Mite_Railleuse

Littérature britannique J’ai trouvé ça, long, terne, sans éclat. Rien n’est fouillé, approfondi. Alors qu’il y avait matière à faire quelque chose d’intrigant, de captivant. Déçue... John Cyrus Bellman, jeune veuf inconsolé, vit avec sa petite fille de dix ans, Bess, dans leur ferme de Pennsylvanie. Un entrefilet dans la gazette locale, faisant état d'une découverte stupéfiante, va le sortir de sa mélancolie et de son désœuvrement : de mystérieux ossements gigantesques auraient été déterrés, quelque part dans le Kentucky. Nous sommes au dix-neuvième siècle, et le continent américain demeure pour une large part inexploré. Qu'y a-t-il donc à l'ouest ? Se pourrait-il que des créatures fantastiques rôdent dans les terres inconnues qui s'étendent au-delà du fleuve Mississippi ? Bellman décide d'en avoir le cœur net et, s'improvisant aventurier, part à la recherche des bêtes sauvages, en compagnie d'un jeune éclaireur indien répondant au nom de Vieille Femme de Loin. Bess, livrée à elle-même et aux bons soins d'une tante revêche, passera de longs moments, penchée sur les atlas de la bibliothèque, à suivre en imagination le périple de son père – sans se douter que les monstres n'existent pas que dans les songes ou aux confins du monde, mais qu'ils sont aussi là, bien réels, à notre porte.

Littérature jeunesse. La couverture (et le titre) est naze, mais je la mets quand même... La genèse d’une dystopie, ou comment un événement peut transformer et révéler le pire de nous. J’ai eu envie d’écrire que c'était parfois un peu manichéen, mais en y réfléchissant, ça ne l’est pas. L’histoire, notre histoire l’a prouvé. Et le prouve encore. Lecture fluide, et difficile à lâcher. Pas le livre du siècle, mais j’ai bien aimé... AVERTISSEMENT Ceci est une histoire vraie. Vous la connaissez certainement : elle s'appelle Louise R., elle a dix-sept ans. Elle a été l'une des premières jeunes filles de notre pays à être atteinte par la mutation. Comme bien d'autres, son corps s'est métamorphosé, ses sens se sont aiguisés et sa vie n'a plus jamais été la même. Son visage a été vu sur tous les écrans, sur tous les réseaux sociaux. Ses prises de position et le récit de sa clandestinité ont bouleversé toute une génération. Ce document inédit est son témoignage. À travers elle, c'est aussi l'histoire de Fatia, Sara, Morgane et de toutes celles qu'on a appelé « les Félines ». Adolescentes et résistantes, elles se sont un jour dressées contre l'oppression et les discriminations. Elles se battent encore aujourd'huipour leur libeté. Ce texte est le récit de leur combat.

C’est pt’être parce que tu n’as pas voulu lui prêter ta pelle et ton seau...

J’ai été une grande susceptible, une soupe au lait de compèt. Couplé à un caractère de crotte, c’était pas tous les jours jojo... Pis j’en ai eu marre d’avoir la tête en ébullition, le regard furibard et l’agressivité chevillée au corps. Alors petit à petit, sans que cela soit une décision, une intention réfléchie, j’ai trouvé un pare-feu, l’autodérision. Une véritable délivrance, une bouffée d’oxygène !

Le cauchemar absolu ! Paradoxalement, la pleine mer me rend claustrophobe, je ne peux pas "m’échapper”. Avec la promiscuité de milliers de personnes en plus, c’est rapatriement Europe Assistance assuré !

Non justement, ce n’est pas tout. Quand la famille demande en boucle, quand ils vont avoir un enfant, c’est du harcèlement. Qui parfois arrive à ses fins.

Il y a des personnes qui ne veulent vraiment pas être parents !! Relation sérieuse ou pas.

Comme nous toutes !

C’est normal, tu n’es qu’une femme…

Ne pas sous-estimer le pouvoir des pressions familiales, sociales…

En règle générale, je reconnais pas les multi pseudos. Et pis j’avais envie, alors que ce n’était absolument pas nécessaire, vu l’incroyable pertinence du propos...

Alors que les hommes s’en foutent, c’est bien connu...

J’ai habité en face d’un petit cimetière. Il était joli, et ça ne me dérangeait pas, bien au contraire. Pas de voisins gênants ni de bruit.

Celui qui ne vit pas avec la souffrance au quotidien, sans espoir d’y remédier, ne peut pas comprendre ce choix...

Va pas nous le décourager, un jouet tout neuf !!

Le Styx…

On peut être les deux…

Non

C’EST une victime.

Oui, j’ai lu le compte-rendu du procès. Mais je crois qu’il y a un distinguo entre être handicapé et avoir des séquelles. D’où ma question.

S’il est reconnu médicalement handicapé, c’est qu’il l’est. Que tu ne sois pas d’accord avec le jugement, c’est autre chose. Pourquoi les dés seraient -ils pipés ?

Pas envie de tout relire, il se déclare handicapé ? Ou bien avoir des séquelles ?

On peut aussi supposer qu’elle peut pas blairer Plenel. On peut tout supposer en fait.

Ça veut dire quoi dans le contexte ? Je suis d’accord, un traitement peut améliorer les choses. Pas guérir, dixit les experts. Mais un an d’anus artificiel, avec j’imagine des soins quasi quotidiens, ça doit être bien lourd. Chacun réagit à sa manière. Mais ce n’est pas vraiment le propos.

Tu peux répondre de manière mesurée.