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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. J'a compris, mais comme elle s'inspirait de ce que moi je faisais j'en ai discuté avec elle. Mais pas de problème à ce sujet bien qu'elle n'ait pas vraiment expliqué ce jugement. Merci, bonne nuit.
  2. Contente de parler de moi? Si tu le penses... Peu importe, en tout cas je me connais moi-même et dans cette partie du forum il est courant d'aborder sa propre vie privée. Je ne m'y complais pas plus que par intérêt pour la discussion. Tu ne sais pas véritablement comment je gère mes relations si ce n'est que j'ai précisé les anticiper et avoir fréquenté des dealers. Et alors? Ce n'est pas illégal. J'ai simplement tendance à agir au feeling dans ce domaine par contre je ne m'engage pas facilement. Mes valeurs, elles sont importantes à mes yeux mais je n'en deviens pas excessivement prosélyte avec mon entourage pour autant.
  3. Tu n'es pas le seul à m'avoir critiquée. Que j'anticipe mes relations ne m'empêche pas de pouvoir fréquenter des dealers, quoi que tu en penses.
  4. Dans un débat il est normal de confronter les points de vue. Que je n'adhère pas au tien ne signifie pas qu'il s'agit pour moi d'"avoir du mal avec la contradiction." mais simplement que mon opinion est différente de la tienne et qu'on en a discuté, sans animosité pour ma part. Mais je te rappelle une fois de plus que tu n'as pas à juger de ma personnalité (d'autant plus que tu te trompes lourdement à ce sujet), ce n'est pas le thème. Si tu critiques ma vie privée, ne t'étonne pas que je puisse te donner mon point de vue à ce sujet (respectueusement), même si ta critique se présente comme un transfert. Cependant comme je te l'ai déjà précisé, libre à toi de considérer que tu serais complice en couchant avec un dealer, mais ce n'est pas ce que dit la loi, et tu ne t'es pas davantage expliquée à ce propos. Tu as ton avis, le mien est différent, que j'en ai discuté n'empêche pas comme je l'ai déjà précisé que ça n'a pas beaucoup d'importance pour moi, ne t'en inquiète donc pas.
  5. Si tu n'as pas d'argument convainquant à opposer à mon opinion, tu n'as pas à prétendre pour autant que je ne supporte pas l'objection, car tu te trompes, je tiens compte de ce qu'on m'écrit que ça aille dans mon sens ou pas, je ne suis pas aussi stupide que ce que tu sembles penser. Donc tu considères que si tu couchais avec un dealer tu serais sa complice, mais ce n'est que ton ressenti personnel. Ok, mais ce n'est pas ce que dit la loi en revanche. Moi non plus aimer être avec quelqu'un ne me suffit pas pour tout envisager avec lui, mais une simple relation parfois oui.
  6. Ce ne sont pas vraiment mes mots. Mais je peux être en relation avec n'importe qui, ça ne nuit en rien à mes valeurs, au contraire et toute relation peut avoir selon moi un intérêt. Par contre je gère la relation en fonction de ce qu'elle est et de ce qu'elle peut devenir, et pas seulement en fonction de l'amour que je ressens bien que ça compte aussi. L'amour et la raison doivent pouvoir s'accorder.
  7. Evite ce genre de réflexions s'il te plaît, tu ne me connais pas ou presque pas. Si c'est ça pour toi, "tourner au vinaigre", c'est que tu es bien susceptible. Effectivement il s'agissait de ta perception mais par rapport à ma propre expérience. Imagine, tu rencontres un homme qui te plait, tu sais que tu n'apprécies pas ce qu'il fait mais vous êtes simplement ensemble et vous vous rapprochez donc dans des circonstances qui n'ont rien à voir avec cette activité. Ce n'est pas de la "complicité" ni "consentir" ou se voiler la face, c'est simplement aimer être ensemble.
  8. Je n'ai pas été du tout agressive avec toi donc ta réponse est déplacée. Si j'ai évoqué les jugements, qui sont souvent utilisés sans animosité dans les conversations, c'est parce que tu m'y as invitée en te traitant toi-même d'"égoïste, peu charitable et pas suffisamment aimante" et en me considérant comme "complice" de deal "fermant les yeux" et "consentante" en te comparant à moi, ce qui n'est pas réellement le cas. Mais c'était aussi pour moi une simple conversation sur le sujet et rien de plus ni de grave. Bonne nuit.
  9. Pour moi c'est un peu comparable à la vente de tabac, si. Je ne t'ai pas jugée ainsi, mais je crois que tu n'as pas à me juger coupable non plus d'avoir eu des relations avec des dealers. Tu ne sais pas vraiment de quoi il s'agissait. Et puis sache qu'il est possible aussi de s'engager avec un homme qui ne devient dealer que par la suite et sans forcément en informer sa "conjointe". C'est pourquoi j'évoquais aussi les pièges à éviter. Car il peut s'avérer plus "facile" de commencer une relation que de s'en défaire, surtout si on n'anticipe pas suffisamment.
  10. Avoir une relation avec un dealer n'est absolument être complice du deal dans l'absolu. Tu peux t'informer des lois à ce propos si tu veux. Je refuse une relation avec quelqu'un que j'aime si je juge qu'elle est plus nocive qu'épanouissante ou qu'elle est dangereuse par exemple.
  11. Sans vouloir te contrarier fumer est une forme de toxicomanie. Mais moi non plus je n'envisage pas particulièrement fréquenter ce milieu, je l'ai souvent fait simplement. Et aimer c'est aussi pour moi voir la personne au-delà de la situation répréhensible dans laquelle elle s'est mise et l'aider à en sortir si possible, mais pas se sacrifier pour elle par contre.
  12. Quand on fréquente les dealers, on est amené à fréquenter des toxicos parfois, et donc à en discuter. Or la communication peut être une aide.
  13. Je n'ai pas écrit ne rien dire ni fermer les yeux, au contraire, j'ai écrit leur donner mon point de vue contre cette activité. En même temps, tu n'aides pas plus que moi les toxicomanes en ne côtoyant pas les dealers. Au contraire peut-être puisque je n'hésite pas à faire savoir que je suis contre aux principaux concernés, ce qui n'est probablement pas ton cas.
  14. Oui, mais on peut apprécier la personne sans être complice de son activité et en étant même contre. Ne pas avoir de relation avec lui n'arrange pas plus le problème.
  15. Bien sûr, je comprends. Mais pour moi l'attirance peut passer outre. Il est rare de rencontrer une personne partageant exactement les mêmes valeurs, en tout cas pour moi. Et au-delà de cette activité on peut quand même très bien s'entendre. Du moment qu'il est correct avec moi, je n'ai pas le pouvoir de décider de ce qu'il fait de sa vie, tout au plus puis je lui donner mon point de vue.
  16. A mon avis c'est important d'avoir une vie sentimentale, mais pas forcément avec une seule et même personne toute la vie. On peut quand même avoir une relation assez longtemps avec une personne ayant des activités illégales sans en pâtir directement. Je pense qu'il y a des problèmes de couples bien plus graves que ça, ou du moins, ça dépend du deal en question.
  17. On peut très bien être attiré par un dealer en sachant que d'autres milieux professionnels existent. En même temps, l'important est à mon avis de ne pas s'engager trop facilement. Pour moi un couple, ce n'est pas forcément à vie. Mais effectivement, si c'est pour se caser, ce n'est pas une situation idéale, comme beaucoup d'autres ne le sont pas non plus.
  18. Personnellement si j'ai été avec des dealers c'est simplement parce qu'ils appartenaient au milieu que je fréquentais. Quelqu'un qui sort avec un prof ou un épicier ne le fait pas forcément pour son métier. Généralement c'est assez secondaire comme critère.
  19. Chacun son point de vue. Garder certaines distances tout en préservant une relation n'est pas forcément péjoratif ou malhonnête à mon avis. Je parle vraiment d'amour. Mais chacun vit ses sentiments à sa manière.
  20. Oui, je comprends bien, mais moi je tombe facilement amoureuse donc je ne suis pas prisonnière de ce sentiment par rapport à une même personne.
  21. Par exemple par anticipation on peut accepter d'avoir une relation avec un dealer mais refuser de partager le même logement.
  22. On peut très bien aussi être amoureux puis passer à autre chose assez facilement si on le veut à mon avis.
  23. Qu'un homme deale n'a souvent pas été un frein pour moi malgré les inconvénients, mais je pourrais refuser d'autres situations qui peuvent varier aussi selon ma propre situation. Et ces refus ne dépendraient pas forcément de ce que je ressens pour eux mais tout simplement de ce que je ne voudrais pas risquer avec eux pour mon avenir. Pas par égoïsme mais parce qu'effectivement on n'est quoi qu'il en soit pas toujours particulièrement apte à améliorer la situation de l'autre, que ce n'est pas toujours vraiment notre rôle malgré notre amour, et qu'on pourrait soi-même en pâtir inutilement.
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