

#Florent#
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Tout ce qui a été posté par #Florent#
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Le problème est réglé.
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Je me réveillais avec une douloureuse migraine. J'avais très mal dormi. J'enfilais rapidement un veston gris et sorti dehors. Au coin de la rue, il y avait un grand attroupement. Apparemment, les nouvelles n'étaient pas bonnes. Beaucoup de gens étaient interloqués, d'autres pensifs, d'autres en colère, mais la plupart avait l'air complètement abattu. J'essayais de me frayer un chemin parmi la foule. Sur l'écriteau, on pouvait y lire :"Suite à l'invasion de la Pologne ce matin même, prises entre les griffes de la féroce et envahissante Allemagne nazie, le gouvernement français, en accord avec le Royaume-Uni, déclare la guerre à l'Allemagne, au nom de la sécurité et de la paix de la nation française toute entière. De ce fait, tous les hommes âgés entre au moins 17 ans et 45 ans sont mobilisés, et ont pour ordre de défendre la nation. Ils devront se rendre à la gare d'Austerliz en ce qui concerne tout le 18ième arrondissement de Paris. Chaque homme sera prié à s'y rendre, sous peine de graves sanctions, à défendre son pays en y donnant toute son courage. Vive la France, vive la paix !"Nous étions tous terrifiés par cette horrible nouvelle. C'est la guerre ! Mais mon Dieu, comment faire pour y échapper ? Et puis... Si je m'engageais finalement dans la résistance, vu que je n'ai plus le choix ? L'air pensif, j'avais bien envie de me rendre à mon rendez-vous plus tôt que prévu. On ne me la ferait pas. Je n'irais pas me battre pour défendre un pays qui n'en a que faire de toutes les disparitions. Et puis, ils savaient bien que c'était perdue d'avance, ils avaient laisser l'Allemagne nazie trop longtemps et elle a grandie et est devenue tellement puissante qu'aucune autre nation ne pourra la battre de cette façon. J'étais bientôt arrivé dans la sombre ruelle où se trouvait le petit pub. J'entrais et patienta à l'accueil. Le barman vient vers moi et m'annonça d'attendre à l'arrière boutique. Patience, dans moins d'une demi-heure, ils allaient enfin débarquer...
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Tant mieux. Oui, c'est mieux que je fasse différent chapitre qu'une histoire de 150 pages d'un coup, si il y a des fautes... Vos remarques m'aident et j'évolue au grès de mes humeurs, c'est tellement plus excitant d'écrire comme ça !
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Oui, et tu aimes bien la tournure que prends mon histoire ?
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Et si toutes ces disparitions s'apparentait plutôt à des adieux ? Tout le monde était au courant mais tout le monde se taisait. Seulement, le silence n'est pas un oubli. On ruminait notre peine, mais il fallait bien que la vérité éclose un jour au grand jour. On parlait encore une fois d'une autre vielle personne enlevée. On disait qu'elle était parti pour mourir ailleurs. Seulement, elle adorait cet endroit, c'est ici qu'il y avait sa famille et ses amis, et c'est aussi ici qu'elle avait toujours vécu, il n'y avait donc aucune raison qu'elle s'en aille. Tout le monde se doutait, mais très peu savait. Dans quelques heures, le moment fatidique d'un nouveau chemin s'ouvrant sur moi allait s'ouvrir. De longs mois de peine et d'efforts pour une juste cause. Tic tac. Tic tac. Combien de temps encore, serais-je là, tranquillement installé dans mon canapé ? Qu'allait il m'arriver ? Devrais je y aller ? Et si je fuyais ? Si je fuie, soit ils me retrouveront, soit ma fuite paraîtrait suspecte aux yeux des allemands. Dans quelques heures, il serait minuit. Je tremblais. Il faisait froid, très froid, mais je n'avais pas envie de faire un feu. Je me réchauffais à la lueur de mes espoirs. Que se passerait il aujourd'hui ? Tout ceci ne serait il qu'un mauvais rêve tout droit sorti d'un polar obscure et de mauvais goût ? Je réussi finalement à m'endormir. Presque paisiblement. Ou alors serait ce la fatigue et l'angoisse qui m'avait fait dormir aussi longtemps à poing fermés ? La lueur du ciel m'inquiétait, les ombres qui se dessinait et semblait danser me terrifiait. Demain serait un jour dur, pas seulement pour moi.
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Ma meilleure amie me disait aussi l'autre jour que mes textes ressemblait à ceux de Camus (de loin hein !).
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Le lendemain matin, elle était déjà partie. Je ne savais pas où, mais elle était partie. Je me remémorais les évènements de la veille. Il ne me restait plus que un jour avant la date fatidique du rendez-vous. Pendant cette journée, je devais faire le vide. J'allumais la radio et commença à écouter la radio. Il était en train de passer un vieux jazzman américain sans grand talent, mais la musique arrivait quand même à me soulager. Après cette musique, ce fut l'heure du journal. On y annonçait les titres. "Au dernière nouvelle, certains habitants lorrains auraient entrevus certains soldats allemands passaient la frontière. D'autres indiquent même que des chars blindés était arrivé en repérage dans la forêt allemande et étaient repartis. Rien d'alarmant indiquent cependant le premier ministre, qui indiquent que les relations avec l'Allemagne étaient "plutôt bonnes" et que rien ne semblait engager une guerre. Cependant, on annonçait par ailleurs que certains hommes de la nouvelle résistante craignait le pire. Dans la deuxième partie de ce journal, nous recevrons nos invités, censé parlé de la nouvelle vague culturelle qui va envahir Paris, et nous parlons d'un sujet beaucoup plus léger, à savoir la danse...". Ça me semblait mauvais tout ça. Très mauvais. Ils y a quelques jours, le vieux homme à qui je distribuais le courrier m'avait annoncé que la Pologne allait être envahie. Mais je tentais toutefois de me rassurer. Il ne s'agissait là que d'invasions secondaires, seulement quelques allemands étaient entrés sur le territoire polonais. Dans quelques jours, j'allais reprendre mon service de postier. Sauf que aujourd'hui, je n'avais pas envie d'y aller. Pas maintenant, je ne me sentais pas d'humeur. Je restais là, impuissant, à siroter ma vodka et à écouter la radio. Je me sentais tellement impuissant. Et si...
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Merci beaucoup Jedino ! J'ai une quatrième et une cinquième petite idée en tête.
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J'avais la nausée. Je me pressais jusqu'à chez moi, dans l'idée d'aller directement me coucher. Seulement, sur le pas de ma porte, quelqu'un m'attendait. Fort heureusement, il s'agissait d'un visage familier, innocent. La jeune voisine que j'avais rencontré il y a quelques jours étais sur le pas de ma porte. Je fus étonné de la trouver ici, mais au fond de moi, content. - Mais, que faites vous ici ? - Oh, excusez moi, mais j'ai perdu les clefs de mon appartement, je n'ai aucun endroit où aller à part chez vous ? Serez-je trop vous demandez de m'hébergez quelques nuits chez vous ? - Mais... Pourquoi ne pas demandez à la concierge ? - Et bien... Je devais vous le dire, ça aussi. Ça fait des jours qu'on ne l'a plus vu, vous ne savez pas où elle est ? - Non, aucune idée. - Elle part souvent en vacances ? - Non, elle ne part jamais en vacances. Elle a des congés bien sûr, c'est sa nièce qui la remplace mais elle reste ici. - J'espère qu'il ne lui ai rien arrivé de grave... - Je ne sais pas. Mais rentrez donc. Elle s'exécuta en silence, je lui fis signe de s'asseoir sur le divan, et je lui proposais un café, qu'elle refusa d'un signe de tête. Tout ceci me paraissait de plus en plus intriguant. - Vous ne savez donc pas où est-ce qu'elle a bien pu aller ? - Je n'en ai pas la moindre idée... - Elle n'a pas laissée de mot ? A un habitant de l'immeuble, pas de messages, rien ? - Non, rien du tout. Des habitants ont râler parce que le hall était sale et sentait l'urine, mais personne ne semble se préoccuper d'elle. De toute façon, tout le monde s'en fichent car elle va bientôt être remplacée. - Oui, je reconnais tout là mes voisins. Elle a peut-être pu aller pas loin, je ne sais pas. - Oui, peut-être... Je savais très bien que mon hypothèse ne tenait pas la route, j'en étais persuadé mais je me forçais de le répéter pour ne pas céder à la panique. - En attendant, vous n'avez qu'à dormir ici. Il y a quelques habits qui pourraient vous aller dans la grande armoire de ma chambre. Je vais me coucher, je suis fatigué. Bonne nuit. - Merci beaucoup, je ne serais comment vous remercier. Mais excusez moi de vous poser cette question... Vous vous sentez bien ? - Pardon ? - Vous allez bien ? - Euh, oui... Non, oui, je suis un peu fatigué. - Ah... Bonne nuit. Elle n'avait pas l'air très convaincue de mon argument sortie à la va vite. J'avais besoin de sommeil, de faire le vide.
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Oui, et j'ai encore eu une troisième idée qui m'est passé par la tête. C'est bizarre, mais j'ai l'impression de m'inquiéter pour mon personnage, comme si c'était quelqu'un que je connaissais. Etrange impression. Et merci pour ton commentaire, et ton écoute vis à vis de la communauté. La suite prochainement donc.
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Cela devait faire bien un quart d'heure que je patientais dans l'arrière salle d'un vieux pub à l'allure miteuse. Je ne savais pas ce que me voulais ces hommes. Je remarquais que un groupe de jeunes était présent. A ce que je voyais, il s'agissait plus d'un club que d'un bar. J'attendais encore une fois. Le vieux homme revient avec deux solides gaillards. L'un portait un vieux manteau en cuir type aviateur, et l'autre portait un béret et une vielle chemise grise et des bretelles. Les deux hommes et le vieux homme s'assit sur la petite table. - Bien, me dit le vieux homme. Euh... Vous désirez quelque chose ? - Non, merci. Ou bien un verre d'eau. - Très bien. Garçon, trois vodka plus un verre d'eau pour ce monsieur. Un vieux barman acquiesça de la tête et alla chercher quatre verres. - Bien, repris le vieux homme. Vous m'avez l'air intéressé par le conflit qui va bientôt opposer la France et l'Allemagne nazie. Et bien, que pensez vous de vous joindre à nous ? rétorqua le vieux homme. - Eh bien, c'est que je ne suis pas vraiment d'accord, ça m'inquiète beaucoup et... D'ailleurs, me joindre à vous, qui êtes vous ? - Putain, tu m'avais dis qu'il était d'accord ? Qu'est ce que tu fous bordel ? répondit immédiatement l'homme au manteau de cuir. - Bien, bien, calmons nous, calmons nous. Il va être d'accord ? - Mais voyons, de quoi voulez vous parlez ? je commençais à perdre mon sang froid. - Et bien, vous voyez, je vais vous expliquez brièvement la situation. Nos agents ont su que la Grande-Bretagne et la France allait déclarer la guerre à l'Allemagne d'ici quelques jours. Mais nous savons aussi que la guerre ne va pas durer. Nos agents doivent à tout prix éviter que les troupes allemandes viennent piller nos régions. Nous sommes beaucoup dont un les trois-quarts sont anglais. Mais nous ne serions pas assez pour contrer les nazis. Voulez vous donc vous joindre à nous ? - Mais voyons, je ne peux pas ! J'ai un travail et... - Putain, qu'est ce que t'es en train de nous jouer là ? engueula l'homme au blouson d'aviateur au vieux homme. Tu nous avais dis qu'il était d'accord pour s'affilier avec nous ? - Excusez moi, monsieur, mais j'ai déjà assez perdu mon temps ici, il se fait déjà assez tard et je dois y aller. Alors même que je pris ma veste et repoussa ma chaise, l'homme aux bretelles me rattrapa par le bras. - Sir, pas bougé. Vous resté ici avec nous. Plus le droit partir. me répondit l'homme avec un fort accent anglais - Mais voyons, je n'ai jamais décidé quoi que ce soit avec vous ! - Et bien, maintenant, c'est trop tard. Demandez donc pourquoi à cet incapable qui a dit que vous étiez déterminés pour ce genre de mission. Et puis, vous n'avez plus le choix, le Chef est déjà prévenu, et vous ne pouvez plus vous résignez. - Je vous préviens, vous ne rectifiez pas cette erreur, je m'en vais me plaindre à la police ! - La police ? Et vous croyez que la police acceptera de prendre en compte la plainte d'un résistant ? La police s'est déjà résigné à laisser entre les allemands. Ils vont vous jeter aux allemands quand ils seront ici, et croyez moi, ce sera plus rapide que prévu. Vous mourrez dans un de ces camps où sont placés tous les communistes, les juifs et les résistants. Très bien, maintenant, partez, et ne dites mot à personne, votre vie en dépend. Je pris ma veste, et m'en alla. J'étais complètement déboussolé par ce qui venais de se passer. Je m'en alla et réfléchis. Je prenais le chemin de chez moi, histoire d'enfin trouver un petit peu de réconfort. Il savait mon nom, mon adresse et j'avais rendez-vous dans deux jours, à 14 heures, dans ce même bar, comme l'indiquait le papier qu'il m'avait tendu quand je suis sorti. Je me sentais mal. Très mal. ▓ Je m'excuse à l'avance pour les possibles fautes d'orthographe, indépendant de ma volonté, qui ont pu se glisser entre ces lignes. Excusez moi aussi pour la malheureuse faute d'orthographe dans le titre. Bonne lecture. ▓
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J'écris pour mon plaisir, j'adore écrire. Mais ça me fait encore plus plaisir quand d'autres gens savent ressentir ce que j'ai voulu décrire et aime mon texte. Voilà, encore une fois merdi Jedino !
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A bien y réfléchir, tu as raison le mieux n'est pas de savoir ce qu'on attends du lecteur, mais bien juste sa réaction. Je me trompe ?
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Merci encore une fois de tes conseils... Effectivement, les gens écrivent des commentaires que si tu vas dire que leur texte est géniale. Si tu fais la moindre critique, ils te lyncheront. :)
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Un long rayon de soleil me réveilla. J'avais donc dormi tout ce temps là ? Je ne me souvenais plus de rien. Le bruit, les lumières et puis, toujours ce grand vide. Qu'avais-je fais hier ? 15 heures sonnait dehors, je n'allais pas tarder à sortir dehors. Pas question de louper ne serait ce que la moindre heure de vacances, de liberté en somme. Je me servis un jus d'orange. Une boîte de médicaments était apposé sur ma table de chevet. Maintenant que je me souviens, j'avais eu terriblement mal à la tête hier. Horriblement même. J'avais peut-être du abuser de certains médicaments, mais c'était passé à présent. J'enfournais rapidement quelques gâteaux, enfila ma veste et sortir. Sur le palier, je croisa la gardienne. Je ne pus m'empêcher de contenter ma joie et lui adressa un large sourire. Elle m'adressa elle aussi un jolie sourire et je pus admirer sa denture parfaitement blanche, son sourire qui respirait à plein nez la bonne humeur. Ses jolies chevaux bruns, ni trop longs ni trop courts, portés en queue de cheval pour lui faciliter la tâche. Je dus la quitter bien vite afin de me promener tranquillement dans la ville. Sur le chemin, je ne pus m'empêcher de penser à elle. Serait-je tombé amoureux d'elle ? Non, je n'y tiens pas. Enfin, ce n'est pas que je n'ai pas envie, mais je ne peux pas. Mais pourquoi cette interdiction ? En quelque sorte, ce n'est pas une interdiction. Mais alors, qu'est ce que c'est ? De la peur ? La crainte d'une potentiel déception ? Je n'en sais rien. Oh, et puis zut ! J'ai 25 ans et je suis encore jeune. Nous verrons bien en temps voulu. Je dois profiter de cette journée le plus possible. Je décidais d'aller dans des quartiers de la ville qui m'était encore inconnus. Je marchais, marchais. Combien de temps ? Je ne sais pas. Deux, tout au plus. Peut-être moins, peut-être plus, qui pourrais bien me le dire ? Je n'avais pas de famille, pas d'amis. Juste des chantiers, juste des matériaux qui n'attendait qu'a être pointé pour vérifier leur bonne conformité. Et puis... Je repensais à tous ces évènements ? Et si c'était vrai ? Si le peuple polonais était entre les mains de l'aigle cruel et macabre qu'était l'empire allemand. Et si ce fameux parti nazi allait conquérir l'Europe ? Et si, au contraire, tout ceci ne reposait que sur des craintes infondées et que nous divaguions, tous autant que nous sommes ? Je fus pris d'un long doute. J'étais le long d'un canal, une mouette volait près des eaux polluées de la Seine. Que cherchait t'elle ? De la nourriture, une amie peut-être ? Tant de questions qui donnait à réfléchir, mais dont l'utilité m'échappait. - Eh bien, vous aussi vous ne savez pas quoi faire ? s'exclama derrière moi un vieux homme d'allure miteuse - Et bien, comme vous, je me repose - Il y a bien longtemps que je ne suis pas reposé.... - Ah... Excusez-moi - Mais voyons gamin, pourquoi devrais je t'excuser ? Qu'est ce que tu connais de ma vie d'abord ? - A vrai dire, je ne vous connais même pas... - Moi aussi je ne vous connais pas. Et pourtant, vous me rappelez moi étant plus jeune. C'était une belle époque. Mais tout ça est fini. - Fini ? Que voulez vous dire par là ? - La France s'en vas en guerre, bataillon bataillon, chantonna le vieux homme, d'un air mi amusé, mi horrifié - Allons, rien n'est encore prévue ! tentai-je de me rassurer, tout en étant bien sûr de la vérifiabilité des dires du vieux homme. - Hélas, j'en ai bien peur. Mais fuyez donc quand vous le pouvez ! Des choses horribles se passent sur le front. Et puis, le combat n'est pas à faire là bas, mais bien ici. On dit en Allemagne que les juifs se sont exterminés en ombre. En Pologne aussi, et puis bientôt en Autriche. Il ne faut pas du tout aller sur le Front, c'est du suicider. L'armée française veut la guerre, mais pense que ce sera une tâche facile et finie en un rien de temps ! Allez là bas, avec les efforts militaires qu'on réalisé l'Allemagne, c'est du suicide ! Mieux vaut combattre dans quelque chose d'utile. Quel âge avez vous ? - Je vous demande pardon ? - Votre âge ? - 25 ans, tout juste, depuis quelques jours. - 25 ans... Le vieux homme regarda la mouette qui avait réussi à pêcher un poisson. 25 ans... Suivez, moi, venez, j'ai certaines personnes à vous montrer. L'homme partit à faible allure, et je le suivis, intrigué. ▓ Mon histoire prend vit, et j'espère que vous continuerez à aimez. J'aimerais aussi un petit peu plus de commentaires, visant à m'améliorez sur la forme mais aussi sur le contenu de mes écrits. Avec toute l'attention que je vous rends. Florent ▓
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Merci beaucoup Jedino ! Oui, le récit est tous de suite plus captivant quand d'autres personnes sont là et qu'ils parlent. Je continue, je voulais juste un avis !
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Et pourtant. Malgré ces cris d'alarmes qui nous venait de l'extérieur, la vie continuait de battre son plein. Quelques enfants ayant fini l'école jouait sur les longues allées des parcs, profitant des derniers rayons de soleil de l'année. Dans quelques mois, tous ceci allait bien changer. Fini la quiétude et cette atmosphère douce et chaleureuse au profit des bombardements, des larmes et des cris. Tous les vieux souvenirs de la première guerre mondiale paraissait lointain, et plus personne n'en parlait. Bien sûr, on n'avait pas oublier, mais on éviter d'en parler. Je fis halte dans quelques librairies, afin de me choisir un livre pour pouvoir me reposer tranquillement chez moi. Je rentrais ensuite chez moi, après avoir choisir un bon roman qui me permettrait de tenir au moins une semaine. Je rencontrais sur mon chemin une jeune voisine de mon immeuble. Elle avait l'air d'avoir du mal à porter toutes ses paquets. Je me permis de l'aider. - Merci beaucoup, c'est très gentil à vous. - Oh, mais c'est naturel. - Merci beaucoup Monsieur... - Je m'appelle André, je suis journaliste. - Ah... Je m'appelle Elizabeth, je travaille dans la comptabilité. Euh.. Vous prendriez bien quelque chose ? - Oh... Oui, volontiers Un lien s'était crée. Quelques paroles et j'aimais déjà cette personne. J'avais l'impression qu'on pouvait devenir envie, pas vraiment une impression, plus une envie. Je ne parlais à aucune femme dans mon métier, à pas grand monde en somme. Et faire des rapports sur la qualité et le bon fonctionnement des chantiers, ce n'était pas très intéressant, on était souvent détesté dans ce métier. J'avais un peu honte d'avoir menti. Mais je n'avais vraiment jamais eu d'amis, du moins arrivé à l'âge adulte. J'avais envie de rencontrer d'autres gens. Je rentrais dans son salon. Elle me dit qu'elle alla chercher du café. J'attendis tranquillement dans le salon. Un vieux canapé défoncé allait de pair avec un vieux tapis d'apparence moisi. Sur le mur, quelques photos d'acteurs et d'actrices de cinéma. Quelques cartons était encore apposé au sol. - Un peu de sucre avec votre café ? - Ah, euh... Non, merci sans sucre. Elle s'assit sur le petit fauteuil en face de moi et commence à boire son café à longues gorgées, les lèvres pincées. Au bout de quelques moments, je me décida à vouloir engager une conversation. - Vous n'êtes ici que depuis quelques temps, non ? - Oh oui, très peu de temps. Je viens juste d'aménager, il n'y a même pas une semaine, on a pu eu l'occasion de se croiser avant. - Ah... Et vous vous sentez bien ici ? - A vrai dire, les gens d'ici ne sont pas très accueillants... - Disons qu'ils n'aiment pas beaucoup le changement, rien de grave. - Vous avez encore parlé avec beaucoup de mondes ? - Non. Je passe mes soirées chez moi, et le reste du temps, je travaille. Le café fut finit, et la conversation aussi. Je pris le prétexte d'être fatigué, et je rentrais chez moi. Je n'avais pas envie de m'éterniser, j'avais peur qu'elle me pose des questions. Je n'aurais pas du mentir. Demain, j'aurais encore une semaine avant de prendre le travail. J'irais donc dans un café, le soir, afin de rencontrer d'autres visages. On verra bien ce que ça donnera... ▓ Je suis dans une période de doutes, pourriez vous me donnez un avis constructif et franc sur mes écrits ? Ça me serait d'une aide bénéfice pour m'aider à progresser. Encore merci et n'hésitez pas à me donner vos avis ! ▓
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C'est justement bien que tu dises ton avis, si tu disais que c'était génial, ça ne m'aiderait pas à progresser. Et je vois bien que tu lis, 41.000 messages, c'est énorme, j'ai encore jamais vu ça ! Et dès que j'écoute Eminem, je pense à toi, association d'idées !
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Tu préfères les douches, c'est plus rapide c'est ça ?
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Je sais Jedino, mais ce n'est qu'une mise en bain. Bientôt.
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J'avais un petit boulot aux postes qui me permettait de ne pas mourir de faim. Je devais livrer les différents journaux à ceux qui étaient abonnés. J'aimais ce travail. On devait livrer tant et tant de journaux par jour, et peu importe la durée. Je flânais donc le long des quais, je discutais avec les gens, de tout et de rien. Quelques fois, certaines vielles dames m'invitait à prendre le café chez elle. A leur âge, après une vie de durs et pénibles travaux, peu leur importait combien coûtait le kilo de café. Elles avaient beaucoup vues et avaient atteint la sagesse. Elles racontaient des histoires, de leurs petits enfants, de la guerre franco-prusse, beaucoup d'anecdotes. Je me plaisais avec les vielles personnes. Elles n'étaient pas stressé par le temps, elles attendaient calmement les visites. Chaque petite chose de la vie quotidienne devenait pour elle une envie pressante. On se couchait le soir en attendant le bon petit déjeuner du matin. On mangeait ses tartines et son café en pensant qu'en viendra nous rendre visites les voisins d'en face. On discutait, on se promenait sur les quais de la capitale. Seulement ce jour là, les discussions étaient moins à la plaisanterie et à la flânerie. Le grand père Dupont, toujours d'habitude joyeuse et où chaque opportunité était à la plaisanterie, paraissait tout de suite beaucoup plus intrigué par le journal d'aujourd'hui. Il ne dit presque aucun mot, me paya et s'assit dans le canapé, l'air perplexe, il dévorait le premier article, du début jusqu'à la fin en retenant son souffle. Je restais là. Je ne savais pas pourquoi. Je sentais que le vieux Dupont avait pressenti quelque chose de grave, d'inhabituel. Il reposa son journal sur la petite table près de son fauteuil usée et gris, et respira profondément en regardant le plafond. Il semblait réfléchir. Enfin, réfléchir, non. Il devait sûrement se retourner mille et une fois ce qu'il venait de lire. Je pris donc le journal et m'en alla. Au journal, en gros, on présentait l'invasion de la Pologne. Mais dans le journal, rien de spécial concernant la France. Les autres personnes ne semblait pas inquiéter pour autant, et continuer à ripailler et à parler à tout va.<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">L'heure du déjeuner approchait. Je me dirigeais près d'un café habituel du 18 ème arrondissement. Je pris un peu de bouilli et un peu de vin, et mangea en silence, en repensant à l'attitude dérangeante du père Dupont. Pourquoi avait t'il réagi de cette manière, alors que la majorité des gens n'avait aucune crainte. On dit souvent que les vieux comprenait deux fois plus vite de par leur expérience. Je comprenais maintenant. Cet homme avait peur de la guerre, et ne le cachait pas. Je sentais moi aussi cette atmosphère de plus en plus pesante. Les vociférations de l'Allemagne nazie n'avaient aucune raison de s'arrêter à nos frontières. Mais dehors, les gens continuer de ripailler et de danser, de boire et de manger à bon appétit, l'idée d'une seconde guerre leur paraissait bien incongrue, lointaine, irréel. Et pourtant.
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J'espère que ça portera ses fruits.
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J'en profite pour corriger une faute, j'ai écris fais avec un s alors que c'était normalement avec un f. Pour ne pas dire de grossièretés, je vais me contenter d'un Zut !