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Mite_Railleuse

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Tout ce qui a été posté par Mite_Railleuse

  1. Tu peux ! Enfin je crois… En tous cas on me l’a affirmé…
  2. Non, juste une mauvaise connexion synapses neurones ! T’inquiète, ça fait pas mal
  3. Il a pourtant murmuré que c’était mieux… pendant !
  4. Et pis y a aussi « c’était mieux après !». Quand il a enfin débarrassé le lit et qu’il est rentré chez lui… Yeaaaaaah
  5. J’aime ce genre de sujets. Avec l’auteur qui va avec. Ça permet de mesurer, s’il était encore besoin, la chance que j’ai de connaître les hommes que je connais. Merci…
  6. Je crois que nous avons dégoté une bonne tête de vainqueur !
  7. On pige toujours beaucoup mieux quand soi-même on fait/ dit ce qu’on dit ne pas comprendre chez les autres…
  8. Mais t’aimes pas LES féministes et LES gooochistes, ça équilibre
  9. Si elles ont de gros seins et un p’tit cul, un certain nombre ! Pour ne pas dire un nombre certain…
  10. Ben moi j’trouve que t’infirme vachement bien !
  11. « L’homme cherche LA femme dans toutes les femmes ». Oui, ça s’appelle un cavaleur
  12. Quand on ne le cherche plus LE sens, et qu’on accepte de ne pas être vu comme l’on voudrait, mais comme on est, ou à peu près, c’est un carcan qui tombe…
  13. Les souvenirs sont toujours biaisés. Parce qu’en la matière, le ressenti sera plus prégnant que le factuel. C’est le propre des souvenirs : l’idéalisation, ou la diabolisation.
  14. Prix Goncourt 2016… Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d'un cabinet d'avocats, le couple se met à la recherche d'une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l'affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu'au drame. C’est étouffant, morne, poisseux, dérangeant, oppressant… Comme comprendre par petites touches, qu’on est en présence d’une folie qui s’auto nourrit, jour après jour. Et dont on sait qu’elle sera meurtrière. C’est distillé au compte-goutte, avec un style net, sans fioritures. Etrange de lire ce livre devant un ventilateur pour cause de canicule, alors qu’il n’est quasiment que froid et obscurité…
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