koadeg

3/5 défi poésie Dylan Thomas est un de mes poètes préférés mais je préfère lire les poésies quand le besoin s’en fait sentir, en ouvrant le livre au hasard. Le fait d’être « obligée » de lire tout à la suite, personnellement, cela m’a fait perdre le charme et le plaisir.

dit comme ça, oui, cela relate d'un fait historique : la condition des ouvriers à une époque (première moitié du XXe peut-être ?) Après il faut demander confirmation à la présidente du défi @January

d'après ce que j'ai pu lire, il est plus classé "roman terroir" mais je ne connais pas du tout, ni l'auteur, ni du livre. Peux-tu faire un résumé ? Quant à la catégorie "faits historiques", ce sont souvent des livres qui mélangent la petite histoire et la grande, à n'importe quelle époque.

J’ai vu dernièrement « Pinocchio » qu’il a su moderniser tout en conservant l’esprit du roman. Il y avait beaucoup de magie dans ce film, beaucoup d’émotions. Je m’attendais à les retrouver dans ce livre. Ce ne fut pas le cas. Mais je vais toutefois regarder le film. ————- je viens de commencer une pépite. Hier, je n’arrivais pas à refermer le livre

3/5 Catégorie livre adapté en film/série En fait, je ne sais pas trop si c'est le livre adapté en film ou l'inverse puisque dans les critiques de Babelio, certaines sont antérieures à la sortie du film. Quoiqu'il en soit, je n'ai pas vu le film et j'avais envie de découvrir le livre avant. Beaucoup de publicité autour de ce film considéré comme un chef d'oeuvre. C'est surtout le côté poétique que j'ai retenu dans les critiques. Malheureusement je ne l'ai absolument pas ressenti dans la lecture. Le rythme est trop rapide pour entrer dans la relation entre les personnages. Et paradoxalement je me suis ennuyée à certains moments. Les personnages sont trop caricaturaux, beaucoup de métaphores, parfois tirées par les cheveux, beaucoup de clichés aussi sur la société des années 60. Je dis clichés parce qu'encore une fois, ça va trop vite pour qu'une véritable analyse s'installe. J'aurais aimé plus de participation, de profondeur de la "créature". Je pense que cela aurait été intéressant de connaître son point de vue. D'un autre côté, ça reste une belle idée avec une fin, j'avoue, que je n'attendais pas. Mais bon, toujours pareil, difficile de passer après un "du Maurier" qui sait créer une atmosphère en quelques lignes. Maintenant que j'ai lu le livre, je pense quand même voir le film.

Cela fait parti de ces livres qui sont tellement connus que nous ne les lisons pas. Et c’est bien dommage. Oui, à lire

4/5 dans la catégorie « prénom dans le titre » depuis longtemps dans ma PAL je n’avais jamais lu cet auteur et c’est bien dommage. Je me suis régalée. Un des rares livres dont j’ai trouvé l’incipit captivant. Ça et le fait que l’héroïne n’a pas de prénom, contrairement à Rebecca, décédée et donc normalement absente mais qui hante chaque page. L’héroïne, que je nommerai Chérie, fait un mariage hors de sa condition , elle, simple dame de compagnie va devenir la maîtresse de Manderley, propriété magnifique de Maxim de Winter. Bientôt elle déchante devant les regards inquisiteurs des vivants qui la comparent avec la 1ere Mme de Winter, Rebecca, mais aussi l’omniprésence de cette dernière derrière chaque geste, chaque objet. Chérie se sent en visite dans sa propre maison. De plus, son mari qu’elle adore semble s’éloigner d’elle, semble ne pouvoir se défaire de sa première épouse. Et ne parlons pas de la femme de charge, obsédée par la mort de Rebecca, noyée accidentellement. Le roman peut se diviser en 3 parties : la mise en place de l’atmosphère oppressante ; les questionnements de Chérie sur sa condition, sur Rebecca, sur son avenir (partie qui contient beaucoup de longueurs) ; puis l’intrigue finale qui tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière ligne et même au delà. En effet, je trouve la fin extrêmement brutale. Mais d’un autre côté, que dire d’autre ? Ce n’est certainement pas le dernier livre que je vais lire de Daphné du Maurier ! Mais en attendant, je vais regarder l’adaptation sur Netflix.

3/5 défi "saga familiale" J'ai choisi ce livre un peu par dépit puisque c'est mon précédent qui devait prendre la place de la saga. Ayant changé de section, il a fallu lui trouver un remplaçant. Or une saga en un seul volume, c'est plus difficile à trouver. Tout au moins, je suis plus habituée à des séries "saga fleuve sur x générations". Alors, j'ai pris celui-ci, sans connaître l'auteur. Comme dit précédemment, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. J'ai fini par comprendre ce qui clochait : l'écriture se rapproche plus d'un livre pour ado bien que je ne pense pas que ce soit le public visé. Par conséquent, facile à lire (et à oublier) mais il ne faut pas chercher les hautes envolées littéraires Nous avons quoi : 3 générations de femmes avec de lourds secrets. La grand-mère, Lucy, quitte l'Irlande avec son père pour New-York en 1910. Sa vie est racontée à sa petite fille par des cassettes enregistrées juste avant sa mort. Sa fille, Caitlin, une actrice à la vie perturbée qui a abandonné sa fille, Abby, pour que Lucy l'éduque. Abby, New-yorkaise, mariée à un avocat plein d'avenir, fait une crise existentielle et décide de repartir sur les traces de ses ancêtres, en Irlande. Voila la base de l'intrigue, qui n'est pas mauvaise. Le problème, si on met de côté l'écriture, ce sont les clichés. Non, c'est bon un moment mais là on a l'impression qu'il n'existe qu'une seule famille pour raconter l'histoire de l'Amérique. Lucy arrive sur le Lusitania et pique une crise lorsque quelques années plus tard, elle apprend qu'il a été torpillé. Sa tante prend le Titanic pour les rejoindre. Lucy est envoyée quelques temps dans un orphelinat. Juste pour intégrer "le train des orphelins". Et ça continue : les débuts des agents fédéraux (il n'est pas fait mention d'Eliot Ness et ça m'étonne !), la guerre des gangs, l’homosexualité, les "je t'aime-moi non plus". Tout est soumis aux clichés. Et c'est vraiment dommage parce qu'avec un peu plus de profondeur, ça aurait pu être un très bon livre. Prochain défi, un prénom dans le titre. C'est un livre qui est dans ma bibliothèque depuis trèèèèèèèès longtemps, très connu, très interprété. J'espère ne pas être déçue. En parallèle, j'ai commencé le défi "poésie". J'en suis qu'au prologue et ça me gonfle tant c'est plein de morgue dans le style "il n'y a que moi qui arrive à comprendre ce grand poète". On s'en fout. Oui, j'aimerais connaître plus l'argot anglais pour pouvoir le lire dans le texte et je dois me contenter de la traduction qui me convient pour retrouver son univers. Et oui, @Cirilla comme quoi les vieilles habitudes ne se perdent pas totalement (ce qui va faire 3 livres en cours totalement différents. D'ailleurs, il ne me vient pas à l'esprit d'attaquer des livres du même univers en même temps).

Je lirai certainement mais après le défi. C'est ta description "artiste du portrait" qui m'interpelle. Quant à Dusquennoy, j'ai confondu avec un autre auteur. Celle ci, je ne la connais pas. Pour le moment, je suis avec ma saga familiale. Ce n'est pas de la grande littérature mais l'auteur sait assez entretenir le suspens sur 2 voire 3 générations pour donner envie de continuer la lecture. J'ai eu un peu de mal au début à me faire au style d'écriture.

De moins en moins, surtout depuis que j'ai la liseuse. J'avais pris cette "mauvaise" habitude au lycée, avec livre scolaire et un de loisir à côté. J'ai continué par la suite. Cela m'arrive encore (les deux derniers lus de ce défi l'ont été en même temps) mais de moins en moins. Souvent, c'était le poche pour la journée et le gros volume pour la maison. Maintenant, avec la légèreté de la liseuse, c'est tellement facile de lire partout Par contre (et c'est peut-être aussi la raison puisqu'en fait, ça fait deux en parallèle), j'ai un livre sur la liseuse et un livre audio pour m'endormir (déjà lu sur papier ou liseuse).

et alors ? Si c'était son rêve de faire un championnat et que les organisateurs ont jugé que c'était possible pour elle de faire l'ouverture, tant mieux. Par contre, si les organisateurs ont voulu profiter de la situation, la franchement, ça me met mal à l'aise. La question que je me pose, ce n'est pas de savoir à quel genre elle appartient mais juste savoir, si moi par exemple, je fais la demande, serais je acceptée ou n'aurais je pas le profil "buzz" ? Parce que pour le moment, les commentaires tournent surtout sur son genre et non sur le pourquoi de sa présence.

C'est quoi l'intérêt d'ouvrir un championnat par une patineuse qui n'a pas le niveau ? Si c'est sur la demande de la personne, qui à presque 60 balais, sait pertinemment qu'elle n'a aucune chance de faire carrière mais que c'est un moyen de réaliser un rêve, pour se prouver quelque chose, ok, fonce, j'ai envie de dire et tant pis pour les moqueurs qui n'ont pas coilles de faire de même. Par contre, si c'est une idée des organisateurs pour mettre en avant leurs "idées avancées", je trouve ça dégueu.

Ce doit être cela. J’aime être entourée d’une histoire, faire partie du roman, que les descriptions remplacent mon environnement. Mais pour cela il me faut un minimum de structure. Or dans « 100 ans de solitude » je me suis en effet retrouvée très seule face à une panoplie de personnages absolument désagréables, ayant tous le même nom, ce qui devient indigeste, dans un temps et un lieu indéfinis. Dans ce tourbillon, je n’ai pas trouvé une brindille pour m’accrocher.

Ok merci du conseil. je vais voir si je peux trouver. Je n’ai pas abandonné mais je suis restée perdue dans la jungle

et si par contre, pas réussi à aller trop loin dans la série (j'avais parcouru la bd il y a quelques mois mais sans la lire. Presque 500 p quand même, ce 1er volume !) à cause des personnages trop différents bd/série. Il faudra que je retente.

Sandman, volume 1 4/5 défi "BD" J'ai retrouvé Neil Gaiman. Un monde onirique, assez sombre. Parfois déstabilisée par les dessins. Mais bon, pour moi la bd reste Astérix ou Tintin Morphée, le seigneur des rêves, enlevé pendant la 1ere guerre mondiale et qui arrive à se libérer dans les années 80. Durant ce laps de temps, l'absence de rêves parmi les hommes et le monde des rêves ont subi des dommages. Dans la 1ere partie, Rêve cherche les attributs volés de sa fonction. Dans la seconde, il essaie de réparer les dégâts. Difficile de résumer en quelques mots. Beaucoup de personnages se croisent (Infinis, humains, êtres mythiques, personnages issus du comics...) mais cela reste agréable à lire, à découvrir le destin des personnages. J'aurais aimé, par contre, que l'histoire des personnages soit plus poussée. Mais bon, ça reste une BD. Et le 1er volume de 7. LA suite donnera certainement plus de détails. Contente d'avoir renoué avec un bon Gaiman après ma déception précédente.

Justement, c'est parce que je n'ai pas aimé "100 ans de solitude" que je commence à penser que la littérature sud américaine n'est pas faite pour moi Je vais quand même retenter Garcia Marquez au cours de ce défi.

Enfin !!!! Oui, enfin j'ai réussi à venir à bout de ce qui est considéré pour beaucoup comme un chef-d’œuvre. Mais je dois être fâchée avec la lecture sud américaine parce que je n'ai vraiment pas accroché. J'ai même failli rendre les armes mais finalement, je vais donner une note de 2/5 pour la dernière partie qui, sans rattraper le reste et la partie la plus "crédible". La narration poétique ? j'ai trouvé la prose souvent vulgaire inutilement Des femmes inoubliables ? le roman est porté par le patriarche. Seule Alba, de la dernière génération est vraiment "réelle", je pense par sa proximité avec l'âge de l'auteur. Clara, avec qui débute le roman, plus dans le monde des esprits que dans la vraie vie, qui connait l'avenir accepte d'épouser un homme violent. Homme violent qui au début est rêveur tout doux avant de devenir impitoyable pour 3 générations. Une Clara qui refuse de s'occuper des vivants mais sur qui repose toute une maisonnée. Blanca, on arrive pas à savoir si elle marche sur les traces fantomatiques de sa mère ou au contraire reste très terre à terre. Une histoire d'une vie banale d'une riche famille terrienne enrubannée de fantastique pour mettre un peu de piment. Puis vient les tensions politiques entre communistes, gros propriétaires, extrêmes droites, militaires et l'histoire entre des l'Histoire. Mais sans jamais citer le pays ni donner des dates. Et toujours les femmes qui meurent trop jeunes ou ne peuvent se libérer de la protection masculine. Je savais qu'après le précédent roman, la relève s’avèrerait compliqué. J'ai choisi, à la base, pour "saga familiale" mais j'ai tellement "souffert" à la lecture, je me suis tellement forcée à continuer, à le lire jusqu'à la dernière page, qu'il mérite fortement d'aller dans la catégorie "livre que je n'ai pas envie de lire". @Januarypeux tu valider ?

Dans la série "Hamish", c'est un jeune agent qui n'a aucune ambition, amoureux de la fille du châtelain. Et là aussi, il y a les rebondissements autour de leur relation, d'autant qu'elle aussi l'aide dans ses enquêtes. Je viens de voir une 3e série de cet auteur, plus historique il me semble.

Ce n’est pas mon envie de lire qui a diminué mais le fait que ce livre, en particulier, je n’arrive pas à entrer dedans. Pas grave, je vais le mettre dans la catégorie « livre que vous n’avez pas envie de lire » parce que j’en suis arrivée là et c’est très rare de ma part.

j'ai une très bonne boulangerie à 500m de chez moi donc pas de problème pour du bon pain. Par contre, n'étant pas des gros mangeurs, la baguette fait souvent 3 jours. Donc, je la conserve dans le four (froid !) et au moment de passer à table, un petit coup au grille pain pour lui redonner du croquant. Si je veux faire mon pain moi-même, je préfère prendre la recette de "pain arabe" avec farine et semoule fine donnée par @hanss que je remercie encore

ça me déprime de vous voir avancer avec des bons comme des moins bons (toute ma sympathie @January et son overdose de musso heuu poisson ) Je suis toujours en train de me battre avec le mien. J'en suis au trois quart (il me parait interminable mais en fait je n'arrive pas à lire plus de 30 pages à la suite ! J'ai même attaqué la BD pour couper un peu !) et je n'arrive toujours pas à comprendre comment on peut y voir un chef-d’œuvre. Je n'aime pas l'histoire, ni la façon d'écrire (vulgarité gratuite). Les héroïnes sont intéressantes mais il manque quelque chose pour les rendre crédibles. Et en plus, elles ont une vie assez réduite. Bon, là j'attaque la 3e génération. J'espère que c'est la dernière. J'en peux plus mais je tiendrai jusqu'à la dernière ligne perso, ce n'est pas les Agatha mais les Hamish que j'ai lu, du même auteur et c'est pas mal aussi. Ça se lit très facilement. J'ai avalé la série quasiment complète pendant les fêtes parce que pas le temps de me prendre la tête avec une lecture compliquée. Pour les Agatha, je ne sais pas mais pour les Hamish, quand on a compris la façon de faire de l'auteur, il est facile de comprendre qui est le meurtrier, même si parfois, c'est un peu tiré par les cheveux. Mais c'est l'ambiance qu'elle a su créer dans ce petit village des Highlands qui donne envie de continuer la lecture

Te plains pas. Celui en cours il couvre au moins 5 défis et en plus il ne me plait pas (Amérique du sud, 1er livre, saga familiale, adaptation ciné, plus de 500 p, maison dans le titre…. et maintenant, livre que je n’ai pas envie de lire )

Perso, je vois cette intervention par les yeux des enfants (curieux et souvent sans gène). Qui sont ces personnes différentes qui viennent nous lire des histoires ? Pourquoi ce Monsieur avec une barbe est déguisé en femme...etc Je trouve que par le questionnement des enfants, le dialogue sur la tolérance sera bénéfique. Je ne vois pas du tout ceci comme une incitation à transformer des enfants de la classe maternelle en futurs drag queens

c'est ainsi que je le sous-entendais. Si le praticien pour x raisons ne veut pas faire l'intervention, il a toujours la possibilité de conseiller un confrère. Ça sera quand même préférable que d'entamer un parcours déplaisant de gynéco en gynéco avec son lot d'humiliations.