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Donald Trump : président des Etats-unis
Petitpepin a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans International
Trump, psychopathe sanguinaire ? j'y crois pas une seconde ! Le tableau m'apparaît plutôt comme ça : d'un côté Trump, opportuniste sans vision, girouette dont l'opinion publique attend vainement des miracles, et à laquelle les classes politiques et médiatiques de son propre pays, et de ses alliés, sont largement hostiles ; de l'autre un régime établi, verrouillé, autoritaire, populaire bien au delà de ses frontières. Trump va se faire écraser en politique étrangère, ça ne fera pas un pli. Assistons-nous bien à l'effondrement de la première puissance mondiale ? Qui ne s'en réjouirait pas ? Partout on prépare le festin du siècle. Poutine a toutes les raisons d'être favorable à Trump... Et qui va donc faire la loi en politique internationale, maintenant ? -
L'exemple de Marx pouvait être intéressant par rapport au sujet parce que ses écrits ont eu une influence considérable sur le cours de l'histoire, un influence peu voire pas comparable à quelque philosophe que ce soit auparavant et depuis. Nos pensées et nos valeurs en sont truffées, sur toute la planète. C'est intéressant à plus d'un titre. Bien sur l'URSS communiste n'a pas correspondu au projet de Marx. Mais même là où ne plane pas ce spectre du totalitarisme, l'histoire donne-t-elle raison à Marx ? Le philosophe, alors même qu'il a une influence réelle, ce qui la plupart du temps n'est pas le cas, et alors même qu’il cherche cette influence, la maîtrise-t-il pour autant, et est-il à l'abri de se tromper ? C'est au fond un problème de questions je crois. Il est des questions qui nous appartiennent en quelque sorte à tous, collectivement et d'autres questions qui n'appartiennent qu'aux spécialistes et passionnés de la philosophie. Une philosophie n'a pas à se borner aux questions les plus communes et immédiatement accessibles. Mais je crois comme vous qu’à perdre complètement de vue cette communauté de question la philosophie apparaîtrait et deviendrait bien vide. C'est peut-être aussi ce que vous vouliez dire.
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Petites questions Orbes claire : avez-vous lu Karl Marx ? Si oui, trouvez-vous sa pensée accessible ? Pouvoir être comprise par un enfant de cinq ans, drôle de critère pour estimer la valeur d'une philosophie quand-même...
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Tiens c'est bien vrai ça, et on l'a pas abordé (on l'aborde rarement s'agissant du smartphone) : vous ne constatez jamais cette pression à la communication qui s'installe du fait qu'on soit et doive être en permanence reliés à tout le monde ? Il faut répondre. Ou bien vous envoyez un message : je me fous de toi, tu ne m'intéresse pas, etc. Chaque personne qui vous écrit attend une réponse, et ne pas répondre c'est répondre quand même. Vous n'avez aucun choix. Si par malheur vous vous êtes isolé un moment, il faudra vous excuser et le justifier "excuse moi j'étais ....". Tant que vous êtes dans cette frénésie là, aucun problème et vous n'apercevez même pas la pression qui s'installe, puisque vous l'embrassez, elle vous transporte et vous la faîtes jouer sur d'autres. Mais si vous n'y êtes pas, alors il devient très difficile de maîtriser votre communication. "Il/elle ne répond jamais". "On ne peut pas compter sur lui/elle". Les gens vous en veulent. Peut être avec même une pointe de jalousie, dans certains cas : lui, n'a pas besoin de nous... Et la vengeance qui vient avec. Mais il y a des "activités" ou disons des périodes dans la vie où une personne a besoin de faire le vide, il me semble. Or c'est devenu impossible, pour peu que vous fassiez partie des connectés. Et voyez l'avantage énorme que prennent ces mêmes connectés dans le monde du travail. Alors la pression à la communication devient le support pour une extension sans limite des nécessités du travail. Il faut être joignable immédiatement en permanence. N'éteignez surtout pas votre portable la nuit, quelle idée ! Devant le café ? Traitez vos mails, efficacement, en bon homme d'affaire. Et soyez informés. Un coup d'oeil aux unes, vous aurez un mot à dire sur tout, vous ne serez jamais pris en défaut. "Oh l'autre hé, l'a pas entendu parler du vol des bijoux de..." Tenir une conversation ? Si par conversation on entend cette activité humaine ancestrale, oui certainement cela devient rare dans certains milieux, et notamment chez les plus jeunes. Mais en réalité la "conversation" a changé de nature. Les jeunes parlent beaucoup mais pour la plupart vous seriez incapable de suivre leurs conversations, parce qu'elles integrent le snapchat de untel, la photo de machin sur fb, le commentaire de l'autre, le tweet du joueur de..., etc. Les réseaux se croisent et se téléscopent et la bonne vieille conversation du dimanche n'est plus la même. Et son caractère profondément ennuyeux apparaît pleinement. Pourquoi la supporterions nous encore, avec cette ouverture incroyable sur le monde, là juste dans notre poche ? Il n'y a pas de raison. De même que l'autre : l'autre qui, celui en face de moi ? Mais ce n'est qu'un exemplaire et j'ai plein de choix. Je n'ai aucune nécessité de m'en soucier, sauf s'il peut m'apporter quelque chose directement ou s'il représente une menace. Donc les liens qui s'établissent sont qualitativement différents. Les conversations idem. Malheureusement ? Mais l'Etat est dès le départ un agent majeur de l'informatisation et de la numérisation. Ce n'est pas maintenant qu'il s'y met.
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J'ai trouvé. Et je suis anéanti. Le travail et le dégout m'ont éloigné de l'information hors mainstream (qui vous attrape de toute façon) ces dernières semaines. De ce que j'ai pu voir, rien ou presque n'a paru dans le Monde, dans Mediapart, dans WikiLeaks... Les Etats-Unis précipitent l'OTAN dans un conflit nucléaire, en ce moment même la population d'Europe de l'est est menacée de disparaître tout bonnement, la population Russe se prépare à des frappes nucléaires, et en France on ne le sait pas ? On discute de nos ancêtres les gaulois ? Est-ce vraiment croyable ? Ou bien est-ce mon "milieu" qui est sous-informé ? Les peuples de l'Ouest ne sont absolument pas préparés... Je retourne à mes recherches.
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Mais nous sommes bien d'accord ! Enfin je comprends bien ce que vous dites, et je reconnais la rectitude de votre position, même si je remarque quant à moi que le peuple français en tant qu' unité politique et culturelle (abstraite mais passons, c'est de cette unité dont on parle) descend bien plus directement d'autres sources historiques que des peuples de Gaule. La question ne portant pas sur le fait géographique/historique, qui est égal en lui-même, mais sur la valeur du fait pris dans la parole politique. La seconde partie du message s'adressait à Morfou, je ne l'ai pas précisé c'est ma faute. Quant au fait, encore une fois quel fait ?? Le fait historique de la présence des Gaulois ou le fait politique de l'évocation du (peuple) Gaulois comme ancêtre du (peuple) français aujourd'hui ? Vous n'y voyez aucune différence ? j'en vois une très grande. M Sarkozy a-t-il pour habitude de rappeler des faits historiques au hasard, comme ca ? Mais ça va aller oui avec la gauche ? il faut être de gauche pour se rendre compte que M Sarkozy ne s'adressait pas en l'occurrence à la rigueur de l'esprit scientifique des français ? 2 choses : arrêtez de prêter des intentions à vos interlocuteurs : je ne discute pas le fait historique, qui n'est pas en question. 2 VOUS (votre tournure, mais vous rectifiez plus tard) avez un probleme de chronologie : la France, comme vous dites, n'existe précisément pas à l'époque des Gaulois. Les Gaulois n'ont jamais vécu en France.Si vous restez au plan du fait historique strictement, comme vous prétendez et d'accord, c'est parfaitement valable, alors il vous faut prendre garde à respecter le raisonnement historique. Mais de toute façon j'arrête là, j'ai bien compris ce que vous vouliez dire et sur ce point nous sommes d'accord (je vois mal comment ne pas l'être, sauf à nier l'existence des Gaulois, ou à entrer dans un débat sur l'historiographie, mais on voit bien que ce n'est pas le propos) et je n'ai rien à ajouter quant au fait politique.
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Y a-t-il des "sources" qui vous permettent d'affirmer ceci ? Je ne comprends pas cet argument. Parce qu'on a fait l'ENA on ne craint plus la mort ? Qu'appelez-vous le pouvoir ? Les dirigeants n'ont pas besoin que les citoyens soient armés pour plier devant même une minorité assez agitée, on l'a assez vu. Et vous ne devez pas être sans savoir que la police et la gendarmerie existent dans leur séparation précisément pour s'équilibrer l'une l'autre, dans le cas où l'une tenterait un coup d'Etat (l'armée étant généralement plus à craindre, il me semble). La vacance du pouvoir ? Moi non plus ne m'attends pas à un embrasement général. Je redoute bien plus les petits groupes très déterminés (éventuellement manipulés de l'extérieur) qui, armés et relativement silencieux, attendent l'heure de passer à l'acte. Et ceci me semble beaucoup plus réaliste que l'atomisation de Paris - une telle méthode serait d'ailleurs plus conforme à la méthode moderne, à l'heure des bombes atomiques : armer et diriger des groupes pour déstabiliser le pouvoir de l'intérieur. Ce n'est pas évident du tout, pour moi. Je ne peux rejoindre la position que vous exprimez que dans le cas d'un régime véritablement oppresseur et violent. Effectivement alors, il faut plier ou prendre les armes. Mais en aucun cas donc lors d'une vacance du pouvoir ! La comparaison avec la Suisse et la Norvège est quand même très limitée, vous devez en avoir conscience. La situation est bien plus explosive en France, traditionnellement et en ce moment tout particulièrement. Dans l'absolu je suis entièrement d'accord. Mais ce n'est pas réaliste bien sûr puisque vous et moi vivons dans un "système" foctionnant de telle façon qu'il ne nous permet plus que de saluer avec nostalgie cette noble idée de l'indépendance. Ou même, il faut maintenant nous en méfier, car elle peut recouvrir des intérêts exactement inverses. Autrement dit l'alternative que vous posez est illusoire et trompeuse (mais vous le savez déjà, non ?) Politiquement, économiquement, nous vivons à l'heure d'une interdépendance sans précédent. A moins que vous cultiviez vos propres patates, votre survie ne sera jamais entre vos mains. En Corse, éventuellement, on peut en trouver quelques reliques..., mais encore faut-il être corse !
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Si, quand même : l'infantilisation d'une partie du corps électoral français. Mais bon, "c'est la primaire", comme on répète inlassablement avec le cynisme en barres serialisees d'aujourd'hui.
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Tiens donc ? Et où ça chère madame ? Personnellement je viens d'Auvergne... Je passe chaque fois par la plateau de Gergovie quand je monte voir les parisii. Les Arvernes m'ont même légué un nom de rue. Non mais vous savez, quand j'avais 8 ans et qu'on faisait l'histoire de France, moi aussi j'ai voulu être un descendant des Gaulois, surtout vue la proximité géographique. Après on bataillait dans la cour, c'était chouette.
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Vous vouliez exprimer une pensée chère madame ?
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Mais oui tiens, allons-y franchement, de quel fait historique parlez-vous ? Voyons voir l’épaisseur du fait en question. Je résume, pour ne pas vous fatiguer : un peuple barbare, dont on ne sait quasiment rien et qu'on appelle les Gaulois, occupait il y a fooooort longtemps un territoire qui se superpose partiellement avec celui de la France métropolitaine aujourd’hui. Avez-vous plus à dire ? Expliquez, par exemple, de qui l'on tient le peu de connaissances que l'on a de ces peuples ? Les Gaulois eux-mêmes ? Qu'en avons-nous hérité, alors ? Le sang ? Chiche ! Faîtes donc voir ces belles veines ! Et prouvez-le, votre fait historique. Trouvez-moi d’abord un français dont on sache qu'il a un ancêtre gaulois. Vous en avez trouveriez un, ce serait déjà beaucoup, mais pas assez malheureusement. Eh oui, puisqu’il vous faut maintenant définir le peuple français (le peuple, déjà, autant vous dire qu’ils sont nombreux à s’y être cassé les dents, sur celle-là !) et prouver qu'il descend des Gaulois… Quelle méthode employez-vous, par curiosité, pour établir ce fait historique ? Ou bien alors, le fait, c’est qu’on ne sait quasiment rien de ce peuple, hormis qu’il était là avant nous ? Ah, c’est donc géographique. Et… bah c’est tout. Ouai, pas bien épais, notre fait historique. Oh non mais vraiment, ne soyez pas si tatillons ! C'est un symbole après tout, il n'y faut pas chercher plus loin. Un symbole, dîtes-vous ? Mais alors, un symbole de quoi, et pour qui ? Ah oui mais non en fait, parce que bah... enfin on a pas le droit de le dire (mais on le dit de plus en plus quand même) parce que sinon la gauche paranoïaque va encore nous sauter dessus. Non mais les romains, c’est bien en fait les romains, puis les Grecs aussi d’ailleurs, c’est pas mal surtout parce qu’avec ceux-là il y a une filiation vaguement constatable et vivante (un peu…), qui se renouvelle à travers la langue, ce genre de choses. Mais ! mais… c’est pas bien français tout ça quand même. Et pourquoi pas les francs, de solides gaillards ceux-là ! Bon, à la limite, va pour les francs. Donc bah, vraiment tant pis alors hein, pour les gaulois on laisse tomber, et on arrête de nous bassiner les oreilles avec aussi, du coup, vu que ce ne sera jamais plus qu’un peuple mystérieux (mais alors ça on aime, hein, justement, en guise de fait historique!) un peuple dont on sait qu’il a été là et à propos duquel on a sans doute encore plein de choses passionantes à découvrir ! Laissons donc les gaulois et les faits historiques aux historiens ! Et à nous le roman national ! Vive la France.
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À un moment, il faut arrêter de faire semblant de ne pas comprendre les arguments du camp adverse. La question n'est pas de savoir s'il faut intégrer les gaulois au roman national. La première question est : quelle légitimité a le "roman national" d'abord ? S'il s'agit d'un "mythe" auquel les français s'identifient, et si ce mythe doit être produit par la classe politique via notamment l'enseignement, alors la question devient : dans quel passé allons-nous chercher ce mythe ? Or les gaulois sont-ils vraiment le moment de notre histoire le plus pertinent pour fonder un sentiment de cohésion et de continuité nationale ? Je réponds : absolument pas. C'est tout ! Réfléchissez à la symbolique du Gaulois et assumez-la pleinement. Ce sera plus cohérent. Et je réponds encore : la Grèce antique, Rome, la chrétienté : pourquoi pas. Les gaulois ? Des barbares dont nous n'avons a peu près rien hérité et rien à apprendre.
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Mais ca ne marquerait nécessairement pas le début d'une guerre civile, cela, si ? Ou vous voulez dire que dans un tel cas, il vaudrait mieux que les villageois soient armés ? Ah ça, quand l'Etat prend une menace au sérieux, ça ne plaisante pas (et c'est bien normal). Tiens, dans les cartons de nos bons fonctionnaires il y a par exemple les procédures à suivre en cas de pandémie (par exemple de vache folle, toujours possible). Il est amusant de savoir que les civils devant survivre par-dessus-tout, dans ce cas, et puisqu'on attend plusieurs centaines de milliers de morts en quelques semaines, ce sont les postiers ! Eh oui, le courrier, voilà la base. Enfin je m'éloigne. J'ai peine à croire que l’hypothèse d’une atomisation de Paris par les Russes vous paraisse réaliste, mais je vais partir du principe que c’est le cas. Nous serions donc plus avancés sur le chemin du conflit armé qu'au plus fort de la guerre froide ? A moins qu'on ne nous cache des choses vraiment énormes, il semble que ce ne soit pas encore le cas. La révolte populaire, pourquoi pas, mais je ne vois pas alors l'intérêt de m'armer (j'irai plutôt me réfugier dans mes montagnes), et encore moins que les autres ne s'arment ! Enfin, il y a quand même ceci de problématique avec la révolte populaire, c'est qu'il n'y a pas de projet de société pour prendre la place de l'ordre établi. On s'attendra donc plutôt à des explosions ponctuelles, régulières peut-être mais en tout cas pas à cet embrasement plus ou moins total que vous semblez redouter. Je ne trouve toujours pas de raison de m’armer. Mais vous n’avez pas parlé de la liberté politique qui était votre argument N° 1 dans un autre débat, et qui m’intéresse plus.
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Constantinople ne faîtes donc pas l'imbécile (négationisme hahaha). Quand je faisais remarquer que notre "héritage", en tant que citoyens, ce sont nos institutions (au sens large, sociologique, incluant les institutions étatiques mais aussi, par exemple, la langue, les mœurs, etc.), une bonne âme a suggéré que je ne comprends rien à la symbolique du "nos ancêtres les gaulois". Un autre argument a été qu'il est légitime de fonder un sentiment national sur une vision mythique, chargée d'affects. Tout ceci est très juste, très juste... Réfléchissons donc à la valeur symbolique du "nos ancêtres les gaulois". Que trouvons-nous ? Prenons le gaulois astérix, tiens. C'est très intéressant parce qu'il résiste à l'envahisseur romain. Or en Europe, n'est-ce pas, Rome est fédératrice. Si une identité européenne devait être recherchée dans le passé, outre les hommes d’église qui ont tôt formé un maillage européen, sans doute que Rome aurait une place centrale. Mais les français ne supporteraient pas d'être rassemblés dans ce panier comme tous les autres. Astérix est là pour le rappeler. Chronologiquement, les gaulois sont premiers... Mais comme on le faisait justement remarquer, à ce compte là, autant remonter plus loin encore, au fameux homo "sapiens", etc. (Et on voit bien que les Chinois ne tolèrent pas cette descendance, ce qui paraît cohérent quand on sait qu'ils sont l'un des pays "civilisés" actuellement les plus nationalistes - il faut voir les programmes que proposent leurs chaînes de télévision par exemple, très instructif vraiment ! mais légitime, c'est pour le mythe et la symbolique). Mais non, on remonte au Gaulois. Tiens, pourquoi donc ? Parce qu'ils sont exclusivement français, ceux-là, pas de doute. Non ? Parce que spontanément, et je ne parle pas du point de vue historique : le Gaulois, il est pur, c'est pas un méthis, c'est le point 0.
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Roger " A moins d'assumer la posture flasque et incompréhensible du pouvoir sur leur vie, ça peut sembler une idée pas si bête. D'autant qu'il y a des menaces perçues et mises en exergue, mais il y en a d'autres tout aussi dangereuses mais moins visibles." A quoi pensez-vous ?
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Si ça s'adressait bien à moi, je pense que tu as mal interprété mes deux interventions précédentes Querida.
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Pays- Bas : Contraception temporaire obligatoire ?
Petitpepin a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Je parle aussi à partir d'avis exprimés par des médecins, dont certain(e)s refusent purement et simplement de poser un stérilet à une femme qui n'a pas encore eu d'enfants. Sont-ils fous ? Certes, je ne suis pas moi-même médecin. Mais je reconnaîtrai volontiers que ce n'est tout au plus qu'un problème technique abordé à l'occasion d'un sujet qui se veut plutôt d'ordre moral. -
Pays- Bas : Contraception temporaire obligatoire ?
Petitpepin a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Une expérience plutôt, mais effectivement je ne trouve rien sur le net à ce sujet. -
Un débat dans un sujet proche (avec le nom de cet humoriste dont je me souviens jamais du nom, en titre) me fait me demander quels sont les motifs de part et d'autre. Si vous pensez devoir vous armer (ou l'êtes déjà) : pour quelles raisons ? Pouvoir vous défendre ? Parce qu'une guerre civile serait iminante ? Pour des raisons de liberté politique ? Si vous pensez qu'il faut éviter que les gens s'arment et ne souhaitez pas vous-même être armé (bon les raisons me paraissent bien connues mais allons-y quand même) : pourquoi ? Je pense personnellement, pour le moment, que l'interdiction est justifiée et légitime, en l'état des choses. Peut-être me trompè-je ? Merci d'avance
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Pays- Bas : Contraception temporaire obligatoire ?
Petitpepin a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Oui. -
Pays- Bas : Contraception temporaire obligatoire ?
Petitpepin a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Les stérilets ok c'est bien quand ça marche mais ça peut aussi mal tourner, voire tourner à une infertilité définitive (en particulier si la croissance n'est pas terminée au moment de la pose). -
Sans doute, faut dire aussi qu'elle est subtile en l'occurrence, la symbolique : expliques-moi donc.
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Wa ca ca loin quand même. L'exactitude historique au service d'une politique juste. Sauf que l'héritage ne se résume pas au sang (qu'est-ce que ça m'apporte franchement, en tant que citoyen, de savoir que bidule a couché dans la paille avec machin, et que mon arrière arrière arrière grand mère en est sortie ?). Nos institutions peut-être, non ? Et quelles institutions ? Les gauloises... ? Ah oui ?
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Spinoza " les hommes se croient libres parce qu'ils ignorent qu'ils sont déterminés "
Petitpepin a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Notre liberté n'est pas sans limites, sans conditions. Oui et après ? Où est la problématique ? Les miennes ? d'explications ? Ah mais il y a malentendu ! Pour expliquer quoi ? le libre arbitre ? Je n'ai rien contre l'imagination mais il n'y a pas en réalité un "moi" qu'on puisse isoler de son "contexte" pour le déterminer autrement : moi, c'est ça, et pas autrement. Autrement, c’est pas moi. Pas particulièrement : chacun peut constater ne pas tout savoir. Encore une fois, je n'ai rien contre l'imagination... Et rien non plus d’ailleurs contre comprendre et expliquer les comportements.
