apis 32

Si on reste trop longtemps à dire des bêtises, Je te le dis Il ne va pas tarder, à être demain ...

Je dirais ... Parce qu'ils sont athées... S'ils ne l'étaient point, ils croiraient . Une autre question ?

Une autre suggestion : Ne pas rester sur les sujets qui défrisent ...:cool:

Si on fait une catégorie fourre tout, avec un petit panneau "Pas la peine d'y aller " si ça ne dérange personne, j'aime autant qu'on y mette tout ce qui ne m'intéresse pas. Attendez 3 ou 4 mois, je prépare ma liste ...

Et puis, quand on n'est pas content, il y a aussi ça : :p C'est beaucoup moins compliqué ...

Ca ne coûte pas si cher que ça, un pyjama ... :smile2:, il est parti le monsieur qui voulait nous donner plein de sous !

On lui a déjà fait la remarque . Il ne doit pas bien entendre ... c'est pour ça ! :smile2:

Pfiou ! Mais si vous ne vous supportez pas, pourquoi vous jouez toujours ensemble ? :smile2:

Faire confiance, pas aveuglément, sans se mettre en danger, mais le plus souvent possible, ça rassure aussi...

Il faut laisser glisser ... il y a aussi les autres, avec qui il fait bon échanger, ou ceux qui mettent le lien ou l'info qu'on ne connaissait pas et qui permet d'approfondir le sujet. Ne pas trop prendre à coeur, et profiter des bons moments, le forum peut être très agréable ! :)

En même temps, un bon petit vin blanc ...

Va pour 3 tasses ... Je n'ai jamais remarqué qu'elles changeaient de goût au fur et à mesure ... :smile2:

Comme je l'ai dit, je ne vais pas bouger, physiquement, mais la main tendue, je la prends de bon coeur, et je vais me faire une tasse de thé que je partage avec tous les hommes de bonne volonté, musulmans ou pas !

Les mots veulent souvent dire ... ce qu'ils disent ! Les gestes et les cadeaux aussi. je n'aime pas les bijoux. Quand j'ai ouvert le dernier paquet d'un ex qui aimait m'en offrir et que j'ai découvert ce collier qui avait dû lui coûter assez cher, ma première pensée a été : Ouf, il y a pas la laisse, avec ! Prouver son "attachement" ce n'est pas de la gentillesse ...:)

Personne n'est à l'abri de tomber sur un fou, un terroriste, et d'y laisser sa vie. Il y a peu de chances, mais cela m'arrivera peut-être, un jour, si tel et mon destin. Dans la vie quotidienne, le plus souvent, on rencontre chez l'autre ... ce qu'on s'attend à s'y trouver. Je suis d'un naturel optimiste, et les gens sont en général sympatiques, bienveillants, et gentils avec moi. Sinon, je vais voir ailleurs. Alors, dans l'autre main, il y a peut-être une théière, avec un délicieux thé à la menthe ! Cela dit, je n'irai pas dans une mosquée aujourd'hui, il n'y en a pas près de chez moi et je suis pelotonnée au coin du feu. Mais ils n'obligent personne : Ils ouvrent une porte !

Une main tendue et venin et malveillance en retour... Personne n'est parfait ...:(

Un être est gentil ou pas... Il ( ou elle ) fait preuve de bienveillance, ou pas. Si ce n'est pas le cas, j'évite ...

Ca fait beaucoup ... Le casting va être long ...

Donc, en 2016, tous les corses sont des terroristes ... Je ne peux pas souscrire à ce raisonnement.

Alors je ne comprends pas ton agressivité... C'est parce que je vis dans une région où il fait bon vivre, qui a envie de conserver ton terroir, ses paysages, sa culture, et qui a souvent du mal a comprendre des décisions qui n'ont aucun sens ici que je comprends les corses...

Déjà posté, mais ... Alors même que la châtaigneraie corse est menacée de disparition à cause de l'apparition d'un parasite nommé cynips, l'occasion nous est donnée, à travers ce titre ironique, de revenir sur une liste d'idées reçues bien trop répandues. La Corse serait improductive et ne pourrait vivre sans les perfusions financières de l'Etat français ? Ah bon ? Tour d'horizon -incomplet- des phrases que l'on entend ou lit bien trop souvent, et qui ne valent pas un kopeck. https://blogs.mediapart.fr/massimu/blog/031213/sans-la-france-la-corse-ne-vivrait-que-de-chataignes

Du 12 au 14 novembre, le procès à Toulouse de deux dirigeants de coopératives et de trois responsables de sections syndicales spécialisées a mis en évidence les mécanismes complexes qui, depuis des années, alimentent les caisses de la Fnsea à l'insu de milliers de paysans coopérateurs. Des milliers de paysans ont cotisé à leur insu pendant des années, par le biais de prélèvements automatiques sur les produits vendus par leurs coopératives et reversées aux sections spécialisées de la Fnsea. Cela doit s'arrêter là. Du 12 au 14 novembre, deux dirigeants de coopératives agricoles de Haute-Garonne et trois responsables de sections spécialisées de la Fnsea - l'Association générale des producteurs de blé (AGPB*), l'Association générale des producteurs de maïs (AGPM*) et la Fédération des oléagineux et protéagineux (Fop) - comparaissaient respectivement pour discrimination et recel de discrimination devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Ce procès est la conséquence d'une plainte déposée en 2006 par la Confédération paysanne de Midi-Pyrénées, suite à une première plainte déposée en 2003 et classée sans suite en 2004 après une promesse de changement de pratique. Promesse sans suite. La ligne de défense des prévenus se veut candide : les sections spécialisées collectaient ces fonds « dans l'intérêt de tous », « pour défendre tous les producteurs concernés ». Voilà bien une conception archaïque héritée de l'ère du syndicat unique : on s'arroge le droit de définir le « bien » et, prétendant agir pour sa défense, on s'exonère du droit, de la liberté de penser et de la liberté d'adhésion syndicale des paysans. Le voile se lève derrière l'embarras : la Fnsea a beaucoup moins d'adhérents – au sens volontaires – qu'elle prétend et dispose de fonds indument collectés auprès de milliers de paysans sans leur consentement. Ça n'a pas échappé à la procureure : elle a qualifié sans hésitation de discrimination le fait de se servir d'une structure économique coopérative pour organiser la collecte de cotisations au bénéfice d'un seul syndicat. Et de recel de discrimination les pratiques des sections spécialisées de la Fnsea. Quelles sommes ont été ainsi détournées ? Bien difficile à dire. Les montants qui circulent par voie de presse sont en l'état invérifiables – le chiffre de dix millions d'euros a été publié à l'occasion du procès – tant les mécanismes de prélèvement et de reversement sont complexes. Les faits sont néanmoins avérés et cela suffit pour qu'une sanction à la hauteur du délit soit appliquée. La procureure a requis 80.000 à 100.000 euros d'amende contre la coopérative Coopéval et 3.000 euros d'amende contre les dirigeants des deux coopératives concernées (la seconde a disparu après sa fusion avec une autre). Par ailleurs, elle a demandé 100.000 euros d'amende contre chacune des trois sections spécialisées de la Fnsea syndicats bénéficiaires des ponctions. Nous connaitrons le 28 janvier la décision des juges. Quoi qu'il en soit, ce procès est l'occasion d'alerter à nouveau les paysans coopérateurs de toutes les filières agricoles : leur coopérative leur appartient, elle n'appartient pas à la Fnsea. Il leur faut toujours être vigilants et questionner leurs dirigeants sur la nature et la destination des sommes perçues sur la vente de leurs produits. La vigilance doit d'autant plus se manifester que certaines coopératives continuent d'alimenter les caisses des sections spécialisées de la Fnsea sur la marge d'activité de leur structure, évitant ainsi de faire paraître cette ponction comme un prélèvement direct auprès des producteurs. Directs ou indirects, ces détournement de fonds doivent cesser. Au besoin, nous retournerons devant les tribunaux pour faire respecter le droit.

Un petit effort, vous arrivez à 100 !

http://ecx.images-am...04,203,200_.jpg Zut, je croyais que c'était le contraire !