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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Ouf !
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Snif !...
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16 Arold Zage Arold Zage était pisseur d’élite. Ou pisseur de litres. (On entend mal!) De la troupette d’enfants rustiques et d’âges divers qui accompagnait petit Je dans ses sorties campagnardes, c’était certainement lui, Arold, qui pissait le plus loin... Sur la route du cimetière, venant d’on ne sait où, ou bien allant de même, un premier avait dû s’arrêter pour pipi... et les autres l’avaient imité. (Instinct grégaire des hordes agraires, majeurement des juvéniles.) Sans doute quelques filles, une ou deux, étaient montées sur le haut du talus en bordure de route, pour bien montrer à tous de la troupette, leurs glabres raies ruisselantes... Et Je Humble n’avait pas osé regarder ?... sans doute. Quoi qu’il en soit (ou fût), c’est entre garçons que le sérieux de la compétition allait avoir lieu. Et ça tombait on ne peut mieux : Je venait récemment de découvrir qu’en tirant légèrement la peau de sa quiquette vers le haut, de façon à dégager le bout du gland, donc l’orifice urinatique, au lieu de se pisser quasiment sur les pieds, en forçant bien, il pouvait atteindre la distance d’un bon mètre ! Gagnant ainsi en puissance et précision ce qu’il perdait de sensations (le pipi ne zézayant plus sur la peau frissonnante du prépuce)... Donc, ils formaient un cercle, à tous, pissant au centre, comme une montre à aiguilles multiples. Des aiguilles... d’URINE ! LE CHŒUR : "Urine", c’est un mot rigolo ! Ils se montraient tous leur savoir faire, chacun bandant en douce ses abdominaux... mais s’efforçant de garder un visage tout-à-fait détendu. Quand soudain, une véritable averse les aspergea tous, en même temps, et de la tête aux pieds ! Le coup surnaturel semblait être parti d’Arold Zage à deux heures dix (méridien de Je Humble). Les regards stupéfaits se tournèrent vers lui... Mais aussitôt : seconde averse !... Dont la montre éclata dans un sauve-qui-peut général ! (Le pipi c’est amusant, mais en pleine figure, surtout celui d’un autre, c’est pas complètement propre.) La technique d’Arold était des plus simples, basée sur l’élasticité de la peau : il se fermait le bout de la quiquette en tirant la peau des deux côtés à la fois, et commençait à lâcher le pipi sans que la moindre goutte ne sortît. Quand le prépuce se trouvait monstrueusement gonflé d’avoir emmagasiné une grande quantité de liquide, il lui suffisait de rapprocher progressivement les deux extrémités pour diminuer la tension — donc l’étanchéité de la fermeture — jusqu’à l’obtention d’un effet "tuyau d’arrosage sous pression écrasé du bout".Bien sûr, il perdait, en précision et en druïté ce qu’il gagnait en distance et en tous azimuts... mais qui eût songé à l’en blâmer après une aussi mitraillante démonstration ? Le prudent Je n’expérimenta jamais "l’effet Arold Zage" : il aurait eu trop peur de relâcher trop tard la pression et de se faire exploser la quiquette. Mais il avait compris le principe... et pour lui c’était l’essentiel. La prouesse d’Arold ayant littéralement rejaillit sur eux tous, transfigurés par la grâce de ce baptême impromptu qui les invincibilisait, ils reprirent dans l’euphorie déliatrice-des-langues leur périple aventureux sur la route du cimetière... Certains parlaient des filles, disaient qu’ils leur avaient TOUT VU... et les filles les gourmandaient de les avoir regardées... (Comme quoi Je Humble avait bien fait de s’en abstenir.)
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Le bulot Qui bulle Au boulot A bu l'eau De l'obus Au labo, Le ballot !
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14 La dictée Je Humble au-front-distrait était entré en classe sans ses affaires. Le professeur dictait. Je en avait donc été réduit à chercher sous les tables de quoi écrire. Que faire d’autre ? Des nombreuses feuilles qui traînaient au sol, piétinées, et qu’il avait empilées sur son bureau au fur et à mesure de ses découvertes, une seule réservait tout en haut à droite un petit espace vierge où il avait pu griffonner quelques mots à l’aide d’un crayon emprunté à sa voisine, Elle : Bonne maison ! Et Je s’était entendu mieux que bien avec Elle : Elle acceptait de lui passer après le cours, l’ensemble de la dictée. Rien n’était donc dramatique, vraiment... jusqu’à ce que le professeur se lève... Et comment n'aurait-il pas remarquer son manège naguère tandis qu’il cheminait à la trappeur, à quatre pattes et en catimini, à couvert, sous les tables aux pieds verts, forestiers, raides, ronds, mais métalliques et lisses ? Le prof’ donc s’avança droit sur Je... et lui demanda de relire in extenso TOUT le passage !... Je fut rapide. Il courut fléchamment à l’autre extrémité de la salle (l’histoire ne dit pas si c’était encore à quatre pattes), si bien que la fin de la phase portant le point d’interrogation, tomba sur le siège vide et se trouva par un phénomène entièrement naturel de réfraction, dévié sur l’élève innocent de derrière avant que le professeur n’ait eu le temps de se reprendre. LE CHŒUR : Je est malin. 15 En caleçons dans les couloirs La sonnerie avait dû retentir, marquant la fin de l’interclasse et le début du cours : une heure entière d’inexistence pour Je Humble... Dans le large couloir, sur les grandes dalles de pierre lisses,s’enflissait déjà le piétinement d’une horde invisible d’élèves... Lorsque soudain, Je sua froid. Il venait de réaliser qu’il se trouvait dans ce couloir-tout-public, non pas vêtu normalement mais en sous-vêtements : tricot de peau et caleçons courts... LE LOCUTEUR : Parce que le Zlip... ça fait trop plouc ! « Qu’ai-je donc fait pour me mettre ainsi en retard ? » se dit Je. Un retard de quarante ans... Le plus pressé était à l’évidence de remettre la main sur ses vêtements. Sans doute étaient-ils restés dans les étages supérieurs, au niveau des dortoirs ?... MAIS. Depuis tant d’années que Je n’avait pas remis les pieds ici, qu’en savait-il d’où se trouvait son dortoir ?... et son lit au dortoir ?... et ses affaires sur son lit ?... (Topologie lacunaire de la mémoire.) Pourtant, il restait confiant et parce que le monde n’est pas absurde, il se disait qu’une fois sur place, il s’y retrouverait. Seules,quelques précisions devaient lui manquer momentanément... Pour se garer des élèves, il emprunta derechef, la première cage d’escalier qui se présenta au sortir du hall à droite. Et son plan s’inventait de lui même, sans qu’il n’y fût pour rien. Au premier étage, il passerait dans l’aile gauche du bâtiment en traversant le no man’s land devant les appartements du directeur... Hélas ! Une fois sur place, force lui fut de constater qu’un changement s’était produit. Si Jadis, l’interdiction verbale suffisait, à présent, le passage était muré d’agglos gris... Je eût souhaité redescendre au plus vite... mais le flot des élèves envahissait l’escalier, montait vers lui tel une crue puissante... À son tout premier rang en figure de proue, un visage de femme long-chevelu et brun rayonnait, ouvrant les marches vers Je... Les élèves montaient trop vite !... Or, en aucun cas, Je ne voulait s’y dissoudre ! Dernière solution : s’envoler ! (Il savait faire.) Il calcula au plus juste sa trajectoire dans le vide de l’escalier, ultime chemin pour atteindre le passage qui venait de s’ouvrir vers la gauche au niveau du demi-palier, comme s’ouvrent les mers rouges devant des Moïse occasionnels... Il lui faudrait foncer en piqué sur la femme et prendre le virage en rase motte, juste au dessus de sa tête. « Elle sera étonnée de me voir si peu assujetti aux lois apesantiques, pensa Je, supputant chez la femme une frayeur équivalente en valeur absolue à l’audace de sa voltige : elle croira sûrement que je vais m’écraser sur elle de tout mon poids... » Et il s’élança ! Un Je Humble en caleçons, voltigeant dans les couloirs du lycée, au nez et à la barbe de belles femmes brunes grimpant les escaliers, ça n’est pas si courant ? Et ça ne devrait pas passer inaperçu ?... Détrompez-vous ! PAS - DU - TOUT ! Aucun journal — pas même interne à l’établissement — ne relata l’événement troublant ! Dans la presse locale du moment, il n’était question que de cette soucoupe volante atterrie au village voisin près du lavoir, et du débarquement de ses petits passagers verts, semant la panique parmi les rangs pourtant avertis des lavandières aux-larges-fesses, penchées sur le ruisseau, et surprises du fait, à marteler à grands coups de battoirs leur linge familial torsadé-blanc,ramolli-de-l’eau... Je avait joué de malchance. JE HUMBLE : Quoi de plus ordinaire que de petits bonshommes verts sortant d’une soucoupe ? Derrière la retenue du lavoir, au ralentissement du courant, le savon s’accumulait à fleur d’eau en peaux plissées blanchâtres selon des stries de décroissance conchiformes sans cesse pressurées. Une fois mixées dans le grand collecteur, les différentes crasses intimes s’évacueraient par les canaux d’arrosage. Plus tard,elles seraient recyclées dans les jardins du bas, où des légumes à racines pivotantes re-synthétiseraient les protéines usées en bonnes vitamines, répartissables ainsi de nouveau, pan-villageoisement. C’était le bon temps !...
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Si j'étais roi je me flingueroins ça ferait un roi de moins.
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Grrrrr ! Ouaf, ouaf ! Miaou .... Cui cui ! Ssssssss ! Hi han, hi han ! Croa croa !
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12 Remake d’un massacre Mais voici qu’à présent, Je qui n’avait toujours rien demandé à personne, se retrouvait dans la peau de ce forcené entré tout exprès dans une école écossaise, mitraillette à la main, histoire d’y massacrer une quinzaine d’enfants et leur institutrice... LE CHŒUR : Je Humble est un miroir où le monde entier se reflète... avec admiration ! Il traversait l’allée centrale de la classe regorgeante d’élèves... Mais c’est l’institutrice qui se rut sur lui ! Qu’elle faisait gamine, cette institutrice-là ! Jeune, jolie, blonde aux cheveux shetland, bouclés, pas très longs, les cheveux, mais très grande la fille, et aux joues rondes et roses et potelés ses bras. Portait un T-shirt jaune, moulant, un pantalon fleuri, ample, de tissus fin, sous lequel se laissaient deviner des fesses rondes frémissantes, juvéniles et pourtant déjà presque lourdes de femme... Sous l’assaut incongru, Je reflua vers l’angle de la salle près du bureau du maître en signe de protection (ou de protestation). Mais la Miss, l’empoigna soudain à corps et à cri (ce qui était NORMAL dans l’exercice de ses fonctions d’institutrice)... Et Je la repoussait du mieux qu’il le pouvait, inventant à l’occasion de bonnes raisons très embrouillées pour la calmer. Lui disant par exemple que Elle, sa femme —à lui—, assise ci-devant, en manière d’élève, était elle aussi très jalouse... Et n’en voulant que pour preuve, les scènes qu’elle avait pu lui faire jadis, lorsque Je s’attardait près de l’institutrice — elle-même — après la classe, bien qu’il y fût contraint, à son cor défendu, dans le cadre très strict de ses fonctions officielles... et qu’elle (Elle) eût donc dû s’en accommoder... L’argument fit reculer d’un pas l’institutrice qui n’avait peut-être pas l’habitude de tripoter un élu de la Nation, fût-il ex... Pourtant, en dépit du remue-ménage en jeu dans cette affaire, Elle qui se trouvait affectivement dans la classe, ne s’était aperçue de rien... Dont Je regretta de ne pas en avoir profité davantage ! Tant était douce et agréable cette fraîcheur des joues tout contre lui brûlant, et cette brusquerie des bras d’institutrice, aimablement persécutrice qui le forçaient, lui, forcené. LE CHŒUR : Quel que soit de sa chute, le point d’origine, Je Humble, retombe sur ses désirs... 13 Les beignets C’était inespéré. Ils avaient autorisé coup sur coup, l’entrée des filles et des garçons dedans le réfectoire. Les filles étaient devant, derrière les garçons, mais la salle petite... Trouverait-Je une place ? Il entra. Déjà,les filles étaient assises en enfilade derrière une table. Longue la table, mais si étroite que leurs genoux gainés de bas soyeux dépassaient à l’air libre sur le devant. Si, qu’il était matériellement impossible d’y prendre place. Sauf à s’asseoir sur leurs genoux... Tentant, mais glissant. Et surtout : interdit ! Je debout, n'était qu'attente... Une à une les filles se levèrent, contournèrent les tables en sinusoïdant, comme une antique procession, chacune présentant des deux mains à hauteur du visage, une petite assiette de porcelaine tendre... et l’une après l’autre, elles disparaissurent vers l’autre extrémité de la pièce par une porte de saloon à deux battants : Vloum, vloum... Vloum, vloum... Vloum, vloum... Mais bientôt et toujours une à une, elles revinrenaient, possésrices d’un beignet troué par le mitan. Un beignet bien levé, blond et rond, en forme de couronne, déposé au centre de l’assiette et qui l’occupait presque toute : Petite assiette et gros beignet ! Blanches et pâles, les assiettes. Et les tuniques. Froides aussi. Et les bras blancs et les visages, pâles aussi. Tièdes les roux beignets irradiants, rougis à l’infrarouge. À la cuisson, le gonflement de la pâte avait rétréci le trou central jusqu’à son minimum, tout près de disparaître. Mais le pourtour restait très souple... Par association d’esprit, Je pensa à son sac qu’il avait oublié. Ainsi va tout soufflet qui loin du four, rapidement se re-dégonfle. Oublié ou laissé tout exprès ? Et le retrouverait-il en sortant, en dépit des beigneuses ? LE CHŒUR : Je ne suis pas tenu d’intervenir à chaque fois. Dr FREUD : Moi non plus !...
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Si ça va pas super fort j'écoute ça et d'un coup, je respire mieux et je peux pas m'empêcher de sourire et de battre la mesure avec les pieds !
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ça ressemble à la différence entre psychose et névrose ! Faudrait essayer d'éviter le deux ?!...
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11 La vierge Marie L’année d’après le football, Je entra en cinquième. On dit souvent "entrer en cinquième"un peu comme on dirait "entrer dans les ordres"... Eh bien, non ! En vérité, cette année là, la vie de Je entra dans le désordre ! Car le lycée cette année là, devint MIXTE... Quoi qu’à douze ans, Je n’eût pas encore tout à fait l’organe adéquat, il reconnut du premier coup d’œil chez ce "Mixte",à ses jambes croisées, nylonnées, glissantes et crissantes imperceptiblement, l’affriolant "x"de "sexe" (comme dans rixe, excès, axe, saxo ou texte, voire tout texte écrit d’un premier jet) : affaire de chromosomes... Et l’on vit arriver dans cet ancien couvent, DES FILLES ! Que l’on menait en rangs serrés chaque matin, que l’on répartissait,sans faire de jaloux. Chaque classe en avait son quota. Il y en avait peu, la fille étant une invention récente, mais un peu malgré tout pour tout le monde. Or, vous savez comme elles sont, les filles, en classe... vous savez qu’aussi gentils et bons élèves que soient les garçons, elles sont nécessairement, et plus gentilles et meilleures élèves qu’eux ?... Elles s’assirent donc aux premiers rangs. Les meilleurs des garçons étant réduits à se cancrifier vers le fond de la classe... Dont Je Humble ! Nous ne dirons pas des plus intelligentes qu’elles n’étaient pas jolies, la plupart l’étant ni trop ni pas. Ce qui est sûr en revanche, c’est que Je Humble se fit, dès cette année là, un point d’honneur de tomber amoureux chaque année, de la plus jolie des filles de sa classe. Et qu’eût-il pu arriver d’autre sinon que les pas belles et plus intelligentes le poursuivissent d’un regard persistant par delà leurs épaisses lunettes, tandis que les jolies s’intéressissent davantage aux plus cancres que Je ? D’où que Je, résolut d’être cancre. Mais il n’avait pas vraiment l’organe non plus. Un cancre du genre de Cri-cri par exemple, dont la plaisanterie favorite était en ce temps-là d’ouvrir sa braguette et de déballer tout de go devant ses camarades médusés ses attributs sexuels grassouillets en les ex-posant d’un seul paquet et d’un geste précis sur leur table de travail... Ou encore ce Zépino qui avait retenu de la leçon sur la pression atmosphérique, qu’en faisant le vide d’air du capuchon transparent de son stylo encre, il pouvait s’y faire aspirer un testicule... (Toutes démonstrations et expériences faites pendant les cours dans une joie générale de chuchotements.) On l’aura constaté : l’organe de la cancritude était bien et toujours le seul et même, trois-même-organe. ...Et le jeudi en promenade au stade, sous un soleil cuissant, Je Humble évoluait au milieu d’un nuage de mochetées qui bourdonnaient en le congratulant sur ses si bonnes notes, tandis que les vrais cancres, au son émoustillant de petits cris étouffés, tripotaient les jolies dans la pénombre sous les tribunes. Je se remontait-il le moral en pensant qu’une telle attitude eût été indigne de lui ? L’histoire ne le dit pas mais c’est probable ! Le fait est que la plus jolie des filles de sa classe, cette année là, ce fut Marie. Pourquoi plut-elle à Je ? Parce qu’elle était grande et brune et aux yeux doux et bruns, surlignés d’épais sourcils, comme la môman de Je ? Sans doute. Mais elle avait les cheveux raides, elle... (Pour ce banc d’essai émancipatoire, une seule petite différence suffirait.) Ajoutons que les sourcils en question, quasi d’un seul tenant, laissaient présager d’une pilosité vivace — détail turlupinant — heureusement atténuée (ou exacerbée) par des lèvres épaisses et moueuses qui lui donnaient un air sirupeux et gnan-gnan... Donc, Je Humble vieilli, s’approchait (aujourd’hui) de la tendre et vierge Marie qui, comme un fait exprès n’avait que peu changé... S’approchait...par derrière ! Question : le détournement de mineurs a-t-il un effet rétroactif ? Un motif permanent d’achoppement pour Je, que ce prétexte de l’âge :combien ne s’étonnait-il pas, chaque fois, de voir telles gens —et avec quelle haine — s’horrifier de sévices infligés à un modeste nourrisson, mais applaudir des deux mains à la condamnation ou à l’exécution d’un violeur-homme-fait, multi-récidiviste ! Je, lui, ne voyait jamais dans le violeur... qu’un vieux bébé. LE CHŒUR : Vieux bébé toi-même ! Il avait beau faire, il se sentait plus proche du violeur que du nourrisson... LE CHŒUR : Je se sent proche du violeur et il n’est pas violeur, le violeur est proche de l’enfant et il n’est plus enfant... Je se disait parfois qu’il (ne pourrait pas lui,) violer une petite fille. Ne serait-ce que pour l’expérience... Il s’efforçait alors d’imaginer son gros sexe roidi, turgescent, tuméfié, tennistique, assénant sous la holà ses coups droits meurtrisseurs dans un mouchoir de poche... Certes ! il avait souvent remarqué que même très jeune, à bien moins de dix ans, tant de corps que d’esprit, la féminité y était toute entière esquissée chez une gamine... Mais le cœur n’y était pas ! LE CHŒUR : Esquissée seulement !... Je s’est fait prendre à son propre piège : quand il s’excite à l’idée d’une CRÉATURE autonome, adulte et volumineuse, mouvementée de seins s’élastifiant, de cuisses blanches chevrotantes et de fesses tremblantes, il ne pense jamais que c’est un vieux bébé ! Dr FREUD : Qui l’affirme ? Je se saisit donc de la vierge Marie à bras le corps ; emprisonna dans le creux de ses mains ses seins ronds, malléables et lourds qu’il caressa longuement, méticuleusement... Ses seins ronds qui, mous et doux roulaient suavement, sous ses doigts pianistiques... Et la jeune écolière était si peu au fait de la chose érotique que les pointes de ses susdits seins ne s’en trouvaient même pas durcies qui continuaient de se confondre avec le volume d’ensemble souple de sa poitrine... Tout de même inquiète, elle demanda à Je : — Ça n’est pas risqué de faire ça ? (Elle parlait du tripotage de Je...) De Je qui jubilait d’être tombé sur une... aussi innocente ! — Mais non ! Exultait-il, mais non ! Et IL EN PROFITAIT !... Mal lui en prit ! Car tout cela n’était que pour le cinéma et à la scène suivante, c’était de lui — de Je —, que se saisissait par derrière et sans ménagement, un fort colosse — l’acteur américain bien connu pour ses films d’action. Quoi qu’il ne tripotât pas Je. Mais il tenait dans chaque main un pistolet...De ces longs pistolets de corsaires à chiens métalliques ornés de pointes aiguës ciselées et tendus d’un ressort d’acier, qui cliquettent sèchement en basculant vers l’arrière. Ce qui à tout perdre ne valait guère mieux. Après donc s’être fait un bouclier de Je Humble, l’acteur — mais était-il vraiment acteur ? — tira deux coups de feu du haut du pont arrière... LE CHŒUR : Arrière, derrière : mais c’est une manie ?!! ...sur quelque bidon bleu situé à bonne hauteur. Un liquide certainement très dangereux (allait-il mettre le feu au navire ?) jaillit des deux impacts rapprochés, prouvant une remarquable habileté au tir... Dont Je Humble reçut clairement le message : si le besoin s’en faisait ressentir son agresseur n’hésiterait pas à le... liquider. Il se tint donc tranquille. En dépit de la sensation extrêmement désagréable d’étranglement autour du cou, infligée par les deux bras brutaux et velus de l’acteur. LE CHŒUR : On ne peut pas toujours s’en tirer à son avantage. Après tout, n’était-ce pas une punition ? LACAN : Je parlerais plutôt de la réversibilité de la pulsion, le désir de peloter du potelé s’épinglant symétrique à celui d’être soi, peloté, en reflux vers ses propres années bébéïques potelantes — ou pot-hélantes —, la culpabilité ne jouant ici qu’un rôle de mascarade (au sens étymologique du masque). Je pour qui le velu des bras du colosse était si différent du velu de la vierge Marie, venait de tâté du doigt l’épaisseur de ses préjugés...
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Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Blaquière a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Merci de tout remettre en place ! -
"L'humanité en a eu encore un exemple assez récent dans l'histoire, mais quand on en évoque les événements, la réponse est généralement un grand silence, un mutisme obstiné..." ???
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Scénon : je vous en supplie ! Jésus Christ, Moïse, Mahomet, toutes ces histoires (sur leur nature ou leur inspiration divine) ne sont effectivement que des fables ! Pourquoi voudriez-vous qu'un dieu créateur de l'Univers prenne le parti des hébreux contre le Pharaon en lui envoyant des... SAUTERELLES ? Vous rendez-vous compte du comique de cette histoire ? Imaginez Dieu : "Aujourd'hui, je mets en orbite les anneaux de Saturne, j'amorce un trou noir au centre de la galaxie, et demain, promis, j'envoie un nuage de sauterelles à Pharaon rien que pour l'embêter !" Vous rendez-vous compte que ces histoires ont été inventées juste dans la limite où elles pouvait être crédibles par les gens passablement ignorants de ces époques ? Je ne dis pas qu'aujourd'hui nous soyons tellement plus futés, mais compte tenu de l'évolution des connaissances, tout cela ne passe plus. Je redis : Jésus Christ qui dit à ses copains qu'il n'est pas nécessaire de se laver les mains avant les repas ne savait pas que les microbes existaient ?
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Le monastirien dit : "Newton parvint a convaincre son ami que toutes choses a un créateur. Il nous suffit de regarder tout autour de nous pour aboutir à la même conclusion. Assis dans votre fauteuil , posez vous ces questions : De tout ce qui m'entoure combien de choses sont le produit de l'évolution et combien sont l'oeuvre d'un créateur ? Mon bureau est il l'aboutissement d'une évolution ou l'ouvrage d'un fabricant ? Qu'en est il de ma lampe, de mon lit , de la table , du tapis, des murs , voire de tout l'édifice ou je me trouve? Toutes ces choses ont été crées. Vous êtes vous mêmes issu de votre mère et père. Par quel raisonnement peut on donc prétendre que l'organisme vivant, infiniment plus complexes que des objets inanimés, ne sont pas le fait d'un créateur? Pour ce qui est de la gravitation, Newton a deviné juste, mais pour ce qui est de la création, il s'est lamentablement planté. (Si toute fois les propos qui lui sont rapportés sont exacts). " De tout ce qui m'entoure combien de choses sont le produit de l'évolution et combien sont l'oeuvre d'un créateur ?" Tout ce qui m'entoure (comme mon bureau, ma table, ma lampe, mon lit, les murs de ma maison, etc.) est le produit d'une fabrication, certes, mais à partir de matériaux déjà existants (le bois, le plastique, le plâtre, etc) qui sont en partie le fruit de l'évolution, en partie des matières minérales. Quant à moi, je n'ai pas été "fabriqué" comme un objet par mon père et ma mère : ils ont suivi pour me faire un processus naturel dont ils ne connaissent pas les mécanismes . Je fais donc partie de ces "organismes vivants infiniment plus complexes que les objets inanimés" cités dont j'ai la preuve qu'il ont été créés. Je peux donc aussi bien en conclure que puisque "infiniment plus complexes" que les objets dont je sais certainement qu'ils ont été créés, ces êtres vivants (dont moi) ainsi que les matériaux minéraux qui composent les différentes créations déjà citées, n'ont pas été créés . Et donc que leur origine relève d'un autre processus que la "création". En toute et simple logique, je n'ai pas le droit de conclure de la création voulue des objets qui m'entourent à une création du même type (voulue) des êtres vivants et autres matières minérales existantes qui sont d'une autre nature. Je dis qu'ils sont le résultat d'un processus immanent (à eux-mêmes) et non transcendant. Une différence essentielle existe entre tous les objets créés et les autres. C'est que tous les objets créés l'ont été dans un but précis ; ont été créés pour moi, pour une fonction : la table, la lampe, les murs. L'arbre (bois de la table), le calcaire (du mur) ainsi que moi existons premièrement en nous-mêmes et pour nous-mêmes seulement.
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Ne pas faire la différence entre la création voulue, effective, évidente, quotidiennement attestée d'un artéfact, (un produit fait et réalisé par l’homme), et celle (création) parfaitement hypothétique d'un objet existant dans la nature, voire la nature elle-même, est à mon avis au mieux une erreur de jugement, au pire une formidable preuve de mauvaise foi. Je crois que je l'ai déjà dit : De même que tout pouvoir est une abus de pouvoir, toute foi est NECESSAIREMENT de mauvaise foi. C'est même ça, la définition de la foi. Elle est (la foi) le refus (plus ou moins conscient et inconscient) de passer son jugement au crible de la raison. C'est comme l'argument ontologique qui comporte dans ses prémices la conclusion de son raisonnement. Il eût suffit à Jésus Christ d'apparaître sur la place publique quelque jours après sa crucifixion pour que sa nature divine fût reconnue certainement. Il ne l'a pas fait. Il eût suffit que Mahomet dise clairement : "la terre est une sphère suspendue dans l'espace qui tourne autour du soleil". Il eût suffit que les deux et même Moïse -pourquoi pas !- dise qu'après Saturne il existe encore d'autres planètes invisibles (pour leurs époques), ou encore que la tache floue que que l'on voit à l'oeil nu près du grand carré de Pégase est aussi une galaxie semblable à notre Voie Lactée... Et l'on aurait eu la preuve INDISCUTABLE qu'ils étaient inspirés par une puissance -à tout le moins- autrement plus savante que l'humanité toute entière de leur époque. Ils ne l'on pas dit, c'est donc qu'ils ne l'étaient pas (inspirés par une puissance très savante ou divine), et qu'en fait ils ne savaient rien de plus que les gens de leur époque. Ils se sont contentés malicieusement de dire des trucs passe partout qui peuvent être interprétés de mille façons. Comme Nostradamus : Tout ce qu'ils ont dit sur le monde, (quand ça n'est pas des évidences, comme l'eau nécessaire à la vie : la belle affaire !) veut plus ou moins tout et rien dire. Moi, je dis : Rien !
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Vous tournez en rond, vous cherchez, ce qui est bien ; mais rien ne vaut un vrai savoir !Faut que je vous explique la Création. Au début il n'y avait rien. D'accord ? Mais voila qu'à la longue, ce RIEN s'est ... comment dire ? comme fatigué ! assoupi d'exister... CONTRACTé ! RETRECI ! Et du coup c'est devenu... MOINS QUE RIEN ! (Pas besoin de la moindre création puisque "qui peut le plus peut le moins" et que "rien", c'est par définition... plus que "moins que rien".) Mais voilà : moins que rien, c'est déjà quelque chose. C'est même très précisément "moins que rien". Biens sûr, c'était très très peu. Mais ça n'était plus "rien du tout". Et c'est pour ça, aussi que l'Univers est si peu dense. L'équivalent d'un ou deux atomes d'hydrogène par mètre cube je crois. Autant dire presque rien. Vraiment pas besoin d'un dieu pour si peu. La première conséquence est que le monde est ESSENTIELLEMENT NEGATIF. Ce qui ne change rien. Mais le pire c'est... Que le monde, l'Univers continue de se contracter... Il n'est pas du tout en expansion : l'expansion, c'est une illusion d'optique ! Il ne grandit pas, l'Univers et il n'y a pas eu de Big Bang, pas de grande explosion spectaculaire au début comme dans les films américains : Juste une... contraction ! La matière, tout ce qui existe, dont nous, se rétrécit. C'est comme ça qu'elle peut continuer à exister. Pour exister, elle est contrainte à chaque instant d'être moins que ce qu'elle était à l'instant précédent. (Parce que c'est pas le tout d'exister, encore faut-il un apport d'énergie permanent pour se maintenir existant.) Et (attention) il résulte de tout cela que : LE TEMPS S'ACCELERE ! Evidemment ! Voila ! Maintenant vous savez tout !
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Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Blaquière a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
L'agnosticisme c'est la version snob de l'athéisme. -- Vous êtes athée ? -- Pas du tout : agnostique ! -- 'Scusez-moi Maam' la Baronne ! -
Meuh non ! L'avantage des sardines à l'huile sur les sardines grillées, c'est que les arrêtes se sont dissoutes. C'est rien, ça ? J'en conclue que l'athéisme newtonien est une huile dans laquelle les pseudos arrêts divins se dissolvent...
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Merci beaucoup ! Je sais que ça part dans tous les sens et que c'est à chacun de recoller les morceaux. Je me contente d'esquisser des pistes tout en m'appliquant dans les détails et de parfaire la forme (les rythmes et les sons).
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2. PASSAGE UN MOMENT DONNÉ (Le football - La vierge Marie - Remake d’un massacre - Les beignets - La dictée - En caleçons dans les couloirs - Arold Zage - Mouchy ou la guerre des merdes - Alan Deloin - Le troubadour.) 10 Le football Je Humble se demandait ce qu’il faisait là : JE HUMBLE : Je me demande ce que je fais là ?!!! Là, c’était le terrain de football. Et Je ne regardait pas depuis la touche ni les tribunes : il courait au milieu ! Courait sur l’herbe rase du stade Raoul Delpont, Brignoles. Je était FOOTBALLEUR ! Courait...c’est beaucoup dire ! Mettons qu’il attendait au milieu. Au milieu et sous le regard de son grand nègre maigre de père qui lui, regardait depuis la touche. Et que le grand nègre n’y fût pas réellement ou qu’il ne fût pas noir, ne changeait rien au fait que Je sentît son regard brun peser sur lui… Car selon l’enseignement du grand maigre, "le ballon" était un art de vivre essentiel où s’épanouissaient les vertus cardinales que sont les copains, l’enthousiasme, le beau geste et l’exploit...auxquelles Je n’entendait rien pour respecter trop à la lettre, tel autre enseignement majeur du même grand nègre maigre sur l’absolue honnêteté, incompatible avec ces quatre-là. LE GRAND MAIGRE : C’est absolu ! LE CHŒUR : Et sous le regard brillant-vrillant, Je, soucieux de bien faire est tout paralysé, comme une figurine de baby-foot sans baguette à se remuer... (Est-il jamais question de ce dont on s’agite ?) En cette époque reculée, Je n’était pas bien grand : il s’arrivait tout juste à l’épaule. Mais il devait faire face,quelque éberglué qu’il fût sur la grande surface, face à cette nuée d’enfants courant la balle sus, en tous sens, très volontairement, au lieu d’attendre comme lui en bonne géométrie, son hypothétique et rectiligne passage (sans trop le souhaiter). Sans même le souhaiter du tout ! Et ils allaient parfois la chercher très loin cette balle ! Au risque du mystérieux hors-jeu guillotinaire, terreur de Je Humble, qui l’eût mis hors de soi. Dont il était désespéré. Se doutant bien que c’était cette chasse effrénée à la balle qu’on attendait de lui... LE CHŒUR : Je n’ose pas, comme s’il avait peur ou honte du ballon ! Et chaque coup de pied qui percutait la balle, c’était sa tête qu’il heurtait. Je agrippait alors son âme floue du bout des doigts —bien plus habiles que ses orteils — pour l’empêcher de se dissoudre entre les brins de la pelouse. Autour de lui, le décor sursautait, perdait de sa réalité. Au dedans, la pression montait en flèche. Il lui fallait mettre au point au plus vite, une tactique susceptible de le tirer de ce mauvais pas, au cas où la balle roulante, sautante et bondissante imprévisiblement, viendrait à rôder près de lui. Et soudain, il trouva ! L’essentiel n’était-il pas de bien montrer à tous, qu’il s’y intéressait furieusement, aux rebonds de la balle ? Il la fixerait donc, cette balle, sourcils froncés et maxillaire tétanisé, sans économiser sa peine. Opposant catégoriquement à ses tribulations insanes, le plus déterminé, le plus LISIBLE des efforts de concentration. Lequel effort — c’est ça le sport — ne fléchirait plus de toute la rencontre ! Tel un charmeur de serpents hypnotise dans son panier, le reptile d’humeur changeante et lui intime son propre regard fiévreux. Ce n’était là que le premier volet du plan... Le second serait tout simplement, de se maintenir en permanence et quoi qu’il arrive, le plus loin possible de la balle, afin d’éviter tout contact. Et Je irait si c’était nécessaire, jusqu’ à courir à reculons ! (Tout en fixant bien sûr, toujours la balle,intensément...) Je Humble footballeur fut ainsi, tout le temps du match, une aiguille déboussolée fuyant obstinément la petite mappemonde de cuir pentagoné-gonflé-dur. Une aiguille impubère. Il ne fut pas sélectionné pour la rencontre suivante et en fut bien marri : il avait pourtant fait son possible... LE CHŒUR : Et l’on vit petit Je verser des larmes amères sur une carrière de footballeur si prometteuse... Son grand nègre maigre de père, bonhomme, lui, en rit encore ! LE CHŒUR : De ses mâchoires décharnées...
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Pourquoi/comment peut on aimer la douleur?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de femzi dans Philosophie
Je vous comprends pas le seul truc qui vaudrait d'être approfondi c'est est-ce que la pulsion de mort existe ou pas, et vous partez sur "vraie idée" ou pas vraie idée '"qu'après la mort on n'est plus rien"): C'est ni vrai ni faux, c'est mon avis ! En tant qu'idée, c'est une vraie idée, puisque vous l'avez sous les yeux. Mais c'est peut-être une idée fausse quand à son contenu.. Une vraie idée qui peut être fausse ou pas. C'est pourtant clair ! -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Blaquière a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
Quand on se pose la question Dieu est-il une conscience, est-il matériel... on est pile dans le sujet de ce fil. C'est de la propagande athée, ça ? Mon Dieu !... Au lieu de ces questions vous comparez le récit biblique de la création avec l'évolution et la théorie du Big Bang... J'y comprends plus rien ! -
Partons du postulat que Dieu existe et étudions Dieu
Blaquière a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Religion et Culte
J'ai dit dans un autre fil qui a été fermé que Dieu était une conscience par opposition à l'Univers qui était une chose... (C'était à partir de Spinoza ("Dieu c'est -à-dire la nature")= su Dieu est la nature, il n'est pas Dieu) Quelqu'un s'est écrié que je ne connaissais rien à Dieu pour dire ça. (Que Dieu était une conscience) Eh ! les croyants, éclairez moi ! Pour moi c'était évident que Dieu était du côté de l'esprit et de la conscience, de la volonté (volonté de créer le monde)... J'aurais tendance à penser que si Dieu était matériel il ne serait pas Dieu... (C'est un peu pour ça que j'y crois pas : à mon avis, le spirituel émane de la matière --comme on le voit chez l'homme, chez nous-- et non le contraire) Le "verbe créateur" est de mon point de vue qu'une figure poétique... -
Pourquoi/comment peut on aimer la douleur?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de femzi dans Philosophie
Ben non ! je m'en fais une idée très précise : Je ne serai plus rien. Rien du tout . Comme avant de naître. C'est très simple...
