charles francois

Pourquoi dire d'eux "des Djihadistes", ils ne sont pas plus musulmans que moi je suis une poêle a frire

c'est à l'Etat maliens d'assurer ses devoirs et obligations régaliens, tant au niveau de la sécurité de ses citoyens, qu'au niveau de la justice sur les territoires reconquis ou libérés. On ne peut pas imputer aux forces français des fautes ou des défaillances à ce niveau.

Soyons francs et directs; c'est surtout les moyens financiers qui permet à certains d'enfanter grâce à des méthodes médicales. Mais le dire est d'un commun que j'en ai presque honte de le souligner.

Quoiqu'en pensent les "opposants" qui réclament débat et référendum pour se faire plaisir et se donner de l'importance ou l'impression d'exister et de peser sur la société, les français commencent à se lasser d'un débat stérile - totalement stérile - car la majorité espère que cette loi se fera et ce dans les meilleurs délais. Les opposant ne font que se discréditer chaque fois un peu plus sauf vis à vis des "radicaux" traditionalistes, religieux et autres extrémistes, Civitas par exemple.

Qu’appelez vous «sauf ceux qui oeuvre pour son retour (comme le font les islamistes à l'heure actuelle).» Ceux qui coupent les mains sans autres procès que leurs propres jugements, ceux qui fouettent les femmes car le "voile" est mal porté ? Éclairez moi, car je vous ai déjà posez cette même question sur un autre fil, or je n'ai pas lu encore votre réponse, hélas. merci d'être clair sur le sujet.

Déni flagrant de la république, à la limite de la diffamation Pourquoi réclamer maintenant ce que la droite par deux fois à méprisé malgré un référendum réalisé et qui osa ne pas en tenir compte. Madame Taubira je vous aimes pour les mots clairs que vous avez employé

Indu, des exaltés et désaxés "prêt à tout" tout en même temps font trop souvent des actes contraires au bon sens, en étant bien persuadé qu'ils font la volonté d'une puissance supérieure, alors que l'acte même est contraire aux règles enseignées par le très haut.Et j'ai bien l'intime conviction au vue des exactions infligées aux populations que nous sommes face à ce type d'individu qui se réclament de l'Islam et font plus de tort à l'Islam qu'on ne pourrait le croire. En tout chose il faut garder la tête froide pour analyser les faits qui au premier abord pourraient servir votre cause et qui à l'analyse la dé-serve.

Indu ! Quel crédit donnez vous aux témoignages d' homme avec une main coupée sans autre procès que celui du ou des bourreaux ? Quel crédit donnez vous aux témoignages de femmes flagellées sans autre procès que celui du ou des bourreaux ? J'aimerais bien votre point de vue sur ces faits irréfragables !

Qu'est ce que c'est que cette question ? et vous même ?

Ce qui m'interpelle indu, c'est que dans ce pays "musulman" de 2000 000 d’habitants, aux règles stricts quand à la nationalité, on y trouve des "incroyants" demandant la conversion, c'est assez surprenant, même si je ne mets pas en cause votre info, je me pose des questions sur les motivations profondes....en ais- je le droit ?

Dans toutes les religions, nous avons un "sens incisifs" de la pensée religieuse par les nouveau convertis.

Sauf que lui même à dit « que celui qui n'a jamais pécher lance la première pierre» Il appelait tout en même temps à la réflexion sur la portée de l'application des textes. Quand il disaient aux scribes « vous chargez sur les épaules des pécheurs, des lois dont vous même vous vous exonérez»

Hélas vous vous trompez ! reprenez les paroles de jésus s'il vous plait, il est venu « non pas abolir la loi, mais la "confirmer". nous oublions gaillardement, que les textes bibliques ont 3000 ans avec le vocabulaire de son temps, le nouveau - et ses interprétations éventuelles 2000 ans et sont tout deux passés au crible de l'exégèse et des évolutions du siècle des lumières et de la réforme (au moins pour le nouveau testament. Alors que 1/ nous voyons que les terroristes au mali brûlent des textes qui ont 1000 ans mais qui prouvent eux l'ouverture possible de l'islam, textes qui ont 1400 ans, 2/ l'occident depuis 300 ans au moins a relégués les textes islamiques "sous le boisseau" des différentes colonisations, laissant l'islam se "sclérosé" dans des régions non atteintes par le monde moderne. Je me permets de rappeler que 600 ans en arrière nous brûlions une jeune femme sur un bûcher pour "hérésie". Sommes nous vraiment meilleurs avec l'application de la peine de mort par injection létale au nom des principes "démocratiques"? En France il y a moins de 40 ans nous coupions encore des être vivant en deux, toujours au noms de nos principes.

Quand donc et par qui aurait-il été aboli ? je suis curieux que vous citiez vos sources

Hélas, il n'y a aujourd'hui aucune "victoire éclatante", mais bien ce qui semble être un "repli stratégique" d'urgence - mais bien programmé-de la part d'un adversaire d'une incroyable "fluidité" et je crains bien là que le danger soit dans cette fluidité.

Son incroyable aventure lui est arrivée en 35 il ne commence à écrire qu' après guerre, et son livre narrant cette "rencontre" date de 69 ! je doute de sa part d'un effet marketing, car même pendant la guerre (ou il fut résistant) il racontait sa conversion. C'est par mon père (lui même résistant co-fondateur du MLN) que j'en ai entendu parler, et c'est après un voyage assez bizarre , que j'osais prendre contact avec lui et qu'il accepta de rencontrer le très jeune homme que j'étais dans les années 70.

Polémique bien inutile Mes souvenir de nos rencontres remontent à un peu plus de 40 ans, je doutes avoir fait des mélanges sur les détails des faits, mais peut-être, il me restent des notes que je vais vérifier.

heu......, pour avoir bien connu André Frossard et sa bouleversante histoire, c'est plus d'une demi heure après qu'il ressortie de la chapelle de la rue d'ULM. Il n'y était pas entré à la recherche d'un ami, mais pour faire "un papier" sur la communauté des soeurs adoratrices, il était journaliste "pigiste".

Indu même si je ne suis pas d'accord avec la brutalité de la réponse de juuken, toutefois je ne peux que souscrire au sens de ses réponses. Je suis un acharné de la liberté de culte et de la liberté du C*l, bon mais ça c'est une autre histoire

Indu, même s'il n'y a que 0.5% de bouddhistes et 05% de chrétiens il est intolérable de les forcer à vivre sous la Charia. Cela s'appel le respect des autres.

Non indu, ce n'est pas que les Chrétiens ne suivent pas l'évangile -l'enseignement de l’Évangile est un enseignement moral -or là vous jugez! c'est qu'ils ne suivent plus - à cause de Paul de tarse qui su faire "un coup de marketing" les obligations mosaïques, ce qui permit à l'Islam de naître pour nous rappeler que jésus n'est pas venu «abolir la loi ancienne, mais l'accomplir».

Comment pouvez vous pensez cela ?, car je suis catholique croyant et pratiquant ! Sauf si effectivement votre réelle personnalité pense - comme je le penses et le croit également, que tout enfant de Dieu et vivant de l'amour et de la charité vis à vis d'autrui est destiné à l'Amour et au bien être éternel, même si nous ne le disons pas avec les même mots.

Indu, je vous lis régulièrement et je doute que vous connaissiez le dernier message du prophète. Celui ci semble si important - puisque il est postérieur à tous les autres - que chacun voulant imposer sa propre vision de l'islam qu'il se garde bien de s'y référer vous en tête. pour mémoire je vous le remet en ligne le soulignement est de ma main.

C'est bien aussi ce que penses globalement les populations Certains ouvertement, d'autres de façon plus timide, mais globalement les population "libérées" des "contraintes" imposées de la charia pensent ainsi et se méfient en même temps soit qu'une autre forme de "liberté" ne leur soit à présent imposée également. soit du retour des djihadistes.

Une raison essentielle, pour moi catholique, de ne pas m'opposer au mariage pour tous: La république n'a pas à se plier aux normes des religions quel qu’elles soient. La république une et indivisible donne la normes d'égalité citoyennes, les citoyens sont libres de se soumettre aux règles religieuses s'ils le veulent ou de s'en exonérer selon leur libre arbitre.