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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Il dépose des lardons devant une mosquée
sirielle a répondu à un(e) sujet de Cressida dans Actualités - Divers
J'ai évoqué mon jugement personnel concernant le délit, et le jugement prononcé par le tribunal, pouvant être partiellement différents. Concernant les pratiquants visés à travers leur religion, je précise que c'est ce qui explique en partie le terme "malveillance" que j'ai employé à l'égard du responsable. Et au sujet de la propreté, nous sommes donc en désaccord. -
Il dépose des lardons devant une mosquée
sirielle a répondu à un(e) sujet de Cressida dans Actualités - Divers
Tu t'adresses à moi apparemment. Salir volontairement le bien d'autrui s'apparente à du vandalisme. Judiciairement, les animaux ont des droits dont on peut tenir compte dans cette affaire. -
Il dépose des lardons devant une mosquée
sirielle a répondu à un(e) sujet de Cressida dans Actualités - Divers
Il me paraît juste et incontestable que doivent être condamnés un tel comportement à l'égard d'un animal, même mort, ainsi que le vandalisme et la malveillance. Je juge la peine clémente, car tenant compte certainement des remords de l'accusé lors de sa comparution. -
Le physique est utile au psychisme, y compris au point de vue relationnel, même dans l'hypothèse selon laquelle celui-ci n'en dépend pas pour exister, hypothèse que je n'ai pas contestée ici.
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Je crois qu'il est utile de voir l'expressivité et l'apparence de l'esprit à travers la matière qu'il anime. Le jugement favorable ou défavorable ciblant l'apparence physique, lorsqu'il est modéré, peut contribuer au développement positif de celle-ci. Le véritable monde est aussi matériel. Et je pense que celui-ci, les psychismes le composant et leur système relationnel seraient davantage appaisés, épanouis et développés si la condition physique était généralement mieux considérée et valorisée malgré sa possible vulnérabilité. La nudité de l'être est dénuée d'ajout environnemental, et bien qu'elle puisse être psychique, elle peut être aussi physique. Mais la symbiose de l'être avec son environnement est essentielle aussi. Vouloir préférer dans l'absolu la nudité à cette symbiose est superflu.
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Les croyances d'ordre spirituel sont loin à l'heure actuelle de mener systématiquement à la psychiatrie. Il peut être quand même judicieux de réussir à les accorder à la rationalité et aux connaissances acquises.
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Il est courant de distinguer le corps de l'esprit, ou le physique du psychisme. J'en ai bien conscience, ainsi que de l'existence des pouvoirs liés à l'imaginaire et à la divination, utiles au réalisme et à la connaissance. Au-delà des croyances concernant seulement l'immatérialité, je souligne que le physique a justement naturellement pour objectif de servir le psychisme grâce aux facultés perceptives de ses sens ainsi qu'à ses aptitudes motrices, organiques et communicatives entre autres (donc relationnelles) et de contribuer à sa liberté, que les handicaps physiques peuvent en revanche restreindre. Je suggère par là que l'amour à l'égard du psychisme ne conduit pas forcément au mépris du physique, au contraire.
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Souhaiter quitter ses yeux et ses oreilles par espoir d'acquérir une vue et une ouïe illimitées me paraît contradictoire et déraisonnable. Les éclipses et le silence sont des limites aux qualités indéniables contribuant à la valeur de ces sens auxquels la modération est une alliée.
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Le temps est selon moi une mesure inactive.
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Les deux le peuvent. Je suis d'avis que ton scepticisme révèle probablement une souffrance importante.
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Il s'agissait d'une vérité objective dont la simplicité n'englobe pas toute la subjectivité de l'expérience corporelle. Elle n'est d'ailleurs qu'une infime part de ce que peut être sa vérité.
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Etrange, pour moi, les corps sont une matière extrêmement précieuse et riche, dont la sensibilité n'est vraiment lasse que lorsqu'elle est torturée à en perdre la raison et dont la conscience incite et conduit à l'honnêteté, à la sincérité, à l'amour et à la liberté.
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Pour compléter ma réponse j'ai l'impression que tu as jugé qu'en opposant les questions classiques représentatives socialement aux siennes l'auteure les dénigrait. Mais je crois plutôt qu'elle soulignait vouloir aller directement à d'autres informations personnelles d'ordre psychologique, ce qui l'intéressait elle, sans que cela signifie que celles-ci soient davantage dignes d'intérêt objectivement, de valeur supérieure ni qu'elles reflètent davantage qui l'on est, simplement qu'elle revendiquait cette originalité dans le cadre d'une ébauche communicative. Puisque la société nous réunit, il est courant de s'identifier à travers elle, sans que ce soit forcément discriminant, la psychologie étant un domaine plus personnel et privé, elle ne vient généralement qu'après. Mais il possible de concevoir que les questions sociales sont inutiles ou superflues dans certains contextes relationnels, pas dans tous en revanche.
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Je pense par exemple que les intérêts personnels que suscite ou motive une relation peuvent contribuer à sa justesse, ils lui sont même nécessaires. L'auteure s'intéresse dans ce texte à des aptitudes relevant de l'ambition, de l'amour-propre, de la résilience, du courage, de la révolte et de la fiabilité.
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Je répondais au départ seulement à ce que tu écrivais, pas au texte cité. Je crois que pour pouvoir aller au-delà de la superficialité d'une relation il faut d'abord savoir s'en contenter sans trop la dénigrer. Au sujet de ta perception, c'est peut-être que nous avons abordé le texte très différemment.
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Son questionnement ne s'intéresse qu'à une part de ce que nous sommes, elle le souligne bien. Et ce sont des questions pour la plupart auxquelles on peut répondre simplement par oui ou par non. Cela ressemble à un prêche d'église américaine cherchant à évoquer une souffrance banale mêlée d'espoir et de courage pour que ses lecteurs aient la sensation d'y avoir personnellement leurs places. Ou encore à une pub de coaching. Mais ses idées sont parfois niaises malgré leur poésie.
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Je trouve au contraire que son questionnement ne reflète pas ou peu la réalité des gens tels qu'ils sont généralement. Mais qu'elle veut surtout les connaître à travers des faiblesses et une médiocrité qu'elle imagine ou insinue sous une forme légèrement défiante.
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Je crois que la justesse relationnelle peut à la fois se trouver dans les apparences, la séduction, ce qu'elles représentent et dans ce que l'on en comprend en tenant compte des artifices utilisés et aussi de la discrétion. Ce que l'on décide d'exprimer, y compris à travers l'environnement, ou d'éclipser pour autrui dépend surtout de notre propre jugement et est à mon avis une part relationnelle essentielle reflétant d'autant plus ce que l'on est réellement. Inutile et ingrat pour une "relation juste" de violer sa propre intimité et sa vie privée ou celles d'autrui par avidité de vérité et curiosité intellectuelle, voire par paranoïa. En tout cas la sincérité relationnelle n'en dépend pas.
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Pourquoi croit-on toujours au Prince Charmant ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Kira dans Amour et Séduction
J'ai lu et vu de nombreuses histoires de "Prince Charmant" dans mon enfance et ce que j'en ai retenu surtout c'est qu'il était possible de rencontrer et d'avoir une histoire avec un homme sympa et séduisant si on était soi-même aussi apte à lui plaire et qu'il pouvait être un allié important. Quant à la partie concernant la construction familiale, elle était à peine évoquée à la fin et n'était pas l'essentiel de l'histoire. Mais je n'ai jamais eu l'impression qu'il s'agissait de "l'homme idéal" ni qu'il permettait de se séparer de son père plus facilement. D'ailleurs je ne crois pas avoir déjà rencontré de femmes attendant réellement "l'homme idéal" pour pouvoir quitter leur père et accéder au bonheur "pour toujours". Mais j'imagine que la plupart des femmes s'accordent à penser qu'il y a une juste mesure entre attendre l'homme idéal et coucher avec "le premier venu". -
Chacun pour sa gueule... Pas surprenant finalement...
sirielle a répondu à un(e) sujet de pep-psy dans Amour et Séduction
L'amitié dépend souvent de l'intérêt qu'elle peut avoir, dont parfois la gratitude, y compris pour soi-même. Et la fidélité en amitié comme ailleurs, hors domaines commercial et animalier, est une notion devenue ringarde et obsolète pour beaucoup. Le sacrifice qu'on peut faire en son honneur, si elle ne nous en rend pas bénéficiaire, la dessert plus qu'il ne la sert. Il vaut mieux donc être bon stratège pour pouvoir sûrement miser sur elle. -
Je n'ai pas omis de préciser que la société (naturellement parlant) a elle aussi des devoirs à l'égard des individus la composant, et j'ajoute logiquement, d'autant plus si elle doit s'amender des nuisances dont elle est responsable. Mais la société n'est certainement pas la seule responsable des suicides. Et quand bien même ce serait le cas, on peut la changer, mais on ne peut pas s'en passer vraiment. Elle est avant tout une chance, pas dans le sens de ce qu'elle est mais de ce qu'elle représente, un ensemble d'individus unis pour une justice commune, quels que soient les défauts ayant pu se développer en son sein et dont j'ai bien conscience. Aucune faute n'en justifie vraiment une autre et tu te trompes lourdement si tu imagines à travers mes écrits que la société française par exemple est à mes yeux parfaite ou même uniquement bénéfique car je la juge malgré sa nécessité très nocive, cependant je crois qu'elle suit des objectifs très constructifs et utiles. ("L'enfer est pavé de bonnes intentions".) Quoi qu'il en soit et quoi qu'on veuille, œuvrer justement pour soi-même est bénéfique à la société et l'inverse est vrai aussi. Et tu peux à peu près autant te passer d'elle, dans l'état dans lequel elle est, que tu peux te passer de l'air pollué que tu respires et qui te rend malade. Si cet air te fait mourir, un de ses rôles n'en reste pas moins de te faire vivre et tu peux lui en être reconnaissant. Chaque individu est relié aux autres qu'il le veuille ou non, et ensemble ils forment une autre unité, et cette unité possède elle aussi un instinct de survie même si certains de ses individus l'ont plus ou moins perdu. Cette unité a l'instinct de protéger chacun de ses membres si la situation le nécessite et ceux-ci peuvent lui en être reconnaissants. Plus ceux la composant ont l'instinct de survie, et plus celui de l'unité qu'ils forment est développé. Et ce, même si cette unité est malade, et qu'en conséquence elle infecte un peu chacun de ceux la composant, peux les mettre en danger et parfois les tuer. Pour répondre brièvement à ta vaste et vague question concernant l'enfance malheureuse nombreux sont les êtres vivants pouvant apporter gratuitement ou pas réconfort et tendresse si l'occasion leur en est donnée, (la société n'a pas qu'un seul visage, elle en a beaucoup), et chacun d'eux peuvent aussi trouver cela partiellement au moins en eux-mêmes. Au sujet d'une planète inhospitalière et délétère, pour faire simple il y a deux solutions possibles, tenter d'améliorer la situation sur place et trouver si possible un autre lieu de vie.
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Pour préciser ma pensée suite à ta modification, s'appartenir ne dispense pas de la justice que l'on doit aux autres et à soi-même. S'il y a ce sujet un sacrifice à faire, c'est celui de ce pouvant nuire à celle-ci. Posséder ne signifie pas priver de liberté, mais simplement avoir (seulement un peu parfois) à soi, ce qui n'est pas une atteinte à la liberté s'il n'y a pas d'abus.
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Hors Sujet
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Je me souviens de ce que je t'ai reproché, je l'assume et considère que c'était justifié. J'assume aussi ce que j'ai écrit ici, que je pense correctement exprimé.
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A quel sujet en ai-je abusé? Si tu ne comprends pas ce que j'ai exprimé, sois plus précise. Car il ne s'agissait pas dans ma critique à ton égard, d'interdire l'emploi du nous et du on mais de pouvoir définir clairement ce qu'ils désignent quand on les emploie. Donc me mimer dans cet autre contexte semble injustifié.