Mite_Railleuse

C’est le premier que je lis de lui. Il a fallu que je m’habitue à son écriture, à son intention, mais une fois entrée dedans, wouah !!

Moins de 200 pages… « En plein banquet, à Babylone, au milieu de la musique et des rires, soudain Alexandre s’écroule, terrassé par la fièvre. Ses généraux se pressent autour de lui, redoutant la fin mais préparant la suite, se disputant déjà l’héritage – et le privilège d’emporter sa dépouille. Des confins de l’Inde, un étrange messager se hâte vers Babylone. Et d’un temple éloigné où elle s’est réfugiée pour se cacher du monde, on tire une jeune femme de sang royal : le destin l’appelle à nouveau auprès de l’homme qui a vaincu son père... Le devoir et l’ambition, l’amour et la fidélité, le deuil et l’errance mènent les personnages vers l’ivresse d’une dernière chevauchée. » Pas facile d’en parler ! C’est lyrique, cruel, poétique, épique… Désespérant aussi. De l’Homme, de son irrépressible instinct guerrier. Et quelle plume ! De celle qui insuffle un souffle héroïque, et transfigure conquêtes, meurtres et trahisons, en légende.

Je ne reprends pas les fautes. Sauf quand quelqu’un en reprend une et en fait une autre dans la foulée. Parfois je me fends d’un « ça pique les yeux quand même » quand c’est dans le titre d’un sujet ou que ça pique vraiment les yeux, mais c’est tout. Et bien sûr, j’en fais aussi. Mais j’aime qu’on me le dise, j’apprends ! J’ai repris celle de @jimetpamparce que dans le contexte, je trouvais ça marrant.

Avec un « s ». Ce n’est pas le futur mais le conditionnel.

Peut-être qu’il en est question dans la vidéo, mais j’avoue, je n’ai pas regardé jusqu’au bout. J’ai découvert il n’y a pas longtemps, les « oyas ». C’est un système ancestral d’arrosage qui économise eau et temps. J’ai trouvé ça super intéressant. La vidéo n’est pas longue et explique très simplement la méthode

Heps heps bichette ! C’est jaune la couverture, pas orange…

Un livre avec un animal dans le titre « Vous rêvez d’une croisière de l’extrême ? Alors, c’est parti pour l’Antarctique ! Sur le navire, une globe-trotteuse septuagénaire répertorie les similitudes entre humains et animaux. Et elles ne manquent pas, grâce à une brochette de voyageurs bigarrés venus se frotter aux épaulards tueurs, albatros, pétrels et autres éléphants de mer. En route pour le bout du monde, Tomas file vers son objectif ultime, en finir avec les tracasseries de la vie, seul sur la glace. C’est compter sans les quelque quatre cent mille manchots royaux qui peuplent les lieux, et sans Wilma dont la bonne humeur inébranlable laisse croire que tout lui sourit. Quoi de mieux pour réchauffer les coeurs en perdition qu’un iceberg, pour peu qu’il se retourne, révélant le pingouin qui sommeille en chacun ? » J’ai été séduite par la fulgurance, la justesse et la pertinence de certaines réflexions. Qui entrent en totale résonance avec ce que je crois. Sinon l’histoire se lit facilement, même si parfois un peu brouillonne, assez convenue et « clichesque ». Un livre d’été, sans condescendance aucune.

Ayé, fini un livre conseillé ! Je ne sais pas trop quoi en dire… Ça se laisse lire, mais je me suis un peu perdue dans les personnages. Une saga familiale italienne sur 500 pages, il a fallu que je fasse quelques allers et retours pour me souvenir qui était le père de truc, la fille de bidule ou la cousine de machin. Et le postulat de départ, l’essence même de l’histoire, je ne l’ai pas trouvé convaincant. Mais le style est fluide et il s’en dégage une douce nostalgie…

Je sais… Ça m’évoque ces chiens battus, maltraités, torturés et qui viennent toujours quémander de l’amour. Encore et encore. Insoutenable…

Les liens du sang ne devraient pas être « sacrés ». Ça éviterait bien des malheurs et des culpabilités…

Et hop, économies ! Merci qui ?

Pas de bibliothèque aux alentours ?

Ce que ne devraient pas faire les parents ? Je loue ta bienveillance, mais au risque de passer pour la méchante, c’est pas faute d’avoir averti @Petit ourssur les responsabilités et les difficultés d’être parents, quand il a ouvert son sujet annonçant qu’il allait être papa. Fin bref, il y a une petite fille maintenant, pas une poupée qu’on habille avec des noeuds roses et qu’on voit en train de faire de l’équitation, du tennis ou que sais-je ! Bien sûr qu’il faut les aider, mais les exonérer de toutes responsabilités et tout miser sur les grands-parents, je trouve ça limite.

Tout le monde y va de son commentaire, les grands-parents devraient faire ci et pas faire ça et surtout rester à leur place, bla-bla-bla… Ont leur a demandé leur avis ou bien sont-ils mis, par la force des choses, devant le fait accompli ? Comme ils l’avaient déjà été pour la grossesse…

Suffit de relire un peu au dessus

Les grands-parents. Avec une petite fille à demeure, à élever…

Et sinon, quelqu’un de compatissant pour des personnes qu’ont pas trop le choix et se retrouvent à devoir assurer et pailler des défaillances. Ils en avaient envie ?

Je ne sais pas. J’étais plus sur le registre relationnel !

Géniteurs et parents. Deux choses qui peuvent n’avoir rien en commun…

Pourquoi, il a un labrador ?

Toujours difficile de se faire une idée précise de la situation avec un seul son de cloche.

Étrangement, il aurait demandé conseil pour un aspirateur bouché ou une machine à laver qui fuyait, le labrador serait resté dans sa niche. Comme quoi… Et je m’en suis tenu à cette formule, un peu lapidaire, je le concède. Parce que si je disais sans détour le fond de ma pensée… Je souhaite en tous cas que cette petite fille trouve sa place avec sa famille, aimante et responsable.

Peux pas m’empêcher d’imaginer un truc dans le style. A regarder jusqu’au bout…

J’ai parfaitement compris. Et sa réponse n’a absolument aucun rapport avec ce que j’ai dit.

Wé, nous serions tous en train de batifoler à poil, copulant dans tous les coins ! Ah non merde, je confonds avec le Cap d’Agde !