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anruadebobdny

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Tout ce qui a été posté par anruadebobdny

  1. Ce qui vient de l'Esprit ne vient pas du cerveau. Mais ça seul l'esprit peut le percevoir. Le cerveau suscite une tension. Il ne comprends jamais que lui même et se réfugie dans les analyses, jugements et conclusions qui le conforte dans son étroitesse. Libérez-vous de vos opinions, et de vos partis pris, de vos certitudes et de vos doutes et écoutez dans la détente sans jugements, sans préjugés, sans conflit, sans aimer ou ne pas aimer. Sans accepter ni refuser. Alors vous n'écouterez pas avec votre cerveau mais avec l'Esprit. Et partout où son écoute naturelle se posera, les révélations apparaîtront sans avoir été recherché. Le cerveau aura été apaisé par l'Esprit, ainsi la religions sera comprise dans la détente, et naturellement pour ce qui est juste et d'Esprit.
  2. Je dirais plutôt que le cerveau apparaît dès lors que la conscience se sépare d'elle-même, par l'envie de s'approprier ou de rejeter les choses dont-elle s'est séparée.
  3. La perversion c'est aussi l'amertume envers les hommes pervertis (ou l'amertume envers quoi que ce soit d'autre). La perversion ce sont tout les degrés de l'égo. La religion si elle est comprise réellement alors elle permet avant tout à l'homme de reconnaître ses pêchés, de demander pardon dans l'humilité, d'abaisser son égo, plutôt que de critiquer celui des autres.
  4. pourvu qu'il concocte l’antidote du virus de l'âme. Il va hacker le fichier âme pour la bonne cause :)
  5. Oui la foi ultime que l'on ressent en toute vulnérabilité et avec qui on reste précieusement. L'amour est déjà là sur terre mais souvent ont est tenté à le chercher ailleurs autour de soi plutôt que de rester avec là où l'on est et là où on va.
  6. Il faut donc être réaliste que l'âme en tant qu'idée, connaissance, ou concept est un conditionnement. (une connaissance venant d'un autre esprit, une influence extérieur) De même que toute idée, tout concept, toutes connaissances... Ce qui pourrait être intéressant à découvrir ensemble : Qu'est-ce que l'âme sans concept? Qu'est-ce que la vie sans concept? Qu'est-ce que la religions sans concept? Qu'est-ce que "Dieu" sans concept/idées/images/connaissances/a priori? (peut-on connaître "Dieu" sans rien savoir de lui à l'avance?) La vie / la religion / l'âme/ a t-elle besoin d'être organisée? L'organisation de l'âme/de la vie/ de la religion, n'est-elle pas source de désordre/de destruction et d'auto-destruction/de chaos? Pouvez-vous répondre et trouver sans a priori/et sans point de vue ni avis personnels (sans fichiers)? Un fichier libéré de tout fichier n'est plus matière solide et physique. Il est léger et transparent. C'est au fichier lui-même qu'il appartient de se percevoir lui même pour se libérer. (pas besoin de désinstallation) Un fichier qui désinstalle un fichier ne sera jamais libre.
  7. un végétarien peut-il remanger de la viande tout en restant végérarien dans son coeur?
  8. anruadebobdny

    La foi

    Une petite fois amènera l'âme au "paradis". Une grande foi amene "le paradis" à l'âme.
  9. Je pense qu'il a ce qui vient de soi et ce qui ne vient pas de soi. Par exemple: Il y a les visions de notre imagination de notre pensée. qui utilise ce que l'on connaît déjà (par rapport à nos expériences, connaissances,environnement, ce que l'on a perçu), le connu. et il y a les visions nouvelles qui ne viennent pas de soi, ni de ce que l'on connaît et qui apportent/révèlent des choses nouvelles. Comme un signe de Dieu. De même que au tout début, à la base, à l'origine, l'idée de Dieu de pouvait venir de l'homme qui ignorait tout de lui, et qui ne pouvait le percevoir dans son environnement. Ainsi dieu à insufflé cette vision totalement nouvelle à l'homme. Discerner ce qui vient de soi et ce qui ne vient pas de soit, nécessite de faire attention et ralentir, car percevoir ce qui ne vient pas de soit dans le moment, est chose subtile, mais bien réelle et sans a priori.
  10. Pour en revenir à ce qui était dit : Je pense qu'une réelle intelligence n'a pas d' a priori. L'athéisme est construit sur l' "a priori" de la non-existence de Dieu. (en opposition à l'"a priori" de l'existence de Dieu) Les religions sont construites sur l'a priori de l'existence de Dieu. Cependant cela est-il possible? Je comprends que l'homme ait de l'imagination. Mais l'inspiration, l'idée même de dieu ... est-ce un a priori soufflé par Dieu lui-même? Dieu provient t-il d'une idée de l'homme? Comment l'homme qui ne sent pas l’atmosphère du royaume de Dieu peut-il trouver l'idée de Dieu? L'homme a t-il fait l'expérience de Dieu pour rencontrer Dieu sans aucun concept, sans aucun a priori? A partir de là seulement l'a priori peut naître et donner naissance au concept de Dieu par la religion dont le but est de faire ressentir l’atmosphère de Dieu pour ce débarrasser de tout a priori à son égare, et en faire sa rencontre comme ce fut le cas avant la naissance de l'a priori/de la religion. L'a priori est la religion.
  11. Sur le plan Naturel, (sans plan) L'intelligence qui permettrait cela, serait toujours un autre programme plus évolué (et donc d'avantage programmé). Et ce dernier programme aura lui même besoin d'un programme plus évolué pour se modifier...perpétuellement, à partir du/des programme(s) précédent(s). Pour finalement ne jamais remettre en cause sa fonction première. De même que l'homme qui utilise une technique ou une méthode pour se connaître lui même, sera toujours prisonnier de sa technique de sa méthode, de sa réflexion, de son intelligence, de son idéal, pour ne pas pas remettre en cause/être en face de sa fonction première : la cause du conditionnement, aussi subtile soit la cause et le conditionnement. L'intelligence qui ne fait appel à aucun idéal, aucune volonté de changement, d'évolution ou de modification, est alors capable de Percevoir sans programme, sans technique, sans réflexion, sans jugement tout ce qu'elle n'est pas. Cette intelligence est avant la fonction première. Elle est la perception de la fonction première. Elle est la perception non-programmée/non-conditionnée. Ni conscient, ni inconscient, mais la perception est confiante car elle est "la vue" sans le voile. _______________________________ Sur le plan Normal/Normalisé, Autrement pour ce qui est de maîtriser l'installation d'un fichier ou sa désinstallation. C'est jouer au programmeur. (le programmeur est programmé). Pour ce qui est d'installer un conditionnement/une suggestion/un souvenir, c'est jouer à l'hypnotiseur, ou l'auto-hypnose. (l'hypnotiseur porte le costume/rôle de l'hypnotiseur, auquel il s'identifie par sa construction personnelle...bref l'hypnotiseur est lui même hypnotisable, doté d'un conscient et d'un inconscient, et auto-hypnotisé par lui même, son conditionnement, son renforcement, sa croyance, son apparence, s'impressionnant lui-même pour impressionner les autres) Tout homme qui porte un rôle, un costume, une position, est un hypnotiseur. ------------------------------ Sur le plan théologique, (plan transparent et invisible) Seul "Dieu" serait capable en Sa volonté d'installer et désinstaller les fichiers, pour son propre but(si cela en fait parti). Et il appartiendrait à l'homme tout en étant programmé, de se rendre disponible , à l'écoute de la volonté de "Dieu" afin de se laisser utiliser. Ainsi "Dieu" a pour l'homme un plan, "une langue", "un chemin" qui transcendance tout les programmes/langues/chemins. Mais libre à l'homme d'apprendre à écouter "entre les programmes" pour être guidé et utilisé, sans choix personnel, sans savoir à l'avance. D'autre part "le Christ" agit comme "un rappel" lorsque l'on s'égare dans le mensonge à soi-même (le programme/l'habitude, le conditionnement), qui est rattrapé par la souffrance. Il est la résurrection qui transcende la souffrance, fait briller notre chaire/programme physique et psychique et nous donne la marche vulnérable et osé qui court-circuit le programme.
  12. Par sa lueur, le Christ abolit la chaire.
  13. Je ne suis pas dans l'optique d'argumenter, d'apporter une réflexion/des connaissances/les sciences, de convaincre, de conclure, de faire une démonstration, de contester ou d'accepter des propos, ou d'avoir de belles paroles. L'êtes-vous? Nous parlons du naturel, et pour en parler il me faut le connaître, en être très proche... Etre naturel. Il s'agit du naturel, et non de moi et mes réflexions, de mes analyses et conclusions. Ainsi pour observer le naturel et en parler, je dois être en phase avec le naturel, ici et maintenant. Cela passe par l'honnêteté de la perception dans le moment présent. Je l'observe actuellement. Il n'y a pas de réflexion, pas d'effort, pas de tension, pas d'image dans ma tête, pas de tentative de comprendre. C'est un Fait. Apparemment j'ai laissé le plus naturellement du monde mes réflexions, mes opinions, ma science et mes connaissances à partir des-quelle je pense, mes envies, mes idées arrêtées... moi. Ainsi je vois actuellement que le naturel est la fraîcheur de l'esprit non-encombré par soi. Au lieu de me pencher vers moi-même pour parler du naturel et être naturel, je ralenti et je me penche le plus simplement et naturellement vers le naturel, je reste et demeure avec. Si on me demande d'en parler alors je peux en parler, car en demeurant avec, je suis et reste dans l'attention continuelle et actuelle de sa présence. Si vous ressentez le naturel avant vous-même, alors il s'expose naturellement de lui-même.
  14. Il s'agit ni d'être d'accord ou pas d'accord, ni de vouloir impressionner ou être impressionné. Ni de dire c'est possible parce que... ou impossible car... Ca n'est rien de tout cela. Il ne s'agit pas de soi, de sa pensée, de sa réflexion, de son opinion, de sa volonté... Il s'agit de percevoir très directement sans tout cela. Il n'y a aucune végétation dans la perception direct. Aucune concentration est nécessaire (pas de rétrécissement de la conscience), l'Attention est totale et sans effort. Demeurer dans le naturel, c'est être et rester Avec, dans l'Attention du naturelle, non illusionnée ni polluée. Se glisser naturellement en dessous de tout ce qui a été ajouté à soi. Et dans cette état d'Attention si simple et naturel, il n'y a ni conscient ni inconscient. L'action n'est pas choisie, elle découle de la perception et s'harmonise avec ce qui est perçu directement. L'observation non-choisie, pure et naturelle est d'elle-même, bien éveillée et non voilée, non voilée par soi. La perception est très consciente dans l'esprit naturellement détendu; sans jugements, analyses, réflexions, comparaisons etc.
  15. Votre passée c'est toute votre construction personnelle depuis votre naissance jusqu'à maintenant. Par le mimétisme puis la comparaison (la comparaison apporte le conflit intérieur, complexe de sup/d'inf, frustration, attachement, jalousie, satisfaction etc...les racines de la division en soi et à l'extérieur et de la violence) . Vous portez votre passée de manière identitaire. Vos réflexions analyses, connaissances, viennent de votre passée. Votre passée évolue perpétuellement à partir du passé. Bref, vous êtes le passé. Vous êtes l'expérience du passé. La culture, les traditions tout ça c'est l'évolution du passée. C'est le passée. Vous y êtes attaché, car vous êtes la connaissance. Pouvez-vous percevoir clairement ce à quoi vous vous identifiiez? Vos partis pris, vos positionnements (je suis français né à ..., fils de ...) familiales, politiques, associatif, religieux, croyances, certitudes...etc ou position de "libre" penseur à laquelle on est éperdument attachée. Tout cela ; être une position et être ce que l'on fait, être la réflexion etc... Tout cela est la condition de qui je suis suis (construction personnelle, appartenance identitaire). Le conditionnement, et l'auto-conditionnement. Tout cela à été ajouté à mon être véritable. A ma nature la plus authentique et pure. Le passée est la connaissance, est la pensée telle que je la connais. Maintenant j'arrête de penser et je perçois cela, cette vérité, ce Fait très clairement, très simplement, je suis en face de ce Fait. Je Vois très naturellement, cette construction personnelle que j'appelle moi, "cette entité", sans faire appelle à la pensée. je perçois simplement consciemment sans opinion ni jugement, cette "entité". Il ne s'agit plus de moi qui voit, mais de "il y a". Je suis la perception. La perception ne se différencie pas de ce qu'elle perçoit. Mon être véritable se retrouve en ce glissant en dessous de toute construction personnelle. Et c'est extrêmement simple, peut-être trop simple. Il est la perception Très direct, la plus naturelle, sans filtre, ni analyse. Cette être-véritable (naturel) vois et comprends instantanément sans partie pris, sans jugement, sans comparaison. Il ne perçoit pas le présent à partir du passée. Retrouver sa nature véritable : C'est aussi naturel, que de déposer son sac à dos. C'est aussi simple que de marcher sans effort, calme et sans aucune passivité, un soir d'hivers seul sous la neige. Que de déposer tout naturellement son expérience de s'en alléger et de la regarder sans effort, sans tension, sans conflit. C'est aussi simple que de savoir être seul avec soi-même. S'il y a quelque chose à écouter c'est de ce qui nous dénature, pour être à l'écoute de sa nature véritable. Toutes ces choses que je ressens, ces pulsions, ces désires, ces satisfactions etc, je m'en écarte, j'arrête très naturellement de les ressentir car elle me dénature. Je reviens tout naturellement à la perception la plus simple et naturel dans le calme, et je vois ce ressenti pour ce qu'il est sans signe d'appartenance, ou de séparation, et ma nature véritable laisse passer cette sensation. Si on connaît sa nature véritable, peu importe les gens ou l'environnement autour de soi. Il n'y a plus de comparaison. Il n'y a pas de condamnation ni de conflit face à des gens ou un environnement dénaturé ou naturel. La participation social est non choisi, est sans violences, sans pulsions, mais en adéquation avec la situation actuelle. Ne partant d'aucune confusion. Mais d'une compréhension direct, du Fait et du besoin. L'action ne part pas de l'image de soi qui peut être blessé, flatté ou conforté.
  16. Ces gens là sont dénaturés. Par leur prise de position, par leur appartenance identitaire, par l'attachement qu'ils ont par rapport aux choses, par rapport à leur souffrance, et par rapport à la violence. Les influences extérieurs les plonge dans l'ignorance d'eux même. Et pourtant ils choisissent malgré tout aussi subtilement soit-il d'être comme cela et d'être la cause de la violence. Tellement d'influences se sont ajoutées à leur nature, et ils s'y accrochent. Si une personne est fatiguée de tout ça, elle cesse naturellement d'agir par rapport à la confusion du monde, et par rapport à elle-même ou au autre. Et dans l'arrêt de toute notion de comparaison, l'homme très naturellement et sans choix retrouve dans le calme et l'éveil qui il est vraiment, sa nature véritable. De cette perception est la paix (sans préméditation). Mais les gens sont plus attachés à leurs habitudes et leurs plaisirs, plutôt qu'à ce connaître eux-même. Ils préfèrent s'accrocher aux "grincements de dents et aux pleurs" plutôt que de s'arrêter, relaxer naturellement et regarder la sensation pour ce qu'elle est sans signe d'appartenance ou de séparation, sans jugement ni condamnation.
  17. Non il n'y a pas de but recherché. La paix est là c'est tout. Dans le naturel il n'y a pas de préméditation, d'analyse, d'introspection, de choix. La pensée ne pollue pas l'action, ni l'être. En retrouvant très simplement sa nature véritable, l'esprit n'est pas pollué et surmené par la pensée. Il est calme et naturel. Il y a ce qui vient à soi, et la pensée, ni l'égo n'intervient. L'action est naturelle et spontanée, sans introspection, sans préméditation ni intérêt.
  18. Non, l'action désintéressé existe, il s'agit d'aider ou d'être naturellement avec son prochain calmement dans la paix sans rien en tirer personnellement. Détendez votre esprit avant de dire c'est possible ou impossible.
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