ping

A effet secondaire...

Allez, je vais encore t'enerver avec une citation de Lacan : "Aimer c'est donner quelque chose qu'on n'a pas à quelqu'un qui n'en veut pas."

Quoi qu'on fasse on aime jamais (assez) bien.

Pour quoi faire?

A m'aimer? Pas plus que les autres je pense. Mais je l'ai dis plus haut, l'enjeu n'est pas d'arriver à s'aimer. Il est de rassembler ses billes et de devenir soi, tel qu'on est, pile et face, ombre et lumière, autonome quoi.

Je ne vais pas perdre mon temps à essayer de te convaincre. Le fait est que l'on peut être végé et en exellente forme, loin des clichés de bouffeurs de tofu et autre type tout faible au teint blafard. Y-a plein de livres autres que voici et gala qui peuvent te le confirmer, mais bon, encore faut-il les lire plutôt que de s'en servir pour allumer le barbecue.

Seule une personne qui accepte ses manques, ses faiblesses et ses erreurs peut s’aimer vraiment, de façon inconditionnelle et peut ensuite aimer réellement les autres. S’aimer soi-même, ce n’est pas de l’égoïsme ; c’est ne pas se juger, ne pas s’en vouloir, laisser être ce qui est, s’accepter assez pour ne plus avoir à chercher auprès des autres, admiration, confirmation, approbation. S’aimer, c’est aussi être authentique, avec soi-même et avec les autres. C’est se dire la vérité à soi-même à propos de soi-même et dire la vérité à propos de soi-même à quelqu’un d’autre sans avoir peur de le perdre, de lui déplaire ou de ne pas être aimé. Se permettre d’être comme on est. Se donner la permission d’être unique et différent. S’aimer, sans conditions, c’est s’être si bien accepté qu’on n’a plus à s’en occuper. Spontanément, on se retourne vers les autres. C'est ça. Le hic etant que ce n'est pas facile. Un bon entrainement lorsque l'on veut faire l'effort de "voir son ombre" est d'observer ce que l'on deteste chez l'autre. C'est souvent notre propre ombre que l'on projette sur lui.

Tout à fait. De la même façon que de ne rien vouloir conscientiser de son ombre est au moins aussi contre-productif.

Il ne s'agit pas de s'aimer mais de se reconcilier avec soi-même. Mais pour ça commencer par aller à la rencontre de ce que l'on a de detestable en soi. Sinon, on ne fait qu'aimer le partie de soi qui nous arrange, une image de soi sans ombre.

Quelques exemples de bouffeurs de soja Bogdanoff irradiés: https://www.forceultranature.com/fr/blog/top-10-sportif-vegetarien-celebre-n47

C'est dangereux de s'aimer. Signé Narcisse.

Quand on voit la manière dont on traite la vie sur notre belle planète bleue, il serait plus prudent pour les ET de ne pas se montrer. On serait encore capable de les trouver comestibles...

Le racisme est une manière de déléguer à l'autre le dégoût qu'on a de soi-même.

On parle de moi séant? Sinon, une leçon qu'on peut en tirer...

“ Tout ce que tu ne sais pas donner te possède. ”

“ En vérité, la vérité, il n'y a pas de vérité ! ” De Jean-Claude Van Damme

Donne un poisson à un mendiant, il mangera un jour. Apprends lui à pêcher, il mangera tous les jours.

Ou tel épris qui croyait prendre, aussi.

Voila.Tel est pris qui croyait prendre.

Et se laisser seduire c'est autoriser la manipulation.

N'aie pas peur, ça va bien se passer...

Les vieux? Ils ont été ce que tu es, et tu seras ce qu'ils sont.

Désolé. Pourtant l'essence des choses est aussi insaisissable que la vérité non?

Et l'essence...

Ca n'a rien à voir avec une justice divine. Les orientaux appelleraient ça " cri du maître interieur". Cet "autre soi en soi" trouve toujours moyen d'envoyer des messages au " cocher" ( moi conscient). Tu ne connais pas cette métaphore? http://www.agiraupresent.fr/?p=93