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Tout ce qui a été posté par Favras
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Selon nos chers modernes qui se prennent pour des néo-humanistes, le fœtus humain avorté est donc comparable au bois coupé pour un meuble ou à l’œuf cassé pour une omelette. Ce sujet est édifiant en ce qu'il illustre toute la déliquescence morale et d'intellectuelle d'une gauche dégénérée.
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Où ça des "Cathos intégristes" ?
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Il dit précisément autre chose que ce que votre définition disait. C'est un vain tortillement rhétorique auquel vous vous adonnez. Admettre la contradiction est un terme fumeux puisque l'on admet pas les idées de ses opposants même si on les écoute. Un exemple quant à « l’extrémisme » : les républicains étaient minoritaires et considérés comme des extremistes en 1789 lorsque la plupart des révolutionnaires réclamaient – avec nuance et compromis – une monarchie constitutionnelle. Et puis les républicains ont pris le dessus ; aujourd'hui ils sont la norme. Ceux que le système nomme « extrémistes » ne sont rien d'autre que les ennemis de la norme, pour le meilleur ou pour le pire. L'extrémisme n'est pas une notion objective, c'est un mot idéologisé qui relève d'un vocabulaire conservateur, celui du système qui marginalise les alternatives pour se sauvegarder lui-même. Je n'ai pas exactement dit qu'il était plus intéressant d'être radical ou extrémiste, j'ai dit que des opinions qui ne soulevaient la colère de personne étaient fades et insipides, ce qui ne veut pas dire qu'il faut soulever la colère de tout le monde pour être intéressant, mais au moins celle de ses opposants : c'est la moindre des évidences si l'on prétend avoir des idées signifiantes. Quant à être binaire je ne considère pas cela comme être radical mais comme être simpliste ; en effet, ce qui est gênant dans une réflexion binaire n'est tant pas la dualité des idées, car on ne peut penser tout et son contraire, ce qui est gênant est ce que l'on pourrait nommer plus précisément le manichéisme, comme lorsque vous considérez la politique réactionnaire comme néfaste en soit sans même discerner le contexte historique, vous manquez à votre nuance chérie, à contrario je suis radicalement réactionnaire dans mon époque comme je l'aurais été à différentes époques, mais nuance : pas à toutes, je ne considère pas qu'être réactionnaire est bien en soit ni progressiste mal en soit, tout ceci dépend du contexte politique.
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A-t-on le droit de comparer George Bush et Nicolas Sarkozy à des singes ? Il semble que oui. En quel animal n'a-t-on pas le droit de grimer un blanc ?
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Ce photo-montage est abject. Le singe vous en conviendrez est tout-à-fait mignon et n'a jamais fait de mal à la France, il est donc fort ignominieux de le comparer à Christiane Taubira. J'espère qu'il y a des lois contre ça et j'attends une riposte de Greenpeace. De toute évidence la personne qui a réalisé ce montage n'aime pas les animaux, et cela ne m’étonne guère des gens du Front national.
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Quand on entend parler d'histoire le consommateur hors-sol, avec une confusion flagrante entre l'histoire de France et ce qui ressemble vaguement à l'histoire des États-Unis, on ne se demande plus pourquoi il ne voit aucun inconvénient à ce que l'Europe devienne les États-Unis.
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Ne pas gouter le binarisme et ne mettre en colère personne par ses opinions sont deux choses totalement différentes. C'est votre définition toute personnelle. Quand Michel Drucker refuse d'inviter Marine le Pen parce-qu'il la juge extremiste, c'est Michel Drucker l'extrémiste ? Le fait de boycotter quelqu'un que l'on juge extrémiste, donc de refuser sa parole contradictoire, ferait donc de soi un extrémiste ? La vérité est que l’extrémisme n'est rien d'autre que le terme subjectif servant à marginaliser celui qui, en bien ou en mal, propose une réelle alternative au système. La question est erronée. Chez vous je n'ai nullement cherché la nuance mais la cohérence.
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Je vous reproche de faire l'éloge de la nuance tout en faisant l'exercice de la caricature. Ma logique n'est pas celle de l'incohérence.
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Je n'admets pas la chose suivante, bien trop binaire pour être pertinente.
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Entre "le plus de monde possible" et "personne", il y a une marge dont votre logique semble dépourvue. La caricature que vous exercez est le contraire de la nuance dont vous faites l'éloge...
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Quelqu'un qui ne soulève la colère de personne par ses opinions est fade comme l'eau du robinet, en plus de justifier son insipidité par le prétexte de ne pas être "un extrémiste", et vous avez la meilleure définition que l'on puisse trouver du "bien-pensant". N'est-on jamais mieux défini que par soi-même.
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Nous sommes à un stade de déculturation et de décadence trop avancé pour que les mots aient encore un sens.
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Il est à se demander pourquoi un droit-de-l'hommiste ancien gauchiste et sans-frontièriste comme Robert Ménard s'est ainsi déplacé sur l’échiquier politique ? La bourrasque bien-pensante qui souffle sur les médias français lui aurait-elle chamboulé les idées. C'est exactement ce que je me disais en vous lisant qualifier le FN de national-socialiste.
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Le consommateur inculte et déraciné que l'on nomme encore généreusement "citoyen" n'a pas conscience de tout cela. Pour lui, rien ne s'oppose à ce que l'Europe soit les États-Unis, ni que son frère soit sa sœur...
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Pourquoi l'empire américain que l'on appelle pudiquement "la mondialisation" met-il tant d'acharnement à tuer les exceptions, et surtout pourquoi y-a-t-il tant d'eunuques sur nos terres qui se réjouissent de renoncer à eux-mêmes en tant que Français ?
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La liberté d'expression et par extension celle de la presse, c'est un peu la spécialité de Reporters sans frontières (RSF). Voyons ce que son fondateur pense de la liberté d'expression aujourd'hui en France : Chers amis, Je m’appelle Robert Ménard. En 1985, dans le but de défendre la liberté de la presse partout dans le monde, je fus l’un des fondateurs de Reporters sans Frontières. Il y avait du travail : en Tunisie, à Cuba, en Algérie ou en Chine, quelle que soit la nature politique de ces régimes, de droite comme de gauche, nous nous sommes battus pour que les journalistes puissent informer librement et que les citoyens aient ainsi accès à une information libre. Des journalistes risquaient la prison quand ce n’était pas, tout simplement, la mort… Or, aujourd’hui, si cette liberté gagne du terrain dans certains pays, c’est en France qu’elle se réduit comme peau de chagrin ! Bien sûr, aucun journaliste ne risque sa peau chez nous. Notre système est bien plus perfectionné. Aux persécutions grossières, on préfère la mise à mort sociale professionnelle, lente de préférence. Celle qu’on ne voit pas et dont on ne parle jamais. Ce système, je l’ai vu à l’œuvre. Il est d’autant plus efficace que les journalistes en rajoutent dans l’autocensure par peur de se retrouver au chômage. D’où le sentiment que vous devez éprouver tout comme moi : celui d’une fausse pluralité de la presse, parce que tous ces journaux qui ont l’air d’être différents, radotent, racontent en permanence la même chose, ressassent les mêmes poncifs... http://www.bvoltaire.fr/le-club/
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Le Parti socialiste n'est tellement plus socialiste que l'on en vient à qualifier communément de "socialisme" la moindre politique sociale, y compris celle du FN. L'utilisation actuelle des mots "socialisme" ou "fascisme" illustre la culture politique des contemporains dans toute sa pauvreté.
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Marine Le Pen tombe le masque sur la société qu'elle imposera si elle est élue
Favras a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Politique
Deux cent mille, c'est également le nombre moyen d'avortements chaque année. L'immigration s'est massifiée en même temps que l'IVG. C'est en grande partie la perte démographique due à la banalisation de l'avortement que nous pallions à grand renfort d'immigration africaine, quitte à changer le peuple sur plusieurs décennies. Deux cent mille personnes, c'est l'équivalent pour ceux qui ne s'en rendraient pas compte d'une ville comme Rennes en nombre d'habitants. C'est l'équivalent d'une ville entière d'immigrés qui se greffe à la France chaque année depuis des décennies, pour prendre la place démographique de deux cent mille Français avortés. -
Je respecte votre personne avec force convenance madame (d'autant que vous avez la délicatesse du vouvoiement), cependant je mets un point d'honneur à conchier vos écrits. Car il n'y a pas de réelle confrontation idéologique sans une certaine violence intellectuelle, et je ne suis pas là pour cirer les poncifs de l'idéologie dominante.
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Appeler au meurtre est une chose qui a je crois toujours été sanctionnée, et qu'il faut distinguer du concept fumeux de l'appel à la haine ; si une catégorie de gens se comporte d'une manière néfaste au bien commun, par exemple les "grands patrons" comme des "voyous", en le dénonçant je les stigmatise et j'attise la haine (c'est-à-dire la colère) contre eux. On peut certes encore le faire, mais c'est toute la dérive conceptuelle intrinsèque au principe hygiéniste de "l'appel à la haine". Comment dénoncer les communautarismes aujourd'hui sans être accusé "d'appeler à la haine" raciale ou religieuse ? Même Valls est trainé devant la justice. Si le concept juridique «d'appel à la haine» parait normal tellement ont y est habitué, il suffit de remplacer le mot "haine" par le synonyme de "colère" qui veut dire exactement la même chose mais sonne moins péjoratif, pour réaliser tout l'abus hygiéniste que représente un délit d'appel à la colère. Et encore une fois, l'appel au meurtre est une chose tout-à-fait différence. Réduire mon argumentaire à cela relève d'une piteuse rhétorique à bout de souffle. Cela étant je crois que nous avons compris votre position, il est donc temps d'abréger cette discussion qui devient ennuyeuse. Vous êtes aliéné par le faussel, ce règne du faux qui caractérise notre époque : ainsi la liberté d'expression à la télévision n'a pas bougée ; la culture française est aussi rayonnante que toujours ; l'immigration n'a pas augmentée depuis trente ans (elle aurait même baissée !) ; l'économie n'a rien perdu puisqu'il y a toujours des "Auchan" et des "Leclerc" (c'est votre argument incroyable mais vrai) ; le progrès social n'a rien à envier au passé (preuve en est que les pauvres de même sexe peuvent enfin se marier entre eux), etc...
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Je ne suis absolument pas d'accord et je suis persuadé qu'on y reviendra par nécessité ; cependant il est toujours plus constructif de débattre avec vous qu'avec le crustacé du dessus, c'est pourquoi j'en débattrais avec plaisir sur les "topics" qui y sont consacrés. Parce-que tous les exemples valables donnés instinctivement par vous-même, des macarons en passant par Édith Piaf, sont des produits de la culture française inventés à l'époque où elle était féconde : il y a plus de quarante ans : avant son déclin. Vous qui adulez les États-Unis, peut-être le comprendriez-vous mieux si c’était le Time Magazine qui vous l'expliquât : "Personne ne prend la culture plus au sérieux que les Français, ils la subventionnent généreusement. Ils la dorlotent de quotas et d'incitations fiscales. Et les médias lui accordent une large place. Même les magazines de mode prennent les chroniques littéraires au sérieux, et l'annonce le 5 novembre dernier du prix Goncourt – l'un des 900 prix littéraires français – a fait la une des journaux dans tout le pays. Mais il y a un problème. Tous ces grands chênes abattus dans la forêt culturelle française ne font pas un bruit dans le reste du monde. Autrefois admirée pour l'excellence de ses écrivains, artistes et musiciens, la France est aujourd'hui une puissance vieillissante sur le marché mondial de la culture. Cette perte d'influence de la France pourrait n'être qu'une caractéristique nationale – tout comme la faible natalité italienne ou le penchant russe pour la vodka – si la France n'était pas la France : un pays où la promotion de l'influence culturelle a été une politique nationale durant des siècles où les philosophes controversés et les nouveaux musées tapageurs sont des symboles de fierté et de patriotisme. Et un pays qui, de plus, a lancé la bataille pour une 'exception culturelle'..." Je ne cherche pas à vous convaincre de choses qui vous dépassent, mais il m'amuse de vous voir penser en rond avec l'élan d'un crabe d'eau douce au fond d'une marmite.
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La liberté d'expression s'est certainement diminuée à la télévision, mais elle a nettement été compensée par l'essor d'internet ; il y a peut-être un rapport à y voir : les Torquemada du politiquement correct ayant peu d'emprise sur internet auraient resserré leur zèle aseptisant sur le petit écran. Que vous citiez une femme morte il y a un demi-siècle pour promotionner la culture française conforte mon point de vue sur le déclin culturel français de ces quarante dernières années. Inventés il y a un siècle et demi... Le culture française est en tel déclin depuis quarante ans qu'elle ne tient plus que sur ses restes, comme son économie, et tout ce qui s'en suit. J'en ai fait la démonstration évidente, bien que l'évidence du cas n'avait aucunement besoin d'une démonstration. Vous parlez dans le reflet de votre écran.
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L'humour est également passé sous le curseur du médiocre. Merci de m'en rappeler avec force démonstration. The Artist ? Un film à l'américaine tourné en Amérique et qui raconte une histoire américaine. Nous n'avons définitivement pas la même conception de la culture française. Les touristes viennent admirer les restes du passé. Caricatural est un mot trop gentil pour qualifier l'hébétude avec laquelle vous baragouinez vaguement le passé. Je ne sais pas si vos parents mettaient un "d" ou un "t" à "quand au niveau scolaire", mais je vous suggère de mettre un "t". À la poubelle précisément. Charles de Gaulle, vous le savez car je vous l'ai appris récemment, mais la vérité nationale vous intéresse moins que le mensonge européen, Charles de Gaulle disais-je, et Moriarty vous le rappelle aimablement bien qu'inutilement (en vidéo) car vous êtes sourd et aveugle (mais vous ne vous ridiculiserez plus inconsciemment), Charles de Gaule enfin s'est opposé farouchement à votre Europe supranationale que l'on nommait jadis "intégrée". Cessez donc de salir sa mémoire en le mouillant à cette sale affaire. Ni les Romains, ni Charlemagne, ni Napoléon ne voulaient une Europe dans le renoncement de leur patrie, mais au contraire dans son triomphe et sa suprématie. Légère différence avec Jean Monnet. Essayez de moucher la morve qui vous coule du nez, ce sera un bon début. Seul un homme cultivé (au moins un peu) a connaissance que le présent s'est construit et que l'avenir se construit en se nourrissant du passé. Nous vous laissons croire. Laissez nous penser.
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Disons pour nuancer, que la plèbe soit inculte et vomisse l'Etat n'est pas forcément anormal. On peut aussi distinguer un certain dégout de la France par orgueil, comme on se déteste après un échec ; ce peuple était tellement grand et ce pays est tombé tellement bas.
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Vous êtes sérieux ? Je savais que les ravis de la crèche étaient très ravis de la situation, mais de là à nier le déclin français de ces quarante dernières années... Faut-il sérieusement vous parler de l'économie française dont la situation n'a jamais été aussi mauvaise depuis un demi-siècle, faut-il vous parler de ce que sont devenus l'industrie et l'agriculture de ce pays ? Épargnez moi le récit des mille milliards de dette qui n'étaient que des centimes il y a quarante ans, ne me faites pas parler du chômage et encore moins du rayonnement géopolitique, ni des hommes et des femmes qui nous servent de classe politique ; faut-il évoquer ce qu'on appelle encore généreusement "la culture française", qui s'est tellement étiolée et ne pèse tellement rien que les anglo-saxons la croient morte ; il y aura un conflit d'intérêt si j'invoque le niveau scolaire descendu aux limbes de l'hébétude, car il n'y a qu'à vous lire ainsi que vos collègues, et vous regarder à chaque détour de phrase vous ruer sur Wikipédia – le "hard-discount" de la culture en boite. Les États-Unis bien sûr, ultime référence des européistes qui n'ont pas compris que l'histoire du continent américain était singulièrement différente de l'histoire du continent européen. Comme un certain nombre de Français aliénés par l'impérialisme américain, vous êtes un américain de province européenne et aucunement un Français. Charles de Gaulle qualifiait avec raison les fédéralistes européens de "malades comme Jean Monnet, qui sont avant tout soucieux de servir les États-Unis." Aucun patriote ne voudrait en effet que son pays se vît fondu dans un empire, que la France se vît réduite à l'état de région au sein des États-Unis d'Europe. Vous vendriez la France pour un rêve américain. On sent que votre culture historique regorge de cinéma hollywoodien plus que de lectures d'historiens. Saluons au passage l’audacieuse comparaison des templiers aux scientifiques.
