Savonarol

Si tu annules la loi, soit le couple gay marié le reste et s'éteint à sa séparation, (on ne célèbre plus d'autres mariages) soit lLes couples gay basculent sur un système de pacte civile ou de PACS amélioré qui n'est plus le mariage. Voilà.

A aucun moment je n'ai décrété que l'homme était tout Nature, l'opposant au tout social. Simplement : il l'est également, le corps dans lequel tu grandis , dans lequel tu es né, par lequel tu as vécu tes premiers émois affectif, tes premiers rapports au monde, à la nature et à la particularité de ce que tu es, à ce que cela implique en terme de comportement social, amoureux; tout cela a participé de façonner la femme que tu es aujourd'hui, tout comme c'est le cas pour moi et pour tout le monde. Le déterminisme social n'est pas opposable au déterminisme sexuel, il se conjugue avec. Femme, puis citoyenne, Homme puis citoyen, citoyens et citoyennes mais hommes et femmes ( et d'abord hommes et femmes , chronologiquement parlant ) Quelque soit la manière dont tu seras éduquée - sauf à penser qu'on t'arrache du ventre de ta mère pour éviter tout processus de conditionnement affectif - ta structure sera féminine comme la mienne sera masculine, puisque notre tout premier rapport au monde se fera dans celui que l'on établie par rapport à notre mère (premier contact physique au monde) puis ensuite à notre père (premier contact à l'altérité et à l'extérieur) qui nous sort de l'amour pur mère/fils -fille) ( et il est notable de préciser la notion d'éducation qui impliquerait qu'une personne en étant dépourvue se verrait donc réduite à sa nature sexuée?) Notons que la femme se voit rappeler sa nature profonde par son cycle menstruel, une horloge biologique qui la ramène à sa condition de femme et de mère pour peu qu'elle aurait pour volonté de s'en émanciper. Quelque soit le choix d'une femme de ne pas avoir d'enfants, il lui suffit de jeter un coup d'oeil dans un miroir pour se rappeler à la réalité de sa nature : elle est construire biologiquement pour reproduire (bassin / sein / utérus) et la nature n'est jamais que physique (sinon les femmes n'auraient pas d'orgasmes, par exemple) Que l'on puisse disposer de ses attributs pour en faire un usage (ou une absence d'usage) contraire à ce à quoi il sont prévus ne retire rien au fait qu'ils existent et qu'ils ont façonné une bonne partie de ton identité, sinon de ta structure. La notion de "choix" , en revanche, est purement politique (idéologique) lorsque nous parlons de sujet de ce type; car en effet l'on peut décider pratiquement (mais il serait intéressant de comprendre pourquoi) de renoncer à s'accomplir selon sa nature. C'est ce que font par exemple les anorexiques en refusant d'accepter l'évolution de leur corps qui mène à l'acceptation de leur nature; on peut observer que souvent, nier sa nature (pour X raison, politique, idéologique, dramatique -viol ou autre) mène à la pathologie; et l'on peut estimer qu'il est plutôt sain d'espérer pour une personne son épanouissement plutôt que son mal-être. Ma démonstration indique que l'homme est son corps. Donc que la femme est également son corps. Si l'homme et la femme inventent le lit pour dormir, s'ils pensent à la nourriture d'abord parce que leur corps a faim, alors ils envisagent également le monde selon la représentation qu'ils ont de leur corps (et donc de leurs sexes) via les besoins que ce dernier lui fait sentir. La manière dont tu es construite influe sur ton paradigme, en oriente le sens et y implique des objectifs qui ne seront pas équivalents au mien (en tant qu'homme) dont le schéma de représentation différent, et ce dès la naissance via le premier contact "fils / mère" ) guidera vers une autre représentation du monde. Sexualité risquée chez la femme (jusqu'à récemment, tout acte sexuel était potentiellement un acte d'ensemencement) déterminant son rapport à l'acte, expliquant notamment la puissance de l'orgasme féminin supérieur en terme de plaisir à l'orgasme masculin, impliquant une notion de sécurité étrangère à l'homme ( entre autre) Sexualité offensive chez l'homme, n'impliquant aucune mise en danger personnelle (sinon celle de choper une maladie vénérienne ) , une possibilité de fuir que n'a pas la femme ( on ne fuit pas son corps) et donc une représentation du monde différente. Ca fait beaucoup de questions pour autant de hors-sujet possibles, pourrais-tu résumer ton idée dans une seule ? En partie, si. La représentation que tu te fais du monde explique en partie la manière que tu as de tenter de l'influencer, pour le changer ou au contraire le préserver tel qu'il est. Notons que partout j'écris, je ne parle pas d'absolu, encore moins d'exclusivité. Phrase politique, hors-sujet. C'est encore de la politique, à aucun moment dans ce topic il n'est question d'élaborer un classement entre les rôles de l'homme et de la femme, juste de définir ce qui les fait exister afin de les comprendre. Sachant que la notion d'égalité est somme doute un critère bien trop subjectif et flou pour que l'on construise une réflexion intéressante à partir de ce dernier. Les maladies mentales sont générées soit par le refoulement (névrose), soit par le déni,(perversion) soit par la forclusion (psychose) ; c'est à dire autant de mécanismes s'installant pour refuser d'assumer une réalité qui nous dérange, et ainsi, s'en construire une autre dans le déni de sa nature et qui peut conduire à un déséquilibre qui se traduit par l'apparition de troubles mentaux.

La tendance du monde actuel est de vouloir expliquer que les déterminismes sexués sont en fait sociaux, réfutant l'idée de Nature. Simplement, la manière dont la Nature nous conçoit, en tant qu'homme ou en temps que de femme, infirme ou tend à relativiser cette idée. Le monisme, sans réduire l'homme ou la femme à leur essence, fonde la perception du monde autour d'une seule réalité composée de plusieurs variantes en fonction des influences que celle-ci subit. Ainsi, si le social joue un rôle important dans ce que nous sommes, notre Nature détermine également, et en grande partie, la manière dont nous percevons le monde, et donc dont nous choisissons d'agir sur celui-ci (par les arts, la politiques, les lettres, la pensée) Espérance de vie supérieure chez la femme que chez l'homme, sexualité intrusive et non offensive, finalité de la maternité même chez la plus pratiquante des féministes. En fait, toute femme est d'abord mère par son corps (qu'elle le veuille ou non) avant de "construire" quoique ce soit autrement que selon sa Nature, et si l'esprit répond au corps (on invente le lit parce qu'on veut dormir, on pense à la nourriture parce qu'on a faim) alors la femme, de par ses représentations inhérentes à sa Nature, concevra le monde et ses représentations autrement que comme l'homme, quand bien même elle saurait réussir à la dépasser, voire à la sublimer. Si la Nature est bien faite, l'on peut admettre que les particularités qu'elle créé ne sont pas réductibles à de simples attributs physique, mais s'incarnent dans une dimension complète (afin d'éviter la maladie mentale - rejet du corps par l'esprit -) qui comprend une manière d'envisager le monde, de recevoir la souffrance, de penser le pouvoir, d'envisager l'avenir, de concevoir la sensibilité et d'intégrer les rapports de force. La prise en compte de ces paramètres implique la présence d'un équilibre manifeste dont il est urgent de trouver quel intérêt l'Homme aurait à s'en défaire. (l'Homme en tant qu'espèce avec un grand H) et à quoi cela le mènerait. S'il y a une logique (et il y 'en a une si l'on s'intéresse au principe de causalité, ou simplement si l'on observe les choses en toute bonne foi) alors quelle serait celle qui motiverait l'intérêt de nier les différences intrinsèques de nos deux sexes, pourtant si complémentaires, et quelles pourraient être les conséquences de pareille intrusion idéologique dans la nature humaine, sinon une possibilité de générer la même maladie mentale de rejet qui s'observe dans chaque âme tourmentée de devoir accepter la réalité de son existence ?

J'ai eu mon premier ordi dans les années 80, Amstrad CPC 6128, à partir de ce moment et jusqu'à l'année dernière où j'ai complétement arrêté les jeux vidéos, j'ai toujours joué en suivant l'évolution de la chose. Il y a à mon sens, plusieurs lectures du même sujet car plusieurs usages du jeu vidéo. 1) L'usage récréatif 2) L'usage évasif 3) L'usage pédagogique 4 L'usage cathartique L'usage récréatif est celui que l'on peut retrouver dans la plupart des jeux appli smartphone du style candy cruch dont l'ancêtre est le fameux Tétris, mais dont le premier du genre peut se retrouver dans le jeu game gear ". Un usage "mot-croisé" sur écran faisant appel à la logique, pour passer le temps, etc. L'usage évasif incarné magnifiquement par WOW (world of warcraft ) mais dont on retrouve des origines dans les sagas interminables Final Fantasy ( notamment à partir du 7 sur playstation) qui cumulait des dizaines d'heures de jeux et donc nécessité que l'on s'y consacre très longtemps. Cet usage est à mon humble avis celui qui est le plus susceptible de déconnecter socialement, l'univers alternatif du jeu vidéo pouvant servir d'échappatoir à une personne pas trop mature et peu désireuse (par peur par exemple) d'intégrer le monde des adultes, anxiogènes de son point de vue. L'usage pédagogique, c'est une saga comme Assassin's creed, sans doute l'un des jeux vidéos les plus brillants jamais créé, associant beauté graphique, pédagogie historique, et réalisation artistique ; de quoi "apprendre" l'Histoire sans jamais trouver ça lénifiant. Un formidable outil politique en devenir, à mon avis, qui trouvera son apogée dans l'accession au virtuel complet -via les casques de réalité virtuelle- , très excitant (et dommage pour moi , je ne pourrai pas y jouer -_- 4) L'usage cathartique, celui qu'évoque Vilaine avec tout l'humour sarcastique qu'on lui sait un peu plus haut. C'est à dire les jeux FPS, les call of duty et compagnie n'impliquant pas la moindre intelligence sinon un certain esprit tactique, et surtout un gros besoin de défoulement dont j'ignore s'il peut être satisfait par ce type de jeux. A mon idée, seules les catégories 2 et 4 sont dangereuses.

Bien que je sois d'accord sur le fait que le mauvais goût et la putasserie soit à la mode comme autant de libertés présentés, je ne crois pas une seconde que la mode (celle-ci) soit à l'avantage de celui qui l'utilise dans le but de servir une cause à laquelle il croit. C'est ce que je dis, les anti-féministes n'ont pas beaucoup de boulot avec ce genre de clip.

Ca c'est vrai.

A mon humble avis ; ces "personnes du même mouvement" leur font beaucoup plus de tort que tous les sexistes de la Terre. Ils ridiculisent leur cause en s'affligeant de tous les clichés contre lesquels ils prétendent par ailleurs lutter. Si je veux lutter contre le racisme demain, je vais pas m'habiller en caricature du nègre de Tintin au Congo et hurler " lé missié il est rwaciste ! " , je crois que ça desservirait et ma cause et ma légitimité. Et puis franchement : QUI va se dire, après avoir vu ce clip "oh lala je suis rudement convaincu maintenant, j'ai tout à coup beaucoup plus d'estime pour les femmes " . Qui voudrait d'une gamine ou d'une femme qui ressemble à cette caricature de la pouffiasse hystérique véhiculé par ce clip ? Qui pourrait être convaincu par autant de vulgarité?

Je n'ai pas d'image de "la femme", dans ma naïveté j'ai toujours considéré l'humanité comme un tout; de la même manière que je n'ai pas d'image "du noir" ou "du pédé" ou "de l'arabe", simplement je l''intègre en tant que donnée sociologique à mesure qu'on me les envoie au visage. Quand des pédés défilent "contre l'homophobie", je reprends ce terme et m'interroge de ce qu'ils représentent et de ce qu'ils désignent comme étant homophobe. Quand "les femmes" font des clips contre le sexisme, je m'interroge et me demande qui les a mandaté pour parler en leur nom. Quand des noirs forment un truc qui s'appelle "CRAN" et expliquent qu'ils représentent "les noirs", je me demande qui a voté pour eux et d'où ils tirent leur légitimité. Pour moi, la féminité est secondaire dans l'idée que je me fais d'une personne, car la féminité n'a qu'une vocation sexuelle pour l'homme que je suis. Et comme j'ai beaucoup plus de profondeur que ne m'en accordent mes pulsions animales, je cherche à connaître l'humain derrière le sexe, derrière le pédé, derrière le noir, l'arabe ou le juif , sans que ça ne m'empêche d'intégrer sa particularité dans ce qu'il est, bien évidement. A de futurs américains français, ils ont déjà adopté tous ces répugnants codes esthétiques.

Ben il s'agirait de vous faire entendre, les copines :gurp:

Combien de féministes sont venues réfuter ou dénoncer cette campagne ? Zéro. Dans ce topic, toutes l'encouragent. Ca commence à devenir pratique de dire à chaque fois " pas toutes les mêmes" quand l'unique gnôle qui sort de cet alambique est du type de celui qu'on voit dans cette vidéo.

La logorrhée féministe répétée à l'infini, je la connais par coeur, ce que je trouve navrant c'est l'utilisation de gamines à qui l'on fait jouer des pétasses décérébrées et hystériques. Combien d'années de lutte, le féminisme déjà ? Réduit à une caricature en 45 secondes.

Non, rassure-toi, même si ce genre de choses m'affligent, je sais bien que ces malades mentaux ne représentent bien évidemment pas "les femmes". C'est d'ailleurs au centre de toute ma problématique : personne ne peut décréter qu'il représente" les femmes" (ou "les gays") et s'arroger le droit de parler au nom d'une cause fantasmée qui les concernerait toute. Ils n'ont été élus par personne.

On utilise des gamines de 5 , 6 ans pour faire de la propagande idéologique de manière vulgaire, outrancière, ridicule et assignant leurs attitudes aux pires clichés de la pétasses décérébrées qu'on voit défiler dans les comédies américaines. QUEL EST LE PUTAIN DE MESSAGE ? "Nous sommes libres et dans 10 ans putes ?" A quel moment une femme peut se dire sérieusement que ce genre de clip joue en sa faveur ? Comment peut-on penser sérieusement que la vulgarité rende jamais service à qui l'utilise? Outre les idées des uns et des autres sur la question (et vous connaissez les miennes) ; il y a sérieusement des féministes pour croire que ce genre de clip leur rend service ? Qu'utiliser des gamines innocentes pour leur faire surjouer des rôles de pétasses hystériques , ça va "lutter contre les clichés" ? Sérieux, si une féministe lit ce message : engagez un conseiller en communication au lieu de recruter ceux qui bossent pour les lgbt. Comment espérez-vous récolter de la sympathie avec un clip aussi tristement sordide ? Oui tiens, je vais parler de la philosophie de Kant avec une carotte dans le cul et en uniforme nazi et ensuite me scandaliser qu'on écoute pas mes propos.

Regarde la vidéo.

http://www.dailymoti...au-sexisme_news Elles ne pèsent pas leurs mots. A grand coup de FUCK, quand ces mots sortent de la bouche de petites filles âgées de 6 à 13 ans déguisées en princesses, forcément, ça interpelle. http://www.focusur.f...fuck-au-sexisme ---- " Pourquoi les gens n'aiment pas les féministes ? " Ridicules, vulgaires, manipulés, agressives, hystériques. Pauvres gamines.

:'(

Je serais curieux que vous me parliez des camps d'extermination et de la théorie blut und boden de Soral. Vraiment n'importe quoi.

Si ces "fresques murales" avaient été peintes par dessus des affiches de pubs et non sur les murs , elles auraient été pour le coup réellement transgressives. Ca ne remet pas en question le talent de certains graffiteur, mais tout art est instrumentalisable.

Mince, il est fichu !

Notons que le petit préféré des filles fans de cette série, c'était le cricri d'amour, c'est à dire le modèle du macho anticonformiste (en tout cas autant que pouvait le proposer une série de ce type ^^) qui se battait, faisait des remarques miso, touchait un peu à la cam et jurait de temps en temps ( épisode phare de la série : ) Et notons que les garçons d'Hélène et les garçons n'étaient des fantasmes que pour les midinettes (passées au porno et au fuckface en première partie de XXIe siècle). Ce que veut dire Zemmour, à mon humble avis, et même si l'exemple n'est pas forcément super bien choisi, c'est que l'époque où la TV a commencé à représenter des hommes en filles (c'est à dire répondant aux codes moraux féminins, et non à ceux de la virilité ) ; c'est en effet avec ce type de série dont la copie aujourd'hui serait plus belle la vie, avec son cortège de poncifs culturels libéraux pro-gay, pro-ivg etc. Faut pas oublier que de tout temps, la culture a été aussi un puissant outil politique au service de l'idéologie en place. Et notons que la virilité n'est associé au pognon qu'outre-Atlantique

Ca dépend, tu peux te faire une idée en en visionnant d'autres, ou mieux, en lisant ses livres , ça lui arrive d'être aussi très posé.

Mais c'est ainsi qu'il est aujourd'hui, c'est pour ça que l'outil marxiste est efficace pour le comprendre, et pour savoir comment s'y opposer. J'ai jamais dit le contraire. Bah, l'idéal de départ c'est de faire en sorte que ceux qui ont le moins vivent tout de même mieux, pour ce faire il est nécessaire d'identifier les classes et de les nommer, car on ne peut pas faire sortir un "pauvre" de sa condition sans lui reconnaître son statut ainsi que les difficultés inhérentes à sa condition. C'est justement tout le boulot du pouvoir actuel que de ne plus nommer les choses par ce qu'ils sont; car si le problème est relatif, alors il n'existe plus. On voit le "scandale" sur les propos de je ne sais plus quel ministre qui parle "des pauvres"; je ne savais même pas que ce terme était devenu péjoratif. Du reste, les classes ne sont pas homogènes c'est vrai, et l'écrasante majorité des ouvriers ne sont même pas marxistes (ils votent majoritairement FN) ; mais on ne peut pas vraiment dire que les gens soient au courant de ce qui est bon pour eux. C'est pour ça qu'ils se font manipuler par les syndicats qui ne leur offre comme perspective politique rien d'autre que négociation de salaire. Par ailleurs, quelle autre grille ? Le principe de définir une classe est aussi de démontrer qu'il est possible de s'en extraire, le fameux "ascenseur social" .

Je te prierais de ne pas moquer ma fan-attitude de ce film d'horreur.

Je pense que le clochard français, ce bon vieux type barbu et sale mais folklorique, a pâti de l'afflux massif des roms, bien moins sympathiques car beaucoup plus délinquants. On aimait mieux le vieux Marcel qui buvait son rouge en chantant trop fort. Il nous rappelait un membre de la famille et on pouvait un peu se projeter. Mais avec ça .... ... Il est beaucoup plus compliqué pour le français de faire preuve d'empathie. (c'est pour ça qu'on ne trouve que des lycées débiles pour en faire une cause )

Oh lala mais j'ai rarement lu quelque chose d'aussi con, tu te surpasses chaque fois grandfred. Je ne sais pas trop qui vous désignez pas "nos milieux" , mais j'aimerais bien connaître l'alternative à droite que vous proposez à son idée de réconciliation nationale.