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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. J'ai opté pour une sexualité simple. Une sexualité hétérosexuelle entre amants se plaisant. Si j'ai fréquenté par choix plusieurs hommes, c'est juste dans l'ensemble parce que plusieurs hommes ont pu me plaire réciproquement.
  2. Faire en sorte d'être assez accompli sexuellement ne se cantonne pas à mon avis à être "vide dans sa tête", c'est juste l'un des différents domaines de réussite personnelle, dépendant entre autres de l'intelligence relationnelle.
  3. C'est pourquoi j'ai précisé en résumé "généralement facile si l'on est bien dans son corps et dans sa tête". (Ce qui renvoie au terme "intéressant" associable dans ce domaine au sex-appeal de la "personne".) Dans le cas contraire c'est différent.
  4. Il n'est pas impossible de rester "longtemps seul(e)", mais contre-nature. Cela dit "longtemps seul(e)" ne signifiait pas à mon sens sans "vie de couple" (domicile commun), mais sans liaison, sans sexualité concrète pendant longtemps.
  5. L'esprit est censé s'harmoniser avec le corps, donc une part de celui-ci s'inspire de sa sexualité, et ce dont elle dépend pour être épanouissante.
  6. C'est un devoir car on est naturellement fait pour se compléter sexuellement. C'est instinctif qu'on le veuille ou non. Un peu de la même façon qu'il est de notre devoir de dormir suffisamment et dans de bonnes conditions, on est contraint par nature d'y aspirer. "Chassez le naturel, il revient au galop." Philippe Néricault. Et en France on a normalement assez de liberté, si l'on est vraiment bien dans son corps et dans sa tête, pour trouver assez facilement quelqu'un qui nous convienne. Et on ne reste donc jamais très longtemps seul(e). Il n'est pas rare de ne pas rester longtemps seul(e), c'est relativement courant.
  7. Réussir sa vie sentimentale est un devoir nécessitant un certain talent. Il ne s'agit pas vraiment d'une option mais d'accomplissement de soi. C'est pourquoi être esseulé au-delà d'un certain temps représente un échec existentiel, possiblement (bien que pas forcément) causé par des erreurs comportementales entre autres. De ce fait, les personnes douées en séduction amoureuse, ne négligent pas la quantité au nom de la qualité (et inversement). Les deux comptent.
  8. Oh oui, montre moi ta girouette. Euh, finalement non...
  9. "Les gens attachent trop d'importance au physique." dis-tu. Pourtant tes réflexions sont elles-mêmes très axées sur l'aspect physique. Personnellement je crois le contraire, que les gens n'attachent pas assez d'importance au physique, qu'ils se laissent trop aller. Je me demande si ton insistance très répétitive (par le biais de plusieurs sujets), voire parfois tirée par les cheveux, à prétendre de différentes façons que les femmes en couple, draguées, ou désirées le sont souvent parce qu'elles sont "moches", "pas jolies", ne reflète pas une certaine jalousie de ta part...
  10. Savoir "bien baiser" n'est pas qu'une question de partenaire, mais aussi de condition physique et de mentalité. Les hommes généralement veulent des femmes qui leur plaisent parmi celles qui leur sont accessibles. Un peu comme les femmes, ils ne se limitent pas forcément aux top-models. Mais parmi celles qu'ils peuvent avoir, ils ont tendance à choisir celle (ou celles) qui leur plait le plus. Est-ce que toi il t'est déjà arrivé de vouloir coucher avec un homme parce qu'il était particulièrement laid, difforme, avec une mauvaise haleine, seulement trois dents et à peine quelques cheveux gras sur le crâne? En tout cas ce n'est pas du tout ce type d'homme qui est le plus désiré, et pour les femmes c'est pareil. Les hommes ne sont pas tellement différents des femmes. Tu me donnes l'impression d'être une femme complexée ayant peur du regard et du jugement des hommes sur toi. Lorsque l'on veut être bien avec le regard des autres, il faut avant tout faire en sorte d'être séduisant, ensuite chacun voit midi à sa porte...
  11. Lorsqu'une femme est vraiment belle, son succès se voit quelles que soient les jalousies de mauvaise foi. Aucun qu'en dira-t-on ne peut avoir grand poids dans ce cas. C'est plutôt lorsque l'impression est seulement mitigée, qu'une critique d'un proche sur son physique peut faire la différence. Quant à l'agressivité sexuelle, elle est bien plus souvent liée au désir, à la convoitise, qu'à la répulsion en réalité. Personnellement il m'est arrivé de renoncer à une relation avec un homme à cause de critiques de mes amies à son égard qui ont alors terni son image à mes yeux, mais c'est parce qu'il ne me plaisait qu'un peu, pas plus.
  12. Le "juste milieu" en ce domaine est subjectif. Je sais que mon "copain" tiens à moi, il me l'a maintes fois prouvé. Mais il a aussi un entourage relationnel vaste et des activités, un travail, importants pour lui. Seulement c'est vrai j'ai souvent eu la sensation que les hommes étaient trop prenants. Je n'ai jamais vraiment eu la sensation du contraire en revanche. Situation me menant, comme beaucoup d'autres femmes, à éconduire très souvent.
  13. C'est un peu ce que je fais, j'ai choisi un homme relativement indépendant. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles notre couple dure. Je n'aime pas les gens trop collants, ça ne correspond pas à mon caractère. J'ai alors tendance à couper les ponts, temporairement ou définitivement, très facilement avec mes fréquentations. A ne plus répondre au téléphone, à la porte, etc... J'agis ainsi très régulièrement.
  14. Pourtant des esprits extrêmement (et non pas uniquement) libidineux, il en existe beaucoup. Par contre effectivement, l'être trop n'est certainement pas intelligent, bien au contraire. Mais spiritualité et intelligence sont deux choses différentes.
  15. Hypothèse hasardeuse peut-être volontairement désobligeante. Que ce soit face à face ou côte à côte, les deux comptent pour un couple, du moins si ce couple mérite d'en être un. Je décide par moi même de mes opinions. Et je considère que même un humain abstinant est forcément par nature un être empreint d'une certaine sexualité, ne serait-ce qu'en suspens. Esprit de contradiction quand tu nous tiens... Je ne conçois les êtres humains ni comme exclusivement sexuels, ni comme aucunement sexuels. Nous avons différentes fonctions par nature dont celle-là, tout simplement. Dont ne pas abuser, mais à ne pas négliger non plus.
  16. Effectivement ça n'existe pas. Quant à ceux qui sont très axés sur la sexualité, à juger au cas par cas, en fonction de la théorie et de la pratique qui en découle...
  17. Tellement mieux dira-t-on que ces couples qui n'ont que le temps d'un soir l'un avec l'autre, pour les surdépendants affectifs? On leur tend la main, ils nous mangent le bras...
  18. Le terme "compagnon" a pour origine la misère. Sache qui pourra. Face à face ou côte à côte, encore faut-il en valoir la peine? Les relations amoureuses à elles-seules ne suffisent pas. Elles n'en sont pas pour autant totalement absentes lorsqu'elles sont mises au "second plan" par nécessité. Un humain dénué de sexualité est comparable à un humain sans vue ou sans odorat, un être incomplet en sa propre nature.
  19. sirielle

    La déception

    J'estimerais ma déception concernant ma vie sentimentale à environ 10% dans l'ensemble. Pas tellement vis-à-vis d'à priori de ma part en revanche, plutôt par rapport à ce que l'on est en droit d'attendre d'un(e) amant(e) sur les plans moraux et physiques consciemment ou non. Je n'ai pas vraiment de regret quant à la concrétisation de mes relations, mais elles comportent des aspects négatifs, de la part des hommes ainsi que de la mienne, qu'il aurait mieux vallu nous épargner selon moi pour que nos liaisons soient meilleures.
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