Anna Kronisme

Briseur de coeur... m'en vais me faire consoler par Morphée. Il est Grec mais j'suis pas homophobe.

Tout ce qui est de l'ordre de l'injustice... et de l'injuste. Je ne pense pas pouvoir y remédier seule. Un homme, un vrai saurait leur exploser les gencives afin de me venger... [smiley idolâtre]

Crabe_fantome, le peu que j'ai pu lire de toi sur d'autres sujets me fait douter de tes interventions ici... comment ose-tu me faire croire que tu n'as pas compris ce que j'ai écrit à propos de l'identification ? Surimuchan ? Un cadeau pour toi : Forumeurdu60... il te manque un 9 pour que notre amour soit possible...

Hum... je m'absente pour rejoindre mon second partenaire cromagnonesque (qui manie le gourdin comme un dieu, soit dit en passant) et les p'tits en profitent pour mettre le feu dans la grotte, Yeats... m'dis pas qu'il va falloir que refaire les peintures rupestres ! Les enfants, écoutez-moi bien et remettez vos cerveaux immédiatement dans vos boîtes crâniennes ! Allons bon mes tous doux, maman vous comprend, vos réactions sont normales... ne dramatisez pas et n'allez surtout pas vous imaginer que vous devez entamer une cure psychopaléolithique. Il n'y a rien de grave à ne pas vouloir choisir, cela engendre uniquement l'hystérie... et vous savez bien qu'elle n'existe pas encore à notre époque. Gros poutoux silex. Maman.

Sans commentaire.

Yeats, t'as déconné grave avec ce topic. Tu n'es qu'un taquin. Marions-nous... je viens de me prendre un râteau, j'suis libre comme l'air. Avez-vous déjà entendu parler du principe passif et du principe actif ? Mais... suis-je sotte, vous étiez bien trop occupés à dénoncer des clichés en y apposant les vôtres à la place. Alors principe passif et principe actif, disais-je... La femme, de par son anatomie, correspond au principe passif. Elle accueille. Elle supporte. Elle porte. Elle transporte. Elle reçoit puis transmet. Sa communication est essentiellement basée sur la parole. La femme est le dire. Elle accompagne. Elle est compagne.Dépendante. L'homme, de par son anatomie, correspond au principe actif. Il vient. Il expulse. Il extériorise. Il maîtrise. Il donne puis reprend. Il part puis revient. Sa communication est essentiellement basée sur l'acte. L'homme est le faire. Il est conquérant. Il est défenseur. Indépendant. Je résume et simplifie la formule, c'est un schéma... mais pas besoin de vous faire un dessin. Chaque individu, et je dis bien chaque individu, s'est constitué en s'identifiant à ces deux principes. Ce qui va définir une femme ou un homme sera la reconnaissance et l'acceptation d'un des deux principes comme dominant et correspondant à son anatomie. Ce qui est constaté à notre époque, c'est l'absence de renoncement... désormais, l'humain revendique son épanouissement, sa complétude, son fameux équilibre... eh bien ! Soyez féminin/masculin puisque ça vous amuse. Vous perpétuez la richesse des sociétés modernes où tout est prévu pour une longue vie au non-choix. Ce qui est bien embêtant dans cette histoire, c'est qu'être féminin/masculin implique d'être à la fois passif et actif. Félicitations ! Vous êtes devenu un individu complet. Il ne vous reste donc plus qu'à vous reproduire vous-même... soyez patient, la science progresse rapidement en matière de clonage.

Si l'amour est un choix que nous faisons, ça se saurait. "Bon allez ! Toi, je vais t'aimer car tu le mérites ! Viens là mon lapin..." Le choix que nous faisons, lorsque nous aimons, est celui de partager cet amour pour l'autre avec l'autre ou de ne pas/plus le partager.

Nous sommes d'accord, Yeats. Pour un peu, on se ferait la bise avant d'aller se coucher.

La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde, annonçait Oscar Wilde. C'est donc le regard qu'il faut traiter ici pour définir ce qu'est le beau. J'vous laisse vous amuser avec ça. Mais je reviendrai.

Foutaises ! Depuis que la plupart des femmes ne sont plus capables d'être des femmes, les hommes ne sont plus des hommes. Ils s'épilent les poils du c*l, utilisent des crèmes et des pilules bleues, s’approprient le verbe en délaissant l'acte et sous couvert d'être "actuels" fondent en larmes en parlant de leur enfance. Ils ne savent pas ce qu'ils veulent parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils sont. Pendant ce temps, les forums fleurissent... pleins à craquer de la fatigue de tous.

Non, c'est pour que le second me fasse la conversation pendant que le premier s'évertue à me bourrer... le crâne avec ses pauvres petits problèmes existentiels. Les hommes, désormais, parlent trop de ce qui atteint leur slip.

Faut arrêter avec la frustration. Ce que j'ai écrit tout à l'heure n'est pas un diagnostic psychanalytique... j'ai employé des termes psychanalytiques car Rato évoquait Sigmund en personne (j'crois pas qu'il utilisait le latin, d'ailleurs). Mon intervention était en quelque sorte, du trollisme. Bref, Yeats décrit avec brio le Donjuanisme qui occasionne une réelle souffrance... mais, je ne pense pas que ce soit son histoire. Il me donne plutôt l'impression d'être un bon gros misogyne de première catégorie. Une espèce assoiffée qui vampirise l'attention féminine pour... oh bon sang ! Nous allons toutes mourir dans d'atroces souffrances par les mains d'un pervers narcissique ! Bon voilà, je viens d'énoncer tout ce que les femmes finiront par penser de toi, Yeats. Un homme averti en vaut deux... et moi... deux... c'est mon fantasme...

J'pense pas. C'est super grave ce qu'il arrive à notre ami Yeats. Il souffre d'une faille narcissique si constante et si désordonnée qu'il ne parvient plus à saisir où se situe sa frustration. Et tout le monde sait que sans frustration, pas de désir...

Avant que l'autre soit ta/ton partenaire, il y a un gouffre qui échappe à ta vue restreinte au trou de gland, semble-t-il... et pourtant, la bite n'a pas d'oeil, paraît-il. Ne le prends pas mal, j'ai tendance à être une véritable counnassière au réveil, quand je n'ai pas ma dose de chaleur humaine. Kiss kiss !

Si... celui du charme, du raffinement, de la courtoisie, de l'élégance, etc.. R.I.P.

Je n'insinue rien, c'est toi qui comprends ce que tu veux bien comprendre dans mes propos. Te bouffe pas l'foiE, quand tu seras morte, je ne serai plus là pour te rappeler que parce que tu vis, un jour tu vas mourir. (bis) **Lapalissade anachronique**

Ce qui est triste, ce sont les personnes qui soutiennent mordicus l'utilité de leurs paroles et de leurs actes. En quoi est-ce utile au regard de l'existence ? Le psychanalyste Jacques Lacan a dit : La religion, la médecine, la science, la folie, ... l'Humanité quoi !... rien ne pourra te sauver de ta mortalité. Ce qui est triste, c'est de penser la vie comme on se pense soi : une perpétuité.

Fichée, perdre son temps c'est croire en l'utilité de nos actes. Acceptons une fois pour toutes d'admettre que notre existence n'a pas d'autre sens que l'existence elle-même... ça décomplexe.

Je suis assez d'accord avec cette phrase pour reconnaître qu'en fonction de cette certitude, nous ne devrions même pas nous poser la question de ce qui fait peur à l'autre ou pas. Notre solitude est exigeante... elle annonce une quête perpétuelle et le questionnement insoutenable de savoir si elle finira un jour. Alors nous cherchons l'Autre... enfin, soi à travers cet Autre. Se demander si j'inquiète un homme en étant entreprenante, n'est-ce pas moi que j'inquiète ? Ne suis-je pas en train de pâlir à l'idée que cet homme effrayé pourrait bien se faire la malle et en aimer une autre plus que moi ? Je redeviendrai seule parce que je croyais ne plus l'être... quelle m*rde ! Ouais... bon... de façon basique, il est constaté qu'un homme reste sensible à un fonctionnement ancestral - pour ne pas dire génétique. Il a besoin d'organiser un stratagème pour obtenir les faveurs sexuelles d'une femme. En dehors du sexe, pour TOUT le reste, la femme peut y aller avec le dos de la louche, elle ne rendra pas son mâle tout mièvre et sans consistance. Enfin... tout dépend de celui que l'on a en face de soi. Vous l'aurez compris, faire des généralités c'est perdre son temps... je n'ai rien d'autre à faire aujourd'hui.

Native d'Orange, proche d'Avignon... mais dans le 30... j'ai honte... !