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Tout ce qui a été posté par Scénon
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D'accord, on trouve cette notion fortement développée dans le judaïsme. Pourtant, comme plusieurs intervenants l'ont fait remarquer – et vous n'y avez pas encore répondu –, comment le Mahdi peut-il être le père spirituel de Jésus s'il n'est pas encore venu dans ce monde? Adam est le père (spirituel) de Set et d'Énoch; Abraham, d'Ismaël; etc. Ces patriarches, selon l'Ancien Testament, ont vécu sur Terre avant leurs héritiers spirituels. Mais où est-il question d'un personnage historique (historique dans l'optique des religions monothéistes) ayant vécu sur Terre avant Jésus, qu'on puisse assimiler au Mahdi?
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Cette intervention m'avait échappé jusqu'ici. Décidément, ADM, quand vous le voulez bien, vous témoignez de lectures, de connaissances ou de perceptions autrement plus intéressantes et pertinentes que les nombreuses légèretés que vous m'avez servies ailleurs!
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Dans votre zèle louable, vous avez effacé une réponse qui n'avait rien de bien méchant. En résumé, ADM m'y promet de revenir à ma question formulée à la page précédente, et il m'y invite, «en attendant» et entre autres, à «regrouper mes effets», bien que je n'aie pas encore compris où il veut en venir...
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J'en ai une: celle que je vous ai posée un peu plus haut.
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En effet, je dois reconnaître honnêtement que c'est ce que vous pensez.
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Apparemment...
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Tout ce raisonnement m'intéresse. Pouvez-vous me dire en quoi consiste cette preuve définitive, s'il vous plaît? (Vous pouvez me répondre dans ce topic ou par MP, comme vous le préférez. Je sais par expérience que certains internautes qui participent à cette discussion ne sont absolument pas intéressés par une quelconque preuve éventuelle qu'on leur proposerait.)
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(Petite parenthèse hors sujet: Samomoi n'en a visiblement rien à faire des réponses faites aux questions posées au début de ce fil. Je note jusqu'ici 105 messages publiés par lui dans 105 sujets différents, avec chaque fois une jolie petite pub en passant...)
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C'est parfaitement exact, mais la plupart des gens – peu importe s'ils se disent croyants, mécréants, chrétiens, païens, musulmans, athées, déistes etc. – ne veulent même pas vérifier. Ils refusent tous d'y consacrer ou d'y perdre leur temps.
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Merci de votre réponse, claire et nette, et qui me satisfait entièrement. J'avais promis de vous laisser le dernier mot; je me permets une légère entorse à cette promesse, vous me la pardonnerez, je l'espère: Vous dites – à deux voire trois reprises – que je me sens incompris (ou que j'implore en quelque sorte pitié); ce n'est pas le cas, et ce n'est pas ce qui ressort de mon dernier message. Incompréhension et manque d'intérêt sont deux choses différentes. Je suis convaincu que vous êtes un de ceux qui m'ont le mieux compris; mais, en effet, comme vous l'écrivez, ce n'est pas cela qui vous intéresse chez moi. J'en suis sincèrement désolé pour vous, mais je n'ai pas la moindre envie de vous «hacher menu» ou de vous «taillader en morceaux» (sans doute un manque d'humanité, voire de virilité) ni de satisfaire aux autres besoins que vous formulez; cela n'a rien à voir avec votre personne en particulier. J'estime que ces choses-là ne regardent personne, qu'elles n'ont même aucune espèce d'intérêt sur un forum de philosophie. Une nouvelle fois: merci. Je n'ai rien d'autre à ajouter ou à retrancher à mon intervention précédente.
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Vous n'êtes pas obligée de vous aligner sur mes desiderata, Cassandre. En parlant des émoticônes, je n'adressais pas une invitation directe aux intervenants ni à la modération; il s'agissait plutôt d'attirer l'attention sur une facette de l'écriture sur les forums. Cela dit, votre réponse illustre exactement mon propos. Que vous écriviez «mdr», «lol», «: )» ou «:D», cela ne change pas grand-chose. Le fait est que cela peut signifier ici plusieurs choses: - «Votre réponse tout entière m'a bien fait rire, Scénon» (pourquoi? ce n'est pas expliqué); - «Telle phrase dans votre réponse m'a bien fait rire» (quelle phrase?); - «Je ne me moque pas de vous, je me moque de Dentelle des mots à qui vous vous êtes adressé» (qu'y aurait-il de drôle? je ne lui ai rien écrit qui mérite qu'il soit moqué); - «Je riais non de votre message, mais de celui d'Untel» (si vous ne citez pas d'abord le texte d'un intervenant, ce qui est toujours recommandé de faire, tous ceux qui vous lisent se demandent à qui vous vous adressez ou à quoi vous réagissez). Bref, je ne comprends pas votre «mdr», et ce que vous écrivez dans la suite ne m'éclaire pas non plus à son sujet. Une petite phrase clairement formulée nous aurait évité, à tous deux, le présent développement. Pour le reste de votre intervention, je ne suis pas persuadé qu'elle s'aligne vraiment sur la mienne. Et puis, je ne cherche pas à entamer une nouvelle polémique. Je lirai avec intérêt ce que Dentelle des mots aura (éventuellement) à me répondre, et pour ma part, je compte en rester là. En somme, je lui laisse le dernier mot. Allons! pour vous mettre à l'aise: ! (Merci à l'internaute bienveillant – le règlement m'interdit de citer son nom – qui me signale par MP qu'au message précédent, j'ai accordé le mot “reproches” au féminin; c'est une erreur bien sûr, qui s'explique par le fait que sur ordinateur, il arrive qu'on remplace un mot par un autre sans toujours en vérifier les conséquences... J'avais peut-être d'abord écrit “remarques” ou “remontrances”, je ne me souviens plus. Tiens! c'est une autre facette liée à l'écriture sur les forums.)
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En m'invitant à ne pas me faire désirer, vous m'obligez presque à vous répondre désagréablement; mais mon intention est d'être ici non désagréable mais franc et direct. Vos reproches sont peut-être justifiées; elles ne sont pas pour autant sincères. En réalité, ce qui vous dérange, c'est le fond de mes propos, ou plus exactement, la pensée même d'au moins plusieurs centaines de philosophes au poids incontestable, d'antiques anonymes à d'illustres contemporains, actuels, que j'ai lus et que j'ai essayé, dans la mesure de mes modestes – et peu virils – moyens, de décrire, de présenter, de faire connaître sur ce forum, ou de montrer sous un autre angle que celui qu'on applique habituellement à certains d'entre eux; tout cela par affection envers tous les amateurs de philosophie. Voilà ce qui, pour rester dans le sujet, a motivé mon écriture sur le forum. Vos critiques sur mon attitude, qu'elles soient parfaitement justifiées ou non, sont un prétexte pour ridiculiser la pensée de ces philosophes dont vous ignorez probablement tout. Cette pensée, vous ne désirez pas tellement la connaître, car vous devinez qu'elle est à des milliers de lieues de ce que vous avez décidé pour vous-même que la philosophie doive être. Je vous soupçonne, de plus, de redouter un peu qu'elle puisse finir par intéresser d'autres intervenants sur ce forum; ce qui me paraît une attitude mesquine. Ne craignez plus; j'ai décidé de ne plus en parler, puisque vous êtes bien loin d'être le seul à n'éprouver aucune curiosité à son sujet. Qualifier un débat philosophique concernant la vérité, telle que d'innombrables philosophes dignes de ce titre la définissent et la décrivent, de “stérile” n'est pas mieux que de le traiter d'“obsolète”. Il n'y a pas eu que ce débat-là, mais là c'était le pompon! Je suis encore intervenu principalement dans le sujet concernant la réforme de l'enseignement, mais pour moi cela s'arrêtera probablement là. Je ne suis ni un missionnaire zélé ni une sorte de martyr à la patience illimitée. Face au désintérêt généralisé, il me faut savoir reconnaître humblement que je ne parviens pas à faire partager tant soit peu mes centres d'intérêt philosophiques avec les autres intervenants; en partie par maladresse, c'est bien possible. C'est votre bon droit de ne pas aimer une certaine philosophie ou une philosophie certaine, voire de la tourner en dérision, même à travers ma personne. Vous réfléchissez beaucoup et exprimez admirablement vos pensées, il faut louer ces qualités, mais tout ce que vous avez prouvé à mes yeux par votre attitude générale à mon égard, ou plutôt à l'égard des pensées par moi décrites, c'est que vous n'êtes en rien un philosophe. Comment puis-je vous en vouloir? je n'en suis pas un moi-même. Sine ira et studio.
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Non, cela n'a rien à voir avec une quelconque quête de vérité. Pathos et ethos devraient s'exprimer également par la parole. Les diatribes et autres discours virulents, passionnément amoureux ou hautement moralisateurs, de l'épopée homérique sont des modèles du genre; aucun besoin de smiley. Les émoticônes sont plutôt l'aveu d'impuissance de celui qui n'a rien à dire, ni opinion ni argument ni sentiment ni passion, ou qui ignore comment l'exprimer. Par exemple, une lettre d'amour même maladroitement rédigée a toujours plus de chances de se faire entendre par la belle qu'un vulgaire enchaînement de :blush::gurp::D . Les femmes sont séduites par la poésie, non par de stupides émoticônes de façade.
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Je serais pour la suppression pure et simple de toutes les "émoticônes" – rien que de devoir écrire ce mot barbare m'horripile. Certes, il m'arrive d'en utiliser, mais franchement, elles m'importent peu; c'est une concession faite au langage internet dont je pourrais très bien me passer. La question est plus générale. Le fait est qu'elles deviennent vite le moyen excellent pour remédier à la pauvreté du langage. Un "faciès" peut vouloir dire ce qu'on veut et aussi ce qu'on ne veut pas, chacun peut l'interpréter comme il veut. En s'en servant, on dit tout et on ne dit rien. L'autre voudrait y réagir, parce que la "tête" a l'air de vouloir dire tant de choses; il est impossible d'y réagir, parce qu'elle n'a rien dit du tout. Bref, l'émoticône est un moyen commode de rester dans le "non-dit". Son usage peut témoigner de faiblesse, d'absence de raisonnement, d'argumentation, de prise de position, d'expression verbale tout court; ou au moins, il peut nettement encourager cette faiblesse. On me répondra sans doute que son emploi est souvent humoristique, sans plus, et qu'il peut aider à "alléger" tel ou tel discours "sérieux". Je réponds c'est encore un expédient souvent insipide pour cacher le fait qu'on est incapable d'écrire avec humour là où ce serait éventuellement le bienvenu.
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Ou pour nébuleux.
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
Soit! vous avez ma parole: je n'effacerai pas votre message. -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
:blush: Vous êtes le vingt-sixième (toutes les variantes comprises)... -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
J'ignore ce que vous entendez par la «vision de la philosophie qui est ici imposée à tous». Plutôt que «bases communes imposées», j'aurais utilisé la tournure «bases communes acceptées», librement s'entend. Je serais heureux de lire votre «définition traditionnelle de la philosophie», ici, ou plutôt ailleurs, dans un topic spécifiquement consacré à la question; je prévois déjà quelques sérieux antagonismes... -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
J'espère ne pas avoir mérité d'être compté dans cette catégorie, mais si c'est le cas, je vous présente mes excuses les plus sincères, Cassandre. -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
Mais une bibliothèque n'est pas un forum. Notez qu'au fond je partage assez vos doléances, mais elles reviennent presque à se plaindre que l'humanité est ce qu'elle est, et à attendre de la part d'autres hommes (ici, des modérateurs) de changer tout cela. Pour ma part, j'y ai renoncé, et c'est une vraie délivrance. Une fois encore: l'application du règlement de ForumFr devrait suffire, théoriquement... Enfin, certaines nouvelles mesures s'annoncent. Nous verrons ce que cela donnera concrètement. Tant mieux si c'est pour un mieux! (Oups! le sophisme m'a échappé...) -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
Merci de votre réponse. Je vous crois, bien sûr, même si je reste un peu sur ma faim. D'ailleurs... je vais manger, il se fait tard; puis sans doute encore un peu cultiver mon jardin. -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
Cela, je l'avais bien compris. Je vous remercie. Ma question portait sur l'application concrète de la formule par moi proposée. Je n'ai finalement pas compris si elle a seulement été discutée, comme une option qui aurait été rejetée, sans essai; ou si elle a été réellement testée, et dans ce cas, avec quels résultats “palpables”. -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
Vous avez l'air de parler de la théorie, mais ma question portait sur ce qui s'est passé réellement, en pratique. C'est un argument a priori valable, sans doute, ou un risque possible. C'est pourquoi j'en reviens toujours à la même question: a-t-on testé le procédé dont je parle? -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
Ce débat ou cette confrontation, l'initiateur du topic n'en voudra peut-être pas, en effet. C'est bien là l'idée de ma proposition: tant pis pour son topic! Seuls resteraient, ou seuls seraient en tout cas intéressants, les débats et les confrontations dont l'initiateur aurait assez d'intelligence et de jugeote pour les modérer avec une certaine clairvoyance, notamment celle de supporter la contradiction et d'y répondre – une contradiction qu'il jugerait intéressante ou constructive; autre chose, donc, que les innombrables: “N'importe quoi!”, “Ce qu'il ne faut pas entendre!” ou “T'as fumé de la moquette?” (et je cite les cas les moins inconvenants). Je ne comprends pas ce que vous voulez dire concrètement. :blush: -
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Scénon a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Aide et Suggestions
L'idée EST précisément que le créateur du sujet soit lui-même juge, impartial ou non. Tant mieux s'il réussit à animer et diriger une discussion, et tant pis s'il perd tous ses interlocuteurs à force de clics, ou simplement à cause de sa propre incapacité d'éveiller leur intérêt! Mon idée est donc moins originale que je m'imaginais; peu importe. Vous dites qu'elle a été étudiée; l'a-t-on essayée?