? Pour finir, je ne pense pas que vous soyez mauvaise ou intellectuellement malhonnête, néanmoins, vous ne devriez pas être aussi absolue dans vos analyses que je trouve bien trop candides.
  20. 1) À la bonne heure. Vous n'êtes pas pas Jules César. Ainsi, vous serez disposée à admettre que "comparaison ne vaut jamais raison"...et donc qu'un cas particulier historique et élitiste ne peut se permettre d'excuser la banalisation de ce meme acte (Assassinat) à grande échelle voire d'en faire une tradition acceptable pour ce qui concerne le commun. 2) Oui, je connais "Un fauteuil pour deux" avec Murphy et l'ex-blues brother. Néanmoins, faire appel à une comédie-sociale americaine d'essence démocrate (Mais tout de même ultra-liberale. En effet, Murphy, arnaqueur a la petite semaine sort du ghetto pour sombrer en finalité dans les alcôves mephitiques de l'arnaque spéculative boursière, (sic !)) des années 80 traitant des variables environnementales deterministes pour prendre le contre-pied de mon argumentation reste d'autant plus affligeant car cela demontre : a) que vous n'avez rien compris au film aussi légère que cette comédie puisse être. b) que votre esprit d'analyse est à la hauteur de vos références culturelles. Vous auriez ainsi passée pour moins inculte et intellectuellement moins "plate" en citant au moins des auteurs sociologiques pour donner un relief à l'idéologie permissive et libertaire que vous defendez. Pour le reste, oui, on peut me considérer comme "un chevalier blanc". Issu d'un milieu tres tres modeste, il n'en demeure pas moins que je ne me suis jamais réfugié derrière mes origines sociales ouvrières pour me livrer aux pires exactions (Vol, viol...) potentiellement excusables par les propagandistes de votre calibre, car j'ai toujours eu pour moi l'intelligence non egocentrique de connaître les vraies limites des consciences légales et morales (Que semble ignorer par bêtise stratosphérique ou par complaisance manipulatrice, la voyoucratie) qui sont et resteront les véritables piliers d'une société juste et équitable. Ainsi, si votre "paradigme déterministe" tend à porter sur l'excuse de la tournante de cave ou le braquage en bande organisée, c'est le problème de votre tres petite conscience... Néanmoins sachez qu'il y aura toujours quelques "chevaliers blancs" pour apporter la contradiction à l' insipide idéologie de l'excuse que vous tenterez de disperser.(sourire)
  21. Oui, tout à fait. Il y a un fatalisme malsain à dire ou écrire que le viol, le meurtre et consort perdurent "depuis que le monde est monde." On entend presque : "Ce n'est pas si grave, c'est la vie..." (sic!)
  22. Vous vous prenez pour Jules César ? Et non, je ne fais pas grand cas des valeurs d'autrefois. Je reste objectif, ni plus, ni moins. De surcroit vous opposez juste un cas particulier à une analyse globale. C'est inopérant. Rassurez vous, il y avait aussi des viols dans les temps anciens et aussi des vols, mais de là à en faire "un faisceau" pour excuser l'immoralité individualiste actuelle, je trouve cela un peu léger en terme de réplique.
×