sirielle

Tu me sollicites sur du hors sujet. Je te réponds par courtoisie mais t'invite à changer de comportement par respect pour ce sujet. Au départ il était question du principe des débat en comparaison à celui de Swam, ce n'était donc pas du hors-sujet Tu es ridicule de t'accrocher à moi comme ça. Je t'ai déjà donné toutes les réponses nécessaires.

Je n'ai jamais prétendu qu'"il n'était question que de savoir qui a tort et qui a raison" sur ce forum. Lâche moi les baskets, t'es en plein délire. Apprends à lire et évite le hors sujet.

J'ai justement évoqué les recours médicaux dont les certificats qui s'appliquent aux cas particuliers. Tu es de mauvaise foi et te permets les attaques personnelles pour je ne sais quelle raison. Fais donc nous part de ta proposition de loi puisque les droits actuels des femmes à ce sujet te semblent insuffisants.

J'ai exprimé que je n'ai besoin d'aucune indulgence et que pour celles en ayant besoin les recours sont médicaux. Si j'avais généralisé outrancièrement mon cas j'aurais considéré qu'aucune femme ne souffrait dans un tel contexte, ce que je n'ai pas fait. Tu peux si tu veux demander à tes fréquentations une indulgence en les informant de ton état, mais il est courant de cantonner ces informations au domaine privé car la médecine est la solution logique. Si tu dis à ton patron que tu as mal quand tu as tes règles, je pense qu'il aura tendance à te diriger vers un médecin plutôt qu'à modifier ton travail directement, sauf si tu as un certificat médical. Et il ne serait pas logique qu'il s'informe sans avis médical par "droit des femmes" de l'état menstruel de celles-ci car celui-ci n'est pas toujours un problème handicapant, et même rarement. Or ta manière de généraliser ce problème conduit à penser que ce handicap féminin devrait être considéré socialement indépendamment de la médecine comme s'il était commun à toutes les femmes et insoluble .

Je t'apporte une analyse de texte, c'est une forme de preuve si tu réussis à la comprendre. Ta compréhension te permettrait de saisir l'importance de l'avis populaire pour les individus et de ses conséquences, y compris sur le forum. Et aussi de savoir que la confrontation des idées individuelles enrichit cet avis, c'est même l'un de ses objectifs principaux. Si la ferveur argumentative constatable ici est importante c'est entre autres parce qu'elle peut influencer l'opinion publique et donc la condition sociale. Quant à ta critique à mon égard , elle se résume à me contredire sans aucun argument ni expression développée de ta propre opinion concernant l'objectif des débats et devient de plus en plus hors-sujet.

Je faisais référence à l'écriture en gras, l'association "homme d'un certain âge"/irrespect.

Ce n'est pas ce que je faisais. Je t'expliquais au contraire que puisque les règles féminines ne provoquent pas forcément de souffrance il serait erroné de considérer que toutes les femmes ont besoin d'indulgence à cet égard socialement et professionnellement en informant publiquement de leur état. Et que les souffrances des quelques femmes concernées étaient prises en compte logiquement par le domaine médical et pharmaceutique car elles ne sont pas une fatalité.

Il est très facile de constater la véracité de mon raisonnement sur ce forum. Ta précédente réponse prouvais en réalité concrètement ton incompréhension de ce que je perçois et de sa signification.

Ce que j'ai exprimé en réalité c'est que la confrontation intellectuelle aspirait à la concordance et à l'harmonie, et qu'en cas de désaccord seulement, le débat visait à atteindre une vérité partageable communément par la critique et la défense des différentes opinions. Et que parmi les objectifs essentiels des débats figuraient la connaissance et la justesse de raisonnement.

Tu considérais qu'un homme d'un certain âge, s'il fréquentait une jeune prostituée, lui manquait de respect, or pas forcément. Le consentement des prostituées ne dépend généralement pas que de la rémunération. Celle-ci peut aussi n'être qu'une condition supplémentaire au consentement parmi bien d'autres.

Pour ton cas personnel alors, car il faut avoir conscience à la fois de la fin et des moyens. La connaissance dépend du relationnel et sa valeur ne se limite pas à la subjectivité. On veut avoir raison par responsabilité intellectuelle avant tout, le prosélytisme est un moyen de la partager, pas une fin en soi. Vouloir avoir raison ne signifie pas vouloir que l'autre ait tort ou soit plus faible que soi par goût de victoire sur les autres mais vouloir avoir un raisonnement juste.

C'est aussi une réalité concrète courante.

Relativement. Il est possible de favoriser l'ensemble de la sécurité corporelle et mentale par différentes méthodes, comme par exemple la connaissance des états de santé respectifs et l'aptitude à les prouver permettant d'évaluer le risque sanitaire ou encore le cantonnement de la relation à un lieu sécurisant socialement.

Je crois que cette confrontation aspire à la concordance et l'harmonie, ainsi dans un contexte de désaccord chacun défend ses idées avec plus ou moins de ferveur pour parvenir à des conclusions partageables, des points de vue communs ou compatibles socialement.

La confrontation intellectuelle dans l'absolu est loin de se cantonner à la compétition qu'elle génère.

Au-delà des genres que peuvent évoquer l'expression du sujet, celui-ci s'apparente selon moi et apparemment à un débat factice reposant principalement sur la recherche sentimentale personnelle de son auteur.

A partir du moment où on considère qu'il est possible d'avoir des relations sexuelles sûres, qu'il y ait commerce ou pas n'y change rien.

C'est vrai, la légalité n'est pas forcément une référence à avoir, selon la fiabilité de la justice. Mais en tout cas elle est censée être le champs de ce qui est juste. Personnellement je considère que la prostitution (pour ses proches, la société ou soi-même) n'est vraiment acceptable que si elle n'a pas d'inconvénient. Pourtant je me suis déjà prostituée aussi, il n'est pas d'ailleurs toujours nécessaire pour ça de "connaître le milieu" ni de se mettre en danger.

Il est possible pour une femme jeune et responsable d'être librement consentante dans le cadre de la prostitution même avec un homme plus âgé.

Dans le cadre de la légalité on peut prôner logiquement la liberté, mais la prostitution dans le cadre de l'illégalité est parfois plus ou moins contrainte, dangereuse, dégradante, et peut aussi concerner les mineurs.

Il y a de nombreuses pratiques différentes de la prostitution, certaines sont tolérables, voire acceptables, d'autres sont répréhensibles et condamnables.

Tu t'adressais à moi apparemment. Je viens de m'en apercevoir Quelle misère corporelle évoques-tu? Je ne vois pas le rapport avec ce que j'ai écrit. Par soucis de précision, j'ajoute que j'ai évoqué le matérialisme car le thème de ce sujet le représente parfaitement. Mais mon raisonnement personnel n'est pas matérialiste en revanche, car j'ai tendance à dissocier le corps de l'esprit malgré l'importance de leur association et de leur concordance.

Peut-être le temps que vous lui disiez qu'elle n'a pas le droit de porter de foulard.

Excuse moi, je ne faisais que citer ton nom dans ma conversation avec Swam parce que ton message me précédait, ce n'était pas une critique.

Vous vous méprenez, j'apprécie Karbomine. Mais au regard de votre incorrection il était logique pour moi de vous inviter à vous excuser ou à développer votre avis, mais apparemment vous ne voulez pas admettre votre impolitesse. Peu importe, bonne journée quand même.