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apis 32

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Tout ce qui a été posté par apis 32

  1. De façon large, c'est croire aux potentialités d'un être vivant, et adapter son comportement pour leur permettre de se développer. Évidemment, ça se décline différemment s'il cela concerne un arbre, un enfant ou un voisin désagréable...
  2. En tant qu'être vivant, oui. Leur nier cela... c'est en quelque sorte leur donner raison. Je dirais même que c''est un préalable pour avoir le droit de juger leurs actes.
  3. On obéit à une loi... pour faciliter la vie collective, par respect pour ses concitoyens. La loi n'est pas "respectable" c'est une convention à laquelle une collectivité adhère pour réguler ses relations sociales. Les règles et les lois changent selon les milieux où les pays...
  4. Avec tout mon respect... 69 ans et 9 mois, c'est plus jeune que 107 ans...
  5. Pas partout, non... J'ai la chance de fréquenter des jeunes qui, ont contraire, ont une pratique du respect beaucoup plus consciente et développée que celle qui m'a d'abord été transmise, où il suffisait d'être bien poli, voire un peu hypocrite... Pour beaucoup de jeunes, cela s'étend à tout le vivant...
  6. Certes, mais en tant qu'adulte, on ne peut pas exiger le respect des jeunes si on ne les respecte pas d'abord... C'est de cet apprentissage que ce développe ensuite le respect pour autrui, voire à tout le vivant...
  7. L'éducation des enfants, ça faisait partie de mon job... Mais je sais qu'on l'entend parfois comme synonyme de "dressage" alors je comprends que ça soit mal entendu...
  8. C'est un peu mon propos, c'est en pratiquant le respect envers l'enfant qu'on l'éduque au respect... Littéralement... on le nourrit de respect, on l'élève au respect...
  9. On entend beaucoup, en ce moment, que les jeunes on besoin de plus de discipline. Peut-être ont-ils besoin de plus de musique... Cet après midi, dans le cadre des JM France, sous le Dôme à Auch, 192 jeunes, du CP à la quatrième, ont été regroupés pour un concert d' Anda-Lutz L'installation s'est passée sans encombre. Bien sûr, chez les plus petits, certains étaient placés d'autorité à côté d'un adulte. Les institutrices connaissent leurs élèves. Pendant plus d'une heure les enfants ont écouté attentivement et en silence, frappé des mains et chanté en respectant des consignes précises et, à la fin, posé de vraies questions, en attendant qu'on leur donne la parole. Ils ont découvert une musique qui ne leur était sans doute pas familière, de nombreux instruments et des artistes talentueux. Nous avons profité de ce concert de grande qualité dans une atmosphère d'écoute attentive et vivante. A la sortie, certains ados nous ont demandé si nous avions aimé et nous ont fait part de leur enthousiasme. Un beau moment de spectacle vivant avec des jeunes qui se montrent tout à fait respectueux... quand ils sont respectés. J'ai toujours pensé que l'éducation au respect passait par l'autorité respectueuse. Le débat est ouvert...
  10. Alors, en bonne gasconne... Je mange peu de viande. Du poulet de temps en temps... mais j'ai toujours un ou deux magrets dans le congélateur. Quand une envie de viande rouge nous arrive, j'en décongèle un, j'enlève le gras, je le coupe en deux dans l'épaisseur et je fais cuire comme des steaks. Mais le gras, je ne le jette pas... Je le coupe en petits cubes et je le fais fondre doucement dans une poêle. la graisse récupérée sera réutilisée dans la cuisine, et les "fritons", salés après avoir reposé sur un papier absorbant accompagneront l'apéro... une tuerie. Ce faire plaisir de temps en temps, c'est bon pour la santé, aussi ...
  11. apis 32

    En vouloir à un mort

    Je crois que tout simplement, on a tous plus ou moins peur d'être abandonné, et quand ça arrive, le chagrin et la colère se succèdent ou se mêlent, sans que ce soit cohérent. Et savoir que "normal" d'éprouver des émotions de façon aussi irrationnelle, c'est rassurant, même si ça reste éprouvant à vivre. C'est rassurant aussi de savoir que ça ne va pas durer toujours...
  12. apis 32

    En vouloir à un mort

    Mon expérience, aussi bien pour le véritable deuil que pour le deuil d'une relation, c'était plutôt une tempête d'émotions que je ne contrôlais pas, ni ne comprenais... Ce n'est pas le cas général ? Ça m'a vraiment rassurée. Le déroulement des étapes, tu ne le maîtrises pas, même si tu le connais...
  13. apis 32

    En vouloir à un mort

    En vivant une séparation, quelques années après les deuil du père de mes enfants, j'ai lu plusieurs articles sur ce thème. https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-psycho-psychiatrie/2680165-deuil-definition-etapes-phase-duree-complique-pathologique-comment-surmonter/ 1. Le choc : cette étape est souvent de courte durée mais peut être plus longue pour certaines personnes. Il s'agit d'un état de sidération face à l'annonce de la perte. 2. Le déni : il s'agit du refus de croire/voir/entendre/comprendre l'annonce de la perte, ce qui entraîne souvent une contestation et un rejet de l'information. 3. La colère et le marchandage : il s'agit d'une attitude souvent agressive envers soi-même ou son entourage qui est accompagnée de "pensées magiques" comme par exemple "si je fais ça, il va revenir…" 4. La tristesse : il s'agit d'une étape marquée par le désespoir et l'effondrement. 5. La résignation : il s'agit d'une étape caractérisée par l'abandon d'une forme de lutte et par l'espoir de retrouver sa vie "comme avant" malgré la situation ou l'objet perdu. Dans cette étape, aucune projection n'est encore possible, la personne endeuillée vit dans le présent "au jour le jour" et tente d'accepter quelque chose d'inéluctable. 6. L'acceptation : cette étape est marquée par l'acceptation réelle de la perte et le fait d'être plus objective sur ce qu'elle a vécu avec la personne perdue. Généralement, c'est à cette étape qu'on fait le point sur les bons et les mauvais moments, qu'on peut se projeter vers l'avenir et qu'on se sent mieux psychiquement. 7. La reconstruction : cette étape permet de se reconstruire à son rythme, de réorganiser sa vie de la façon la plus adaptée à sa perte et donc de reprendre un rythme de vie en lien avec les exigences de la société, de l'environnement, de ses ressources personnelles et de continuer à vivre tout simplement. Il s'agit d'un processus de résilience active. Tous les articles ne relèvent pas toujours le même nombre d'étapes, elles ne sont pas toujours dans le même ordre. Cela m'a rassurée sur la "normalité" de certains sentiments, en particulier la colère, et sur le fait que colère et chagrins se succèdent parfois de façon désordonnée.
  14. apis 32

    Le coin des migraineu(se)s

    Le doliprane calme provisoirement la douleur mais son usage répété provoque un rebondissement des crises : On a l'impression d'être soulagé, mais les crises se répètent, de plus en plus violentes... Je n'en prends plus du tout. Si j'attrape au vol la céphalée qui précède souvent la migraine, je prends éventuellement une aspirine. Mais les crises étant à la fois plus espacées et moins douloureuses, j'ai de moins en moins recours aux cachets, quels qu'ils soient...
  15. apis 32

    En vouloir à un mort

    Je pense que c'est un sentiment tout à fait naturel, un réflexe de "défense". Le père de mes enfants est décédé de façon brutale ( sans qu'il l'ait voulu ) lorsqu'ils avaient11 et 12 ans. Après la période de choc, je me souviens avoir eu des périodes de colère contre lui. Ça fait partie des étapes de deuil qui sont beaucoup moins ordonnées qu'on le dit.
  16. Le prochain, on y va tous les jours, et même avant, dès le lundi pour aider à monter un chapiteau... Je vous raconterai... http://www.tradenvie.fr/wp-content/uploads/2024/02/AFFICHE-finale-693x1024.jpg
  17. Celui là est déjà passé : Nous y sommes allés le samedi et nous nous sommes régalés...
  18. apis 32

    Le coin des migraineu(se)s

    J'aime bien, Saint Pé de Léren... Mais je crois qu'il y a deux villages, en fait... C'est comme Arrens Marsous, où il y a le festival trad'Azun, en Bigorre. Il y a deux villages, en réalité...
  19. apis 32

    Le coin des migraineu(se)s

    C'est un tout petit village, mais où a lieu le festival lo primptemps de l'Arribera . Nous n'y avons passé qu'une ( longue ) soirée, mais entre concert, cantere et bal, c'était super. Et on a dormi dans un autre village qui s'appelle Caresse... C'est limite entre Béarn et pays Basque
  20. Mais si ! Quand tu as compris qu'il ne faut PAS essayer de découper sur les pointillés...
  21. apis 32

    Le coin des migraineu(se)s

    Hé, pas ce week-end, mais celui d'avant, nous étions à Saint Pé de Léren, tu connais ?
  22. Bon, j'ai voulu être inclusive, bien qu'il y ait beaucoup plus de migraineuses que de migraineux, et vlan ! je tombe sur une difficulté dès le titre... En plus, je croyais avoir commencé un sujet, il y a longtemps et je ne le retrouve pas. Je relance, parce après avoir été de plus en plus handicapée par ce mal, jusqu'à avaler 12 triptans par mois, sans calmer toutes les crises, avec vomissements... J'ai progressivement réussi à ( presque ) m'en débarrasser . En bref : Un neurologue à commencé par me "sevrer" des triptans ( un mois horrible, à ne soulager aucune migraine, sauf que j'ai craqué 2 fois ). Ensuite, il m'a autorisé 6 triptans par moi, associés à un anti inflammatoire et avec un traitement de fond. Par le jeûne, j'ai réussi ensuite à avoir des périodes de rémission, mais qui ne duraient pas. Enfin j'ai découvert le docteur Chaudot par son livre "Bye bye migraine". En début de crise, au lieu de prendre un triptan, je prends un café et je respire, en insistant sur l'expiration. Si la crise "insiste" je jeûne jusqu'au soir et la crise finit par céder après un repas le soir. En un peu plus d'un an, progressivement les crises ont diminué d'abord en intensité, puis en nombre. Je ne prends plus de triptan que si la douleur risque de me gêner pour assurer une tâche importante ( quand j'ai mes petits enfants, par exemple ) et ... je n'en prends presque plus. Je e prends plus non plus d'anti inflammatoire ni de traitement de fond. S'il y a des migraineux parmi vous, j'espère que mon expérience pourra vous aider...
  23. Oui, moi la première, quand le triptan ne me faisait plus effet, je me rabattait sur le doliprane, qui me calmait quelques heures... Ce que je ne savais pas, c'est que le paracétamol a des effets "rebondissants" sur la migraine, et qu'en me calmant provisoirement, je préparais la crise suivante... C'est comme ça qu'on arrive, assez vite quand on y est prédisposé, à devenir migraineux chronique. En plus de se détruire le foie... Bon, si tu as juste un peu trop fêté le we, bien sûr, un doliprane, ça peut le faire...
  24. Alors, j'utilise une application de charlatans pour venir à bout de mes migraines. Mais ça me fait du bien, je m'en fous, en fait !
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