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Chapitre 12


#Florent#

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Je me réveillais avec une douloureuse migraine. J'avais très mal dormi. J'enfilais rapidement un veston gris et sorti dehors. Au coin de la rue, il y avait un grand attroupement. Apparemment, les nouvelles n'étaient pas bonnes. Beaucoup de gens étaient interloqués, d'autres pensifs, d'autres en colère, mais la plupart avait l'air complètement abattu. J'essayais de me frayer un chemin parmi la foule. Sur l'écriteau, on pouvait y lire :"Suite à l'invasion de la Pologne ce matin même, prises entre les griffes de la féroce et envahissante Allemagne nazie, le gouvernement français, en accord avec le Royaume-Uni, déclare la guerre à l'Allemagne, au nom de la sécurité et de la paix de la nation française toute entière. De ce fait, tous les hommes âgés entre au moins 17 ans et 45 ans sont mobilisés, et ont pour ordre de défendre la nation. Ils devront se rendre à la gare d'Austerliz en ce qui concerne tout le 18ième arrondissement de Paris. Chaque homme sera prié à s'y rendre, sous peine de graves sanctions, à défendre son pays en y donnant toute son courage. Vive la France, vive la paix !"Nous étions tous terrifiés par cette horrible nouvelle. C'est la guerre ! Mais mon Dieu, comment faire pour y échapper ? Et puis... Si je m'engageais finalement dans la résistance, vu que je n'ai plus le choix ? L'air pensif, j'avais bien envie de me rendre à mon rendez-vous plus tôt que prévu. On ne me la ferait pas. Je n'irais pas me battre pour défendre un pays qui n'en a que faire de toutes les disparitions. Et puis, ils savaient bien que c'était perdue d'avance, ils avaient laisser l'Allemagne nazie trop longtemps et elle a grandie et est devenue tellement puissante qu'aucune autre nation ne pourra la battre de cette façon. J'étais bientôt arrivé dans la sombre ruelle où se trouvait le petit pub. J'entrais et patienta à l'accueil. Le barman vient vers moi et m'annonça d'attendre à l'arrière boutique. Patience, dans moins d'une demi-heure, ils allaient enfin débarquer...

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