Aller au contenu

sirielle

Membre
  • Compteur de contenus

    9 673
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Je ne me permettrais pas de juger cette personne-là car je ne connais pas ses motivations ni leur contexte précisémment, mais effectivement bien des gens sont plus ou moins capables de se conduire immoralement (voire trop immoralement) pour la gloire (vis-à-vis d'eux-mêmes, de leur conjoint ou conquête, leur famille, ou plus vastement de la société...) ou même par simple curiosité pour l'"extraordinaire", certains ont même voulu devenir tueurs en série à ces seules fins. Un peu comme pour l'argent ou d'autres gains, selon les jugements de valeur respectifs, la fin justifie plus ou moins les moyens. Car la gloire, voire aussi le buzz, (ou encore l'expérimentation phénoménale) c'est se démarquer, et ainsi prouver (à soi ou aux autres), ou forger, une certaine puissance personnelle, au-dessus du commun. Effectivement le "risque zéro" n'est pas toujours atteignable mais l'intelligence consiste entre autres à doser assez correctement le rapport bénéfice-risque de ses projets, ce qui est évidemment un calcul plus ou moins facile ou complexe selon les cas.
  2. La féminité n'a pas à s'afficher, voire à s'imposer, partout et en tout temps, les femmes ou "l'idéal féminin" sont souvent sursexualisés et/ou surexposés pour des raisons commerciales (fréquemment peu scrupuleuses) entre autres (de la propre initiative des femmes aussi, pas uniquement par le biais de volonté masculine, ni en ciblant exclusivement les hommes), ce qui contribue à alimenter une misogynie latente à la fois masculine et féminine. Or cette misogynie peut elle aussi tendre logiquement à inhiber sexuellement les femmes au quotidien, parfois à juste titre, parfois trop. https://www.googlawi.com/fr/blog/mental/a-z/violence-and-abuse/The-Sexualization-of-Young-Girls-and-Mental-Health-Problems/#:~:text=La sexualisation continue des jeunes filles perpétue les,lalimentation%2C la dépression%2C lautomutilation et les pensées suicidaires. https://cdeacf.ca/actualite/2013/02/12/sexualisation-femmes-publicite-toujours-probleme-canada
  3. A la base le narcissisme est avant tout l'admiration, possiblement assez fondée, de soi-même, (et non pas l'inverse), ses dérives ne sont pas systématiques. Il est même dans une certaine mesure nécessaire à l'équilibre psychologique.
  4. La différence d'âge peut poser problème oui, comme elle peut ne pas en poser. C'est selon les attentes de chacun, voire aussi leurs différences de condition physique qui peuvent différer beaucoup ou pas au fil du temps. Certains même avec plus de dix ans d'écart sont bien accordés, quand d'autres sont peu assortis, à court ou plus long terme.
  5. A mon sens le terme "expression" contient aussi au-delà de la seule gestuelle.
  6. Le corps évolue en fonction de l'âme, de l'expression corporelle qu'elle inspire, et ses conséquences physiques. Mais l'environnement a aussi un impact sur l'âme et le corps, ce qu'ils deviennent. En conséquence, que le corps soit à l'image de l'âme n'implique pas pour autant qu'un individu est exclusivement responsable de ce qu'il est corporellement, même s'il en est partiellement responsable par ses propres agissements. Par exemple si l'on parallélise les concepts âme et corps, une âme blessée, affaiblie ou surentravée, dont les carences sont perceptibles, renvoie l'image de ces défauts sans que cela n'implique forcément une culpabilité (ou culpabilité exclusive) de sa part, possiblement mais pas forcément. Et idem pour un corps, un corps abimé ou mal entretenu renvoie cette image plus ou moins affligeante sans que cela n'implique forcément une culpabilité (ou culpabilité exclusive) de sa part, une immoralité (ou immoralité exclusive) passée ou présente causale de sa part. Car la responsabilité de son état peut aussi être exogène. Ce qui est valable aussi pour son épanouissement positif, son bon état (ne serait-ce que partiel) mental et corporel est en partie de sa propre responsabilité, et en partie de celle de son environnement, dû aux chances que ce dernier lui a offert.
  7. Quand j'ai évoqué en réponse à Passiflore la surdépendance affective, à propos de laquelle tu m'as reprise, il était question de liaison rapide après la rupture d'une relation forte, il n'était pas question de liaisons parallèles. Quant aux liaisons parallèles, elles n'empêchent pas forcément les sentiments forts un peu de la même façon qu'avoir deux parents n'implique pas forcément de les aimer moins que si l'on en avait qu'un.
  8. J'ai déjà cumulé plusieurs liaisons en même temps, certes, mais ce n'est pas vraiment le sujet ici. Le sujet traite du fait de commencer une autre liaison, ne serait-ce qu'éphémère ou pas, très peu de temps après une rupture. Et je répondais donc à la théorie selon laquelle lorsque les sentiments pour l'ex sont importants malgré la rupture définitive, on ne commence pas une autre liaison rapidement. Or je considère qu'il s'agit d'une théorie bancale.
  9. C'est un partage après rupture et une force que de n'être attiré alors par personne d'autre une fois séparés? Seulement à la rigueur si la séparation est vouée ou potentiellement vouée à être éphémère, dans le cas contraire ça a peu d'intérêt.
  10. A mes yeux la surdépendance affective n'est pas une preuve d'amour profond mais de faiblesse psychologique.
  11. Lorsque l'on respecte la liberté des femmes on respecte leur droit de rompre ou d'éconduire sans les traiter d'égoïstes, sans chercher à les culpabiliser pour mieux les soumettre inconditionnellement aux liens conjugaux ou équivalent. En sexualité, le libre-arbitre est essentiel.
  12. En tout cas ce n'est pas du tout mon cas de ne penser qu'à "mon plaisir" bien que je peux passer facilement d'une relation à l'autre, pour moi c'est une responsabilité à laquelle je n'ai pas le droit de me soustraire de choisir au mieux avec qui je dois être ou pas, quitte à changer de choix souvent selon les circonstances. Ce n'est pas que pour moi que je le fais, je suis obligée d'assumer mes responsabilités de femme, car je n'ai pas à demander aux autres de choisir à ma place si je dois accepter ou non telle ou telle liaison, d'ailleurs il serait impossible pour moi de me soumettre à toute demande masculine entre autres parce qu'elles sont parfois opposées entre elles, mais aussi parce que j'estime que m'engager ou entretenir une relation à contre-coeur n'est pas non plus dans l'intérêt de celui qui me sollicite.
  13. C'est selon de qui il s'agit, par exemple je ne lui réponds plus, ou je lui dis que je ne suis pas disponible.
  14. Si mon ex a réussi à me convaincre de nous réconcilier oui, je retourne avec lui, sinon non.
×