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tshuss

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Tout ce qui a été posté par tshuss

  1. Je pense comme beaucoup de gens qu'en URSS sévissait un totalitarisme d'état, que personne de censé et d'informé n'oserait qualifier de communisme, Jje ne tiens aucunement compte de la couleur politique sous laquelle elle pouvait se dissimuler.
  2. L'union soviétique n'a jamais été communiste, même si elle le revendiquait officiellement. Alors tes liens vers des événements qui se sont déroulés après la chute du mur et sont ouverture au libéralisme économique, ne font que confirmer les dangers d'un capitalisme destructeur.
  3. Homme d'affaires dont les revenus se comptent en millions de dollars, Pavel Groudinine n'en reste pas moins le candidat du Parti communiste russe à la présidentielle du 18 mars. Surnommé le "roi de la fraise", M. Groudinine, 57 ans, est directeur du bien nommé "Sovkhoze Lénine", une ferme de fruits et produits laitiers située sur un terrain onéreux de la banlieue de Moscou. Abondante chevelure grise, moustache et permanent sourire aux lèvres, son intronisation par le Parti communiste a créé la surprise. Elle a aussi donné un coup de jeune à une formation représentée depuis la chute de l'URSS par Guennadi Ziouganov, 73 ans, devenue sous Vladimir Poutine de moins en moins critique du pouvoir. Conclusion que tu semble découvrir: Certains nantis de la politique avec un comportement de capitaliste prédateur, pour continuer à se gaver sont prêt à endosser n'importe quelle étiquette politique, s'il peuvent espérer se jeter sur gamelle, et ce quel que soit le pays ou le régime. D’ailleurs en France, il me semble que nous n'avons que ce genre de spécimens !
  4. de Gaule n'a pas eu le choix, ça s'est fait malgré lui, tiens encore quelques détails: https://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_du_Conseil_national_de_la_Résistance "Au moment de la Libération, les socialistes de la SFIO représentent, avec les syndicalistes de la CGT réunifiée, les partisans les plus convaincus du programme du CNR. Les socialistes considèrent les nationalisations pas seulement comme des mesures socialistes, mais aussi des mesures patriotiques33. Le PCF semble hésiter entre la promotion de son propre programme et celle du programme du CNR, mais il affirme plus clairement son adhésion au programme du CNR après le retour en France de Maurice Thorez et l'acceptation de la dissolution des Milices patriotiques en novembre 1944. En janvier 1945, Thorez se prononce pour « le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés », c'est-à-dire pour les nationalisations, mais cette revendication est moins pressante que celle concernant l'épuration34. Troisième tendance bien représentée dans la Résistance, les démocrates chrétiens fondent un parti, le Mouvement républicain populaire (MRP) en novembre 1944. Jusqu'au printemps 1945, ils sont animés d'une « foi révolutionnaire », selon les mots de Claire Andrieu qui fait remarquer qu'avec le quotidien socialiste Le Populaire, le journal d'inspiration démocrate chrétienne L'Aube appelle à la « Révolution » de façon récurrente alors qu'à la même époque les journaux communistes ne l'évoquent pas. Le MRP, selon ses objectifs annoncés le 5 septembre veut « en finir avec le régime capitaliste et la dictature de l'argent » mais marque sa réserve vis-à-vis des nationalisations en invoquant la « libéralisation de l'économie »35. En décembre 1944, Emmanuel d'Astier de la Vigerie dépose à l'Assemblée consultative provisoire un ordre du jour réclamant d'urgence la nationalisation des grandes entreprises du pays, ordre du jour qui recueille l'unanimité des délégués prenant part au vote. En juillet 1945, Jacques Duclos fait adopter un ordre du jour qui réclame d'urgence les nationalisations et l'épuration économique. Il n'y a guère que Joseph Denais, membre de la Fédération républicaine qui tente de s'y opposer en déposant une proposition tendant à maintenir l'État dans le contrôle et la coordination en excluant toute étatisation ou socialisation36. Le gouvernement provisoire lui-même n'a jamais reconnu le programme du CNR. De Gaulle lui-même se garde bien de se référer au CNR lorsque le 12 septembre 1944, au palais de Chaillot, il annonce les « principes » qui vont guider son action37 : « ...tout en assurant à tous le maximum de liberté, et tout en favorisant en toute matière l'esprit d'entreprise, elle (la France) veut faire en sorte que l'intérêt particulier soit toujours contraint de céder à l'intérêt général, que les grandes sources de la richesse commune soient exploitées et dirigées ... pour l'avantage de tous, que les coalitions d'intérêt ... soient abolies une fois pour tous, et qu'enfin chacun de ses fils, chacune de ses filles puisse vivre, travailler, élever ses enfants dans la sécurité et la dignité... » Entre décembre 1944 et octobre 1945, le gouvernement provisoire est amené à prendre une série d'ordonnances allant dans le sens des mesures préconisées par le programme du CNR38 : 26 août et 30 septembre 1944 organisation de la presse, interdiction des concentrations39 ; 13 décembre 1944, institution des Houillères du Nord-Pas-de-Calais ; 18 décembre 1944, contrôle de l'État sur la marine marchande ; 30 décembre 1944, relèvement des cotisations de la sécurité sociale40 ; 16 janvier 1945, nationalisation des Usines Renault avec confiscation des biens de Louis Renault ; 22 février 1945, institution des comités d'entreprise ; 29 mai 1945, transfert à l'État des actions de la société Gnome et Rhône ; 26 juin 1945, transfert à l'État des actions des compagnies Air France et Air Bleu ; 4 octobre 1945, ordonnance de base de la Sécurité sociale ; 17 octobre 1945, statut du fermage et du métayage. Les réformes économiques et sociales en 1946 Des élections générales du 21 octobre 1945, sortent vainqueurs avec 75 % des suffrages, les trois partis qui mettent en avant l'application du programme du CNR : le PCF, le SFIO et le MRP. Un bref retour en arrière est nécessaire pour faire état d'un rapprochement qui s'est amorcé entre temps le PCF et la SFIO et qui s'est traduit par la publication d'un manifeste du comité d'entente socialiste-communiste où le champ des nationalisations est revu à la hausse par rapport à un texte communiste déposé à l'Assemblée trois jours plus tôt. La liste des nationalisations comprend les Houillères, mines de fer et de bauxite, la production de ciment, les transports terrestres et aériens, la grosse industrie. Ce rapprochement entre les deux principaux partis de gauche atteint ses limites lorsque le 12 juin le PCF soumet à la SFIO une charte d'unité de la classe ouvrière mais soumet sa réunification avec la SFIO à l'acceptation du « matérialisme dialectique de Marx et Engels enrichi par Lénine et Staline »41. La réunification n'aura pas lieu mais les tentatives d'unification de la gauche seront relayées fin août 1945 par la CGT qui constitue autour d'elle une délégation des gauches à laquelle le MRP n'est pas invité42 et qui accouche le 6 novembre 1945 d'un programme qui se veut une mise au point du programme du CNR43. Ce programme de 1945 n'est guère plus détaillé que le programme du CNR pour ce qui concerne la Sécurité sociale, mais précise les conditions des nationalisations envisagées par le manifeste : transfert du capital à l'État et transfert de la direction à des conseils bipartites composés de travailleurs et de représentants de l'intérêt général43. De nettes divergences apparaissent dans le programme du MRP, publié le 8 novembre, c'est-à-dire deux jours après celui de la gauche. Le programme du MRP prévoit la nationalisation de la Banque de France, mais pas celle des autres banques. Par contre, le périmètre des entreprises n'est pas moins vaste que celui des gauches, mais les modalités de gestion de l'État sont diverses, depuis la régie d'État jusqu'à la coopérative de production. Les gauches, tout comme le MRP, souhaitent revoir l'ordonnance du 22 février sur les comités d'entreprise pour introduire la participation des ouvriers à la gestion43. De Gaulle, élu président d'un gouvernement tripartite, à l'unanimité, le 21 novembre 194544, se déclare d'abord assez réservé vis-à-vis des programmes, mais accomplit finalement, conformément à des promesses que René Pleven avait faites à l'Assemblée consultative en juillet 194545, un programme de nationalisations intermédiaire entre le programme des gauches et celui du MRP46 : 2 décembre 1945, nationalisation de la Banque de France et de quatre grandes banques de dépôt. 18 janvier 1946, dépôt à l'Assemblée de projets de loi sur la nationalisation de l'électricité et du gaz. En désaccord avec l'Assemblée constituante sur la conception de l'État et le rôle des partis, de Gaulle démissionne le 20 janvier 1946. Dans la question de la nationalisation des banques, il avait dû mettre tout son poids dans la balance pour que les deux plus grandes banques d'affaires (Banque de Paris et des Pays-Bas et Banque de l'Union parisienne) ne soient pas nationalisées. De Gaulle a également veillé, avec le soutien du MRP et de la SFIO à ce que les anciens actionnaires soient indemnisés correctement45. La confiscation de Renault est une exception. Après le départ de de Gaulle, le nouveau président du Conseil Félix Gouin annonce que la défense du franc est à l'ordre du jour. Parmi la liste d'économies à réaliser figure une réduction massive des frais généraux des établissements nationalisés. L'adoption de la loi sur la nationalisation de l'électricité et du gaz est laborieuse, le MRP et la SFIO souhaitant un système plus décentralisé que celui proposé par le ministre communiste Marcel Paul. Les députés MRP votent finalement la loi après avoir déposé 77 amendements qui ne furent généralement pas adoptés47. Les nationalisations des compagnies d'assurances sont également une source de dissension entre les communistes qui demandent la nationalisation totale du secteur alors que les socialistes ne demandent que la nationalisation de 48 compagnies, représentant 65 % du secteur47. Une série de mesures est adoptée par l'Assemblée constituante dans la semaine du 23 au 26 avril avant qu'elle ne se sépare pour le référendum du 5 mai47 : 21 février 1946, rétablissement de la loi des quarante heures ; 28 mars 1946, vote de la loi sur la nationalisation de l'électricité et du gaz ; 24 avril 1946, nationalisation des grandes compagnies d'assurances ; 25 avril, extension du nombre et des attributions des comités d'entreprises ; 26 avril 1946, généralisation de la Sécurité sociale incluant la Retraite des vieux."
  5. C'est clair, la preuve, il n'en voulait pas, mais les communistes lui ont forcé la main... extraits: "Il faut se rappeler que De Gaulle, homme foncièrement de droite et qui estimait être le seul à incarner la France, détestait les partis politiques, et que, par-dessus tout, il haïssait le Parti communiste. C’est d’ailleurs pour ne plus avoir affaire aux cinq ministres communistes (Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon) qu’il avait été forcé de prendre dans son gouvernement, en raison de l’action déterminante des communistes contre l’occupant nazi, qu’il avait démissionné le 15 janvier 1945. Or le véritable créateur du projet de Sécurité sociale (assurance maladie et système des retraites), inspiré de ce qui existait déjà à l’étranger, était l’un de ces communistes, un ancien ouvrier de la métallurgie, et fils d’ouvriers, Ambroise Croizat. Et De Gaulle n’était pas du tout partisan de la création d’une Sécurité sociale. Croizat, lui-même ouvrier d’usine dès l’âge de treize ans, s’inscrivit à la CGT et devint secrétaire général de la Fédération des travailleurs de la métallurgie. Il avait d’abord été socialiste, à la SFIO, avant d’entrer au Parti Communiste dès sa fondation en 1920. Après bien des tribulations, il devint ministre du Travail dans le gouvernement provisoire que De Gaulle présidait au début, du 21 novembre 1945 au 26 janvier 1946. Ensuite, après la démission de De Gaulle, ministre du Travail et de la Sécurité sociale du 26 janvier au 16 décembre 1946, dans les gouvernements dirigés par Félix Gouin puis Georges Bidault. Et enfin, du 22 janvier au 4 mai 1947, dans celui dirigé par Paul Ramadier, avant que les communistes disparaissent du gouvernement jusqu’en... 1981 (avec Charles Fiterman, Anicet Le Pors, Jack Ralite et Marcel Rigout, qui démissionnèrent ensuite, en juillet 1984). Et c’est à ce poste qu’ayant tenu à créer un système de système de protection sociale, Croizat fonda l’assurance maladie, le système des retraites, les allocations familiales et l’amélioration du droit du travail français, via les comités d’entreprise, la médecine du travail, la réglementation des heures supplémentaires et le statut des travailleurs mineurs. Là, par une ordonnance du 4 octobre 1945, il lança la mise en place et l’organisation administrative de son projet, dont bénéficient soixante-six millions de citoyens français."
  6. c'est fait, depuis 10 ans...
  7. Ce n'est pas une fierté pour moi, être autonome c'est respecter le travail accomplis par les autres en n'étant pas une charge en plus pour eux. Mais ça ne me suffit pas, il faut que le travail est un sens pour celui qui l’exécute, afin qu'il puisse chercher à s'améliorer. Sans ça, pas de motivation et la conscience professionnelle s'effondre.
  8. J'étais tourneur-fraiseur dans les années 90, j'usinais des pièces de A à Z à partir de plans. Aujourd'hui, les mecs sur les centres d'usinage appuient sur 5-6 boutons et font 2 ou 3 contrôles, le boulot n'a plus de sens pour eux, fini les calcul et la trigonométrie, un gamin de 12 ans pourrait presque le faire... Ils bossent, sont mal payés et ne peuvent plus en retirer une certaine fierté, alors à quoi bon.
  9. Après faut voir si la charge de travail correspondait au salaire versé... Y a pas de secret, la reine des motivation, c'est le salaire !
  10. Je peut le comprendre ton gendre, mais si il faisait des heures sup, c'est qu'il y avait du taf, il fallait donc embaucher pour partager le boulot. Sinon, tu ne peut pas reprocher à ceux qui n'en trouve pas de se démerder comme ils peuvent. .
  11. Franchement, c'est les heures sup majorées à 25% et 50% que tu regrette ! Pour compenser, tu peut toujours faire la manche si tu trouve ça si réjouissant et lucratif !
  12. T'a pas du en voir beaucoup des nanas seules qui bossent en ayant des gamins à charge et qui ont encore le temps de faire la queue à la caf ou dans les autre administrations pour réclamer des aides... c'est qu'avec un tel emploi du temps, quand est ce qu'elles dorment tes mères de famille ? Après l'entretient du foyer domestique et le bains des gamins ?
  13. Évidement, les syndicats pensaient que la mécanisation serait totale, ils n'envisageaient pas que tout le profit de leur travail antérieur ne servirait aux patrons que pour les remplacer sans aucunes compensations leur permettant de vivre.... la mécanisation orientée comme elle l'a été par le patronat uniquement pour faire du profit n'a pas libérée l'homme du travail, elle à fait exploser le chômage et du coup fait pression à la baisse sur les salaires...
  14. Mais bien sur, tiens imagine ! Si toute la santé était privée, que ceux qui vivent dans des taudis ne pourraient plus se soigner, éviteraient les vaccins et qui sait, se sentant condamnés se feraient un malin plaisir de disséminer des germes de leurs maladies contagieuses pour contaminer ceux qui les laissent crever... Et faire face à ça, ça ne coûterait rien ? Tu veux essayer ?
  15. Pour les loups tu repenseras, tous les membre d'une meute constituée sont nécessaire à la survie du groupe et ils n'y à pas de chômeurs, pas même celui qui impulse le mouvement fut il le plus fort physiquement, il serait chassé ou tué par le reste de la meute... les éléments surnuméraires sont poussés à rejoindre une autre meute ou forment un nouveau groupe La taille de la meute dépend des ressources en nourriture, mais ça ne dépasse guère la vingtaine d'individus aux maximum...
  16. Mais à l'heure actuelle vu les gains de productivité engendré par la mécanisation et la technologie, il n'y a aucune raisons d'accepter un retour en arrière des conditions de travail et que les bénéfices n'en reviennent qu'aux patrons et aux actionnaires
  17. tshuss

    Wauquiez en pôle...

    Si, il peut les conditionner ces aides, sous peine de devoir les rembourssées
  18. Là, je ne peut que te rejoindre ! Pardon, petite rectif Là, je ne peut que te rejoindre !
  19. Tes concepts datent un peu, depuis une dizaine d'années, avec les camera à déclenchement automatique on s'est rendu compte que oui il y a une hiérarchie chez les loups par exemple, mais elle n'est pas figée, elle est mobile, c'est plus une reconnaissance et une acceptation volontaire de certaines compétences dans un domaine précis. Par ex: les loup ne mangent pas chacun leur tour le "leader" en premier, mais par groupe de 2 ou trois membres et chacun sait quels morceaux il peut et doit prendre pour assumer son rôle dans la meute. Le mâle alpha ne l'est pas vraiment, c'est plus un gérant même au moment des repas, pas à la chasse pas dans la défense du territoire et suivant la taille de la meute, même pas dans la reproduction. au moments des repas, on a observer que tous membres du groupe sans distinctions laisse aux femelles gestantes ou aux louveteaux les morceaux les plus nutritifs (foi, reins...) ce qui importe c'est la survie du groupe, même un mâle dit "alpha" dépend des autres membre du groupe, s'il est sans pitié, il est mort à plus ou moins brève échéance. oui ? bon je sort !
  20. tshuss

    Wauquiez en pôle...

    Pour aider le gouvernement oui, mais dans une situation ou le pays serait menacé ou en état d'urgence et uniquement pour des mesures ponctuelles. Pas pour mener une réforme économique de grande ampleur avec des mesures pérennes. Sans débat parlementaire elle lois n'a aucune légitimité et ce qu'une ordonnance peut faire, une autre ordonnance peut le défaire tout aussi facilement.
  21. tshuss

    Qui sont les anarchistes ?

    il était ingénieur dans l'armé Esenstein, c'est donc la version d'un cadre de l'armé rouge...
  22. tshuss

    Qui sont les anarchistes ?

    Je pense que tu regarde trop de science-fiction.
  23. tshuss

    Qui sont les anarchistes ?

    C'est des marins qui se sont soulevés à Cronsdadt avec la population de la ville contre le pouvoir central qui voulait les envoyer au casse pipe face aux allemand en 1917, nul besoin d’être anar dans ces conditions, mais oui, ils y en avait des anarchistes. Ca c'est de l'autogestion !
  24. Tu trouve ? Moi je pense que comme pour nous, ils se sont peut être multipliés, mais pour ce qui est de leur qualité de vie et de leur évolution, ça ne va pas en s"améliorant...
  25. tshuss

    Qui sont les anarchistes ?

    La main du NKVD était omniprésente dans le camp républicain .. Tu dois savoir que les règlements de compte sanglants des communistes envers les anarchistes ont été commandités et orchestrés depuis Moscou par Staline ... Le rôle d'un Togliati envoyé spécial du komintern par Staline en Espagne est très révélateur. j'ignorais ces faits, vos échanges à tous les deux sont très intéressant et instructifs, désolé de vous avoir interrompu.
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