Aller au contenu

Leste

Banni
  • Compteur de contenus

    2 502
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Leste

  1. Je crois que Louise Aragon (ou Louis Aragon : communiste : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Aragon) est en colère depuis qu'elle a compris que son marxisme était incompatible avec une société développée. Je comprends Louise cette frustration de voir son rêve échoué... Je compatis cette douleur.
  2. C'est dommage de ne pas vouloir débattre comme une personne adulte et responsable. En multipliant le troll dans le but de faire taire les écrits précédents, vous ne faites qu'admettre que vous êtes dans l'incapacité d'argumenter.
  3. "Le communisme, c'est la vrai propriété privée, la Terre et ses ressources appartiennent à part égale à chaque être humain" Ce que vous dites est vrai, si on l'on prend le vrai terme du communisme, un communisme qui n'a quasiment jamais existé sauf dans des peuples très retirés mais qui est incompatible avec la vie moderne actuelle. Sous l'URSS par exemple il n'y avait pas de propriété privée, et les terres appartenaient à l'état. Actuellement la Chine qui se dit toujours communiste a fait un effort sur la propriété privée afin de respecter les droits de l'homme : Le droit chinois consacre également la propriété privée : alors qu'elle n'était reconnue ni par le système impérial, ni par le régime communiste, elle est à présent un droit inscrit dans la Constitution depuis une réforme du 14 mars 2004. Une loi adoptée en mars 2007 protège aussi bien la propriété privée que la propriété publique, sauf dans le domaine de la terre qui appartient à l'État. Le problème qu'il y a encore en Chine c'est que la surface de la terre appartient à l'état, en faite quand les chinois achètent un bien immobilier ils ont généralement un bail de 50 ans ou ils peuvent jouir du terrain, après 50 ans ce terrain redevient la propriété de l'état. Ceci ne veut pas dire que la Chine peut détruire la propriété qui est dessus après 50 ans sans en avertir son propriétaire, mais par contre la Chine peut racheter cette propriété et le propriétaire n'y sera pas gagnant et si il y a toujours un refus de vendre, l'état pourra effectivement détruire ce bien. Enfin si, le capitalisme respecte les droits de l'homme puisque chacun a la possibilité d'acheter une propriété privée. C'est évident qu'il faut avoir l'argent nécessaire pour acheter, mais même une personne qui gagne 1000 € peut acheter, les banques en France prêtent le 33% de nos revenus, ça veut dire qu'une personne qui gagne 1000 € peut très bien acheter un bien d'une valeur supérieur à 100 000€ sur 30 ans.
  4. :smile2: Vous n'avez pas répondu à ma question d'hier Louise Aragon : Que pensez-vous par exemple quand on dit que le marxisme ne respecte pas les droits de l'homme ? Voulez-vous répondre à la manière de Karl Max qui disait : Quel est cet « homme » distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé « homme », homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ? http://www.gaucheliberale.org/post/2008/02/14/Karl-Marx-et-les-droits-de-lhomme J'aime bien l'analyse en bleu clair dessous ce chapitre de Marx que je cite : Voilà un texte édifiant qui démontre que Marx (et beaucoup de ses disciples) n'a rien compris au concept révolutionnaire contenu dans ces Droits de l'Homme distincts des droits du citoyen. Car cette distinction est précisément ce qui est remarquable dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Pour la première fois le peuple réuni en Nation attribuait des droits à chaque Homme en tant que tel. Il ne s'agissait donc plus de légiférer pour déterminer le comportement des hommes entre eux ou par rapport à une autorité supérieure, mais d'accorder des droits imprescriptibles à chaque être humain. L'Homme devenait donc un individu souverain dotés de droits qui ni la collectivité, ni l'Etat ni même la religion ne pouvaient lui contester. C'est contre ce concept prodigieux, qui permettait enfin aux individus de s'affranchir de la tribu, du clan, de la famille ou de la caste, que s'élève Marx : "l'homme séparé de l'homme et de la communauté, c'est l'homme égoïste" et c'est seulement lorsque l'homme devient un "être générique" que l'émancipation humaine est accomplie". Incroyable contresens qui fait retomber l'homme dans le collectivisme, qui nie sa liberté à peine conquise et qui confond volontairement individualisme et égoïsme. Autre étonnante lacune dans la pensée de Marx, son interprétation de la notion de propriété. Il cite l'article 16 de la constitution de 1793 : « Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de dispo­ser à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie. » qu'il résume par : "le droit de jouir de sa fortune et d'en disposer « à son gré », sans se soucier des autres hommes, indépendamment de la société". A t-il lu le texte ? pourquoi les biens et le fruit de son travail se sont-ils transformés en "fortune" ? En quoi la déclaration des Droits de l'Homme indique t-elle qu'il ne faut pas se soucier des autres hommes ? Il s'agit là d'une pure déformation du texte qui frise la mauvaise foi. Pire, Marx n'a pas compris ce que Proudhon allait finalement comprendre, à savoir que la propriété garantie par la Déclaration des Droits de l'Homme, ce n'est pas l'accumulation des richesses mais la condition nécessaire à l'exercice de la liberté de chacun. La première des propriétés affirmée par la Déclaration des Droits de l'Homme c'est celle de son corps, ce qui met légalement fin à l'esclavage.
  5. Le communisme a toujours réussit à convaincre une large population quand un pays est dans une situation morose. C'est aussi ça l'histoire et c'est d'ailleurs ce qui se passe en Grèce actuellement. Quand une population n'a plus rien économiquement, la population veut donc et c'est normal plus d'argent pour mieux vivre, et il n'y a que le communisme qui propose ce rêve. Car le communisme veut vivre dans un monde commun en partageant la fortune au peuple, seulement le partage est toujours fait de manière inégalitaire et une fois que la population arrivera à vivre, elle voudra se défaire du communisme pour en avoir plus. Hier, vous vous estomaquiez quand Maxence a comparé Staline à Hitler, et pourtant tous les deux dirigeaient leur pays sous la forme d'une dictature et d'une anarchie. En 1929, Staline décide de supprimer la propriété privée dans les campagnes : le bétail, les outils, les terres doivent être mis en commun. Les moyens de production agricoles sont regroupés dans les kolkhozes ou dans des sovkhozes. Cette collectivisation forcée provoque des résistances : plutôt que donner leurs troupeaux, les paysans les abattent pour les consommer immédiatement. Face à ces émeutes, Staline accorde à chaque kolkhozien un lopin de terre. Les Koulaks doivent être éliminés en tant que classe. Entre 1929 et 1935, plus de deux millions de paysans sont déportés et plusieurs millions meurent de faim, surtout en Ukraine et dans le sud de la Russie (voir : Holodomor). Leurs biens sont confisqués. http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_des_r%C3%A9publiques_socialistes_sovi%C3%A9tiques
  6. Un peu comme vous et Marx ? Pourquoi le marxisme n'a jamais pris d'ampleur ? Pourquoi le communisme a été un échec dans tous les pays ? L'URSS ne pouvait plus continuer avec le communisme, l'URSS n'avait plus rien économiquement, Gorbatchev n'a pas eu le choix que d'arrêter le communisme et démissionner pour laisser place à une économie libérale. Et pour reprendre le lien que j'ai mis hier (16.45) Au bout de quelques temps, 20 ou 30 ans selon Boukharine, les dernières traces du régime capitaliste auront disparu et cet État prolétarien, devenu obsolète et inutile, disparaîtra de lui-même. Ce sera alors la fin de l’histoire et l’avènement du communisme proprement dit. C’était l’idée. Seulement voilà, cette dernière phase de dépérissement de l’État prolétarien n’a jamais eu lieu. Toutes les tentatives d’avènement du communisme se sont invariablement soldées par la sanctuarisation d’un État totalitaire où « l’avant-garde des opprimés » s’est muée en avant-garde des oppresseurs. Les Staline, les Mao, les Pol Pot et les autres n’étaient, manifestement, pas particulièrement pressés d’abandonner leurs prérogatives. C’est en ce sens que nos communistes modernes ont raison : le communisme, à l’exception, peut-être, de quelques tribus isolées au fin fond de l’Amazonie, n’a jamais existé. Quel que soit le chiffrage que nous retenons pour évaluer l’ampleur des horreurs commises par les régimes totalitaires qui s’en sont réclamés, c’est le socialisme qui est coupable et pas le communisme. Le communisme, l'idée est bonne quand un pays n'a pas besoin de faire marcher son économie, quand une population vit dans un climat adapté avec des ressources naturelles qui leur permettent de vivre. Dès lors que la population est confrontée à un climat moins adapté, plus rude et donc à des ressources naturelles insuffisantes pour pouvoir vivre toute l'année, la population a donc un besoin de construire des logements pour se chauffer, a besoin de travailler et d'avoir de l'argent justement pour payer ces logements, il y aura donc automatiquement une forme inégalitaire qui se produira. C'est pour ceci que le communisme est incompatible avec toute société moderne et comme il est dit plus haut ce ne sera plus du communisme mais un genre de socialisme, et ce communisme sera non seulement une dictature mais aussi une anarchie qui ne respectera en rien les voeux de l'humain.
  7. Je pense que vous devriez lire tous les liens apportés sur ce sujet, des liens variés et même des paroles et des phrases de Marx lui même. Visiblement vous ne tenez compte de rien du tout, de tous les efforts, de toutes mes recherches, ceci est à la fois navrant mais classique car vous êtes une personne emprunte du communiste et vous avez une vision clôturée de la politique. Apprenez, lisez, je peux effectivement vous rendre vos métaphores. J'ai répondu à vos questions, mais je vois que vous cherchez à vous défilez. Que pensez-vous par exemple quand on dit que le marxisme ne respecte pas les droits de l'homme ? Ce n'est pas moi qui le dit comme vous avez pu le constater. J'attends votre raisonnement sur ce sujet car ceci m'intéresse beaucoup, surtout venant d'une personne marxiste. C'est en plus rare de nos jours, je profite donc de cette situation.
  8. :smile2: Je me suis ennuyé à faire des recherches car vous vouliez que je prouve mes dires, et voici donc votre conclusion ? Avouez que le marxisme dont vous prospérez n'est qu'une insulte humaine?
  9. Leste

    Existe-il des sous métiers ?

    On est toujours le sous-métier de l'autre qui l'autre est notre sous-métier.
  10. Leste

    Existe-il des sous métiers ?

    Les sous-métiers ont surtout une connotation personnelle, dans le sens de sous-échec au sens propre. De ne pas être celui dont on aurait voulu être.
  11. Un autre axe de critique majeur, apparu dès le XIXe siècle, porte sur la possibilité d'existence d'une économie communiste. Pour les théoriciens de la rationalité comme pour les penseurs libéraux (Mises et Hayek), l'absence de salaires ou de prix rendent l'offre et la demande inopérantes, et donc inutilisables pour déterminer l'allocation des biens répondant aux demandes des populations. De tels critiques affirment qu'en l'absence de système de prix, les individus accapareraient davantage de biens qu'il ne leur en faut, au détriment d'autrui qui peut en avoir plus besoin et le manifestent en y mettant un prix plus élevé, et ne tenteront plus de produire au-delà de ce dont ils ont besoin, le surplus leur coutant un effort sans contre-partie, ce qui les mènerait à l'inefficacité. Les tenants du rationalisme estiment que les penseurs communistes ignorent qu'il est nécessaire d'inciter les gens à produire des biens de consommation pour qu'ils deviennent des acteurs sociaux productifs. Au contraire, les théories communistes, postulant un état d'abondance dans lequel chacun doit bénéficier de ce dont il a besoin et contribuer à la mesure de ses possibilités, n'inciteraient nullement les gens à ne pas prendre ce qu'ils veulent plutôt que ce dont ils ont besoin.
  12. Le communisme c'est 100 millions de morts. (merci Ad. pour ce lien) http://www.causeur.fr/communisme-100-millions-marxisme-23626.html# Le communisme, au sens marxiste – et donc canonique – du terme, c’est une société où les classes sociales ont été abolies, une société débarrassée de la propriété privée des moyens de production mais aussi une société sans État. Le communisme, c’est une forme d’anarchisme et vous conviendrez avec moi que des régimes comme celui de l’ex-URSS, de la Chine maoïste ou de l’actuelle Corée du nord ne cadrent pas du tout avec cette définition. Pour bien comprendre, il faut en revenir aux canons de l’historicisme et de la théorie économique marxiste1. Le système de domination capitaliste, qui fait suite à la société antique et au système féodal, est appelé à s’effondrer de lui-même, sous le poids de ses propres contradictions, et à céder le pas à la société communiste. Pour faire court, le raisonnement de Marx est le suivant : la valeur de toute chose découlant du travail nécessaire à la produire2, il suit que, pour réaliser des profits (plus-values), les capitalistes spolient les prolétaires en les obligeant à réaliser un surtravail. D’où l’idée de l’exploitation des masses prolétariennes. Pour maintenir leurs profits, c’est-à-dire prévenir une hausse des salaires, les capitalistes sont contraints d’accroître constamment leur stock de capital constant (i.e. les machines) ce qui, toujours en vertu de la théorie de la valeur-travail, entraîne une baisse la valeur de la production et donc, la fameuse baisse tendancielle du taux de profit et donc, l’effondrement inévitable du système3. À la fin de l’histoire, tout le capital est concentré dans quelques mains tandis que l’immense majorité ne survit qu’avec le minimum vital : la révolution est donc une conséquence logique et inévitable du capitalisme. Toute la question est alors de savoir comment organiser la transition vers le communisme : abattre l’État bourgeois, c’est une chose ; provoquer l’avènement de l’Homme nouveau, débarrassé des réflexes capitalistes et bourgeois, c’en est une autre. Pour Marx et ses successeurs, il faut donc créer une phase transitoire, une dictature du prolétariat : un système dans lequel un État central fort organise la collectivisation des moyens de production et traque sans relâche les forces réactionnaires. Cette phase transitoire, en un mot, c’est le socialisme. Le socialisme, dans l’esprit des communistes, c’est donc la phase inférieure du projet, une étape intermédiaire entre la révolution violente proprement dite et l’avènement du communisme ; une étape qui durera juste le temps nécessaire à « l’avant-garde des opprimés » pour « mater les oppresseurs » (Lénine). Au bout de quelques temps, 20 ou 30 ans selon Boukharine, les dernières traces du régime capitaliste auront disparu et cet État prolétarien, devenu obsolète et inutile, disparaîtra de lui-même. Ce sera alors la fin de l’histoire et l’avènement du communisme proprement dit. C’était l’idée. Seulement voilà, cette dernière phase de dépérissement de l’État prolétarien n’a jamais eu lieu. Toutes les tentatives d’avènement du communisme se sont invariablement soldées par la sanctuarisation d’un État totalitaire où « l’avant-garde des opprimés » s’est muée en avant-garde des oppresseurs. Les Staline, les Mao, les Pol Pot et les autres n’étaient, manifestement, pas particulièrement pressés d’abandonner leurs prérogatives. C’est en ce sens que nos communistes modernes ont raison : le communisme, à l’exception, peut-être, de quelques tribus isolées au fin fond de l’Amazonie, n’a jamais existé. Quel que soit le chiffrage que nous retenons pour évaluer l’ampleur des horreurs commises par les régimes totalitaires qui s’en sont réclamés, c’est le socialisme qui est coupable et pas le communisme.
  13. Voici un lien qui résume assez bien le communisme : http://fr.wikipedia.org/wiki/Critiques_du_communisme
  14. Je rappelle aussi à Louise Aragon que la propriété privée c'est aussi l'entreprise : La propriété privée correspond au droit d’user, de jouir et de disposer d’une chose de manière propre, exclusive et absolue sous les restrictions établies par la loi. Il s'agit de la propriété qui appartient en propre à un individu, ou à plusieurs personnes privées, ou encore, depuis le XXe siècle, à une entreprise ou une autre personne morale. La déclaration universelle des droits de l'homme dispose que « toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété » http://fr.wikipedia.org/wiki/Propri%C3%A9t%C3%A9_priv%C3%A9e Le marxisme tout comme le communisme ne respectent absolument pas ce paramètre.
  15. Pour résumer : Le marxisme et le communisme comme on l'a connu sous Lénine, Staline etc.. ne pourra plus jamais réapparaitre car c'est contre les droits de l'homme d'interdire tout individu à accéder à la propriété privée. C'est d'ailleurs bien pour ceci que Mélanchon par exemple avec son front de gauche ne peut parler de véritable communisme. http://fr.wikipedia.org/wiki/Propri%C3%A9t%C3%A9_priv%C3%A9e Tous les pays au monde qui pratiquent ou qui ont pratiqués le communisme sont les pays qui saccagent le plus les droits de l'Homme. En pôle position on retrouve la Corée du nord. Un peu plus loin on retrouve d'autres pays communistes ou ex communistes comme Cuba, mais aussi la Chine et Russie. http://fr.wikipedia.org/wiki/Droits_de_l%27homme_en_Cor%C3%A9e_du_Nord http://fr.wikipedia.org/wiki/Politique_%C3%A0_Cuba#Situation_des_droits_de_l.27homme http://fr.wikipedia.org/wiki/Droits_de_l%27homme_en_R%C3%A9publique_populaire_de_Chine http://fr.wikipedia.org/wiki/Droits_de_l%27homme_en_Russie Car ils veulent tout simplement répartir la richesse en la volant à la bourgeoisie mais aussi à la petite bourgeoisie. Les classes pauvres et certaines classes populaires pensent que l'égalité des droits c'est de répartir la richesse, seulement c'est aussi voler les plus riches et ceux qui ont réussit à accéder à la propriété privée par le travail. C'est donc une forme d'usurpation, de vol et forcément faite de violence.
  16. Je peux vous démontrez point par point si vous le souhaitez, mais je devrai prendre différentes sources : 1. Le marxisme c'est la suppression d'état : Puisque l'État est une machine répressive qui va à l’encontre des libertés, il faut la suppression de l’État, condition incontournable pour l'avènement d'une société égalitaire et juste. http://fr.wikipedia.org/wiki/Marxisme#La_place_de_l.27.C3.89tat 2. Le marxisme c'est la suppression du patronat et de la bourgeoisie. Karl Marx l'a dit : « Le prolétariat se servira de sa suprématie politique pour arracher petit à petit tout le capital à la bourgeoisie, pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l'État, c'est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante, et pour augmenter au plus vite la quantité des forces productives. » K. Marx & F. Engels, 1847. La dictature du prolétariat, selon Marx, est la phase transitoire qui permet d'accéder ensuite au communisme, lorsque toutes les classes de l'ancien mode de production auront disparu, ou se seront soumises au prolétariat (ont fondu dans le prolétariat). Il faut donc que le prolétariat soumette les anciennes classes à sa volonté, fasse disparaître la propriété privée des moyens de production, et s'assujettisse tous les rouages de la société. Car le prolétariat, toujours selon Marx, est la seule classe révolutionnaire jusqu'au bout. Il est le seul à pouvoir susciter une nouvelle société sans exploitation de l'homme par l'homme http://www.marx21siecle.com/dictatureproletariat.php 3. Le marxisme c'est la décroissance : Je pense inutile de mettre des liens sur les pensées du capitalisme de Marx. Marx était un anti-capitaliste, le capitalisme a pour objectif une croissance rapide, Marx était contre ce procédé car pour lui et je cite : « le salarié qui produit le capital et le fait fructifier » Dans son oeuvre, critique du programme de Gota, Karl Marx reprend la phrase de Louis Blanc : « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins » qui veut dire selon Louis Blanc : « L'égalité n'est donc que la proportionnalité, et elle n'existera d'une manière véritable que lorsque chacun [...] produira selon ses facultés et consommera selon ses besoins. » Marx a donc repris cette pensée et voit le marxisme ainsi, pour lui le travail ne doit pas être une plus-value. Marx lui-même considère le lien entre profit, intérêt, rente et plus-value, et celui entre plus-value et surtravail comme l'une de ses plus grandes conquêtes théoriques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Plus-value_%28marxisme%29 Ainsi donc : Décroissance forcément et incompatible avec le monde actuel de globalisation. 4. Le marxisme c'est l'anarchie : De nombreuses oeuvres mettent une corrélation étroite entre le marxisme et l'anarchie : Yvon Bourdet en fait d'ailleurs référence dans son livre Karl Marx et l'autogestion : https://bataillesocialiste.wordpress.com/2010/10/29/karl-marx-et-lautogestion-yvon-bourdet-1971-1/ Tout comme Maximilien Rubel dans son oeuvre : Marx théoricien de l'anarchisme. http://www.zones-subversives.com/article-marx-penseur-de-l-anarchie-selon-rubel-88612766.html 5 : Le marxisme c'est l'initiation au brouhaha et à une société désorganisée : Quand je dis ceci je fais référence à tout ce que j'ai dit auparavant mais surtout au fait que si à l'heure actuelle le marxisme devait arriver dans notre société, il y aurait violence, désorganisation, les propriétés privées seraient détruites, et faut-il encore rappeler que la propriété privée fait partie intégrante des droits de l'homme. Le marxisme détournerait donc les droits de l'homme tout comme le communisme continue à le faire dans sa forme. Lisez attentivement cette source Louise Aragon qui dit que le marxisme est contraire aux droits de l'homme : http://unesdoc.unesco.org/images/0015/001573/157395fb.pdf Mais aussi : http://www.ipeut.com/droit/droit-civil/409/la-critique-marxiste-des-droit92417.php Selon Claude Lefort en effet — et comment ne pas le suivre sur ce terrain ? — si dans les régimes totalitaires de l'Est l'homme se trou « dissocié de l'homme et séparé de la collectivité comme il ne le fut jamais dans le passé ce n'est certes pas parce qu'il est assigné aux limites d'une vie privée, au statut de monade, parce qu'il jouit du droit d'avoir opinions, libertés, propriété et sécurité, mais parce que cette jouissance lui est interdite »3. Aussi Lefort élè-t-il contre l'interprétation marxienne des Déclarations trois objections qui semblent difficilement récusables : — Tout d'abord, Lefort reproche à Marx de s'être lui-même laissé prendre au piège de l'idéologie bourgeoise et d'avoir fait une lecture encore superficielle des Déclarations en s'en tenant à l'apparence : « Marx tombe et nous attire dans un piège qu'il a été, dans d'autres occasions, mais aussi à d'autres fins, fort habile à démonter : celui de l'idéologie. Il se laisse faire prisonnier de la rsion idéologique des droits, sans examiner ce qu'ils signifient dans la pratique, quel boulersement ils impliquent dans la vie sociale »4. — C'est là ce qui explique le fait que Marx est contraint de passer sous silence les articles de la Déclaration qui, manifestement, sont incompatibles ac sa lecture en termes d'égoïsme radical, et notamment les articles 10 et n qui affirment non seulement la liberté d'opinion, mais aussi « la libre communication des pensées et des opinions » : « Faut-il que Marx soit obsédé par son schéma de la révolution bourgeoise pour ne pas voir que la liberté d'opinion est une liberté de rapports, que c'est le droit de l'homme, l'un de ses droits les plus précieux, de sortir de lui-même et de se lier aux autres par la parole, l'écriture, la pensée »', bref, pour négliger le fait que les Déclarations ouvrent la possibilité d'un vérile « espace public » dont la portée transcende de loin les intérêts supposés de la bourgeoisie ? — Enfin, et ceci est essentiel, Lefort dénonce très justement les présupposés de la critique selon laquelle les droits évoqués dans la Déclaration seraient purement formels et anhistoriques — formalisme et anhistoricité qui auraient bien évidemment pour fonction de masquer les intérêts très concrets et très historiques de la classe bourgeoise. Or cet argument, qui sert de fondement à la distinction marxiste des droits formels et des droits réels, évoque étrangement ceux déjà mobilisés par les contempteurs les plus réactionnaires de la Révolution française : il manque cette idée, centrale pour comprendre vérilement la finalité des droits de l'homme, qu'une certaine « indétermination » est indispensable à leur portée critique. C'est en effet parce qu'ils ont une visée unirselle, donc abstraite, que ces droits peunt servir, aujourd'hui encore, de références à des luttes sociales et politiques dont la réalité historique peut par ailleurs être tout à fait dirse : « Les droits de l'homme étant déclarés, surgit, dit-on, la fiction de l'homme sans détermination. Toute la critique d'inspiration marxiste, mais aussi conservatrice, s'engouffre dans cette fragile citadelle pour la démolir. Joseph de Maistre proclamait ainsi : j'ai rencontré des Italiens, des Russes, des Esnols, des Anglais, des Français, je ne connais pas l'Homme; et Marx jugeait qu'il n'était d'hommes que concrets, historiquement et socialement déterminés, façonnés par leurs conditions de classe. Ac moins de talent, nombre de nos contemporains continuent de se gausser de l'humanisme abstrait ». Si l'anarchisme et le marxisme ne parviennent ni l'un ni l'autre à accorder un statut cohérent aux droits-libertés, c'est donc bien parce que, animés par le projet d'une suppression réelle de la division société-Etat, ils abolissent en même temps la principale condition de possibilité de ces droits. Si le libéralisme, en tant que théorie des limites de l'Etat, apparait, en revanche, comme le lieu naturel de ces droits-libertés, il n'est pourtant pas certain que la fondation qu'il en donne soit elle-même exempte de toute difficulté. Comme nous le suggérions en avant-propos, la pensée libérale, dès l'origine, est trarsée par ce que l'on pourrait nommer une tentation « économiste » et historiciste déjà repérable chez les « pères fondateurs » américains, mais dans une certaine mesure aussi dans le libéralisme français, et qui resurgit aujourd'hui ac une netteté, voire une naïté surprenantes dans le néo-libéralisme d'un Hayek, sous la forme d'une prétention à déduire littéralement le juridique de l'économique. Il est clair, d'autre part, que sur le second rsant des droits de l'homme, les droits-créances, le libéralisme, et ce aussi dès l'origine, adopte une position radicale d'hostilité. C'est donc quant à son attitude face aux deux types de droits de l'homme qu'il nous faudra maintenant interroger la tradition libérale.
  17. J'ai étudié les différents régimes durant mes études. Si vous ne comprenez pas que le marxisme est la suppression de l'état, la suppression du patronat et de la bourgeoisie, l'objectif de la décroissance, l'anarchie et donc forcément l'initiation au brouhaha et à une société désorganisée c'est que vous n'avez pas compris vos lectures de Marx. Marx n'est vraiment pas une référence, c'est d'ailleurs pour ceci que ce régime ne s'est jamais réellement impliqué car il est mènerait littéralement à une société non seulement appauvrie, mais sans aucun repère. Tous les pays dans leurs histoires qui ont vécu sous un régime communiste se sont appauvris, isolés du monde. D'ailleurs même Marx à la fin de sa vie ne croyait pas à son marxisme. Il le disait lui même : "Je ne suis pas marxiste". C'est comme ceci que vous aimerez voir l'avenir ?
  18. Renseignez-vous sur le marxisme. Il y a énormément de liens sur internet.
  19. Dans notre système actuel il y a tout de même une partie non négligeable de la société qui vit avec des revenus satisfaisants. Je doute fortement que ce soit et que ce sera le cas avec le communisme. Mélanchon proposait un SMIC à 1700 €, ceci étant jugé comme peu concevable de la part des économistes, ce serait un coût insupportable pour les PME.
  20. Le marxisme est une bonne blague incompatible à toute société et qui ne verra jamais le jour. C'est un peu comme si on décidait de ne faire plus qu'une grosse maison sans chef de famille, sans mur et d'y faire vivre tout le monde dedans et que chacun y contribue. Le résultat on le connait déjà : monde désorganisé (pour ne pas dire bordel), conflits multiples (pour ne pas dire guerre), règlement impossible à mettre en place. En gros le marxisme c'est la cité, Un monde sans loi, sans règle, un bordel.
  21. Vous vous trompez bien, toute l'histoire du communisme a été du fanatisme. Le communisme c'est une dictature, le partage des biens et de la richesse s'est toujours fait par la violence, de plus tout l'histoire du communisme a démontré que ce partage était totalement inégalitaire.
  22. Je doute que ceux qui aiment bosser aillent bosser pour rien de plus... Me concernant je bosse plus de 40 heures par semaine, ça me va très bien, merci de votre inquiétude.
  23. DSK aime les femmes et le pouvoir certes. Je pense qu'il aime aussi faire l'amour avec une certaine violence, sans doute que ceci l'excite justement d'avoir le contrôle de la situation. Par contre on peut très bien aimé la violence sexuelle ce qui n'est pas interdit si notre partenaire l'accepte aussi, et ne pas être un violeur. Ce sont deux choses bien différentes et qui ne sont pas à comparer à mon avis. C'est encore là dessus que je dirais que j'ai des doutes, je ne pense pas que DSK soit un violeur, quand on a de l'argent on pas besoin de violer l'autre, ce serait un peu comme si un millionnaire venait à voler, ce serait pas très logique mais pas impossible non plus, tout peut l'être, un humain a beaucoup de secrets. Après concernant les nombreux témoignages, j'ai aussi des doutes, l'appât du gain mène tout homme et toute femme au mensonge.
  24. On a l'impression que ce jugement est un cours sur la prostitution. Je trouve vraiment dommage que la France s'abaisse à ceci et essaie de faire passer comme message que la prostitution est forcément liée au proxénète. Combien de prostituées en France le font en leurs âmes et consciences ? Si il y a des prostituées ceci veut dire aussi qu'il y a des femmes qui font cette activité pour vivre pour faire vivre leurs enfants, pour avoir un revenu, elles ne sont pas forcément obliger de le faire avec un couteau sous la gorge comme ce procès essaie de le démontrer à tort. La prostitution est et restera en France qu'on le veuille ou pas, des femmes le font pour vivre, si certaines le font à contre coeur, si certaines le font aussi avec un couteau sous la gorge ça ne veut pas non plus dire que c'est une généralité, il y a des femmes qui aiment aussi se prostituer. En Allemagne, les prostituées sont déclarées comme telles, en Allemagne prostituée est un métier et certaines font ce métier depuis des années. En Espagne c'est la même chose même si là bas il y a tout de même énormément de réseaux proxénètes.
  25. Sinon pour répondre à la question : Le retour du communisme est toujours possible dans notre société, ne jamais crier jamais. Ce serait évidemment une catastrophe pour la France. Admettons que demain la France devienne communiste, d'une part ce serait le retour à grande échelle des services publics ou tout serait sous le contrôle de l'état même le moindre commerce à proximité. Qui dit contrôle ferme et stricte dit forcément dictature car toute l'histoire du communisme est basée sous la dictature, aucun pays communiste au monde n'a pour l'instant pu créer une politique sans y faire une forme quelconque de dictature. C'est quoi la dictature : La dictature désigne un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu'aucune loi ou institution ne les limite1. La dictature est donc synonyme de régime autoritaire. Définition wikipédia. Qui dit donc régime autoritaire, dit autorité, rien d'étonnant donc à ce qu'un pays communisme vive sous les parades militaires ou encore sous l'espionnage des moindre faits et gestes comme c'est toujours le cas en Russie. Le communisme c'est aussi le partage de la richesse, mais ce partage est forcément inégal car c'est l'état qui décide comment partager cette richesse. En Chine par exemple, l'état chinois a surtout répartit cette richesse au sein des villes, résultat, les petits villages vivent complètement dans la pauvreté et les habitants des grandes villes vivent dans la modernité chinoise. C'est le même constat en Russie ou encore en Corée du Nord, d'ailleurs si vous allez visitez la Corée du Nord, vous ne pourrez pas allez partout seulement dans la capitale développée, le reste du pays étant dans une pauvreté absolue. Le partage de la richesse sera donc fait de manière grotesque, La France préfèrera privilégier certains endroits plus touristiques, plus vivants au détriments d'autres. Ca l'est déjà d'ailleurs fait actuellement mais je pense que sous un régime communiste, cette constatation sera encore plus forte. Sous un régime communiste la France s'appauvrira, sauf si l'économie du pays reste libérale comme le fait la Chine. Mais sinon un pays communiste avec une économie communiste n'a pas pour but de s'enrichir, donc résultat le pays vivra sans chercher à aller plus loin, les gens feront leur travail sans chercher à en faire plus. Il y aura beaucoup moins de motivations à travailler car il y aura rien de plus à la fin du mois, la société sera triste, sans âme, un peu comme les coréens du nord qui attendent des heures leur bus et qui ne cherchent pas à s'affoler (et pourquoi faire ? Dans quel but ?). Il y aura donc forcément des gens qui essaieront de gagner plus d'argent, ces personnes seront matraquées, suivies car ce sera évidemment la dictature. De même l'économie en baisse entrainera donc inévitablement des suites sur le plan économique, notre époque vivant sous la mondialisation les denrées alimentaires et de tous les jours seront donc beaucoup plus chers pour le consommateur. Plus de dépressions, plus de suicides, moins de liberté, notamment de libertés d'expressions car le communisme c'est aussi ceci : L'interdiction de se rebeller contre son gouvernement mais aussi l'interdiction d'essayer de se différencier des autres. Une société de clones donc. Et au final, l'inégalité sera toujours très présente, et ceci ne changera en rien du capitaliste, au lieu que les riches soient des privés, les riches seront des ministres, des présidents du gouvernements, des politiciens divers, des amis des ministres et des présidents etc... Club très fermé de l'élite. Pendant que la société devra se contenter d'un fixe mensuel pour juste pouvoir vivre sans pour autant pouvoir se faire plaisir. C'est l'histoire du communisme, il suffit de voir en Russie, en Chine, en Corée du Nord, il y a de très gros milliardaires. Ceci me fait d'ailleurs sourire quand on me dit stop au capitaliste car ceci entraine trop d'inégalités, dans les pays communistes c'est encore pire... Le reste de la population communiste a le minimum vital et la joie de vivre en moins. Je sais pas vous ? Mais me concernant je préfère gérer mon argent par moi même plutôt que le faire gérer par le gouvernement surtout quand on voit les dégâts que font le gouvernement avec notre argent. Vouloir une société communiste c'est vouloir une société assistée, ça va bien pour les gens simples.
×