Aller au contenu

Darius3

Banni
  • Compteur de contenus

    2 721
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Darius3

  1. Hollande ne démissionnera pas. Ce n'est pas refuser. La question ne se posera même pas de manière légitime et officielle.
  2. 16 millions ne seraient rien par rapport à ce que Balladur et Sarkozy (son conseiller et porte parole) ont pu rassembler comme fonds secrets pour la campagne de 1988. Le Juge Van Ruimbeke a découvert des fonds 3 fois plus importants que les fonds estimés par les juges.. Les dernières investigations menées par les juges en charge du volet financier de l’affaire Karachi étayent de plus en plus la thèse de rétro-commissions versées pour financer la campagne présidentielle d’Édouard Balladur en 1995.
  3. Marine Le Pen a déclaré qu'elle exigeait la démission de Jean Marie Le Pen du Poste de Président d'Honneur du FN !!!! :smile2:
  4. C'est donc à 16 ans qu'il a rédigé un livre "I war dabei" où il approuve les actes des Waffen SS. ?.. "En 1981, suite à la publication de Ich war dabei (J'en étais), il est accusé de minimiser les crimes du régime nazi. Il dut démissionner de plusieurs de ses fonctions médiatiques, dont la présidence de l'Union des journalistes bavarois. Suite à une scission avec la CDU-CSU, il est l'un des co-fondateurs du parti nationaliste allemand Die Republikaner en 1983, et en est alors le président.» C'est ça le reste de sa longue vie au CDU ? Il est l'auteur d'une biographie partisane sur Jean-Marie Le Pen en 1997, Le Pen, der Rebell (Le Pen, le rebelle), et assiste à sa conférence le 5 décembre 1997 à Munich, où ce dernier qualifie les chambres à gaz de « détail ». Il est candidat au Bundestag en 1998 sous la liste Deutsche Volksunion et écrit alors pour le journal nationaliste Deutsche Nationalzeitung . " c'est ce que vous dites donc ? un parti populiste ? "Ses racines sont ni Vichy, ni le nazisme".... qui l'a fondé donc ? Parmi les fondateurs du nouveau mouvement, on pouvait relever les personnalités suivantes : Léon Gaultier, professeur d’histoire, ancien membre de la Waffen-SS, membre fondateurs du conseil national du Front national[1], sans avoir de responsabilité particulière. Pierre Bousquet, secrétaire général du Parti de l'Unité Française et ancien de la division SS Charlemagne. Trouvant le Front national trop modéré, il partira en 1981 pour fonder le Parti nationaliste français ; Emmanuel Allot dit François Brigneau, membre du Parti frontiste puis milicien, condamné pour collaboration avec les nazis, puis à Ordre nouveau, journaliste à Minute et au Crapouillot, cofondateur avec Antoine Blondin et Pierre Boutang de nombreux journaux comme La Dernière lanterne qui deviendra La Fronde et enfin Rivarol, ancien des Comités Tixier[2]. Il participe en octobre 1973 à la scission du FN qui donnera naissance l'année suivante au Parti des Forces Nouvelles, rival pendant plusieurs années du FN, auquel il reviendra en 1979 sans y jouer de rôle important pour le quitter de nouveau en 1999 ; Dominique Chaboche, ancien de Occident ; François Duprat, journaliste et ancien de Ordre nouveau, diffuseur du négationnisme ; Roland Gaucher, collaborateur au sein des Jeunesses Nationales Populaires, historien du communisme et romancier engagé dans la dénonciation de la dictature dans les démocraties populaires, journaliste à Minute, Initiative nationale Itinéraires, L'Auto-Journal, avec Barthélemy et Brigneau la personnalité la plus influente et la plus décisive sur le nationalisme recomposé de la seconde moitié du XXe siècle. Il quitte le Front national en octobre 1973 puis fonde l'année suivante le Parti des forces nouvelles. Il reviendra au FN en 1979 et le quittera définitivement en 1993 après avoir été entre temps député européen et conseiller régional de Franche-Comté ; Alain Robert, pour Ordre nouveau et le GUD, quitte le FN dès 1973 pour fonder le PFN. Aujourd'hui membre de l'UMP ; Victor Barthélemy, secrétaire général du PPF , l'un des deux animateurs français avec Maurice Bardèche du Mouvement social européen, partira en mai 1978 ; Le comité directeur était composé : de nationalistes issus du mouvement Ordre nouveau et du mensuel Militant de Pierre Bousquet ; de nationaux, dont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre Il y a d'autres fondateurs mais j'ai indiqué ceux que vous semblez avoir oubliés. Lisant les messages vous découvrirez que je suis contre la suppression du FN mais que le FN doit rester sous la surveillance légale de la Police et de la Justice car si vous parlez de cadavres quel Parti en a le plus ? suite à ses "militants", "collaborateurs" etc. qu'il abandonne vite ; sauf à Marseille où un gamin étranger a été tué au pistolet par des militants du FN défendus publiquement par Bruno Megret __même au Tribunal__mais condamnés par la Justice. Oui des cadavres, réels....ceux provoqués par le FN...
  5. Les principes de la République Les principes fondamentaux de la République française sont énoncés dans sa devise : « Liberté, Égalité, Fraternité ». Ils se traduisent par des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux, qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».« Une République indivisible » : aucune partie du peuple, ni aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale. Seul le peuple exerce cette souveraineté par la voie de ses représentants (ex : le Président de la République, les députés etc. . L’unité et l’indivisibilité garantissent une application uniforme du droit sur l’ensemble du territoire national. Le caractère démocratique de la République implique le respect des libertés fondamentales et la désignation des différents pouvoirs au suffrage universel (Droit de vote accordé à tous les citoyens majeurs). (ouvert à tous les citoyens majeurs), égal (chaque électeur dispose d’une voix) et secret (chacun vote librement à l’abri de toute pression). On ne fait pas démissionner un Président de la République élu par une majorité d'électeurs. Sa majorité peut être démissionnée (ex 1997 Jacques Chirac l'a décidé) mais pas lui.
  6. Cette différence est-elle à ce point que JMLP ne pourrait pas être Président d'Honneur du FN ? :)
  7. Bien sûr dire de Schönhuber qu'il était nazi alors qu'il n'était qu'un WAFFEN SS c'est un raccourci et noter le contact étroit entre Schönhuber écrivant une biographie approbatrice, bienveillante, partisane de Jean Marie Le Pen c' est un raccourci, signaler que Marine Le Pen Candidate à la Présidence d'une République que les Waffen SS ont respectée en Allemagne et en France rencontre publiquement un Waffen SS c'est un raccourci... ...Un jeune (il n'était pas jeune mais de 30 ans __vous ne connaissez rien__ vous confondez ce meurtre avec celui de Marseille) ....noyé ? oui il s'est noyé tout seul ou alors poussé par qui ? des écologistes ? des prêtres ? des policiers ? il ne voulait pas prendre la route mais traverser la Seine tout seul: c'est un raccourci.:) ...Ce sont des poncifs mais relisez ce que vous avez spontanément écrit de Schönhuber que vous défendez et qu'en dira t'on ? des poncifs ? ou des ... bêtises ?
  8. Vous croyez qu'on se fait entendre et qu'on fait démissionner un Président (légalement élu) par une MANIFESTATION ??????? faudra marcher 10 siècles.... bon courage
  9. L'image de l'Islam et même l'Islam tout court se dégradent aussi par 1) les évènements à l'étranger: Afghanistan, Mali etc. 2)les islamistes, salafistes, etc. qui s'insurgent gratuitement contre la démocratie qui les admet.
  10. Non vous avez raison: Schönhuber était un démocrate membre des droits de l'Homme. Il a osé manifester et commémorer l'anniversaire du bombardement complètement inutile de Varsovie. Il avait le droit d'émettre des réserves sur ceux qui n'ont pas hésité à laisser endosser aux nazis la mise en place de camps de concentration et d'extermination avec chambres à gaz pour 6 millions d'êtres humains. citation: "En 2001, un groupe officiel d'historiens russes, britanniques, américains, français et allemands estimait les pertes de ce conflit à 26,2 millions de tués (environ 16 % de la population de l’Union soviétique de 1940) dont probablement 11 millions de soldats et officiers (6,8 millions de tués directs et 3,8 millions de prisonniers de guerre décédés entre les mains de la Wehrmacht), et surtout 15 millions de civils qui constituent donc près de 60 % du total des pertes soviétiques. Le nombre de soldats de l'armée soviétique tués au combat représentent près de 5 000 morts par jour, soit des pertes quatre fois plus élevées que celles subies par l’armée impériale russe sur ce même front entre 1914 et 1917" Cette volonté d’anéantissement a joué le rôle essentiel dans les immenses pertes en vies humaines de l'Union soviétique en 1941-1945. Hormis les commandants des Einsatzgruppen, et certains haut-gradés, en particulier, le maréchal Wilhelm Keitel (pendu après le procès de Nuremberg), l’écrasante majorité des officiers supérieurs de la Wehrmacht, du RSHA et de la Waffen-SS ayant participé aux massacres de masse commis en Union soviétique n’ont pas été inquiétés après la capitulation à Berlin du 8 mai 1945. Dès le déclenchement de l’invasion, en juin 1941, l’armée allemande fait le tri des prisonniers pour découvrir les commissaires politiques et les militants communistes, qu’elle fusille aussitôt. À noter que cette extermination immédiate a un cadre plus large encore puisqu’elle inclut également les officiers et sous-officiers, ainsi que tous les membres de l’intelligentsia (Intelligentzler) : instituteurs, universitaires, scientifiques, etc. Plus généralement, la Wehrmacht tue à l’aveuglette, sur de simples soupçons, « tous ceux qui regardent de travers » selon les ordres de Hitler. Dans les territoires conquis, tout refus d’obéissance vaut immédiatement une balle dans la nuque. Le 23 juillet 1941, un mois à peine après le début de l’invasion, Wilhelm Keitel donne l’ordre de renforcer la terreur « afin de détruire dans la racine toute tentative de résister ». En août 1941, Himmler rend visite à l'Einsatzgruppe B, il assiste alors à une exécution de masse de civils à Minsk]. Dans les villes, la Wehrmacht a instruction de fusiller immédiatement et systématiquement 50 otages pour un soldat allemand blessé par la résistance, 100 otages pour un soldat abattu. Dans les campagnes, et sous couvert de lutter contre les partisans, la Wehrmacht organise de gigantesques exterminations. Le 10 octobre 1941, Walther von Reichenau, de la Wehrmacht, se réjouit en public d’avoir fait mourir plusieurs milliers de civils. En novembre 1941, le général Hermann Hoth, commandant de la 17e armée allemande, rappelle dans ses instructions à ses soldats que « la compassion et la faiblesse à l’égard de la population sont déplacées », et appelle les soldats à comprendre « la nécessité de mesures sévères contre les éléments étrangers à la nation [allemande] et à l’espèce ». Dans un rapport, le commandant de la Wehrmacht en Biélorussie déclare avoir fusillé 10 431 prisonniers sur 10 949 pris lors de « combats avec les partisans » au cours du seul mois d’octobre 1941. L’opération avait coûté la vie à deux soldats seulement du côté allemand. Ces chiffres ne concernent qu’une des nombreuses offensives « anti-partisans » qui étaient en réalité de purs et simples massacres de civils désarmés. L’extermination semble avoir eu une portée générale. À Charkhov, en Ukraine, dès l’arrivée des troupes allemandes à l’automne 1941, des centaines d’hommes sont pendus aux balcons de la ville où ils restent exposés pendant plusieurs jours (cité par Philippe Burin dans l'« Armée d'Hitler »). Un commandant de la division Das Reich s’étonnait d’une exclamation horrifiée du préfet du cru suite au Massacre d'Oradour-sur-Glane (644 tués). Il expliqua alors que pour la seule ville de Kiev c’est plus de 100 000 civils, tous sexes et âges confondus, qui avaient été abattus en représailles à des actions des partisans. Lors de la Bataille de Moscou les Allemands raseront les villages dans un rayon de 100 km autour de la capitale, massacrant leurs habitants. Heureusement Shönhuber n'a jamais fait partie de cette armée... En 1942 à Munich, Schönhuber "milite" aux jeunesses hitlériennes, adhère au NSDAP, puis s'engage à l'âge de 19 ans dans la Division SS Charlemagne. Décoré de la croix de fer. En 1981, suite à la publication de Ich war dabei (J'en étais), il est accusé de minimiser les crimes du régime nazi.. Il dut démissionner de plusieurs de ses fonctions médiatiques, dont la présidence de l'Union des journalistes bavarois. Il est l'auteur d'une biographie partisane sur Jean-Marie Le Pen en 1997, Le Pen, der Rebell (Le Pen, le rebelle), et assiste à sa conférence le 5 décembre 1997 à Munich, où ce dernier qualifie les chambres à gaz de « détail ». Il est candidat au Bundestag en 1998 sous la liste Deutsche Volksunion et écrit alors pour le journal nationaliste Deutsche Nationalzeitung . C'est vrai écrire une biographie partisane d'un homme politique condamné plus de 30 fois et qui qualifie les chambres à gaz de détail, et qui très récemment à minimisé l'occupation allemande en France c'est honorable. Aucun souci pour une future canddate dé diabolisée à la Présidence de la République que les Waffen SS ont toujours respectée.
  11. Darius3

    Impopularité de Hollande

    "Il est grand temps ?" Vous devrez patienter. Peut-être...longtemps. Voilà au moins une formule politique claire typique du FN.....Bon courage Marine Dé diabolisée...
  12. Sans flatter, super votre message. Merci, ça fait du bien de vous lire.
  13. En 1983, le Saint-Siège devient propriétaire de l'objet. Cependant, comme toujours avec ce qui peut s'apparenter à une relique, et conformément à la doctrine définie en détail lors du concile de Trente, l'Église catholique se montre prudente. Elle n'a jamais pris de décret qui fasse officiellement du suaire une relique, elle a acté les résultats de la datation par le carbone 14 effectuée en 1988 concluant à un objet du XIVe siècle, et n'a pas demandé de contre-expertise. Comme pour d'autres dévotions catholiques, ceci est laissé à la décision de chaque fidèle tant que l'Église ne délivre pas un avis contraire. Selon le théologien et scientifique Jean-Michel Maldamé, dominicain, une « authenticité » du suaire de Turin poserait plus de questions qu'elle n'en résoudrait, sur les plans dogmatique comme épistémologique. En 1998, au cours d'un déplacement à Turin, Jean-Paul II qualifie le suaire de « provocation à l'intelligence » tout en invitant les scientifiques à continuer leurs travaux.
  14. Je vous rassure: offrant une vidéo de propagande sur les Talibans votre ami Sudiste va beaucoup plus loin que le Talion (dont on se demande sur quoi il se fonde): Taliban châtiant publiquement une femme à Kaboul le 26 août 2001.Les femmes furent exclues du marché de l'emploi, elles devaient être entièrement couvertes par le vêtement traditionnel, le tchadri, et ne pouvaient quitter leur maison qu'accompagnées de leur mari ou d'un parent proche. Le tchadri est une sorte de tente plissée et opaque, sur laquelle était découpée une grille brodée à la hauteur des yeux. Les femmes et les hommes jugés pour crimes d'adultère sont lapidés s'ils sont pris en flagrant délit par au moins quatre témoins dignes de confiance (qui sont connus pour dire la vérité et ne jamais mentir). La lapidation concerne l'homme comme la femme, cela implique d'être enterré jusqu'au cou et subir ensuite des jets de pierre jusqu'à ce que mort s'ensuive. La lapidation n'est pas mentionnée dans le Coran mais dans les hadiths, ce pourquoi elle est présente dans leur vision de la charia (litteralement "la voie qui mene à la source de l'eau"). La sentence de lapidation ne peut être prononcée sans la présence de quatre témoins oculaires de confiance témoignant avoir vu les deux personnes adultères en pleine action, ou bien lorsque les coupables témoignent contre eux-mêmes par quatre fois et demandent à ce que la sentence soit appliquée (cela permet de se repentir de ce péché ici-bas et de ne pas souffrir des conséquences de cet acte après la mort). Pour les talibans ces mesures sont établies par l'ordre divin et on ne peut y passer outre dans l'islam. Sans ces conditions réunies, il est interdit en islam de décréter une telle sentence, cela limite énormément les cas de lapidation dans le monde musulman. L'enseignement secondaire était interdit aux filles. Mais le régime fermait les yeux sur les écoles privées et clandestines. La charia devint la base du droit afghan. Notamment, l'amputation et la lapidation furent parmi des peines appliquées sous les talibans. Les islamistes du Nord du Mali ont fait la même chose, et de plus des viols . Je vous rassure, vous êtes plus libre dans un pays laïc dans chez les Talibans ou en Arabie Saoudite où les femmes, par exemple, n'ont pas le droit de conduire un véhicule automobile.
  15. C'est vrai; c'est affreux et énervant le légalisme. Vous me collez une contravention car j'ai pris une rue qui porte un sens interdit au départ...Voilà bien du légalisme ! Je dis que j'ai eu raison moralement car je voulais rentrer vite chez moi car cette rue mène directement à mon adresse. Evidemment que je n'étais pas autorisé par le Code de la route. Bon sang ! :bad:
  16. le Fn s'est écarté des idéaus de JMlP 1ere époque) Jean Marie Le Pen condamné à 300 000 F de consignation pour diffusion du jugement dans des journaux, à verser entre un franc symbolique et 5 000 F de dommages-intérêts à onze associations plaignantes, et à payer leurs frais de justice par le Tribunal de grande instance de Nanterre pour « banalisation de crimes contre l'humanité, consentement à l'horrible », pour avoir dit lors d'une conférence de presse en compagnie de Franz Schönhuber, le 5 décembre 1997 à Munich, que « dans un livre de mille pages sur la Seconde Guerre mondiale, les camps de concentration occupent deux pages et les chambres à gaz dix à quinze lignes, ce qui s'appelle un détail ». 2ème époque) - Qui est Franz Schönhuber ? En 1942 à Munich, Schönhuber "milite" aux jeunesses hitlériennes, adhère au NSDAP, puis s'engage à l'âge de 19 ans dans la Division SS Charlemagne. Décoré de la croix de fer. Il est accusé de minimiser les crimes du régime nazi. Il est l'auteur d'une biographie partisane sur Jean-Marie Le Pen en 1997, Le Pen, der Rebell (Le Pen, le rebelle), et assiste à sa conférence le 5 décembre 1997 à Munich, où ce dernier qualifie les chambres à gaz de « détail ». C'est vrai: Marine Le Pen s'est écartée de Jean Marie le Pen. 5 centimètres... :) Sources Wikipédia inShare0
  17. Les arguments pour la laïcité ne sont pas contre une religion ou toutes les religions; ce sont deux registres différents et j'ai déjà vu des croyants venir à des réunions scolaires laïques.
  18. Darius3

    Islam et démocratie

    Vous avez raison. Mon interlocuteur se persuadera que je suis pleinement et totalement anti-musulman, ce qui faux. Mais contre n'importe quoi, si.
  19. Darius3

    Islam et démocratie

    Ce n'est nullement une insulte c'est votre délire d'oublier que l'Etat séparé des Religions depuis 1905 est neutre, ce qui permet à des mosquées d'exister en France. Les cathédrales et les synagogues existent elles autant en Arabie Saoudite, Iran Qatar ? Donc la neutralité existe, et chaque être humain LIBRE a le droit d'être croyant ou athée. Je suis athée. LIBRE. Dans un état démocratique. Mon pauvre, vous ne connaissez même pas l'intérêt du pays où vous vivez et qui tolère de manière neutre vos croyances qui laissent des traces dans le nord du Mali.
  20. Je ne suis pas énervé mais je sais (pour une fois) très sérieusement de quoi je parle et ce que j'ai vu. Sur le forum on n'évoque pas tout. Mais je crois pouvoir formuler des arguments...pour la laïcité.
  21. Darius3

    Islam et démocratie

    Une tolérance courante qu'on peut apprécier :) oser définir la nature humaine sans réfléchir...... ....pauvre Allah, tu dois pleurer ....surtout pour l'orthographe: trop de "partisants"
  22. Vous vous trompez. Le collège préfèrerait avoir le temps de faire autre chose. Le lieu scolaire est un espace laïc. C'est une des règles de la République. "le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 affirme : « La Nation garantit l’égal accès de l’enfant et de l’adulte à l’instruction, à la formation professionnelle et à la culture. L’organisation de l’enseignement public gratuit et laïque à tous les degrés est un devoir de l’Etat. » "La neutralité, proprement dite, de l’enseignement public à tous les degrés, et reprise par la loi de 1905 dans son article 30 : « L’enseignement religieux ne peut être donné aux enfants de six à quatorze ans inscrits dans les écoles publiques qu’en dehors des heures de classe. », est réaffirmée par la loi du 31 décembre 1959. L’article 1 énonce : « L’Etat assure aux enfants [...] la possibilité de recevoir un enseignement [...] dans un égal respect de toutes les croyances [...]. Il prend toutes dispositions utiles pour assurer aux élèves de l’enseignement public la liberté des cultes et de l’instruction religieuse" Le choc avec l’IslamL‘Islam, qui était simplement une religion quantitativement importante et, accessoirement, une réserve inépuisable de stéréotypes pour l’imaginaire occidental, a fait, depuis une quinzaine d’années, « une entrée bruyante en politique, en diplomatie et en stratégie à l’échelle mondiale ». Cette montée de l’Islam, qui concerne environ un milliard d’individus, pratiquement tous situés dans les nations parmi les plus pauvres, états pétroliers exceptés, est l’un des événements majeurs de la fin du XXème siècle. En France, la querelle scolaire n’avait mis aux prises que les catholiques et les laïques; les protestants et les juifs restant, comme nous l’avons vu, à l’écart du conflit, car ils se satisfaisaient très bien de l’école laïque. Mais, depuis une trentaine d’années, la France est devenue un pays à forte immigration et dont la composition humaine s’est profondément modifiée. La présence sur notre sol de plus de quatre millions d’étrangers, de culture et de religions différentes de celles de la majorité des Français, a soulevé des problèmes de voisinage, d’assimilation et plus encore d’intégration difficiles à résoudre, surtout lorsqu’il s’agissait d’immigrés de confession islamique chez lesquels les blessures de la Guerre d’Algérie étaient encore vivantes. L’affaire des foulards faisait craindre que l’histoire allait recommencer et que l’Etat allait rencontrer avec une autre religion les difficultés qu’il avait connu avec le catholicisme. L’Islam est, en effet, une religion particulièrement exigeante. Ses textes fondateurs sont le Coran, parole de Dieu recueillie par le Prophète; la Sunna, ensemble des faits et des dits du Prophète; enfin, la Charria, qui explicite l’ensemble des préceptes que le croyant doit observer dans la vie quotidienne. L’Islam n’est donc pas seulement une religion, c’est aussi un mode d’organisation de la société civile, ces deux aspects étant inséparables. D’où la question aujourd’hui : « Islam et laïcité sont-ils compatibles ? » Sans doute faut-il rester prudent et ne pas exagérer cette opposition; il existe en effet une infinie variété d’aspects d’Islam. Celui des pays maghrébins ne ressemble pas à celui des pays de l’Indonésie; l’Islam sunnite ne ressemble pas à l’Islam chiite... Il reste tout de même que l’Islam est le premier symbole du réveil du religieux dont les manifestations parfois violentes, donc intégristes, font peur. Citons en exemple l’appel au meurtre lancé contre l’écrivain Salman Rushdie par l’ayatollah Khomeiny, qui a conforté l’image d’un Islam intolérant et agressif. L’opacité autour de l’image de l’Islam, qui est pourtant la deuxième religion de France, est renforcée par l’inexistence d’une instance représentative. Un pas cependant a été franchi le 20 novembre 1993 avec la création du Conseil Consultatif des Musulmans de France, chargé de pallier à cette carence de représentativité. Son président, Dalil BOUBAKER, recteur de la Mosquée de Paris, a ainsi réussi à acquérir une véritable autorité et fait office d’interlocuteur privilégié. Cependant, au moment de l’affaire du foulard, le choc avec l’Islam est dur. Un tel fossé d’incompréhension semble diviser deux rationalités; une rationalité laïque, forte d’un enracinement progressif, et une rationalité islamique confrontant d’autres valeurs et dont la rigidité rend complexe les compromis qui jusque-là permettaient de pallier aux conflits. Le réveil du religieux, essentiellement caractérisé par une offensive du monde musulman dans le monde de l’Education, participe donc de la controverse sur la notion même de laïcité. Mais pour comprendre la réaction future de l’Education nationale, il convient d’analyser, en pratique, les problèmes que cela pose au niveau scolaire.
×