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deja-utilise

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Tout ce qui a été posté par deja-utilise

  1. Après recherche, il vient une infime nuance entre ces deux termes: la meute serait le noyau familiale " vertical" ( père-mère progénitures ) et le clan serait une famille au sens large, disons " horizontal" ( frères-soeurs des parents en plus ). Dans un clan il pourrait il y avoir plusieurs meutes. A n'en pas douter! Oui cela me semble important aussi, voire fondamental Oui également, l'amitié est une forme d'amour platonique, ou encore l'amour que l'on porte à ses enfants. Je t'adore... :D
  2. les loups c'est bien des meutes, et les primates des clans ( comme les chimpanzés, c'est même étonnant que l'on partage 99% de notre génome avec lui et que nous avons des comportements fortement similaires, comme quoi la génétique! )
  3. Ben non, c'est ce qui te permet de reconnaitre les tiens ( tes proches ), de ne pas manger un fruit rouge comestible d'un fruit rouge toxique, de vivre en respectant des règles de vie ( s'embrasser sur les joues ici, sur la bouche là-bas ): tout est catégorie, on ne peut pas y échapper, ce qui reste donc crucial, c'est ce que l'on en fait, comme avec mon premier exemple du couteau, qui est fort utile, voire nécessaire, mais qui peut servir à faire le mal ou du mal, alors que le couteau lui-même est est amoral. Do you see what i mean?
  4. Pour être plus précis, je dirai en clan!
  5. Mais je ne dis pas autre chose NJ :) :
  6. Je m'aperçois que nous disons finalement la même chose, mais simplement avec un vocabulaire différent, il y a dans tout cela une notion de valeur, et celle-ci doit être partagée et respectée ( il faut y croire sincèrement ), respectivement la fidélité et le mensonge dans nos histoires de couples, si ces valeurs font sens pour ses membres. Effectivement ce dont tu parles j'en avais entendu parlé, mais je ne sais plus du tout où, la "parole" était à une époque très importante, moi j'y vois quand même une forme de contrat, mais peut-être pas comme toi tu l'entends. Bien que je sois d'accord, je ne pense pas que l'on puisse généraliser à l'ensemble des couples, puisque leurs problèmes sont multifactoriels. Car il existe aussi des mariages arrangés qui durent plus longtemps que ceux que tu décries ( décrier ), alors même qu'il n'y a pas plus de sentiments ou de connaissance de l'autre. :p
  7. Oui, l'histoire nous le rappelle, et l'actualité encore. Pas certain, une sorte de ghetto immatériel?
  8. :smile2: Comment s'y prendre, pour faire abstraction de tout schéma ou modèle vus, conditionnés ou idéalisés/romanesques? Poussé à l'extrême, n'aurions nous pas la même difficulté, à se dire, moi j'ai décidé de ne plus parler français, mais d'inventer mon langage, avec qui voudra bien le partager. N'est ce pourtant pas la base à partir de laquelle les gens sautent le pas? Le temps est un facteur déterminant dans le passage du mariage au divorce, puisque à minima les individus qui composent le couple vont évoluer/changer, comment savoir d'avance que les "nouveaux" personnages vont encore se plaire? L'habitude souvent invoquée me semble un faux problème, si je peux comparer aussi grossièrement avec cet exemple: je bois, chaque matin, un bol de lait chocolaté avec du pain nature depuis plusieurs décennies, et je ne m'en lasse pas, quand on aime quelque chose, il n'y a à priori aucune raison que cela change, alors que c'est précisément l'inverse qui se produit je crois, c'est que les gens changent qui le veuillent ou pas, certes pas du tout au tout, mais suffisamment pour en arriver à déplaire à l'autre. Il y a bien sûr la passion du début, qui laisse la place à une autre forme d'amour/de sentiments, qui selon certains, trahirait l'évanouissement de l'Amour initial, mais c'est une autre question. D'où ma question de départ, sommes nous fait pour vivre en couple? Ce qui est souligné renvoie aussi à ma première réponse sous forme d'interrogations.
  9. Le dilemme serait plutôt quand on est en couple, ne ferait-on pas mieux d'être seul, et lorsque l'on est seul, ne ferait-on pas mieux de trouver son âme soeur, et ceci, ça fait le bonheur des astrologues et voyants! Je rappelle que beaucoup de gens souffrent de la solitude ou divorce "à tour de bras": solitude , évolution divorce , Insee
  10. C'est bien pour cela que si le "contrat" du couple n'est pas la fidélité, je n'y vois aucun problème, c'est justement quand les choses sont tacitement entendues "on se doit" la fidélité, ou du moins un des protagoniste le pense, que le drame et les souffrances arrivent facilement, quoique mêmes chez les couples libertins il y ait aussi des ratés, toujours parce qu'il y en a un qui "s'écrase"/suit, sans être pleinement convaincu, le réveille peut aussi être très douloureux. La question, pour répondre à Titsta, n'est pas tant l'importance des conséquences visibles qu'une partie de jambes en l'air peut objectivement/froidement avoir, mais ce que le couple avait mis dans son "contrat" d'union ( quand je dis contrat ce n'est pas forcément un document écrit officiel, mais il peut être oral et non formel entre les deux individus ), et on en revient au mensonge.
  11. Je suis franc, à mes yeux c'est une qualité, pour d'autres, un défaut, quand elle est systématique. Mais, j'avais de bonnes raisons ( philosophiques ) de donner l'exemple du mensonge, et que son analyse ne peut pas se réduire à être catégorique (Topic: mentir ): http://www.forumfr.com/sujet522509-la-monogamie.html sujet qui ne semble pas déchainer les foules, comme quoi, c'est intégrer.
  12. C'est spécifique aux humains? Car pour les animaux, on fait juste la distinction entre une monogamie pour la vie/stricte et une monogamie ( "normale" ), le temps de la procréation, où les partenaires se succèdent avec les saisons. Je dois être vieux jeu, mais pour moi, c'est fondamental la distinction, comme celle de mentir, ce qui compte ce n'est que quelqu'un est menti, et quelqu'en soit la raison, pour le taxer de menteur, dans notre cas cette distinction temporelle est primordiale à mes yeux, car elle implique beaucoup de choses, sauf en ce qui concerne les couples libertaires/libertins puisqu'ils y a accord mutuel, donc aucune fourberie. ( à rapprocher d'une sorte de contrat tacite ).
  13. Je ne crois pas que tout le monde pense comme cela, que la succession de monogamies corresponde à de la polygamie, bien que je puisse aussi pencher dans ce sens. A moins que tu insinuais une sorte de "tolérance" de l'infidélité hors union déjà engagée, beaucoup plus subtile et discrète, qu'une revendication polygame. Ça c'est toute l'inconsistance/incohérence ( actes vs apparences ) des êtres humains et qui me rend malade et misanthrope.
  14. On peut effectivement concevoir tout ceci comme une nouvelle façon de consommer notre vie sociale. Mais est ce que cela changera le mal-être des gens qui se sont réunis puis ce sont séparés et ceux qui voudraient ne plus vivre seul et ne trouve pas chaussure à leurs pieds, ne sommes nous pas dans une situation qui mène à l'échec quoi qu'il arrive à cause de cette vision idéologique du couple, à l'instar de ce qui se passait il y a quelques dizaines d'années au moins, avec les homosexuels avant qu'ils ne soient mieux intégrés, reconnus et acceptés ( leurs vies étaient en conflit avec les standards de l'époque ). Et c'est bien de ce décalage dont il est question finalement, si il existe, et qui explique que dans les deux camps il y a beaucoup de gens insatisfaits ( pendant que d'autres le sont, bien qu'ils ne représentent qu'une minorité, comme bien souvent dans les affaires humaines, la minorité fait office de généralisation ).
  15. Ce n'est pas impossible du tout, je connais très bien au moins un exemple proche de ce type. Est ce généralisable à tout le monde, dans une certaine mesure nous sommes tous concernés par l'ennui, mais de là à en faire tourner la tête, au point de préférer l'action, même désuète, c'est moins répandu, ( agir sans but ou motivation ). Mais la remarque est quand même pertinente, dans la mesure où nous ne connaissons pas quelle est la finalité de nos existences, et ne rien faire peut amener/prendre le temps à se poser des questions, auxquelles nous n'avons pas de réponse, ce qui engendre de l'angoisse, et donc un mal être, alors qu'à deux, on se sent souvent plus fort/solide, moins angoissé. ( sauf couple délétère ) Oui, je ne suis pas totalement innocent, et je me doute que certains utilisent ces sites pour des rencontres libertines/illégitimes ( en plus des escrocs ), néanmoins beaucoup sont là pour simplement trouver un compagnon de vie, c'est donc que la solitude est difficile à vivre aussi, mais pour quelles raisons, parce que cela est en conflit avec ce que l'on attend stéréotypiquement ou bien un vrai mal-être ontologique, dit autrement par conditionnement ou est-ce viscéral?
  16. On ne peut quasiment jamais faire abstraction de son vécu/histoire, et il est normal que tes expériences passées influencent ta vie aujourd'hui, même si certaines peuvent avoir été douloureuses, je pense qu'à un moment il faut aussi savoir s'accepter comme nous sommes, et pas ce l'on aurait voulu être. L'âme soeur n'est sans doute qu'un mythe, car je le disais, au vu du nombre de divorce croissant, il faut croire que même si c'est une réalité, elle doit touchée que peu d'individus. Et effectivement, le coté chance, voire surprise, peut grandement intervenir dans l'équation, ce qui en contre partie, peut conduire à ne jamais augmenter ses chances de réussite, si nous sommes affairés à d'autres tâches que des rencontres nouvelles Cela dépend des aspirations de chacun et des bons ou mauvais souvenirs, il n'y a pas de règles écrites d'avance.
  17. Voili, voilà: Cette approche de non réciprocité, tu devrais la garder sous le coude, car j'ai bien vu sur d'autres Topic, qu'elle te faisait défaut! A bon entendeur, :D
  18. A moins que nous soyons d'éternels insatisfaits, car nombreux sont ceux qui recherchent un compagnon ( il suffit de regarder la ribambelle de sites de rencontres, demande=offre ), et d'un autre la souffrance de la solitude pour une autre portion importante, selon plusieurs études et sondages. L'État donne des avantages à ceux qui choisissent la vie de couple " officielle ", il est inévitable que cela engendre un effet supplémentaire.
  19. Ne pouvons nous pas nous épanouir seul? ( seul = célibat ), on ne renonce pas aux relations sociales comme Titsta l'a fort justement rappelé, ni d'avoir d'éventuelles relations génitales. Etant donné le nombre croissant de divorces, ne vaudrait-il mieux pas changer de paradigme, et intégrer l'idée d'une vie non plus commune, mais partagée plus ou moins ponctuellement/assidument, sans pour autant écarté l'idée morale de fidélité, nos sociétés individualiste nous poussent à l'épanouissement personnel, le couple semble une entrave à ce processus individuel. N'y a t-il pas un compromis possible entre une vie intimiste ( pas uniquement sexuelle ) intermittente plus ou moins régulière avec le même partenaire, et notre développement propre, concilier le meilleur des deux mondes, puisque les deux modes de vie ayant des avantages et des inconvénients. A moins que, comme je l'ai lu, la relation souffre d'aucun compromis, qu'elle se fasse "naturellement", bien que l'on connait des cas, où l'un "s'écrase" pour l'autre, jusqu'au jour éventuel d'un trop plein de concessions/sacrifices. Il ne faudrait pas que notre vision du couple soit une idéologie cinématographique ou romanesque, et donc inatteignable pour tout un chacun, même si cela fait rêver et touche à l'inconscient collectif. D'où l'idée d'une réflexion sur la chose.
  20. Je n'entendais pas nécessairement à vie avec le(s) même(s) partenaire(s) , comme chez certains animaux monogames, somme toute assez rare: http://www.stimuli-insolite.com/top-10-animaux-fideles-en-amour/ Pas sûr qu'il y ait une volonté, ou des intentions là-dedans, même si cela ne change pas le résultat.
  21. Est-ce un besoin naturel, inné, ou est-ce une vision culturelle, idéalisée/idéalisante, que de vivre avec un ou plusieurs compagnons pendant notre existence? Sommes nous programmés avant notre naissance à cela, ou par apprentissage et mimétisme? Les bénéfices sont-ils réellement supérieurs aux inconvénients, pour qui, pour quoi et pourquoi? Une vision autre que philosophique n'est pas exclue, sentiments personnels, opinions, expériences, comparaisons, etc... Merci,
  22. Je ne suis pas non plus un spécialiste en statut des sociétés, mais les entreprises en nom propre ne sont pas découpés en part, ni action, ni sociale, et la société appartient entièrement à son propriétaire, sa responsabilité peut être limité en EURL, pour qu'il y ait des parts, il faut qu'il y ait plusieurs membres, l'artisan ( ou l'agriculteur seul ) n'est pas dans ce cas de figure, donc je dirai qu'un entreprise n'est pas nécessairement découpée en parts, quelque soit leur nature. Encore une fois, il n'y a pas toujours d'actionnaires dans une entreprise, ( je n'en mettrai toutefois pas ma main à couper ). A suivre,
  23. Très bien! Finalement on se comprend.
  24. Euh non, puisque c'est de sa réciproque dont je parle. Des êtres différents implique concrètement des traitements différents!
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