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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Je suis en accord avec ma sensibilité et j'en suis heureuse. Moins un corps est source de souffrance pour autrui et lui-même mieux il est adapté.
  2. Chacun ses choix. Pour ma part ce choix que j'ai fait depuis de nombreuses années, je le vis bien et je ne le regrette pas. D'ailleurs c'est aussi ainsi à mon avis que l'on peut se sentir beau au fond, quand on a du coeur.
  3. Non seulement j'aime beaucoup les animaux, et je déteste l'idée de leur causer du tort, mais aussi je crois que le développement du commerce favorise de pouvoir se nourrir plus sainement, s'habiller,... sans qu'aucun animal n'ait à en souffrir.
  4. Permets-moi d'en douter. J'ai apprécié d'échanger avec toi, sur ce sujet et sur d'autres également, mais je vois peu de ressemblances entre nos deux états d'esprit.
  5. Elle peut en discuter si elle le souhaite, ce qu'elle a fait d'ailleurs, et moi aussi, puisque le sport impacte l'aspect physique, directement lié au sujet, elle n'a pas besoin de mon intervention en ce sens. Et puis c'est un peu du domaine de la vie privée, à mes yeux c'est à elle de choisir si elle en parle ou pas.
  6. Pas de souci, je ne veux simplement pas trop m'attarder sur mon propre point de vue si ce n'est que trop peu lié au sujet, d'autant que ça m'est reproché malgré les questions qui me sont posées.
  7. Chacun voit midi à sa porte. Personnellement j'ai tendance à penser qu'il faut trouver une juste mesure de contrôle et d'émotivité.
  8. J'inventerais quoi? Que je fais du sport? Que je suis végane? Que j'aime mettre de jolis vêtements?... etc... La belle affaire, c'est un positionnement sur le sujet plutôt simple, relativement classique, et non provocateur... En revanche, tu me sollicites en me jugeant. Est-ce que moi je parle de toi, de ta personnalité, de tes opinions? Non, mais si je le faisais (ce qui peut éventuellement avoir sa place sur un tel forum) je comprendrais que tu puisses éventuellement commenter les jugements qui te visent.
  9. Quelle importance pour toi de connaître ces réponses à mon sujet? Cela n'a pas d'intérêt important pour le thème. Ceci dit je ne passe pas tout mon temps à travailler ou à être sur le qui-vive évidemment... Je vis aussi des moments de détente et de loisirs bien entendu.
  10. Quelle prétention? La prétention de m'efforcer d'avoir une bonne hygiène de vie pour être bien dans mon corps et aimer mon apparence physique? La prétention de m'intéresser à la mode et à l'esthétique? Juste comme tant de personnes qui y trouvent pour une part leur bonheur n'en déplaise aux rabat-joie. La beauté est une question de sensibilité. S'attacher aux détails d'une tenue, d'une coiffure, d'une démarche, d'une alimentation, etc... oui ça peut aussi être une question de sensibilité.
  11. Quoi qu'il en soit garder un contrôle sur la situation, y compris d'un point de vue esthétique peut servir la sensibilité, voire la ménager.
  12. La sensibilité incite aussi à se favoriser un bel avenir, et à tenter de s'épargner toute contrariété par la stratégie et les précautions. Etre sensible et se laisser aller sont deux choses différentes.
  13. La sensibilité est un guide naturel, elle conduit le vivant, en préférant les sensations agréables aux sens, et inversement en dissuadant des sensations désagréables, à agir en fonction.
  14. Je ne vis pas que pour le paraître. Et mes responsabilités me mènent souvent à agir pour d'autres, sans me prioriser à tout instant. A chaque jour suffit sa peine, je suis jeune et je n'ai pas à m'inquiéter de mon avenir outre mesure. Et puis je vois ma mère, elle va plutôt bien tout en étant sportive, en aimant elle aussi veiller sur son bien-être et son apparence, l'un n'empêche pas l'autre.
  15. Nous jugeons vraiment différemment. A mes yeux traîter une personne de "monstre" est un jugement extrêmement sévère. Pour ma part je le réserve aux tueurs d'enfants par exemple. Et je crois que dénigrer outrancièrement autrui, voire même gratuitement, est un tort dont il ne faut pas sous-estimer les conséquences. Pour moi chaque personne a une beauté propre qu'elle doit valoriser. Et à cette fin, il faut savoir dissocier ce qui sert la beauté, de ce qui la dessert, ou même de ce qui enlaidit. C'est l'un de mes centres d'intérêts principaux auxquels j'ai souvent pu me consacrer, et m'ayant beaucoup appris, chacun les siens cela dit.
  16. J'ai déjà répondu précédemment à cette question, mais je vais m'efforcer d'y répondre à nouveau concisément. Je ne sais pas de quoi sera fait mon avenir physiquement car je ne sais pas combien de temps je vivrai ni dans quelles conditions. Je crois cependant que faire de son corps un hommage aux sens est une loi de la nature toute la vie.
  17. Il me semble que vanter le culte du corps à ma façon, et à travers la santé, l'hygiène de vie et le regard sur soi, ne fait pas de moi un monstre. Au contraire le corps est la vie et le sublimer revient à sublimer la vie. Je n'oublie pas pour autant que la beauté se perçoit aussi par la sensibilité auditive et intellectuelle, et pas exclusivement visuelle.
  18. La question peut se rapporter au sujet. J'ai mon point de vue sur le sujet, pour moi la beauté, physique entre autres, est une valeur essentielle à cultiver, et utile au bonheur, et nous en avons discuté malgré nos désaccords. Toutefois il n'est pas obligé de s'expliquer sur cette "déception", mais c'est à lui d'en décider.
  19. Déçu de moi? Qu'espérais-tu de moi?
  20. Je suis en couple depuis quasiment 5 ans, et nous avons fait l'amour dès le premier jour de notre rencontre. On juge les gens et les comportements différemment, voilà tout. Je te trouve très critique, voire médisant, à mon égard, mais il me semble qu'en rien mon mode de vie ou mes paroles ne sont susceptibles de te causer quelconque tort.
  21. Effectivement je peux porter un jugement (y compris éventuellement positif) sur la manière de consommer des gens, qui peut avoir un impact sur l'environnement et sur la santé. Avoir un esprit critique par rapport à l'alimentation entre autres favorise d'agir de façon responsable soi-même aussi. Mais j'ai bien conscience qu'un être humain peut être jugé sur de nombreux autres critères (et y compris positivement). Et je ne passe pas pour autant toute ma vie à surveiller la consommation d'autrui, loin de là, j'ai bien d'autres priorités.
  22. J'ai une moralité m'ayant permis d'apprendre, entre autres, de mes erreurs, et de m'efforcer d'y remédier. Telle est la voie de la conscience morale, à laquelle je tiens. Je choisirais le premier (si du moins il est assez séduisant) parce que j'aime la simplicité. Je ne suis pas en couple pour me faire de nouveaux amis ni connaître les hobbys des gens du quartiers. Et on peut aimer la sexualité sans puer, heureusement. Idem pour l'ambition.
  23. "On est ce que l'on mange." n'est pas "On n'est que ce que l'on mange."
  24. Je ne vais pas en salle de sport (bien qu'il m'est arrivé d'y aller), je fais du sport à domicile d'habitude. J'ai commencé à prendre des cours de gym et de danse depuis toute petite, je connais bien les exercices qui me conviennent, et ça me fait gagner du temps. Quant à mes vêtements, j'en ai acheté certains, bien d'autres aussi m'ont été offerts. Tout le monde dans cette société doit s'habiller parfois, à chacun de voir s'il tient plus ou moins compte ou non du critère esthétique. Moi j'ai toujours été intéressée par la mode, j'y ai même travaillé quelque temps, j'ai fait de la publicité entre autres... "On est ce que l'on mange." L'alimentation influe, en bien ou en mal, sur l'apparence physique, et plus vastement sur la condition physique, c'est un fait. Bien sûr il m'arrive de ressentir des remords relatifs à mes propres torts anciens ou récents, et parfois du stress. Ce sont des sentiments à modérer et positiver. Savoir ce que l'on voudrait être, l'ambition, est important aussi pour bien préparer son avenir et saisir ses chances. Et l'ambition c'est aussi une part de ce que l'on est déjà. Mais se connaître pour s'aimer, c'est aussi par le regard porté sur soi et son corps, et accepter d'aimer se regarder sans se soucier du qu'en dira-t-on.
  25. Un plaisir n'est pas forcément payant. Il peut l'être ou ne pas l'être. Tout plaisir payant n'est pas forcément moral. Et, comme précisé auparavant, un plaisir peut aussi constituer un excès, dont les inconvénients surpassent donc les avantages. Le plaisir de se regarder dans le miroir n'est pas forcément payant. D'autant que la sobriété alimentaire favorisant une belle apparence peut aussi représenter une économie. Une activité physique régulière à cette fin aussi, possiblement de moindres dépenses médicales à la clé... Mais tu dois bien te douter, au regard de mon véganisme entre autres, que je considère la société de consommation comme partiellement viciée. Evidemment tout achat ne mène pas au bonheur, mais on a besoin d'une alimentation saine entre autres pour être heureux, et l'accès à une alimentation saine est favorisée par le commerce. Il faut donc y faire la part des choses. Je m'aime pour différentes raisons. J'aime mon aspect visuel et je me plais à cultiver ce sentiment et ce qui le provoque, c'est dans ma nature, mais j'aime aussi d'autres aspects de moi. Je n'en ferai pas la liste car ce n'est pas le sujet. M'aimerais-je encore si j'avais de nombreux défauts physiques? Pour te répondre honnêtement, ce n'est pas certain. Bien sûr tout être humain a des qualités aimables, mais le principe du "j'aime", "j'aime pas", revient aussi à peser le pour et le contre et à considérer honnêtement lequel l'emporte. De même je ne suis pas certaine que si j'avais une particulièrement importante faillibilité mentale je pourrais continuer à m'aimer. Ce n'est pas sûr. Un peu au moins évidemment, mais peut-être pas au point de dépasser le mépris que j'aurais possiblement de moi-même par conscience de moi. C'est pourquoi j'estime que s'aimer se cultive, se mérite, physiquement et mentalement, et je m'y attelle.
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