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Anna Kronisme

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Tout ce qui a été posté par Anna Kronisme

  1. "La sélection surnaturelle" aux éditions Virtuelles. De Charles Ingalls Savonarol Darwin - Premier du nom.
  2. Ce n'est pas une histoire d'amour formidable, ça ? Je pense que tu confonds les choses, ézîa car tu parles de libertinage et moi, je parle d'une relation extra-conjugale ponctuelle ou régulière qui est, je le rappelle, la réflexion de ce topic. Le libertinage est un mode de vie et je ne pense pas que ceux qui le pratiquent s'en cachent. La relation extra-conjugale est bien plus complexe car elle n'a rien d'un mode de vie ni même d'une décision prise avec légèreté. Je le répète, il y a beaucoup de culpabilité liée à cet acte et c'est désespérant. Et cesse donc de déformer mes propos... Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends alors, n'affirme pas à ma place que j'estime [...]qu'on doit continuer à écarter les cuisses, en allant je suppose nous aussi "regarder ailleurs" en se disant "Vu que ce n'est pas moi la mieux, je n'ai pas le droit de vouloir une relation amoureuse exclusive."[...].
  3. Ah ok, je te remercie, ézîa. Je comprends mieux ce que tu considères comme de la trahison. Il peut y avoir plusieurs raisons de ne pas en parler : - La première est qu'il s'agit de quelque chose de très intime et personnel... quoi de plus intime et personnel que sa sexualité ? D'ailleurs, j'encourage tout le monde a sauvegarder une totale intégrité quant à sa sexualité. En parler et pratiquer uniquement si l'on en ressent l'envie. Même une relation amoureuse et très complice ne doit en aucun cas empiéter sur cette intégrité, jamais ! - La seconde est qu'une personne dépressive, pour continuer sur l'exemple donné plus haut, ne serait sûrement pas à même d'entendre/comprendre que son partenaire souffre de son absence de désir et donc de sexualité. "Puis elle a pas l'esprit à ça en ce moment, elle pleure tous les jours, elle a besoin de douceur, de tendresse, d'aide, etc." Tu imagines, en pleine dépression, t'entendre dire : "Chérie, comme nous ne faisons plus l'amour, j'ai trouvé une femme qui est d'accord pour me dépanner en attendant que tu ailles mieux !" ^^ - La troisième est qu'il y a eu menaces... oui celles que j'ai cité plus avant dans ce topic. "Si tu fais ça, je te tue/quittes/meurs/etc." - La quatrième risque de te plaire : la personne est tout simplement lâche pour assumer son geste car elle a été conditionnée pour penser que c'est mal ! Je me bats pour faire changer les mentalités parce que je trouve ça désolant de voir des gens culpabilisés jusqu'à la moelle et prisonniers de la quatrième raison. Ils sont majoritaires. Ils ont honte d'être vivants, d'avoir des pulsions sexuelles et de chercher à s'épanouir. A notre époque, je trouve ça alarmant, pour être franche.
  4. Non, il ne s'agit pas de cela, Mavaizherbe. Il s'agit d'ignorer ou de faire fi de ses propres sentiments envers une personne qui t'aime et qui t'a été fidèle (présence) durant une période délicate de ton existence parce que tu considères qu'aller coucher avec quelqu'un d'autre est une tromperie, une trahison. C'est de l'orgueil mal placé, une sorte de fierté qui n'a aucune raison d'être et qui te pousse à renoncer à une histoire d'amour formidable. Lorsque l'on possède suffisamment d'amour-propre, l'on ne sent pas dépossédé si la personne que l'on aime regarde ailleurs. Avoir confiance en soi permet de ne rien attendre qui puisse combler un manque.
  5. Voudrais-tu simplement préciser en quoi il aurait agit hypocritement ?
  6. Oui SharKan, c'est ce que je résume en un seul mot : immaturité. Cette crainte d'être seul(e), d'être abandonné(e) car l'autre pourrait aimer davantage un(e) autre que soi et décider de ne plus rien partager avec soi. Il n'y a bien qu'un enfant pour pleurer lorsque sa mère disparaît de son champ de vision, non ? Ou pour jalouser une soeur ou un frère qui requiert davantage l'attention parentale. Toujours est-il que Jung est le psy approprié à la situation... lui qui a aimé plus d'une femme en même temps. *sifflote* "Eviter de faire des promesses" n'épargne pourtant pas que les évènements se produisent alors, seul ou pas, n'hésite pas à prendre le risque de t'engager envers toi et quelques autres. Cette personne t'aime, elle t'a accompagnée durant plus d'une année dans ta dépression, elle était là pour te soutenir, te donner de la tendresse et toi, tu romps ? Alors tu ne l'aimes pas. Je dois dire que je m'attendais à ce que tu répondes "Oui", tu suis ta logique. Eh bien tant pis pour toi.
  7. Mhm... imaginons que tu soies en couple avec une personne que tu estimes être "l'amour de ta vie !". Tout va bien entre vous, sur tous les plans, vous êtes si heureux que tu as le sentiment de n'avoir jamais aimé avant. Tu trouves cette personne exceptionnelle, tu ne désires personne d'autre et sans même en parler, car tout cela te semble naturel, tu sais que cette personne ne désire personne d'autre que toi - vous êtes faits l'un pour l'autre. La vie est rose. Tout à coup, le tableau s'obscurcit... Quelqu'un de proche décède brutalement, tu es profondément choquée. Les semaines passent mais ton état s'aggrave, le diagnostic tombe : dépression. Mais, si difficile que soit cette épreuve, cette personne exceptionnelle est là près de toi... elle te soutient, t'encourage, t'accompagne même si vous ne faites plus l'amour parce que la dépression agit sur la libido et puis les médicaments donnent envie de dormir. Tu passes une année ainsi... mais à force de soins, d'amour et de tendresse, tu reprends le dessus gentiment. Tu as de nouveau envie de t'occuper de ton chez-toi et en rangeant, tu trouves un petit papier avec un mot doux... ou alors une boîte de capotes. Aucun doute possible, ta/ton partenaire est sûrement allé "voir ailleurs". Tu romps la relation illico ?
  8. Oui, tout comme personne n'a le droit d'imposer à l'autre de se restreindre à quoi que ce soit... J'ai entendu des phrases du style : "Si tu couches avec un(e) autre, je te tue !" Trouver ce genre de phrase comme attendrissant ou la démonstration d'un amour incommensurable, c'est tout de même avoir un sacré problème, non ? Et pourtant, il existe beaucoup de personnes qui s'en trouvent flattées. Et la menace sait également prendre des allures moins criminelles car elle peut être : "Si tu couches avec un(e) autre : - je te quitte ! - je fais pareil ! - j'en mourrais ! - ma vie n'aura plus aucun sens ! - etc." Immaturité, immaturité, immaturité. Et je suis certaine qu'ils se vouaient une fidélité sans faille, qu'ils partageaient un bonheur immense et qu'ils se respectaient profondément...
  9. Euh... mais, je n'oblige personne à choisir un partenaire qui a des pratiques qui ne lui conviennent pas. o_O J'évoque bien ce moment où après quelques semaines/mois/années de bonheur intense, il y a quelque chose qui se dérègle, pour ainsi dire, dans le couple et qu'un des deux fait le choix d'une ou plusieurs relations extra-conjugales.
  10. Je ne pense pas que mes propos soient ridicules et réducteurs, bien au contraire. Je milite, en quelque sorte, pour une ouverture d'esprit libératrice. Tromper quelqu'un, c'est effectivement abuser de sa confiance. J'affirme que beaucoup de personnes n'en viendraient pas à mentir, du genre : "Oh, je n'aime que toi, je ne couche avec personne d'autre même si ça fait un an qu'on a pas baisé... !" si le fait de vivre librement sa vie n'était plus considéré comme de la haute trahison. Etre fidèle ne peut pas être feint. Mais, il y a une erreur de définition car la fidélité ne devrait pas signifier "NE PRATIQUE PAS DE SEXE AVEC QUELQU'UN D'AUTRE QUE MOI", elle devrait reprendre ses droits de justesse et exprimer clairement "SOIS PRESENT A MES COTES POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE". La majorité des personnes ayant des relations extra-conjugales prennent à coeur cette notion de fidélité et ne faillissent pas à l'amour qu'elles donnent, depuis parfois des années, à leur partenaire. Ils restent présents alors que sur une dimension de cette vie de couple, en l’occurrence le sexe, il y a maldonne... Je ne comprends pas l'accusation d'infidélité, vois-tu. Je ne comprends pas non-plus ta question sur le viol... il semble que tu fasses montre de confusion, non ? Si tu veux bien reformuler, je ne cracherais pas dessus. D'ailleurs, en parlant de confusion, serait-ce l'immaturité que tu considères comme insultante et privative ? Certains couples ont effectivement le droit à une réciprocité exclusive mais, j'ai également le droit d'affirmer que l'exclusivité n'est ni plus ni moins que de la manipulation dans le but de sécuriser des manques/vides/failles narcissiques. Se servir de l'autre pour se sentir "bien", en sécurité, rassuré, etc. c'est de l'immaturité, je ne vois pas d'autre terme valable car il y a défaut d'amour-propre. Si cela te blesse, il est possible que j'ai, malgré moi, touché à une de tes cordes sensibles mais, je ne m'adressais pas à toi en particulier, donc... ne te sens pas ridiculisée ni réduite. Et puis oh ! Pour connaître mes fantasmes, il te faudra faire preuve de beaucoup d'imagination... coquinette... :blush:
  11. C'est le drame de ma vie... pourtant, je fais beaucoup d'effort pour simplifier au maximum et je fréquente volontairement ce forum avec l'espoir fou de m'imprégner des multiples erreurs de syntaxe ! Que vais-je devenir... Pour l'histoire de définir un coupable, je suis ok avec cette idée car elle s'appuie justement sur cette notion de "faute" et b*rdel ! il faut que cela cesse une fois pour toute ! Il n'y a aucune faute ou tromperie ou trahison ! Il y a un désir, point. Il peut être affectif, amoureux et/ou sexuel. Il se peut que la/le partenaire que nous avons "élu" pour partager ce désir ne soit pas "apte" à le combler, pour toutes sortes de raisons et de motifs. Je vais citer un exemple, afin de dédramatiser toute cette histoire. Ex : Une personne vit une grossesse difficile (femme uniquement) ou est en dépression ou en deuil ou souffrante, etc. (femme et homme). Sa libido est à zéro et cela semble parfaitement légitime (la pauvre). La personne qui est auprès d'elle accepte cette situation et l'accompagne du mieux qu'elle en est capable... parce qu'elle l'aime. Seulement, cette personne ne vit pas cette grossesse difficile ou cette dépression ou ce deuil ou n'est pas souffrante, etc. Tout fonctionne normalement pour elle et y compris sa libido. Alors, dans un cas comme celui-ci, faut-il préconiser la masturbation intensive ? Je ne répondrais pas à cette question. A mon sens, il n'y aurait qu'une mégère ou qu'un macho pour balancer un truc du style : "Je me refuse à toi parce que je n'ai plus aucun désir (cf. toutes les raisons légitimes citées ci-dessus) mais si tu t'avises d'aller (for)niquer avec quelqu'un d'autre, tu n'es plus digne de moi, de mon amour et tu le paieras très cher ! Salope/Salaud, traître(sse), pervers(e) !" Je considère qu'il n'y a rien de mal, de fautif, de trompeur ou de trahissant à vivre pleinement sa sexualité, c'est même très sain contrairement à la masturbation qui ne fait que frustrer chaque fois davantage et engendrer une culpabilité gerbante. L'amour et la sexualité sont des moteurs de vie primordiaux, nul ne peut contraindre qui que ce soit en s'en priver sous des prétextes de valeurs puritaines instaurées il y a des siècles par des Hommes égocentriques et bien trop fiers, s'estimant différents et supérieurs aux autres espèces. Si aimer, c'est respecter l'autre, vouloir son bonheur et son épanouissement alors il y a hypocrisie avérée dès lors que nous le blâmons pour des actes qui auront participé à son bonheur et son épanouissement. Le contrôle, la possessivité et l'exclusivité ne sont rien d'autre que de la manipulation... et l'autre n'est plus un "autre" mais un objet devant apporter satisfaction. Il n'y a aucune marque de respect ni d'amour dans tout ceci, simplement de l'immaturité, je le maintiens. Qui sommes-nous pour se permettre autant d’exigences envers un autre que nous ? Contentons-nous d'être heureux lorsqu'une personne souhaite partager un moment de vie avec nous car rien ne l'y oblige... Oui et pourquoi faut-il trouver des excuses ? Parce qu'être accusé d'avoir fauté, trahis, trompé... c'est un peu lourd à porter, non ? Etre accusé exige de se défendre. C'est là que se situe toute la problématique. Les gens qui vont avoir des relations sexuelles avec une autre personne que leur partenaire habituel/conjoint/épou(se)x ne font généralement que répondre à un désir.
  12. Si tu n'as pas écrit qu'il l'avait drogué, au temps pour moi, la construction de ta phrase laissait penser le contraire. Cependant, ne vas pas te commettre au procès d'intentions en lisant mes propres interventions. Ici, par exemple : cette phrase ainsi que certaine réaction par d'autre me laisse pensé moi, que certain son plus tolérant que d'autre en ce qui concerne le consentement. Je n'ai aucune tolérance envers les actes qu'a commis cet homme, je suis simplement une chasseuse d'erreur de lecture. Je précise bien la perversité qui l'anime mais défend le fait qu'il l'ait droguée pour s'y exercer. Relis-moi, tu gagneras peut-être le concours de la plus mauvaise lectrice. ^^
  13. Il n'est pas notifié qu'il droguait sa femme afin de pratiquer un toucher rectal sans son consentement. Il profitait du fait qu'elle était sous somnifères et donc "profondément" (rho ! pas de rires graveleux, siouplé !) endormie. Il agissait de façon perverse, certes, mais pas tant que tu sembles le penser, Lugy Lug.
  14. C'est techniquement/biologiquement impossible et encore moins avec un doigt enduit de lubrifiant. *c'est rigolo mais c'est salaud* Concernant le sujet en lui-même, cette dame ouvre certainement la possibilité à d'autres épouses, vivant peu ou prou une situation similaire, de s'exprimer et demander protection par la loi.
  15. Le "profil" de la personne cocufiée est toujours plus ou moins le même. Il a été constaté que ces personnes sont en manque d'assurance, d'amour-propre et craignent l'abandon (perte d'amour). De ce fait, elles adoptent un comportement puéril envers leur(s) partenaire(s) amoureux. Une demande constante mais néanmoins implicite d'être rassurée, (re)valorisée et la surveillance extrême de l'emploi du temps de l'autre afin qu'il ne "s'échappe" pas (ne pas être abandonnée). La/le partenaire d'une telle personne prend souvent la place, bien malgré elle/lui, d'un objet de forme quasi identique à l'objet parental (pour donner une image). Tout ceci se fait insidieusement car l'élan amoureux des premiers temps de la relation ne voit aucune objection à fournir bien être et sécurité affective à l'autre. Mais, le temps affectera ce lien particulier et le désir, notamment sexuel, aura pris une telle dimension qu'il en deviendra presque interdit ; ce qui est assez logique. La recherche d'un(e) autre partenaire sera donc nécessaire afin de pallier à une frustration grandissante. La/le partenaire de la personne cocufiée reste cependant attaché(e) à elle car elle/il s'est engagé(e) à la protéger et c'est là que peuvent intervenir les non-dits et les mensonges qui engendrent énormément de culpabilité... de part et d'autre. Il me semble essentiel de souligner que tous les protagonistes souffrent dans ce type de relation. C'est, à mon sens, vouloir prendre des raccourcis de pensées bien trop lapidaires que d'estimer que l'un est plus fautif que l'autre lorsqu'une troisième personne pointe le bout de son nez dans un couple. En toute logique, l'amour dans un couple (puisqu'il est beaucoup cité dans ce sujet) et même de façon plus générale, ne devrait pas être le comblement d'un manque. Ex : C'est ma moitié ; Sans elle/lui, je ne suis rien, elle/il est ma raison d'être ; J'ai besoin d'elle/lui ; Elle/il me manque ; etc. L'amour dans un couple, ce devrait être de partager ce qui nous rend heureux individuellement et non l'unique raison et l'unique quête de notre bonheur. Se remettre en question, être honnête envers soi et se dire "Ok, j'attends des choses d'un(e) autre comme si j'étais encore un(e) enfant dépendant(e)... y a un truc qui cloche, faut que je bosse là-dessus !" Ce n'est pas un secret de réussite, c'est une sage suggestion.
  16. Hey ! Lâche l'affaire, tu vois bien que je le drague publiquement depuis des lustres... j'suis certaine qu'il est hétéro et qu'il me préférera à toi. Bon, puisque tu sais passer la pommade, je suis d'accord pour te le prêter... :blush:
  17. Tu vas un peu vite en besogne, mon lapin. La religion est loin d'être morte et la laïcité n'est qu'un souffle de poudre aux yeux. Notre calendrier est encore plein de jours fériés en odeur de sainteté pour en attester et même si les pétales de roses en papier remplacent désormais le riz sur le parvis des églises, les cloches sonnent toujours à chaque heure, chaque dimanche, à chaque baptême et enterrement. La religion est comme un loup déguisé en agneau (de pâques). Nos lois ont pour base les dix commandements et le mariage (pour tous ou pas) n'a rien de laïc en son essence. Bref, notre société a sous les pieds un gros socle religieux... s'il s'effondre, plus de laïcité. Nous sommes copains de parents ! "Toi le frère que je n'ai jamais eu..."
  18. L'Empereur aura tous les psy de la planète sur le dos (du divan), en sus. Allez, quoi ! Parlez-moi de votre enfance, Savonarol 1er. Tu sais quoi ? Ecrivons des livres...
  19. Je vais te faire voyager dans le temps, moi, tu vas voir ! 22ème siècle : Flash info. La ligue contre la parfaititude vient encore de bombarder les cliniques à gentils nourrissons. Le collectif des gentils parents entame une manifestation pacifique en invitant n'importe quel gentil humain à afficher à sa fenêtre une pancarte écrite "Je suis Gentil". Nous espérons grandement que les terroristes supposés être des rescapés du 21ème siècle - les Anciens sont parvenus à retrouver des guides de formation policière et militaire** dans les archives de la médiathèque principale - cesseront leurs très méchantes activités très prochainement aux vues de ces affichages importants et empreints de compassion. **Les policiers et les militaires étaient des individus entraînés au combat afin de faire régner l'ordre et la loi durant les siècles d'atrocités qu'a connu notre planète avant que l'Empereur Savonarol ait la brillante idée de tester les futurs parents. La régulation des naissances par l'obtention du permis de procréer a éradiqué toutes formes de violences. Inconvénient : nous ne savons pas comment lutter contre les dernières attaques, espérons que l'amour gagne toujours.
  20. Tu ne vois pas où est le problème ? Je pense tout simplement que la majorité des personnes qui ont répondu à ce sujet ne seraient pas vivantes, existantes, si leurs parents avaient été soumis à un test donnant lieu à un permis de procréation. Moi la première. Quel gâchis c'eut été, du moins en ce qui me concerne, n'est-il pas ? *narcissisme au taquet*
  21. J'aime me sentir soutenue dans mes idées folles et révolutionnaires. Je n'ai pas lu les 10 pages suivantes... en moins de 24 heures, une centaine de notifications... "Ne plus suivre" ! ^^ Cependant, je persiste dans l'idée qu'il est impossible de prévenir la maltraitance infantile, quelque que soit la forme qu'elle prenne. Peut-être qu'un jour la science saura isoler un gène responsable... Lawl ! Bref ! La présence d'un enfant au sein d'une famille est révélatrice ou disons permet le déclenchement d'une quantité inestimable de comportements déviants et/ou inversement, permet de faire ressortir des qualités dites "bonnes" dont nous ne nous pensions pas capables. Si je devais user de métaphore, je prendrais l'exemple d'une personne qui boit de l'alcool : Nous pouvons prendre en compte plusieurs critères tels que l'âge, la taille, le poids, le sexe, l'état de fatigue, l'humeur, la situation sociale, le stress, la vie amoureuse, etc. Rien ne nous permettra de dire avec justesse comment elle se comportera après un verre, deux verres, trois verres, etc. Nous ne pouvons pas prévenir, c'est catégoriquement impossible. De plus, un "test" c'est comme tout, ça se contourne. Second exemple de science-fiction, cette fois-ci : Dans Jurassic Park, les scientifiques contrôlaient la population des dinosaures en ayant pris soin de ne faire naître que des femelles... mais, Ô surprise, un oeuf fut retrouvé dans la nature... "La vie trouve toujours un chemin..." dît le professeur Machin-Truc. Ok, je --> [.]
  22. Le sujet est intéressant et je me suis souvent posé la question... mais, force est de constater que dans ce cas bien précis, nous ne pouvons pas prévenir mais seulement guérir. Puis, pour la surpopulation, il ne s'agit pas de contrôler les naissances mais les décès... brûlons les centres gériatriques ! Ça va, lâchez-moi, je n'ai pas d'allumettes sur moi... pffff...
  23. Cette notion d'ennui après 10 minutes de masturbation est intéressante car elle évoque une intellectualisation de l'acte en lui-même qui est complètement contrebalancée par cette sensibilité que tu dénonces ensuite : "j'éjacule rapidement des fois" comme si 'tout à coup' (sans jeu de mots... ou presque pas), tu perdais le contrôle. Il semble que ton corps et ton esprit ne soient pas en phase quant à ta sexualité, russuf. Questionner un forum est une bonne initiative mais, les réponses dont tu as réellement "besoin" ne viendront que de toi... sois simplement attentif à tes désirs et les réactions qu'ils provoquent à même ta peau et inversement, l'esprit vide, sois attentif aux images provoquées par une caresse. Bonne touche.
  24. Il y a déjà dans ce terme de "tromperie" et le fait de "tromper" qui va même s'allier coquètement avec la "trahison", quelque chose qui sonne faux et même de façon outrée. Je ne comprends pas que la fidélité soit uniquement liée au sexe. Si un individu maintient ses engagements envers son conjoint (avec ou sans mariage), sans jamais faillir au meilleur comme au pire, doit-il être forcément estimé infidèle en commettant un acte sexuel qui n'engage que lui et la/le partenaire dudit acte ? Les unions des siècles derniers étaient des engagements autrement plus vertueux que les simulacres passionnés que nous pouvons observer de nos jours et les "maîtresses" et "amants" dans le placard ont donné de bien belles oeuvres littéraires, théâtrales et plus tard de cinéma. La tolérance se mêlait à la raison. Bien entendu, il y eut et il y aura toujours quelques crimes passionnels... Donc, il y aurait déjà un gros travail à faire sur ce sentiment d'avoir été "trompé(e)" et "trahi(e)" avant de tenter d'éviter quoi que ce soit.
  25. Anna Kronisme

    aide

    Je ne comprends pas la construction de ta phrase pour te donner mon aide. Tu souhaites obtenir un congé pour te rendre en Turquie ? Tu souhaites profiter de ton séjour en Turquie pour travailler ?
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