Aller au contenu

pluc89

Membre
  • Compteur de contenus

    12 512
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par pluc89

  1. Bien sûr que oui, il a un frère. Il s'appelle Luci-frère !
  2. Et on remplace le Sénat par des représentants de la population désignés par tirage au sort pour une durée de 3 ans, renouvelable annuellement par tiers qui travailleront en télétravail, en vidéoconférence et autre moyens modernes qui n’existaient pas quand on a créé la République, bel époque où la plume d'oie était l'outil de base de la communication. (Le télégraphe de Chappe a été inventé en 1794). Pour supprimer des fonctionnaires je propose une méthode arithmétique inspirée du 50/50 de Sarko, et d'une phrase célèbre de Georges Clemenceau qui a dit :"Les fonctionnaires, c'est comme les livres d'une bibliothèque; ce sont les plus hautes placés qui servent le moins". C'est la méthode de 20/80. Elle consiste à supprimer 80% des 20% des fonctionnaires les mieux payés, donc les plus hauts placés, ceux qui servent le moins. Les 20% qui restent seront bien assez nombreux pour faire le boulot des 80%.
  3. Des oppositions, je ne vois que ça : -des oppositions systématiques toujours contre ce qui est pour et pour ce qui est contre. Et ça fait des décennies que ça dure, peu importe qui est au pouvoir -des oppositions de minorités criardes, bruyantes, violentes, dictatoriale qui s'imposent contre la volonté de la majorité, car cette majorité est silencieuse, non violente et démocratique. Cette majorité silencieuse qui se manifeste les jours d'élections par l'absentéisme qui témoigne de sa lassitude du comportement des premiers comme des seconds. Pour ma part, je vais voter mais je vote blanc, sauf quand un politicard le demande pour ne pas qu'il récupère mon vote. Dans ce cas je vote pour celui qui me disconvient le moins.
  4. Tout est dit : Raymond Barre n'était pas un élu, il ne vivait pas de son mandat électoral. Il avait contre lui l'opposition qui s'oppose parce qu'elle s'appelle opposition, et les politiques "de son bord" ne voulaient rien faire à cause des élections. Croyez-vous que cela soit nouveau ? Puisqu'il est question de la réforme des retraites, cherchez sur vos sites préférés les informations relatives aux mots suivants : Retraite - réforme avortée - Jean Marie Louvel - 1953. Vous devriez trouver que depuis sa création, en 1945, des gens compétents en la matière avaient prévu que ce système de retraite ne serait pas viable au cours du 21ème siècle. Ils en ont averti les politiciens et les syndicalistes de l’époque qui n'en ont eu cure. En 1953, Jean-Marie Louvel, Ministre en charge de ces problèmes, a voulu procéder à la réforme nécessaire qui conduisait notamment à la fusion des différents régimes, donc à la disparition des régimes spéciaux. Il a failli réussir, mais devant la résistance des syndicats de fonctionnaires et assimilés, et l’approche d'élections, le gouvernement en place a reculé et M. Louvel fut remercié. Aujourd'hui nous avons le problème sur les bras, puissance 10 ! Merci les syndicats égoïstes et corporatistes, et comme les politicards plus soucieux de leur avenir que du nôtre. Il faudra bien un jour remplacer les élections politiciennes et syndicales par autre chose de vraiment représentatif de la population française.
  5. Les grandes lignes : le Conseil d'Orientation fera les choix sur les différents sujets, par exemple classer les domaines prioritaires de la politique de la France : la politique étrangère, l’Éducation Nationale, la santé, l'immigration, l'économie, la sécurité, ... Puis dans chacun de ces domaines les problèmes à aborder par ordre de priorité, etc. Comme l'a fait remarquer un autre contributeur, nos députés travaillent-ils à temps plein ? Non, à moins de considérer que lorsqu'ils sont dans leur fief à caresser le poil des électeurs dans le sens du poil, c'est du travail. Or cette course permanente aux voix les choisis par le sort n'auront plus à la faire. Enfin, il faut peut-être utiliser les moyens modernes de communication et de travail. Nous ne sommes plus en 1789, on ne circule plus en voiture à cheval et la plume d'oie a été remplacée depuis longtemps par d'autres instruments sans lesquels ce forum n'existerait pas.
  6. On approche ! C'est à cela que le tirage au sort parviendra femmes et hommes de la société civile, représentant touts les strates de la population, y compris des chômeurs, de jeunes, des vieux, en tranches d'âges représentatives de celles de la France, etc.
  7. "Nicolas de Condorcet dans Sur la forme des élections (1789), ...il convient d'utiliser - et circonscrire - les systèmes de suffrage uniquement à l’élection des objectifs d’intérêt général de moyen et long terme, et pour le choix des orientations générales et "feuilles de routes" nécessaires à l'accomplissement de ces objectifs. Cela permettrait d'obtenir la légitimité démocratique des principes politiques choisis, tout en excluant la poursuite et l'obtention du pouvoir politique, raison principale de la corruption et du clientélisme inhérents aux systèmes de suffrage." Pour Condorcet "Les dirigeants et législateurs, choisis par tirage au sort, seraient alors responsables de l'accomplissement de ces objectifs et du respect des principes et directives générales établis par suffrage." C'est là que ma proposition diverge. Je crois que les dirigeants devraient choisis pour leur compétences reconnues et non par tirage au sort. Ils agiraient sous le contrôle d'un Conseil de Surveillance qui veillerait à ce que les dispositions mises en place restent dans les options des "feuilles de route" fixées par les tirés au sort.
  8. Stop, cessez de vous quereller ! Si l'univers s'est fait tout seul, alors l'univers est le Créateur. Comme nous sommes une infime partie de l'univers, nous sommes donc une parcelle infime du Créateur ... Je me pose quelquefois la question quand je suis devant mon miroir !
  9. Les tirés au sort sont en poste pour 3 ans. Ce ne sont pas des politiciens professionnels. Ils font ça à "temps partiel". Ils font le choix des grandes lignes de la politique. Ils sont consultés en cas de nouvelles orientations à prendre. Ils confient au Directoire la mise en œuvre de leurs choix, sous le contrôle du Conseil de Surveillance.
  10. Les motiver à quoi faire ? Aller voter ? Mais il n'y a plus besoin d'élections coûteuses dans ce nouveau moyen de désignation des représentants de la population, plus de gauche, plus de droite, plus de groupes politiques à entretenir au sein des assemblées, plus de polémistes, de débats stériles à la télé, et même ... plus de forum politique comme celui-ci ! Il y a des citoyens salariés du privé et du public, chefs d'entreprises, des chômeurs, des retraités, des femmes et des hommes compétents dans tous les domaines de la société et non pas seulement dans le fonctionnement des rouages de la politique, car il n'y a plus de politicien. Quant au fonctionnement des rouages de l'administration, il y a des fonctionnaires pour ça. Les premiers feront les choix politiques et confieront à des femmes et des hommes choisis pour leurs compétences dans les domaines qui leurs sont confiés, le soin de mettre en œuvre les choix effectués, sous l’œil du Conseil de Surveillance.
  11. Recentrons le débat. Commençons par le commencement. Nous pourrions tester cette nouvelle démocratie à la base, dans des communes. Le Conseil d'Orientation Municipal (COM) est tiré au sort. Le nombre de représentants est variable, en fonction du nombre d'habitants. Ils sont désignés pour 3 ans, remplacés par tiers chaque année. Le COM dispose d'un guide des procédure, à définir, qu'il suit. Il fixe les grandes orientations de la commune en fonction de ses particularités. Les choix d'une commune du Var ne seront pas les mêmes que ceux d'un commune de Moselle. Le COM lancera un appel d'offre auprès de professionnels de la gestion communal, une nouvelle profession libérale organisée en Ordre comme les médecins, les Notaires,etc., que l'on pourrait appeler les Directeurs Communaux ou Municipaux. Le COM choisit parmi les réponses celui qui correspond le mieux à leurs demandes, à leurs souhaits, leurs orientations. Les Directeurs sont liés à la Commune par un contrat dont la durée est à définir, 1 à 3 ans selon moi, et sont révocables à tout moment. Régulièrement, tous les mois par exemple ou à chaque décision qui franchissent certaines conditions, dépassent certains seuils. Dans les communes importantes, il est mis en place, issu des membres du COM, un Conseil de Surveillance Municipal qui contrôle le Directeur Municipal, surveille la bonne exécution des choix du COM. Voilà pour la Commune, au niveau de l'Etat, on peut imaginer une organisation semblable. Mais il faut désigner un Directoire dont les membres sont choisis en fonction de leurs compétences reconnues sur les sujets qu'ils auront à traiter,leur expérience dans le domaine qui leur est confié, et non pas par leur connaissance rédactionnelle en matière législative.
  12. C'est dans cet esprit que le Directoire serait constitué Et voilà, nous sommes d'accord !
  13. C'est tout à fait ça. Le fait est qu'ils y vont de moins en moins. C'est peut-être parce que les politiciens ont fait ce qu'il fallait pour les en dégoûter. Comme je ne crois pas que ces derniers puissent par miracle devenir vertueux,la solution est de trouver un moyen de se passer d'eux.
  14. C’est bien là qu'est le problème. Nos élus ne sont plus légitimes car ils n'ont plus l'approbation de la majorité des citoyens. Un exemple récent le montre : les élections en Corse. Les nationalistes et les indépendantistes et autres autonomistes bombent le torse et disent "on a gagné !". Or, compte-tenu de l'abstention moins d'un corse sur 4 a voté pour eux. La plupart de nos "élus" sont dans ce cas. Et si l'on prend les dernières élections partielles, c'est encore pire. C'est pour cela qu'à mes yeux le système électoral est usé, de moins en moins représentatif. Il faut donc inventer autre chose.
  15. Pour ce qui est de ma psychanalyse, ... merci j'ai ce qu'il faut dans mon entourage. Pour ce qui est de mon sujet, si je le propose, c'est que je souhaite l'exposer à l'analyse des autres et donc de la critique, au sens premier du mot. Ce que je cherche c'est une critique constructive qui oblige à réfléchir et à améliorer, amender ou abandonner cette idée. Mais pour aller dans ce sens faudrait-il que vous ayez lu ce que j'ai écrit.
  16. Ce n'est absolument pas ce que je dis ! Il n'est pas question de tirer au sort le Président de la République ! Il faut lire avant de réagir. De deux choses l'une, ou je ne sais pas m'exprimer et me faire comprendre, et je suis un crétin, ou je suis ... un génie incompris. Ce dont je suis sûr c'est que je ne suis pas un génie, depuis le temps que je suis sur cette terre, je m'en seras aperçu. Que me reste-t-il ?
  17. Certains ont du lire ma proposition en diagonale, ou peut-être sont-ils des élus, et là évidemment ma proposition ne peut que leur déplaire puisque se sera la fin des partis politiques, la fin des politiciens professionnels dont le vrai soucis est d'être élus puis réélus. Les représentants tirés au sort choisissent les grandes orientations de la politique, ils n'élaborent pas les lois. C'est le Directoire qui fait ce travail puis les propose au Conseil qui les adopte ou pas. Les "tirés au sort" ne quittent pas leur travail, ils ne passent pas leur temps à l'assemblée, ils ne courent pas après les voix. Ils disposent d'un assistant payé par l’État, et travaille essentiellement par Intranet sécurisé (et non par Internet) en dehors de leur temps de travail ou en partie sur celui-ci. Il faudra aménager le temps de travail des salariés. Pour les travailleurs indépendants, les chefs d'entreprise, qui pour beaucoup ne comptent pas leurs heures, ils sauront bien s'adapter. Rien ne se fera comme cela se fait aujourd'hui avec des méthodes vieilles de 2 siècles. Le Directoire est composé de gens choisi pour leur compétence, non a rédiger des textes, mais à comprendre, maîtriser les sujets sur lesquels ils interviennent, et que leur passé atteste. Par exemple un diplomate ayant au cours de sa carrière démontré son savoir-faire pourrait être choisi pour être Directeur (Ministre) des affaires étrangères; un avocat spécialiste du droit du travail, un ex-président de Conseil des Prud'homme (une ex-DRH !), un syndicaliste (et pourquoi pas ?) Qui les proposera ? Leurs candidatures pourraient être proposées par un groupe de pensées (ex-parti politique, mais n'étant plus financé par des fonds publics, "think tank", etc.) ou solliciter par le Conseil de Surveillance ou encore spontanée. Ne chercher à calquer une telle organisation sur ce qui existe aujourd'hui, tout serait à réinventer. Il va falloir avoir beaucoup d’imagination, d'intelligence créative, pour créer la démocratie de demain. Petit plus à ma précédente contribution. Quand 90 % des électeurs potentiels seront des abstentionnistes, il faudra bien inventer autre chose ?
  18. Donner le pouvoir à la population, Il y a pour cela une idée qui germe et croît pour arriver à cela : le tirage au sort des représentants de la population. La loi des grand nombre devrait avoir pour effet de créer un Conseil National d’Orientation Politique, au lieu et place de notre Assemblée Nationale et de notre Sénat, avec plus de femmes que d'hommes, des chômeurs, plus de représentants issus du privé que du public, donc des compétences multiples de salariés et de chefs d’entreprises de toutes tailles, de tous les secteurs, bref de vrais représentants de la population française qui ne savent peut-être pas rédiger un arrêté municipal, préfectoral ou ministériel, mais qui savent comment fonctionne les forces vives du pays. Issu de ce Conseil National d’Orientation, un Conseil de Surveillance serait désigné pour choisir, puis surveiller les membres d’un Directoire, composés de membres choisis pour leur compétence dans les domaines qui leur sont confiés (la diplomatie, la santé, l'économie, la justice, ... , et chargés de mettre en place les choix du Conseil National d’Orientation. Les « Directeurs » seraient révocables sans délai en cas de non respect des orientations du CNOP. Une organisation similaire serait mise en place au niveau local en remplaçant les élus locaux, départementaux et régionaux (si toutefois ces strates sont maintenus) par un Conseil d’Orientation Locale qui confierait à des professionnels la conduite de leur choix pour la gestion locale. Ces nouveaux professionnels organisés en Ordre, comme les notaires, les architectes, les médecins, les experts-comptables…, seraient liés par un contrat de courte durée (1 ou 2 ans), révocables en cas de non respect des orientations du Conseil. Le fonctionnement, la durée des mandats des représentants, les moyens, etc., tout serait à repenser, car le mode de fonctionnement d’une telle organisation ne peut pas s’imaginer en remplaçant simplement nos (de plus en plus mal) élus par des représentants tirés au sort.
  19. Et si Macron était un président courageux et fin stratège ou tout simplement sincère ? Chaque fois qu'un gouvernement, de droite comme de gauche, prononce le mot "réforme" les syndicats sortent les armes et renchérissent les uns sur les autres (pour gagner des voix aux prochaines élections syndicales). Ce n'est pas nouveau. Le premier recule d'un gouvernement face aux syndicats que j'ai trouvé date de 1953. Un ministre averti (comme tous les politicards et syndicalistes du moment) par les actuaires et autres spécialistes des retraites que lesdites retraites ne seraient plus finançables au cours du 21ème siècle (nous y sommes !) a failli faire passer une réforme après laquelle on court toujours : la fusion des régimes de retraites divers et variés (donc les régimes spéciaux). Cela ne s'est pas fait. Les syndicats et les politiciens, plus soucieux, les uns et les autres, des élections à court terme, ont, pour les premiers, organisé des grèves, les autres, renoncé à cette réforme et encouragé le ministre à démissionner. Nous en payons aujourd'hui le prix. De combien d'autres réformes avortées payons-nous aujourd'hui le prix ? Macron n’aurait-il pas le courage qui a manqué à ces prédécesseurs ? Macron ne serait-il pas un fin stratège, en faisant passer dès le début de son mandat les réformes nécessaires, indispensables mais qui fâchent, afin d'en recueillir les fruits dans 5 ans, pour la prochaines présidentielles ? Macron ne serait-il pas sincère, lui qui a gagné beaucoup plus d'argent avant d'être "en politique", qui sera donc capable d'en gagner beaucoup, s'il en sort, contrairement à ses concurrents qui ne savent rien faire d'autre et qu'il faut recaser dans des "agences-maison de retraite", promouvoir à des postes "d’ambassadeurs sans ambassades", de préfet "sans préfecture", et bien d'autres "recasages" parasitaires que j'ignore ?
  20. C'est ben vrrai ça ! Y a qu'à prendre exemple sur les grands pays de ce monde, la Fédération de Russie, la Chine, pour n'en citer que deux, car la liste des démocraties modèles est bien longues, sans oublier la Corée du Nord. Ces beaux pays augmentent chaque année le montant de leur budget d'armement. La fédération des États-Unis d'Amérique n'est pas en reste. Et pendant ce temps là vous vous inquiétez de l'état de la démocratie française. En Chine, les flics sont désormais équipés de lunettes porteuses d'une caméra dotée d'un système de reconnaissance faciale (vu au JT de ce jour). En un pouillème de fraction de secondes, tous les citoyens, pardon les sujets, sont identifiés, repérés, évalués. Oui, évalués, car il est question de noter les personnes en fonction de leur comportement. Non le danger ce n'est pas Mélenchon ou Le Pen, ce n'est pas Wauquiez, ce n'est pas Macron, ce n'est même pas l'immigration. Le danger c'est l'impérialisme, chinois, russe, américain !
  21. pluc89

    Wauquiez en pôle...

    Si le vote blanc était reconnu, Emmanuel Macron aurait obtenu 60,30 % des votes (au lieu de 66,1 %). Marine Le Pen aurait recueilli 30,93 % et le vote blanc aurait représenté 8,77 % des suffrages. En prenant en compte également le vote nul, les scores de M. Macron et de Mme Le Pen auraient respectivement représenté 58,5 % et 30,01 % des voix, tandis que les votes blancs et nuls auraient compté pour 8,5 % et 3 % des suffrages. En tenant compte l’abstention (12,1 millions d’électeurs), Emmanuel Macron n’aurait pas eu la majorité absolue (50 %), puisqu’il a réuni les suffrages de 43,63 % du corps électoral français (c’est-à-dire des personnes inscrites sur les listes électorales), tandis que Marine Le Pen en a récolté 22,38 %. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/05/08/et-si-les-resultats-de-la-presidentielle-avaient-pris-en-compte-le-vote-blanc-ou-l-abstention_5124412_4355770.html#ghgJo582o0o5hfZL.99
  22. Et encore, il ne faut boire n'importe quoi ... chouchenn, eau de miel (hydromel), le cidre à la rigueur mais breton pa normand.
  23. pluc89

    Wauquiez en pôle...

    N'oubliez pas Mitterrand, Chirac et Sarkozy, grâce à qui nous sommes surendettées (France-inflation évolution de la dette)
  24. Et élévation du niveau de vie, car c'est aussi un constat, sauf exception, plus le niveau de vie est élevé et moindre est la natalité. Or si le niveau de vie s'élève pourquoi quitter son pays ? Tout se rejoint. Il n'y pas qu'une solution, il y a des solutions qui s'ajoutent. Aujourd’hui tout s'ajoute pour encourager l' immigration. Il faut "inverser la tendance" comme disait notre ex-président. Hélas, ce n'est pas pour demain.
  25. La solution n'est pas d'accueillir les immigrés. La solution n'est pas de les repousser. La solution consiste à faire en sorte qu'ils n'aient pas envie de fuir leur pays au péril de leur vie. Je suis le petit fils d'un immigré. Mon grand-père n'a pas quitté son pays par plaisir. Il avait simplement le tort de ne pas être d'accord avec le pouvoir en place. Une bonne âme l'a prévenu :" On va venir t'arrêter demain matin". On ne jugeait pas les opposants que l'on arrêtait, on ne les condamnait pas, mais on ne les revoyait jamais.
×