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azed1967

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Tout ce qui a été posté par azed1967

  1. à deux minutes trente le fils de ben laden le dit clairement que son père était lié au 11/9
  2. al qaida et le fils de ben laden disent que c'est bien eux qui ont fait le 11/9
  3. tu rajoute noé le père et ça fera 4 têtes
  4. Morales a souligné que le nombre d’Européens en Amérique Latine avait considérablement augmenté au cours des dernières années. «Les taux de chômage croissants en Europe sont un signal très alarmant. C’est pourquoi le nombre des Européens arrivés en Amérique Latine et dans les Caraïbes augmente», a déploré le président bolivien. Selon une étude publiée en juin par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), c’est la première fois depuis 14 ans que le nombre des Européens se déplaçant en Amérique Latine (près de 180 000 en 2012) est plus élevé que celui des Latino-américains qui déménagent à destination de l’Europe. Evo Morales a noté que l’Amérique latine n’avait «jamais utilisé la loi pour expulser [les Européens] de nos pays. Nous n’avons jamais construit d’infrastructure pour y emprisonner les Européens. C’est de là que viennent nos profondes différences». Le président bolivien a encore souligné l’importance de l’égalité sociale, en disant que cela est aussi important que la paix dans le monde entier. Il aussi appelé l’Union européenne à créer des programmes sociaux pour combattre la pauvreté. http://francais.rt.com/international/3269-evo-morales-debarrassez-etatsunis et macky sall du sénégal Immigration : Macky Sall avertit l’Europe que "la barricade ne suffira pas" « Nous ne pouvons pas accepter qu’on traite l’Afrique avec mépris » « L’attitude de l’Europe par rapport à ces flux massifs peut sans doute se comprendre sous un certain angle mais, en même temps, il y a quelque chose qui me choque dans cette distribution de quotas, puisque entre l’Afrique et l’Europe, c’est une vieille histoire qui n’a pas commencé maintenant. Il ne faut quand même pas qu’on oublie tout ce qui a lié ces deux continents. Je ne suis pas partisan du rappel de l’histoire, puisque nous devons aller de l’avant, mais nous ne pouvons pas non plus accepter qu’on traite l’Afrique avec mépris. Nous ne pouvons plus accepter ce genre de comportement ni de discours. Ce continent a trop payé pour des bêtises de l’humanité à travers la traite négrière, la colonisation. Nos ressources continuent encore à être pillées. C’est le sens de mon discours au G7 », a réagi le Président sénégalais quant aux quotas d’accueil établis et aux difficultés d’obtention de cartes de séjour des Africains en Europe. « Il faut mettre fin à l’injustice dans les relations d’affaires » « Car même si nous avons des ressources, les contrats et les codes qui déterminent et qui régulent les secteurs des hydrocarbures et des mines ne permettent pas aux pays africains d’avoir des ressources financières à la hauteur de leurs potentialités. Donc, indépendamment des questions de corruption et de démocratie, il y a, fondamentalement, une question d’injustice que l’Afrique pose aujourd’hui sur la table et exige qu’il y ait plus d’équité afin justement qu’en retour, elle s’occupe elle-même du développement du continent. http://www.afrik.com/immigration-macky-sall-avertit-l-europe-que-la-barricade-ne-suffira-pas j'aimerais voir la création à l'image du visa schengen , un visa "afro" et "latino" qui ont les mêmes contraints que celui de shengen
  5. un article récent qui parle des italiens en france Rien de changé depuis l'immigration des Italiens fin du XIXè 07 juin 2015 L’immigration Italienne ne fut pas "bien reçue". Quand j’ai l’occasion d’en faire mention autour de moi, on me répond « c’était différent ils étaient catholiques » ! Les Français ne retiennent de leur histoire que ce qui les arrangent. Et si on a le malheur de comparer le traitement actuel des Maghrébins avec celui des Italiens, on a l’air de commettre un crime de lèse-majesté ! Dans la bibliothèque de ma ville j’ai trouvé un petit livre de 80 p. qui relate l’émigration d’une nourrice piémontaise (Une nourrice piémontaise à Marseille, Catherine Blanc, Ed. Les Alpes de Lumière)J’en ai extrait ce qui suit : « Confondue dans l’épopée gigantesque de toutes les émigrations de masse, l’histoire de chacun des émigrés de toute origine et de toute période a, presque toujours, laissé place à des histoires de grandes dimensions dans lesquelles il est difficile de retrouver, dans le témoignage d’une vicissitude collective, les différentes phases d’une histoire personnelle. (…) C’est dans le cas de l’émigration des Piémontais en France qui se situe entre la fin du XIXè et le début du X siècle, un exode que l’histoire officielle a presque entièrement gommé(…) Il s’agit pourtant d’un mouvement de population, transfrontalier ou permanent, qui a eu pour protagonistes quelques millions d’individus, presque un « exode biblique » d’hommes et de femmes à la recherche d’un avenir de survie et de travail que leur pays natal, l’Italie, ne leur offrait pas.(…) A partir des montagnes, des collines et des plaines de l’Italie entière, du Nord et du Sud des hommes et des femmes se jetaient dans une aventure, seuls ou par famille entière, humiliés et avilis par le sous-développement de leur patrie et par leurs conditions personnelles qui les rendaient, toujours, ou presque toujours, des « parias » dans leur nouvelle situation. L’absence de capacités professionnelles et le fait de ne pas savoir ni lire, ni écrire, en italien comme évidemment en français, étaient autant d’obstacles auxquels ces hommes et ces femmes ont dû faire face. Leurs histoires restent encore à écrire : seules quelques recherches ont donné des éclairages révélateurs sur cette présence de ces « nouveaux venus » qui, chaque année, se présentaient, par dizaines de milliers, aux frontières françaises en quête d’un travail et d’un avenir et que plusieurs parmi les habitants du lieu considéraient des intrus, voire des malvenus. Voici, par exemple, la description de l’arrivée des Italiens par bateau : »(…) Encore tous transis d’une nuit glaciale et d’une matinée presque froide, les gens qui étaient là, parqués comme un bétail dans l’entrepont, avaient l’air de se dégeler au contact de la bonne chaleur automnale. Les hommes gesticulaient et vociféraient en des dialectes divers. (…) Après avoir fauché les foins et les blés, arrachés le maïs, cueilli le raisin, gaulé les châtaignes et les noix dans les champs du pays natal, ils s’en allaient, selon leur coutume, passer l’hiver à Marseille. (…) Les riches plaines qui se déployaient (…) ils y avaient séjourné en qualité de manœuvres agricoles, de terrassiers et d’ouvriers d’usine. Brutaux, loquaces et vantards, ils tendaient leurs bras vers la terre vermeille, avec des gestes de possession…» « famille-emigres-italiens.jpg Maintenant "leur réception" en France : Le romancier Louis Bertrand décrit : « Les Piémontais se trouvaient, en majorité, facilement reconnaissables à leurs feutres hyperboliques et à leur foulard d’un rouge cru. De tenue plus discrète et plus citadine, les Toscans et les Romagnols formaient aussi un contingent respectable…la grande foule houleuse et bigarrée de l’invasion italienne, où sonnaient tous les dialectes de la Péninsule. De loin en loin, quelques provençaux de pure race, reconnaissables à la finesse de leurs traits et à la jolie couleur blonde de leurs moustaches, coudoyaient les gars du Piémont, aux pommettes rouges et à l’encolure de taureaux... » Il existerait un dessin paru dans Le Charivari, le 12 janvier 1856, son titre « L’invasion » d’Honoré Daumier, qui représenteraient les Italiens comme des chiens éthiques qui violent la vie et la tranquillité des Français, introuvable sur le net. J'avais fait paraitre ceci sur mon blog le 5/04/2010 http://www.penseelibre.fr/traitement-des-immigres-italiens-fin-du-xixe-dans-la-belle-provence Cette concurrence dans le travail ne tarda pas à susciter des querelles, et, partant, une vive xénophobie, preuve que l’homme ne retient jamais les leçon de l’Histoire. La population française s’accroissait de façon très moyenne, tandis que les industries et les travaux publics faisaient face à un progrès vertigineux. La France était donc à la recherche d’une main-d’œuvre abondante. Or, le fait que les ouvriers italiens acceptaient des salaires médiocres était très mal vus par leurs collègues français et la réputation d’Italien «briseur de salaire» était communément répandue, à tel point que, pour l’ouvrier français, l’immigration italienne était une cause de la misère et du chômage. Les patrons français ne s’y trompaient pas et avaient beau jeu de proposer des salaires misérables à des hommes affamés. On trouvait dans leurs bouches des propos forcément élogieux : « [Les Italiens] se distinguent des autres ouvriers par leurs habitudes d’ordre et leur sobriété. (…) Ils sont en général laborieux, vivant de peu (…) plus dociles que nos nationaux, font volontiers des quarts d’heure et même des demi-heures en sus de la durée réglementaire. http://www.geneprovence.com/limmigration-italienne-en-provence-au-xixe-siecle/ On les appelait "les Ritals", "les Macaronis" ou "les Babis". Arrivés en masse au XIXe et dans la première moitié du XXe siècle à Marseille et en Provence, les Italiens ont accompagné l'essor industriel et commercial de la cité phocéenne. Main-d’œuvre bon marché et corvéable, parfois utilisée par le patronat pour "casser" les grèves, ils ont constitué jusqu'à 25 % de la population marseillaise dans l'entre-deux guerres. On accuse en effet les "Babis" de tous les maux : incapables de s'intégrer, ils continuent de parler leur langue. Ils font également trop d'enfants, prennent le travail des Français et sont coupables de tous les crimes et délits. Des griefs qui font écho au discours actuel de l'extrême-droite, mais qui émane souvent à l'époque... de syndicalistes et de la gauche. "Les affiches ou des articles dans les journaux du début du siècle dernier sont d'une violence inimaginable : certains sont de vrais appels au meurtre" rappelle Ramzi Tadros. "Paradoxalement, les personnes issues de cette immigration l'ont oublié, comme si les aspects négatifs avaient été occultés de la mémoire familiale". http://www.metronews.fr/info-locale/marseille-au-temps-des-babis/pikw!5YU78qUBgXBPPhi92evahw/ Il nous est resté en mémoire quelques célébrités qui ont fait la gloire de la France : Émile Zola, Coluchi, Cavanna, Pierre Milza, … et aussi leur coutumes alimentaires : les raviolis (1), les pizzas, la soupe (minestrone) au pistou, la polenta (maïs), des fromages que nous avons adopté dans notre quotidien : parmesan, mozarelle, C'est à la fois l'actualité constante depuis un siècle et demi dirigée toujours contre les derniers arrivants, et l'annonce du livre de Blaz (De la visibilité migratoire: mon premier livre publié) qui m'ont inspirée de repéter toujours les mêmes choses… les humains étant ce qu'ils sont n'apprenant rien de leur expérience passée, dirait-on. http://blogs.mediapart.fr/blog/annie-stasse/070615/rien-de-change-depuis-limmigration-des-italiens-fin-du-xixe
  6. après les maghrébins au tour des roms chaque nouveaux venus a droit à un "baptême" et ceci concrne pas al de pays en europe pas que la france les italiens qu eje connais en belgique ont été parqués à leur arrivée dans des camps de prisonniers de guerre, des baraquements, je te conseille d'aller leur parler du passé raciste qu'ils ont vécu avant les maghrébins
  7. mais oui avant c'était mieux pas de racisme rien avant les arabes mémoire séléctive et très dangereuse
  8. il y a des arabes chrétiens et juifs pour info mais ça vous ne pouvez l'imaginez vous avez un esprit trop figé pour cela avant l'arrivée de l'immigration "arabe" les macaronis vous diront que VOTRE racisme était bien là comme je l'ai dit avant sur d'autres postes c'est pas l'islam le problème mais les arabes avant l'islamisation en europe les maghrébins étaient déjà mal vu et criminalisés, certains oui le méritaient mais ça s'est généralisé très vite avec en fond un contentieux historique (les croisades, l'andalousie,...) touche pas à mon pote a existé et c'était bien avant le voile ou les barbes ou niqab. que l'on devient chrétien ne changera rien du tout, c'est plus profond que ça !
  9. j'ai bien suivi l'histoire. le mahabaraahata relate une autre histoire dans l'image que j'ai posté, on voit trois têtes. sem, cham et japhet. les trois rois mages ailleurs. dans le mahabaharata. il y
  10. pour moi, et donc pour les arabes, par exemple, le mot " moute ou mat ou encore mats " = "la mort', or, en égypte antique "la déesse " maat" contribue à la mort. Maât Maât est, dans la mythologie égyptienne, la déesse de l'ordre, de la solidarité, de l'équilibre du monde, de l'équité, de la paix, de la vérité et de la justice. Elle est l'antithèse de l'isfet (le chaos, l'injustice, le désordre social, …). Symbolique Maât est une entité symbolisant la norme universelle : l'équilibre établi par le Créateur, la justice qui permet d'agir selon le droit, l'ordre qui fait conformer les actes de chacun aux lois, la vérité, la droiture et la confiance. Maât est toujours anthropomorphe, comme la plupart des concepts abstraits personnifiés : c'est une femme, en général assise sur ses talons, ou debout. Elle est la plupart du temps vêtue de la longue robe collante des déesses et porte leurs bijoux habituels. Maât confère aux autres dieux certaines de ses qualités, mais ne leur prête pas son aspect et ne prend pas non plus l'apparence d'autres divinités. Son attribut est la plume-nom (la même est portée par Shou). Elle tient souvent le signe de vie. L'élément de Maât est l'air et la couleur de sa peau est ocre jaune. Au-delà de cette première approche, le concept est un peu plus complexe. Maât est d'abord de dimension divine : elle est la mère de Rê dont elle est aussi la fille et l'épouse, elle est aussi la sœur mystique de pharaon, elle assure l'équilibre cosmique et c'est donc grâce à elle que le monde fonctionne de façon harmonieuse. Elle est également la lumière que Rê apporte au monde. De ce fait, elle est fondamentalement liée à l'institution pharaonique, le premier devoir de pharaon étant de faire respecter la loi de Maât dans toute l'Égypte. C’est pourquoi, sur les murs des temples, pharaon est représenté faisant l'offrande de Maât à une divinité : c’est dire que, dans ses actes, il se conforme aux exigences de la déesse. Ainsi, lorsque Séthi Ier, dans le temple d'Abydos, offre Maât aux dieux principaux, sous forme d'une statuette de la déesse, il leur démontre sa compétence ; en retour, les dieux lui procurent vie et domination (Osiris) et force victorieuse (Horus). La mission de pharaon relève de Maât : « in maât » (amener Maât, organiser le pays et assurer son unité), « der isfet » (repousser Isfet, notamment repousser les ennemis) ; la célèbre palette de Narmer transcrit cette double mission. On peut évoquer aussi l'hymne solaire du Moyen Empire : « Ré a installé le souverain sur la terre des vivants à jamais et à toute éternité de sorte qu'il juge les hommes et anéantisse Isfet. » — B. Menu Précisément, et c'est sa seconde dimension, terrestre celle-là, Maât est aussi l'expression sociale et juridique de l'ordre établi et le symbole de la justice et de l'équité. Dans les faits, c'est le rôle du vizir, qui porte le titre de « Prophète de Maât », que de rendre la justice au nom de la déesse et donc de pharaon qui l'incarne : « Pratique la justice et tu dureras sur terre. Apaise celui qui pleure ; n'opprime pas la veuve ; Ne chasse point un homme de la propriété de son père ; Ne porte point atteinte aux grands dans leur possession ; Garde-toi de punir injustement. » — F. Daumas Dans la pesée de l'âme, Maât, aussi légère qu'une plume, est le contrepoids du cœur qui doit être aussi léger qu'elle pour que le ka, l'âme du défunt, puisse accéder au monde des bienheureux. Elle est représentée par une femme coiffée de la plume d'autruche ou simplement par cette plume elle-même. À une époque plus tardive, « maât » signifie également la vérité ou la connaissance juste de soi. Culte Parfois, la Maât était représentée comme concept, comme une divinité de manière allégorique, cependant, elle était vivement présente dans les diverses mythologies de dieux égyptiens. La déesse Maât, apparaît représentée comme une dame debout ou assise, portant sur sa tête son symbole, la plume d'autruche verticale, portant un Djed, un ouash et une ânkh. Durant le règne d'Akhenaton, elle fut également représentée comme une femme ailée. Elle était vénérée dans le sanctuaire de Karnak, dans le temple de Deir el-Médineh et beaucoup d'autres temples égyptiens dédiés à d'autres dieux. Elle avait également un temple à Memphis. Mythologie Le principal hiéroglyphe qui la représente est une plume d'autruche en parfait équilibre. Ce symbole apparaît dans la représentation du jugement d'Osiris, au moment où était pesé sur une balance de deux plateaux, d'un côté, le hiéroglyphe de Maât (symbole d'harmonie et justice universelle) et de l'autre, le cœur du défunt (symbole de sa conscience). Si celui-ci pesait autant que le second, le défunt pourrait rester dans l'au-delà éternellement. Sinon, Ammout le dévorait. LaLa loi de Maât loi de Maât peut être retrouvée dans le chapitre 125 du livre des morts des Anciens Égyptiens, aussi appelée les « 42 lois de Maât », la « déclaration d'innocence » ou les « confessions négatives ». Celui qui est juste, qui vit dans la constante application des lois de la Maât est appelé Maakherou. C'est le cas par exemple de certains grands prêtres des temples1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma%C3%A2t
  11. je préfère la bande des six nez comme le kamasutra,... :smile2:
  12. les bnei menache ou fils de manassé, u ne des dix tribus perdus d'israel vivaient et vivent pour certains en core au nord est de l'inde comme le dit la carte du royaume gupta(yodehya) voici un extrait de l'article qui parle de ces tribus extrait : "Les tribus perdues à travers le monde, par le rabbin Josy Eisenberg Depuis leur exil en Assyrie, la trace des dix tribus de l’ancien royaume d’Israël semblait à jamais égarée.Un rabbin de Jérusalem affirme l’avoir retrouvée, parmi des peuples d’Asie centrale étrangement attachées à certaines coutumes juives. Les « Chiang-Min » Les « Shin-Lung » Les « Pachtounes » Les « Karenims » Les « Cachmiriens » 35 millions d’individus, disseminés entre l’Afghanistan, le Pakistan, le Cachemire, le Nord-est de l’Inde, les montagnes chinoises du Sichuan et la Birmanie appartiennent à la lignée des dix tribus d’Israël.' http://www.arcturius.org/chroniques/les-14-tribus-disrael-reparties-dans-le-monde-et-le-secret-de-la-fin-des-temps/ Moïse & Ramsès (Moses & Ra-Moses) Pourquoi le Peuple fut Elu : - Pourquoi le Peuple fut-il Elu ? Parce qu'il fut choisi, en tant que peuple étranger en Egypte, pour porter HORS du pays, préserver et faire régner un jour sur le Monde la nouvelle Foi : le Monothéisme. - Pourquoi porter hors d'Egypte cette nouvelle Foi ? Parce que le Peuple Egyptien, Polythéiste, ne voulait pas du Monothéisme, qui venait de plonger le pays du Nil dans la calamité. - Par qui ce Peuple fut-il Elu ? Par le successeur du Pharaon qui a inventé le Monothéisme intolérant, Akhenaton. - Comment se nommait ce successeur ? Il se nommait Aton-Aï, et fut brièvement pharaon après la mort d'Akhenaton. - Est-ce l'Adonaï de la Bible, le “Dieu le Père” de l'Exode ? Oui. En tant qu'oncle du pharaon/dieu Akhenaton, Aton-Aï était surnommé “Père Divin” par les Egyptiens. “Père Divin” : “Dieu le Père”. - Qui fut l'émissaire du Pharaon Aton-Aï auprès du “Peuple” qu'il “élisait” ? Il fut un homme issu de ce “Peuple Elu”, et en récompense de sa mission il deviendrait à son tour Pharaon 50 ans plus tard. - Sous quel nom ? Sous le nom de Ramsès Ier (Ra-Moses Ier). - Comment l'appelle la Bible ? Elle l'appelle par le même nom : Moses : Moïse. - Comment la Bible appelle-t-elle le pharaon Akhenaton ? Elle l'appelle Abraham. - Qui fut Néfertiti ? Elle fut la femme, la sœur, et la co-régnante d'Akhenaton. - Comment l'appelle la Bible ? Elle l'appelle Sarah. - Qui sont, au fond, Akhenaton et Nefertiti ? Ils sont les pères spirituels (et peut-être génétiques) des Juifs (en tout cas de leurs premières élites). « Les choses les plus simples sont souvent celles que les savants voient le moins. Ils vont chercher au loin, avec des fatigues infinies, l’erreur, et négligent la vérité qui est tout près d’eux. » Fabre d’Olivet, Linguiste, a mis en évidence la filiation de l’hébreu avec l’égyptien ancien. Comme la Bible a gardé mémoire d'un peuple de nomades Blancs, les Hébreux, Rois du désert et bergers venus de l'Est, entrés dans la Noire Egypte aux alentours du 2ème millénaire avant JC et réduits en esclavage 2 siècles après, l'Histoire a gardé mémoire d'un peuple de nomades Blancs, les Hyksôs, Rois du désert et bergers venus de l'Est, entrés dans la Noire Egypte aux alentours du 2ème millénaire avant JC et réduits en esclavage 2 siècles après. Comme la Bible a gardé mémoire d'une belle Princesse, Sarah, qui offrit une belle et jeune fille à son mari Abraham parce qu'elle-même ne pouvait lui donner un héritier mâle, et qui eut finalement le bonheur de lui en donner inopinément un, l'Histoire a gardé mémoire d'une belle Princesse, Nefertiti, qui offrit une belle et jeune fille à son mari Akhenaton parce qu'elle-même ne pouvait lui donner un héritier mâle, et qui eut finalement le bonheur de lui en donner inopinément un. Comme la Bible a gardé mémoire d'un Peuple Elu pour adorer un Dieu Unique (Adon), et qui vécut un Exode hors d'Egypte, l'Histoire a gardé mémoire d'un Peuple Elu pour adorer un Dieu Unique (Aton), et qui vécut un Exode hors d'une Capitale d'Egypte. Comme la Bible a gardé mémoire de Moïse, l'Histoire a gardé mémoire de Ramsès… METHODOLOGIE : Le texte qui suit est construit sur le commentaire de cartons/plaquettes mettant chacune en correspondance une figure ou un thème mythique du Judaïsme, avec son équivalent réel et prosaïque dans l’Egypte Antique. TRAVAIL GRAPHIQUE : Les photos que j’ai utilisées pour faire ces plaquettes comparatives viennent de google image search. PARTI-PRIS ORTHOGRAPHIQUE : J’ai volontairement orthographié les noms de pharaons Egyptiens en en détachant par des tirets les parties organiques, afin de mieux faire ressortir ces parties, et le sens distinct de chacune (dans l’esprit originel et indéniable de l’écriture hiéroglyphique, basée sur des rébus dont l’assemblage fait sens), et afin surtout de faire ressortir leur correspondance avec les alter-ego bibliques de ces pharaons (cette correspondance est, de plus, surlignée en vert). SUPPUTATIONS vs CERTITUDES : Dans ces plaquettes, les phrases en orange ponctuées d’un point d’interrogation rouge font part de mes supputations personnelles : elles manifestent des questions ouvertes, toujours à résoudre. Toutes les autres phrases expriment des faits indéniables et universellement reconnus ; qu’elles concernent l’univers biblique, ou l’univers de l’Egypte Antique. C’est la confrontation de ces faits qui est éclairante. Egyptologues, Judologues, Arianologues, Afrologues, Humains tout simplement, Si vous recherchez la réalité, il vous faudra passer par ce chemin. (par cette confrontation du mythe biblique avec l'Histoire égyptienne) Si vous cherchez le confort, restez chez vous. http://moiseetramses.tumblr.com/post/35295711046/pourquoi-le-peuple-fut-elu
  13. abraham et sarah brahma et sarasvati dans l'empire gupta en inde du nord il y avait un royaume de gupta yodehya yhodi est juif en arabe et hébreu voici la carte Les Secrets de l'exode Résumé Jadis, Freud avait pensé que Moïse n'était peut-être pas hébreu, mais plutôt égyptien. Depuis lors, les progrès de la recherche archéologique ont ratifié cette audacieuse hypothèse. Pour les auteurs du présent ouvrage, non seulement Moïse n'était pas hébreu mais Abraham ne l'était pas davantage. L'un et l'autre, de surcroît, étaient des pharaons. Les Hébreux ne furent jamais esclaves des Egyptiens et le « peuple élu » était tout simplement composé des habitants (égyptiens) de la ville sainte d'Akhet-Aton. Messod et Roger Sabbah montrent bien que la Genèse reproduit la cosmologie égyptienne, que l'alphabet hébreu tire son origine des hiéroglyphes égyptiens et que les personnages historiques de l'Ancien Testament sont en fait des personnalités de l'histoire égyptienne. En creusant l'histoire du monothéisme, les auteurs ont exhumé des épisodes fort romanesques : récits d'amour et d'aventures, de meurtres et de trahison, non exempts de fanatisme, qui se déroulèrent dans le grand royaume de la Vallée du Nil. Les Secrets de l'Exode nous convient à une lecture nouvelle de l'Ancien Testament et à la découverte de l'histoire véritable, incluse au sein de la tradition biblique. http://www.livredepoche.com/les-secrets-de-lexode-messod-sabbah-roger-sabbah-9782253154990
  14. ça vient de la genèse "tu gagnera ton pain à la sueur de ton front !" bonne journée
  15. je rajouterais les hyèroglyphes égyptiens
  16. :smile2: bon je ne contredis jamais un enfant et comme tu l'as dit avant au canada on te dit "saint",...
  17. ça devient du chinois ce poste, faudra une barrière pour contenir le fil du sujet.
  18. le jeu de mot est des inconnus (on mange chez toi ou chinois ?) :smile2:
  19. merci de m'avoir ouvert les yeux sur le mur de berlin, c'était pour les animaux, j'avais pas pigé à l'époqoue en 1989
  20. tu ne dois pas avoir d'amis chinois chez toi !
  21. bloquer les animaux alors que les chinois mangent pas mal d'animaux. bizarre raisonnement !
  22. en france pas en belgique ! pas mal de roumaine portent un voile style beandana ça par contre on en parle pas !
  23. un complément d'info ! Laïcité et neutralité ne sont pas synonymes Publié le jeudi 02 septembre 2010 à 04h15 - Mis à jour le jeudi 02 septembre 2010 à 09h18 Pendant longtemps, on a distingué la laïcité de la simple neutralité en opposant deux des pays qui les incarnent, à savoir la France et la Belgique. Selon cette thèse, la Belgique est devenue une terre de neutralité dans laquelle l’Etat et les Eglises sont mutuellement indépendants, mais sans que l’Etat poursuive un idéal de laïcité qui reléguerait la religion dans la sphère privée. L’Etat belge s’astreint au contraire à une stricte neutralité entre les différents courants philosophiques : il vise à leur assurer la plus grande égalité de traitement possible, sans s’interdire de reconnaître les institutions qui incarnent ces courants. Selon la même thèse, la France resterait au contraire une terre de laïcité, aussi bien en vertu de la loi de Séparation de 1905 que de l’article 1 er de la Constitution française. Cette option en faveur de la laïcité opposerait fortement la France à la Belgique en ce qui concerne l’expression du fait religieux dans la sphère publique, expression a priori interdite en France alors qu’elle est autorisée en Belgique. Cette vision qu’on peut qualifier de classique est battue en brèche, depuis plusieurs années déjà, par une thèse inverse, qui consiste à relire le cadre juridique de la laïcité française pour rabattre, en substance, la laïcité sur la neutralité. Selon cette interprétation nouvelle, qui tend à faire autorité, le droit français de la laïcité ne diffère que marginalement du droit belge, l’un et l’autre étant fondés, comme dans la plupart des démocraties, sur le double principe de la neutralité de l’Etat à l’égard de toutes les convictions et de la liberté des individus et des groupes d’exprimer ces convictions. Dans cette interprétation, le modèle français de la laïcité perd son tranchant anticlérical, et n’est plus synonyme de relégation du religieux dans la sphère privée : tout en conservant quelques spécificités, il se rapproche fortement du modèle de neutralité qu’on impute à la Belgique. Au plan juridique, la thèse du rapprochement est exacte : la France et la Belgique partagent dans ces matières un socle commun qui est bien plus important que ce qui les distingue. Mais cela ne signifie pas, pour autant, qu’il faille opter purement et simplement pour la seconde thèse au détriment de la première, et en particulier pour le rabattement du concept de laïcité sur celui de neutralité. Car s’il y a bien, au plan juridique, une quasi-identité entre ces deux notions, il n’en va pas de même au niveau des modèles de société qui sous-tendent les débats actuels : à ce niveau où se joue la dynamique des prises de position, laïcité et neutralité ne sont pas synonymes. Dans nombre de cas, le rabattement de la laïcité sur la neutralité n’est pas neutre. Quand il prend des accents idéologiques, il s’accompagne d’une bienveillance à l’égard du fait religieux (considéré comme une donnée anthropologique fondamentale), et d’une grande vigilance à l’égard de tout ce qui apparaît comme une agression antireligieuse, souvent interprétée comme un héritage des Lumières. La neutralité assignée à l’Etat prend alors la forme d’une stricte abstention, l’Etat étant suspect de vouloir interférer avec l’auto-organisation des cultes ou avec la pratique des individus. Mettre la neutralité de l’Etat en avant permet ainsi, pour certains, de préserver le statut particulier du fait religieux parmi les autres formes de la liberté de conviction. Symétriquement, dans nombre de cas, le refus de réduire la laïcité à la neutralité de l’Etat n’est pas neutre non plus. Le concept de laïcité permet de dresser l’Etat et certaines institutions publiques, comme l’école, en rempart contre les risques de cléricalisme, l’Etat, selon ce point de vue, devant être neutre, mais ayant aussi une mission : protéger les services publics, le champ politique et les individus contre les velléités de mainmise religieuse. Rester fidèle au concept de laïcité plutôt qu’à celui de neutralité traduit ainsi, chez certains, une méfiance à l’égard des phénomènes, sinon religieux, en tout cas cléricaux, soit une attitude inverse de celle qui conduit à privilégier le concept de neutralité. Si l’on accepte de pousser cet effort de clarification à son terme — et quoi qu’il en soit des évidentes limites d’un contraste binaire —, on peut résumer la différence entre "neutralité" et "laïcité" comme une différence entre liberté et émancipation. Alors que l’Eglise catholique, comme les autres cultes dominants, a vigoureusement condamné les libertés fondamentales jusqu’à la fin du XIXe siècle parce qu’elles consacraient le pluralisme philosophique, les Eglises se revendiquent aujourd’hui des droits de l’homme et, singulièrement, de la liberté de culte et de la liberté de conscience, libertés fondamentales qui protègent les religions de l’ingérence étatique. Le concept de neutralité (de l’Etat) est ainsi valorisé au même titre que celui de liberté (des Eglises et des citoyens), la liberté devant s’entendre ici non comme un principe de transformation sociale, mais comme un droit à l’autonomie des différents courants philosophiques et religieux. Ceux qui, à l’inverse, se revendiquent spécifiquement de la laïcité soutiennent aussi l’impératif de neutralité de l’Etat et les droits fondamentaux (qui sont au cœur du combat laïque contre le cléricalisme), mais ils les inscrivent dans un projet d’émancipation de la société et des mentalités, dans des objectifs de laïcisation du droit civil, d’autonomie du jeu politique à l’égard des croyances et de soustraction des individus aux influences cléricales, y compris celles qui s’exerceraient dans la sphère familiale ou au travers du voisinage. Tout le monde ou presque, aujourd’hui, se réclame de la neutralité et de la liberté, mais en ne faisant pas le même usage de ces notions. Si l’on admet ce qui précède, la question de l’impact de la multiculturalité se pose de manière différente pour chacun de ces courants de pensée. On se demande souvent si la multiculturalité contraint ou non la laïcité à se renouveler, mais on devrait également se demander si elle impose ou non de repenser le modèle de la neutralité. A moins - ce serait notre hypothèse - que la vogue actuelle de l’idée de neutralité ne soit déjà un effet de la révolution multiculturelle, alors que la laïcité, elle, serait encore en position défensive devant certaines évolutions récentes, qui bousculent la place prééminente qu’elle accorde à l’émancipation des individus à l’égard de ses appartenances héritées. http://www.lalibre.be/debats/opinions/laicite-et-neutralite-ne-sont-pas-synonymes-51b8c332e4b0de6db9bd2a7e
  24. non ! la laicité c'est la séparation de l'état et de la religion c'est pas le cas en belgique pays plutot catholique en majorité, le roi qui est le chef de l'état va à l'église et baptise ses enfants. sur le passeport il y a une croix sur la couronne il y a une différence.
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