apis 32

Ah, oui, là on la voit bien ... Mais c'est le gros câlin, ...

Ben... entre ces moments là, je suppose, comme pour tout le monde. Moi aussi, j'ai les enfants les plus beaux, les plus intelligents, les plus extraordinaires du monde. Et parfois les plus chiants, aussi. Ca leur passe un peu, en grandissant !

Alors, des comme ça, non, je n'avais jamais vu !

Si, les chouettes effraies, en rentrant de danser, on en rencontre souvent, et il faut ralentir et baisser les phares, parce qu'elles sont éblouies et viendraient se cogner contre la voiture.

Tu manque de compassion, kutta... Le topic en abîme qui va tenir jusqu'au prochain réveillon !

Pleure pas, elle est trop belle cette photo, même si on ne sait pas très bien ce que c'est ...

Moi je dis un visage albinos qui fait câlin avec une souris... Bon, peur-être une dame blanche, en fait ...

Je vois un visage ...

Qu'est-ce que c'est ?

Plus un état d'esprit que d'environnement, je crois... Il est des endroits plus privilégiés que d'autres, certes, mais certains lieux cachent bien leurs mystères et leurs charmes, je crois que les vrais parisiens le savent...

Et vous tous, ici, avez-vous goûté à l'odeur de l'herbe juste coupée, à la caresse fraîche du bain de minuit ( ou 2 heures du matin, après le bal ), aux teintes toujours renouvelées des couchers de soleil au fil des saisons, au spectacle du rouge gorge ou de la fouine qui vient chaparder dans la gamelle des chats...

Mon père, inspecteur d'assurances, a quitté sa femme, son bureau et Paris, à l'âge de 45 ans, pour faire de l'apiculture. Quand j'ai rencontré mon compagnon, maçon-baba-cool, il l'a également converti à cette passion. Mon compagnon est devenu un grand militant contre les pesticides empoisonneurs d'abeilles. Il est décédé subitement en rentrant d'une manifestation qu'il avait participé à organiser, place du capitole à Toulouse. A partir de ce moment, mon père a cessé de faire de la gelée royale. Il s'est alors mis à écrire des "romans de gare" qui ne valaient un prix littéraire, mais dans lesquels je me plonge encore, quand j'ai un coup de nostalgie. C'était des personnages, les hommes de ma vie.

J'ai dépensé la petite fortune que je ne possédait pas pour réaliser mon rêve, construire ma piscine à grenouilles à côté de ma maison qui ne m'appartient pas... J'ai fini de la payer juste pour la retraite. J'attends de savoir le montant définitif de ma retraite pour voir si je peux racheter, au nom de mes enfants, la part de ma belle fille qui aurait besoin de cette somme. Sinon, à part quelques sous pour manger, lire, chanter et danser, mon budget est essentiellement basé sur l'entretien de ce petit paradis où j'ai vécu mon amour, élevé mes enfants, et où j'espère mourir... dans très longtemps !

Je pense que les avis ont été largement donnés. Pour ma part, je suis heureuse qu'elle puisse sortir, mais je trouve normal qu'elle ait été condamnée : Tirer dans le dos ne peut pas être considéré comme de la légitime défense. Elle avait des circonstances atténuantes, c'est autre chose.

62/5=... En 13 fois Apis aurait disparu !

Si la Vilaine Kutta n'existait pas, il faudrait l'inventer ...

C'est fou, ça... Comme 2017 a l'air de vouloir ressembler à 2016 ... Je crois qu'il me reste un peu de champagne... ... et de sirop de violette !

Parce que si tu avais dû le passer avec la mienne ... Oups, pas taper, je sors !

On les fait en récitant ce poème : Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit, Parlez-nous des Enfants. Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle-même, Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas. Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, Car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d'être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s'attarde avec hier. Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L'Archer voit le but sur le chemin de l'infini, et Il vous tend de Sa puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l'Archer soit pour la joie; Car de même qu'Il aime la flèche qui vole, Il aime l'arc qui est stable. Et puis, le temps passant, on s'inquiète pour eux, et on s'attache à cette inquiétude... Et ce faisant on les attache aussi un peu à nous, en oubliant souvent le poème... Il faut le relire souvent, pour ne pas l'oublier...

Allez, je le remets,, histoire qu'on varie un peu, en 2017 !

Peut-être qu'elle pleurait de rire ...

allez, c'est la fête !