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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Peut-être que c'est trouvable en cherchant avec acharnement, je ne sais pas. Mais à mon avis, en tant que responsable d'un enfant, attirer ainsi l'attention sur une fillette de 11 ans en lui faisant porter un string en public représente un risque non négligeable, comme c'est évoqué dans l'article joint précédemment.
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Il me paraît probable qu'une véritable mère ne se poserait a priori pas vraiment cette question à partir du moment où il n'est, habituellement, jamais proposé sur le marché de maillot de bain "string" pour les filles de 11 ans. A moins de vouloir lui en confectionner un soi-même ou de lui faire porter un maillot d'adulte peut-être? Voilà ce qui peut être par exemple proposé à cet âge: ... De ce fait, je doute moi aussi de l'honnêteté du topic, et je soupçonne un fake de mauvais goût. Ceci dit je joins un article sur le sujet:
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A mes yeux il serait trop facile de ne voir que les avantages d'un aliment pour le qualifier sans bémol de bon pour la santé. Il faut tenir compte aussi de ses inconvénients. Et tendre à ne consommer, en quantité appropriée, des aliments qu'exclusivement bénéfiques à la santé, ou en tout cas optimiser son alimentation en fonction de ce que nécessite la santé. Et ceci, par extension, en tenant compte également de l'impact de sa consommation sur l'écosystème et la biodiversité entre autres... Je ne peux m'enlever l'idée de la tête que le bien-être, et donc aussi la bonne humeur, dépendent avant tout de la santé, et que la mettre en péril est le plus grand des sacrifices, qu'une lubie alimentaire ne suffit pas à justifier. J'ai un réel plaisir à consommer des aliments sains (des fruits frais par exemple), (bien que j'ai conscience que tout le monde n'a pas exactement la même idée de ce qu'est vraiment une alimentation saine au quotidien). Et je n'éprouve aucune frustration à agir en fonction de ce principe, au contraire c'est ainsi que je me sens en accord avec moi-même.
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Bonjour deja-utilise, Bien sûr, le déterminisme entre grandement en compte dans le comportement des individus, j'en suis consciente, mais moins que je ne l'imaginais adolescente, où le vécu respectif me semblait davantage ne varier vraiment qu'en fonction de quelques choix (professionnels, sentimentaux, etc...) importants, et moins d'une multitude en réalité. Par "hors norme" j'entendais surtout les aptitudes psychiques peu ou pas reconnues officiellement par la science, ou seulement en voie d'exploration par elle sans certitude. Pour illustrer l'idée d'une relation privilégiée impartiale, je pourrais évoquer par exemple le rôle de l'avocat pour son client, dont c'est le devoir de se positionner en tant que défenseur pour lui, sans forcément pour autant outrepasser le cadre de la Justice, et tout en conservant un certain respect dû au camp de l'accusation... J'ai tendance à préférer l'expression "Il vaut mieux être seul.e que trop mal accompagné.e", que "Il vaut mieux être seul.e que mal accompagné.e.", qui ne souffre alors à mon sens aucune tolérance. Effectivement on se focalise souvent avant tout pour une relation sur ce qui la légitime, c'est ce qui nous fait la faire vivre au fil des jours, l'entretenir. Et le libre-arbitre fait qu'on ne s'oppose pas à l'autre pour tout ce qui nous contrarie, ou nous dégoûte, de sa part, une part de ce qui nous contrarie n'est pas de notre liberté de choix, ni même d'influence, mais seulement de celle de l'autre, ou d'autres, ou encore d'aucune, c'est donc à tolérer ou bien la relation dans son entier est remise en question. Et c'est souvent lorsque les obstacles à cette relation sont ou deviennent vraiment importants à nos yeux qu'ils vont jusqu'à la remettre en question. Envisager la rupture, lorsque ce n'est voulu que d'un côté, peut alors, d'autant plus si ce choix implique d'importants bouleversements, faire entrer dans un esprit de lutte, de conflit, de débat, car que sa décision soit contestée attise de la repenser et de la défendre, de ressasser les points négatifs, voire qui nous répugnent... Mais parfois pas grand chose de la part de l'autre suffit finalement à renverser la vapeur. Seulement si ce "pas grand chose" n'avait pas existé la relation serait réellement devenue impossible, invivable, toxique, un peu comme pourrait l'illustrer l'effet papillon. Car parfois, pour durer, une relation demande des petites attentions, divers critères composés de détails, qui peuvent sembler anodins, dénués d'importance, de l'extérieur, mais dont la relation, les sentiments, peuvent dépendre réellement.
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C'est selon ce que l'on entend par "gourmandise". Souvent le terme représente avant tout, en première définition, l'excès alimentaire, pas forcément seulement en quantité, mais aussi par rapport au type d'alimentation, les "gourmandises", représentent généralement des mets trop gras, trop sucrés, etc... Il est rare de dire qu'on s'offre une gourmandise par exemple lorsqu'on prend une simple poire. Mais effectivement, le terme est aussi parfois employé autrement, ce que pour ma part je ne fais normalement pas, pour éviter un surplus d'ambiguïtés.
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Je mange par faim pour ma part oui. Je ne mange jamais pour m'occuper ou seulement parce que j'aime le met en question. Je n'ai pas de plaisir à manger si je n'ai pas faim, même si l'alimentation est normalement l'un des plaisirs de base dans la vie. Et je déteste la gourmandise, j'aime allier toujours alimentation et santé, sinon j'aurais l'impression d'être ma propre ennemie.
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Se forcer à se mettre en couple?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Crabe_fantome dans Amour et Séduction
Ce n'est pas que la raison ne compte pas, c'est qu'elle ne suffit vraiment pas pour être amoureux, il faut le ressentir au-delà des mots. J'ai du mal à m'imaginer comme ta chanteuse, je ne traite pas les femmes de "sorcière" pour des raisons d'aspect physique (je peux critiquer le physique mais pas de cette manière, je ne t'aurais jamais répondu comme elle l'a fait), et l'homme avec qui je suis n'est pas si mal physiquement, il est jeune, sportif, avec des traits réguliers, etc... (C'est pour d'autres raisons qu'il nous est arrivé d'être en désaccord.) Je te souhaite en tout cas de t'épanouir dans ta vie sentimentale, quelle qu'elle puisse être, et de faire de belles rencontres. -
Se forcer à se mettre en couple?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Crabe_fantome dans Amour et Séduction
(Quand je dis "couple" à mon idée les relations brèves ou peu durables peuvent aussi y être incluses.) Il y a à mon avis une part sentimentale de nous qui nous protège et qui fait que la raison ne suffit pas à nous convaincre tout à fait quand l'alchimie n'est pas assez là, et que c'est l'alchimie avant tout qui mène la danse. Pour ma part, ces dernières années j'ai rencontré de nombreux hommes, et pourtant je suis encore liée avant tout au même depuis presque 6 ans. J'ai tenté maintes fois, au fil des mésententes passagères, de me convaincre que cette relation était fragile, peu fiable, que je ferais mieux d'être avec quelqu'un d'autre, etc..., mais elle dure quand-même, parce que l'alchimie entre nous s'impose d'elle-même par rapport à avec d'autres et aussi par rapport à mes réticences... -
Se forcer à se mettre en couple?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Crabe_fantome dans Amour et Séduction
Je crois qu'on n'échappe pas à sa nature et que quelque part on aspire naturellement à être lié à quelqu'un qui nous correspond, même si on peut apprécier certains moments plus ou moins longs de solitude. Quant à "se forcer", parfois une relation de couple nécessite quelques efforts. Il m'arrive personnellement par exemple de temps en temps de prendre sur moi en laissant de côté quelques activités ou projets en plan pour passer du temps en couple, ou de tenter de remettre les pendules à l'heure quand ça ne va pas... Une relation de couple n'est pas toujours exempte d'inconvénients, mais parfois elle peut en valoir la peine. -
Quant à moi je n'aime pas tellement les voyages, pour des raisons écologiques et autres... J'ai beaucoup voyagé vers la vingtaine dans divers pays pour les vacances ou autres, mais j'ai gardé au fil du temps l'idée que l'important pour être heureux, peu importe le lieu où on était, était surtout d'être bien avec soi-même et ceux qui nous entourent. Du coup, même si j'apprécie le changement de cadre, la plage l'été etc... lorsque je pars à présent, et je suis vraiment heureuse de partir cet été, je le fais surtout pour retrouver ma famille éloignée. (Il existe une chanson célèbre de Francis Cabrel, évoquant plus ou moins ce thème, "les murs de poussière"). Quant à la gastronomie locale, pour ma part j'obéis à des règles diététiques strictes que je me suis fixées, et que je n'abandonne pas en voyage.
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Peut-on ne pas faire du mieux qu'on peut dans la vie?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
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J'adore la campagne, j'y ai grandi (bien qu'à présent j'habite en ville pour des raisons pratiques). Pour ma part je pars en vacances avant tout pour des raisons familiales, plus que pour des raisons de cadre de vie.
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Récemment, j'ai interrogé par exemple mon moteur de recherche à propos de l'évolution du nombre de chrétiens et de catholiques en France et dans le monde, entre autres questions relatives aux diverses religions et leurs nombres de pratiquants ou non-pratiquants selon les pays. Simplement par intérêt sociologique pour le sujet, sans parti pris dans un sens ou dans un autre. (Cependant, s'il est question de racisme, il a en effet été particulièrement mis en évidence médiatiquement ces derniers temps d'à quel point certaines mentalités pouvaient être grossières et affligeantes sur ce point. A se demander s'il ne s'agissait pas aussi d'une sorte d'auto-sabordage...)
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Je pars trois semaines en août, mais vers chez moi il fait plutôt beau l'été en général quoi qu'il en soit (sud-ouest), je pars pour diverses autres raisons. Pour le climat, au-delà des considérations environnementales et autres, l'été est la période que je préfère en tout cas personnellement, je supporte bien la chaleur. Ceci dit j'évite quand-même de m'exposer outrancièrement au soleil. Je limite le temps que je passe quotidiennement sur la plage lorsque je suis en vacances par exemple... Quant à la pluie, d'habitude elle ne me contrarie pas dans mon quotidien, mais sur de longues périodes il est vrai que ça peut devenir lassant (au-delà, encore une fois, des considérations environnementales).
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Je n'ai pas lu ce livre. Mais d'après ce qu'il en est dit dans l'article, l'idée de sa concrétisation en est venue par une éditrice sur la base d'une plaisanterie de l'autrice après la publication d'un autre livre "Ressource humaine". C'est peut-être la raison pour laquelle le titre peut paraître "décalé", humoristique. Et apparemment, il s'agit aussi effectivement d'une question d'adaptation sociale après un coming out. Où aller, quels lieux fréquenter pour faciliter les rencontres, quels documents consulter éventuellement sur le sujet, comment s'assumer sans complexe dans une société où l'homosexualité est souvent jugée anormale, etc..., sur un ton quelque peu humoristique ou léger. Elle y partage sa propre expérience.
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Car quand on vit dans une société où l’hétérosexualité est la norme, difficile d’emprunter d’autres voies.[...] Pour l’autrice, son livre est aussi né du constat que le mot sexualité était symétrique d’hétérosexualité : « Quand je suis devenue lesbienne, ça nécessitait certains changements, que ce n’était pas si simple ».[...] Sous forme de mini-guide pratique, Louise Morel aborde les lieux de rencontre entre femmes, l’histoire des luttes lesbiennes, les premières fois, le coming-out, la lesbophobie intériorisée, se créer une famille choisie… « On a repris le code du développement personnel en les détournant : la multiplicité des étapes permet de montrer que le chemin est long, et qu’il n’est jamais fini ! Cela permet d’ouvrir de nouveaux horizons de questionnements, plus joyeux et libres » nous explique l’autrice. D’autant que l’autrice explique dans son livre qu’elle a passé 30 ans à être hétérosexuelle, et qu’elle ne s’est pas de suite sentie légitime à se dire lesbienne.[...] Dans son livre, elle s’adresse à celles qui n’ont pas toujours su, qui se sont découvertes sur le tard, celles qui sont encore attirées (parfois, ou souvent, ou un peu) par des hommes, celles qui ont peur de mal faire. Et leur porte un regard bienveillant, sans jugement. https://www.20minutes.fr/arts-stars/livres/3314759-20220625-mois-fiertes-louise-morel-explique-comment-devenir-lesbienne-dix-etapes
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J'imagine qu'il s'agit d'un gilet destiné à un contexte particulier, afin de prévenir avec un peu d'humour des réactions réprobatrices répétées, d'adultes ou autres, à l'autisme d'un enfant dans un lieu public ou un regroupement public par exemple, pour faciliter son intégration, mais qui n'est probablement pas voué à être porté très souvent. L'expression "mal élevé" parle plus particulièrement aux adultes en général en tout cas. (Ceci dit ajouter les accents sur "élevé" aurait été un peu plus lisible. L'ambiguïté avec le terme "élève" gène un peu la lecture malgré la tournure de la phrase. Mais ce n'est qu'un détail.)
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Dragueur , séducteur ou charmeur ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de PtitAngelina dans Amour et Séduction
Je ne suis aucunement une dragueuse. Par contre j'aime évidemment avoir des échanges plaisants et de qualité avec les hommes que je côtoie, ou ceux qui m'interpellent, donc je m'efforce en temps normal de leur être assez agréable. Je fais attention à ma présentation, à ma tenue, à mon ton, à avoir une attitude assez appréciable, polie, etc... pour une bonne entente, en général, et pour éviter les ennuis. J'ai d'habitude des échanges quotidiens avec des hommes me faisant des avances, et lorsque je suis certaine de ne pas être intéressée j'ai tendance à les éviter avant tout, je vais rarement jusqu'à les envoyer promener, et je trouve simplement des excuses à ne pas les voir en privé si je suis obligée de leur parler, sauf en cas de rupture ou de confrontation inévitable, où il peut m'arriver d'être plus tranchante. Si en revanche je suis intéressée moi aussi, j'essaie de me montrer assez prévenante, assez réceptive, malgré mes diverses obligations ou activités autres. -
Comment vivez vous cette période ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de L'amère vieille dans Quotidien
Pour moi cette période d'élections n'a rien changé de notable à mes relations d'avec mes proches. A l'instant j'en discutais d'ailleurs avec l'une d'elles. On déplorait par exemple le racisme ambiant, dont la mise en évidence médiatique peut ceci dit aussi contribuer à ternir l'image du RN auprès de l'électorat, etc... Sans plus, les différences de choix pour les élections n'a jamais créé de tensions entre mes fréquentations et moi... -
Une fille peut-elle aimer 2 garçons à la fois ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Fk8 dans Amour et Séduction
Oui, une femme peut être séduite par plusieurs hommes. Et si elle peut avoir une préférence alors pour l'un d'eux, ce n'est pas forcément évident dans tous les cas. Une femme peut d'ailleurs hésiter entre plusieurs hommes même si elle se refuse à cumuler plusieurs relations. Ceci dit l'attitude décrite ne garantit pas pour autant que cette femme envisage d'aller plus loin, ça pourrait aussi n'être pour elle qu'un jeu sans plus. Certaines femmes aiment séduire pour le plaisir de séduire, ou côtoyer régulièrement des hommes à qui elles plaisent, sans vouloir aller plus loin pour autant, ce n'est pas impossible non plus. Une manière d'éclairer la situation serait surtout d'en discuter avec elle à mon avis. -
Bonjour deja-utilise, Je rappelle, bien que tu en tenais probablement compte dans ta réponse, que mes exemples du libre-arbitre et de l'intuition appartenaient aux points positifs que j'ai pu davantage déceler au fil du temps dans la nature humaine. Je pourrais en citer des négatifs, susceptibles eux-aussi d'impacter (négativement cette fois) l'intelligence ou autre, voire de provoquer du dégoût. (Ceci dit bien que j'évoque ici l'humanité c'est sans préférence absolue pour autant par rapport aux autres espèces, je pourrais également les évoquer sur ce sujet à l'occasion.) Je crois que pour bien saisir ce qu'est la liberté, et donc aussi le libre-arbitre, en avoir été privé, ou savoir ce qu'est en être privé plus ou moins, à un moment ou à un autre, peut s'avérer éclairant. Et lorsque l'on a dû se battre pour accéder à sa liberté, en conscience, par exemple, on est logiquement moins porté à considérer théoriquement que la liberté n'existe pas, que chacun de nos comportements est inévitable (ce qui d'ailleurs reviendrait d'après moi à une déresponsabilisation radicale absurde). Par exemple, à mes yeux la société offre en apparence une sorte de mascarade psychorigide ultra-normée voire sur-normée (plus ou moins légitimée par l'auto-défense, le "camouflage") derrière laquelle se cachent certaines capacités psychiques bien plus hors norme qu'elle ne l'affiche. Entre en compte à ce sujet une question de responsabilité relationnelle à mon avis. Lorsqu'on a créé un lien relationnel, une sorte d'alliance, volontairement ou naturellement avec quelqu'un, notre responsabilité peut nous amener à le privilégier par devoir (et non pas par partialité), à être "là pour lui" en quelque sorte, plus qu'on ne le serait pour quelqu'un avec qui il n'y a pas ce lien (plus ou moins solide) représentant une entité supplémentaire. Un peu comme le principe du "toi+moi=3, toi, moi et nous, et ce nous est plus ou moins important en fonction de la valeur de la relation, voire de sa nécessité. Une rupture ne conduit pas forcément au célibat. Mais quoi qu'il en soit le célibat n'est normalement que temporaire voire éphémère. Une rupture définitive conduit bien souvent simplement à une autre relation.
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Bonjour deja-utilise, Effectivement cette version peut paraître plus enthousiaste que la version originale, cela dit il m'arrive également de beaucoup apprécier diverses expressions artistiques tristes, voire sinistres, ou même hargneuses... En fait, j'écoute de très divers styles musicaux, et j'ai tendance à aimer découvrir régulièrement des nouveautés en fonction de mon état d'esprit du moment. Sur le thème du dégoût intellectuel (j'ai lu récemment que c'était un thème peu exploré), je pourrais par exemple citer celle-là (qui est relativement ancienne par contre originellement): Par exemple j'ai pris conscience de capacités d'intuition et de libre-arbitre bien plus développées que je ne l'imaginais au départ. J'étais bien plus empreinte de rationalisme et de déterminisme auparavant, sans mes connaissances adultes d'autrui. D'un point de vue de la valeur humaine les gens en sont à mes yeux plus forts, plus puissants, mais d'un point de vue relationnel ils sont devenus à mes yeux, pour d'autres raisons, bien plus toxiques. Non pas forcément inintéressants, mais d'un potentiel toxique respectif important (plus ou moins selon les cas quand-même, évidemment). Cette notion de "mauvaises ondes" me parle bien. Mais un état d'esprit nocif, mauvais, à mon sens, ne dépend pas de ses émotions, mais de ce qu'il en fait. Et justement une "bonne" humeur (joie, satisfaction, etc...) associée à une situation détestable peut paraître particulièrement perverse et déplacée par exemple. Quand une tristesse véhiculée favorisant une prise de conscience nécessaire peut être appropriée (même si elle demande elle aussi une complaisance mesurée). Etc... Pour moi, l'indépendance amoureuse est révélatrice aussi d'une meilleure prise en compte des sentiments respectifs, ainsi que du développement de l'indépendance sociale féminine. On peut déplorer la maladresse relationnelle des gens, leur difficulté à favoriser une bonne entente, mais la pression sociale relative au maintien des couples et donc quelque part de leur sexualité inhérente peut s'avérer délétère, et elle est une solution aux mésententes conjugales surtout de façade. On peut se tromper en rompant, se bercer d'illusion et le regretter, mais cela vaut probablement mieux au fond que de ne pas pouvoir avoir ce choix-là, de n'être pas libre de refuser une relation à caractère sexuel (car c'est ce qu'est le couple à l'origine). Je dirais qu'on peut y tendre en tout cas oui. Je crois que les émotions sont des indicatrices et que lorsqu'elles nous alertent, c'est pour y adapter notre attitude (ce qui cependant ne va pas toujours de soi). Si elles ne sont pas le remède à tout, elles n'en perdent pas toute utilité intrinsèque au bien-être. Au contraire elles sont fondamentalement censées le servir en finalité.
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pourquoi mon voisin me cherche des hommes pour coucher avec moi ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de pommeverte dans Amour et Séduction
A mon avis, prends-le de haut. Il se croit trop tout permis parce que tu lui as plu à un moment, et c'était ton droit d'avoir éprouvé quelques sentiments pour lui à un moment, et ça ne fait pas forcément de toi un coeur d'artichaut pour autant. Alors s'il en devient grossier, tant pis pour lui d'être aussi lourd. Il y a sûrement des hommes bien mieux pour toi, d'autant qu'apparemment, il s'est clairement trompé en te présentant cet autre homme de cette façon. -
Bonjour deja-utilise, Oui, j'aime beaucoup ces morceaux. J'ai plus particulièrement souvent écouté les deux derniers (éventuellement en remix par contre). Il me semble que tu avais écrit ne pas tellement aimer les remixes sur un autre sujet, mais il m'est arrivé encore récemment d'écouter parfois celui-là par exemple issu de Moonlight Sonata: https://www.youtube.com/watch?v=ZbBybGKiU0c La lucidité entre certainement en jeu. Mais je ne suis pas que déçue des gens, j'ai aussi découvert de nombreuses qualités en eux que je ne soupçonnais pas, au fil du temps. Seulement leur manière de s'exprimer, leurs mots, leurs voix, leurs regards, etc... me font percevoir aussi parfois des aspects d'eux me répugnant vraiment. Par exemple il me semble que l'orgueil peut conduire à donner une impression sur-envahissante de soi, envahissement abusif procurant une sensation de répulsion en conséquence. Les gens sont quelquefois très envahissants, et plus ils le sont, plus parfois on peut en arriver à un stade où on ne le supporte plus. (Je précise au cas où que je ne fais pas spécialement allusion à ce forum, qui est plutôt au contraire un espace de discussion et de lecture libres et sans tellement de contrainte, même si les dérives n'y sont pas totalement impossibles non plus évidemment.) Or l'orgueil humain est d'époque à mes yeux. Et l'humilité est devenu bien souvent pour certains une valeur moralisatrice condescendante offensive, un goût immodéré de l'humiliation, visant davantage à rabaisser autrui dans son amour-propre quand on "l'a pris en grippe", voire partialement donc, ou quand on veut prendre le dessus sur lui, qu'à véritablement aimer faire preuve de sobriété comportementale soi-même... Effectivement le mécontentement est couramment perçu comme un échec personnel par exemple, alors qu'il peut être aussi le résultat de ce qui est provoqué par autrui sans que ce ne soit causalement de notre responsabilité... On se doit d'exprimer suffisamment son mécontentement, voire sa tristesse, pour être assez correct. Et ce serait ne pas le faire qui serait irresponsable, voire qui serait un aveuglement. Afficher ces sentiments n'est alors pas un échec personnel au bien-être, mais une adaptation appropriée au contexte exogène, dans une juste mesure du moins. Et bien sûr, se pencher sérieusement sur ce qui est triste ou agaçant, etc... quitte à en ressentir encore plus profondément les effets, est parfois nécessaire à sa résolution. De même en identifiant précisément et ciblant ce qui est répugnant, y compris comportementalement, pour mieux s'en préserver.
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pourquoi mon voisin me cherche des hommes pour coucher avec moi ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de pommeverte dans Amour et Séduction
S'il ne s'agit que d'un homme, peut-être aussi que ton voisin n'a pas vraiment "cherché" un homme pour toi. Car on peut imaginer aussi que c'était plutôt au contraire son ami qui était en recherche d'une femme, et que pour l'aider ton voisin a alors pensé à toi en te supposant en attente ou disponible pour une relation également, au regard des avances que tu lui as faites auparavant. Ou bien on peut aussi imaginer que ton voisin a pu parler à son ami de toi, des avances que tu lui as faites, sans arrière-pensée, et que son ami s'est alors dit, de lui-même, intéressé pour tenter sa chance... ...
