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T’as aussi le droit de garder ton humour pour toi et de sortir tes vannes au bistro entre potes, là où il ne blessera personne. T’as aussi le droit de respecter, de compatir, de réfléchir avant de balancer des trucs qui peuvent blesser des gens qui te lisent. Tu vois t’en a plein des droits fondamentaux. Autant que des devoirs moraux.

Eh bé... ce genre de vannes est à l’humour ce que la pornographie est à l’amour. Une parodie de basse classe. Non mais sérieux « pas de bras, pas de chocolat » elle a 100 ans cette vanne, t’appelle encore ça de l’humour? Autant d’imagination que d’humour, c’est à ça qu’on les reconnaît...

No comment...

Present!

Et c'est pour ça qu'on est en train de te dire que si tu veux faire comique comme métier il vaut mieux vite arreter. Ce n'est pas que choquer l'humour noir, c'est aussi faire rire. Et là c'est tout sauf drôle ta vielle vanne pourrie et éculée.

Npn, pour ma part juste pour quelqu'un qui a l'égo sensible et qui s'entête à vouloir avoir raison contre tous.

On est plusieurs à penser et à te dire que ton "trait d'humour" est choquant. En temps que personne raisonnable dans ce cas là, on s'excuse d'avoir choqué et basta, y-a pas de mal. Ou alors on s'entête, rien à foutre des autres, et on continue. A toi de voir...

Wouala mr Pat Ethique...

Tu as surement raison, mais quoi qu'ils fassent en ces moments de souffrance pour eux ça demande un minimum de compassion et surtout de ne pas être dans le jugement.

Mais c'est qu'il insiste le bougre... Ca n'a rien de reprehensible c'est juste à gerber. Enfin, pas tous, peut-être arriveras-tu à faire rire quelques... "gens bien sous tous rapport"...

Ils sont en enfer depuis des mois et, malheureusement, ça doit être le dernier de leur soucis de savoir ce qu'on (cons) peut penser d'eux.

Donc toi tu es un bon parent c'est ça? T'as de la chance, ça peut pas t'arriver... Quand on veut se risquer à faire de l'humour noir on s'assure que l'endroit et le moment soit bien choisis.

L'ecrit peut certainement remplacer les cris, et alors? Personne n'est autorisé à juger les parents. Personne ne sait ce qu'ils endurent, personne n'éprouve leur souffrance, alors que chacun s'estime heureux de pouvoir tranquillement commenter les faits-divers sans être personnellement affecté et qu'il remercient la vie de ne pas à avoir à affronter des trucs pareils.

L'abscence de bonheur ne veut pas dire malheur heureusement. Le malheur peu le méritent mais chacun de nous y a droit un jour, tandis que le bonheur n'est pas pour tout le monde mais seulement pour ceux qui savent le trouver.

On le voit bien ici, y-a tellement pas de mots pour exprimer ce que des affaires comme ça provoque en soi, que tout ce qu'on peut en dire est navrant mais pas utile.

En fait l'enjeu n'est pas d'être heureux ou malheureux. Le veritable enjeu c'est le choix entre vivre et fonctionner. Tu peux trouver du bonheur même dans la difficulté quand tu es vivant.

Y-a des moments avec des salopards comme ça, on regretterait presque que l'usage de la gégène ou de la questionette façon moyen-âge soit tombés en désuétude...

Trouver la moindre excuse et le moindre argument en faveur de l'adulte dans cette histoire ça me dépasse. A force de vouloir tout expliquer, tout contredire, on remet en cause des choses qui coulent de source. On ne touche pas un enfant, point barre.

Non, pas par hasard, jamais. Pour certains même, je dirais qu'il le deviennent car c'est pour eux une façon de continuer, de ne pas avoir à en finir avec leur cure. Mais ce sont des humains comme les autres, plus ou moins efficaces, plus ou moins faillibles, plus ou moins competent, etc...

Je n'aurais jamais fait ce boulot pour rien au monde, :). Mais pour ma part, c'est comme pour les dentistes, on a pas besoin d'aimer leur job pour leur être reconaissant d'être là quand on a besoin d'eux.

Et bien parce-que le psychanalyste n'est pas un autre comme les autres. Il devient pour l'analysant un support à transfert. C'est à dire que la personne investit le psy de toutes ses projections, et que ces affects devenus visibles peuvent alors être analysés, en quelque sorte. Voila, très grossièrement en quoi ça consiste. Mais ce que je pense qu'il est essentiel de comprendre, c'est que les âneries que l'on entend comme quoi une analyse consisterait à trouver en soi des secrets enfouis et que cela permettrait de faire disparaitre les difficultés une fois connue , ou qu'il s'agirait d'apprendre les théories freudienne et les appliquer, tout ça est de l'ignorance. Une analyse c'est un analysant qui part à la rencontre de lui-même avec l'aide d'un miroir/guide et dont les symptômes , si par bonheur ils disparaissent (et c'est souvent le cas), ne sont que le bénefice secondaire d'un bénefice beaucoup plus essentiel que " d'aller mieux".

En France il est interdit de déshériter un enfant. Selon l’article 912 du Code civil :

Désheriter ses enfants...Bouh, pas bô!

C’est normal que tu en dise autant de mal car en fait tu n’as visiblement rien compris à ce qu’est veritablement Une analyse. Ce n’est pas une recherche de souvenirs, ni un endroit où tu vas apprendre les théories freudiennes. C’est un endroit où c’est la parole de l’analysant qu’on écoute, pas celle de Freud. Mais bon, encore une fois, vu ta hargne envers cette discipline, c doit bien cacher une certaine deception pour toi qui me fait toujours penser à un amour déçu ou à un rendez-vous manqué.

Tu n’en es jamais certain et en fait elle ne se termine jamais vraiment. Mais il y a tout de même ‘ et c’est dans ce sens que je l’entendait un moment oú tu n’as plus besoin de ton analyste. Un moment où la cure en temps que duo se termine. Pour un analyste commence alors une autre cure, une analyse didactique. C’est au bout de cette cure, lorsqu’il deviendra autonome , qu’on peut dire qu’il sera allé au bout du processus.