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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Tu ne crois pas si bien dire ! Au village on avait un curé... bien. (Je ne dis plus intelligent puisqu'on risque de me dire que je ne suis pas à même de savoir ce qu'est l'intelligence) Mais bon, ce curé était un brave type. (Je peux, ça ?) Bref, un jour, au village passent (il s'en passe dans mon village !) des prêcheurs. C'était pas encore la mode des Témoins de Jéhovah. Peut-être étaient-ce des disciples du Christ de Montfavet qui défraya la chronique dans les années 50, 60 ? (Les anciens se souviendront.) Mais là, devant Notre Curé, les bons fidèles cathos les ont chassés presque à leur jeter des pierre ; ils montraient LEUR curé en hurlant : "Allez, fichez le camp ! Notre curé, le seul représentant de Dieu, ici, c'est lui ! Disparaissez !Laissez-nous en paix !" A votre avis, quelle a été la réaction du curé ? S'est-il rengorgé ? A-t-il apprécié que ses ouailles chassassent ces chrétiens plus ou moins dissidents ? Oh que non ! Il leur a même passé un "sacré" savon ! ---"Vous, si Jésus Christ revenait, en moins de deux vous le re-foutriez sur la croix !" Je sais : dans un village de vrais "rouges du midi", même les curés se devaient d'être à la hauteur !...
  2. Ce raisonnement ne tient pas. Qu'une création soit l'oeuvre d'un créateur, oui, c'est même là sa définition. Création signifie "qui a été créé". A partir du néant, soit, mais dans l'esprit seulement : une peinture de Picasso est une création, dans son esprit, par le nouvel agencement des formes et des couleurs. Mais Picasso n'a pas créé les atomes qui composent les couleurs, la toile et le chassis. On est d'accord ? Les esprits humains créateurs créent tous de nouveau agencement. En quelque sorte, créer, c'est faire du neuf avec du vieux. La matière (à mon avis) n'est pas créé. A partir de rien, du néant. Il semblerait qu'elle se soit formée à la suite de transformation d'un certain type de matériau (le refroidissement de la "bouillie" primordiale) déjà existant. Dire qu'il n'y avait que le néant et que la matière a été créé est une affirmation totalement gratuite. Et puis selon "ta" théorie, c'est Dieu qui a créé tout ça. C'est donc qu'il préexistait lui-même à sa création. Pas de néant donc avant la matière : il y a Dieu. Dieu n'est pas néant, tout de même ? Partant de l'hypothèse que ce qui existe a nécessairement été précédé du néant, on en vient à se demander qu'est-ce qui a précédé Dieu ? (Puisqu'il faut du néant au début.) Si on me dit alors que Dieu est un cas spécial qui n'a pas à être créé. Je dis que c'est une affirmation gratuite qui contredit tout le reste du raisonnement. Autant faire l'économie de Dieu, non créé pour non créé, autant que ce soit le monde qui soit non créé, à l'instar d'un Dieu hypothétique. Sous une forme ou une autre, matière, plasma, énergie, il me semble tout-à-fait envisageable que le monde ait toujours existé. Et ce n'est pas quelques tribus arriérées du fond de la Palestine, de l'Amazonie, voire de l'Europe, promptes à inventer des dieux à la pelle qui me feront changer d'avis.
  3. Cavanna ! François Cavanna ! On ne peut pas laisser passer ce mépris : "l'autre d'origine italienne" ! Quelqu'un d'exceptionnel. Un brave type. Je ne l'ai jamais vu dire une connerie. (A part pour rigoler). Il y a des années, il était à la mode de refaire passer l'épreuve de philo du bac à des personnalités littéraires et cela dans le plus parfait anonymat ! Le correcteur de Cavanna après avoir lu sa copie (anonyme) avait demandé aux autorités de corrections de l'éducation : est-ce qu'on peut mettre 21 sur 20 à une copie ? Finalement, ils lui ont mis 19. Alors, tu peux te souvenir de son nom : Cavanna !
  4. Et pour que la terre soit le centre exact de l'univers, et que tout le reste tourne autour d'elle... De nous ! De MOI ! Puisque c'est bien ce que je constate chaque jour de visu.
  5. Alors, Jeandin ? qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui ? On dort ? Un beau mot comme ça, faut pas laisser passer ! PERSEVERANCE ! -Perce ! -Herse ! -Sève ! -Sévère ! -Errance ! -Verra(t) ! -Rance ! -Anse ! Y'a des millions de choses à dire, là dessus ! "ça me perce sévère la herse que votre sève rance en errance comme un verrat me p.anse..." Swannie : Certes ! Mais qui dit que le monde est une création ? Le dire, c'est donner la réponse avant que ne soit posée la question. Comme dans ton deuxième exemple, il pourrait n'être qu'un effet et il suffirait alors d'en trouver la cause. La cause de la révolution Bolchevique est la venue de Lénine en Russie. Lénine est-il Dieu ? (1) (Le jeu des causes et des effets peut n'être que mécanique.) (1) Mauvais exemple si l'on considère que la révolution est la création de Lénine ! D'un autre c<oté on n'est pas obligé d'avoir toujours de bons arguments : c'est surtout la mauvaise foi et le spectacle qui comptent !
  6. Hier soir, je lisais un texte d'Alain, le philosophe. Et j'ai été étonné pour savoir qu'il était tout-à-fait athée de le voir faire une sorte d'éloge de la foi. Après réflexion, c'était pas si faux.Pour lui, la foi, c'est la pensée elle-même. La foi, c'est s'attacher et tenir à ses idées. Qu'importe la manière dont un croyant a été "formaté" pour croire. Comment il a été élevé, les textes, les coutumes. Il est un fait c'est que... dans son état (!) il croit. C'est comme un acquis. ça fait partie de lui, de son esprit, de sa personnalité. Alors quand il voit un clampin comme moi lui dire "mais ce sont des... balivernes que toutes ces histoires!" "Que vouliez-vous qu'il fît ? Qu'il mourût ?" Qu'il s'aplatisse comme une carpette ? Non ! C'est sa dignité de résister ! C'est parce que (contrairement à ce que je pourrais croire) IL PENSE. On pense beaucoup avec sa mémoire. Et le principe de la mémoire, c'est de résister. Pour un croyant, sa croyance est inscrite, fixée, c'est, en matière d'esprit, "du sûr". Dans la mesure où nous voudrions le convaincre que sa croyance est fausse, il nous faut être plus malins. Il ne faut pas l'attaquer de front, car nous nous retrouverions devant le bloc imprimé, solide, fossilisé de longue date de sa croyance qui pour lui est le vrai réel. Il faut être malin, dis-je : il faut s'insinuer ! Il ne faut pas lui dire tu as tort, car nous nous fracasserions sur le béton de sa croyance. Il faut lui permettre de penser la non-croyance. Bref, je vais faire court, il faut lui demander : "Dans l'hypothèse "ABSURDE" (notez ma malice : il est fort ce Blaquière !) où Dieu n'existerait pas, qu'est-ce que ça changerait pour toi ? Et pour le monde ? Il faut lui permettre d'imaginer ce que serait le monde et ce qu'il serait lui-même sans Dieu. Il faut lui permettre de mettre son granit divin entre parenthèses. Un moment. Et pas chercher à l'entamer avec notre "martélette" . La foi, c'est bien, c'est même indispensable, mais point trop n'en faut.. Il ne faudrait pas qu'elle paralyse tout le reste. Je vais lire la suite d'Alain... Vous allez-me rétorquer "que ne penses-tu toi-même la croyance alors ? Mais, je ! Et contrairement à ce que pense Swannie, je donnerais bien cher pour que Dieu existe ! ça faciliterait tout ! Le bien, le mal seraient inscrits dans le marbre. Les gentils seraient récompensés, les méchants, punis... ce serait... formidable ! Si formidable, tiens, que je ne puis m'empêcher de penser "C'est pas possible, ce serait trop beau !" Et je sais que les méchants, s'ils échappent à la justice humaine, ils ne seront pas punis. Et les gentils, pas récompensés. Il faut accepter ça et prendre sur soi de n'être bon que pour la beauté du geste. Que pour prouver à Dieu qui n'existe pas qu'on est à la hauteur. A Sa hauteur.
  7. Oui, mais mon copain curé était particulièrement intelligent !... (Oh, pardon !)
  8. Là tu me fais plaisir ! Tu dis : "Christ" ! OUI ! j'ai vu érire "LE Christ" et j'écris comme ça moi-même, mais ça c'est pas bien ! c'est comme vu de l'extérieur. Quand on l'aime, on dit "Christ ! C'est comme un prénom, un "petit" nom. On doit dire : "Christ" ! Comme on copain qu'on appelle, on dit : "Marcel" ! ou "Jules" ! "Le jules", ce serait méprisant. A sa mère, on dit "maman" : on ne lui dit pas "la maman" quand on lui parle. Ceux qui sont plus dans le coup, le curés de métier, eux, ils vont jusqu'à dire "Jésus" ! Mais il ne le disent pas comme nous, "jésus", ils le disent comme on suce un bonbon, en traînant sur le "J" et le "zzzzz" : "Jjjjéézzzzuuuus". ça glisse et ça siffle. C'est d'un Jésus très sensuel qu'il s'agit là. Presque sexy. Et pour le coup on comprend qu'ils sont plus intimes. J'avais un ami curé qui disait comme ça : "Jjjjéézzzzzzuuuus" ! Et faisant la moue du bout des lèvres sur le "u" final. C'était un vrai bonheur de l'entendre prononcer son "Jésus" ! Il me disait : "A une époque, j'avais beaucoup réfléchi sur la psychanalyse et je peux te dire que je ne croyais plus beaucoup !" Puis, il a regardé mon vase grec avec le dessin d'Hercule, tout musclé avec sa massue et sa peau de lion (je dois dire que je l'avais pas mal réussi, mon Hercule !) Et là mon ami m'a dit : "C'est très beau "aussi" un homme nu !" Ce qu'il voulait dire c'est qu'il ne s'intéressait pas qu'aux femmes. (On a les curés qu'on peut !)
  9. Blaquière

    La psychanalyse

    Il aurait l'air cruche et à coup sûr manquerait de pot... voire de bol ?... Platon : "On ne fait pas la grande cruche pour ses débuts dans la poterie." Valéry : "Une cruche ordinaire et fragile, donc deux fois précieuse." (de mémoire!) (Ou: "fragile et au dessin médiocre" ?) "L'ancien potier exprimait quelque jour son propre bonheur par l'amphore parfaite et sincère. Il ne s'y trompait point ; Il vendait les autres ; mais celle-là il l'offrait ." (Alain) Il y a toujours à prendre et à laisser dans les "grandes paroles" !!! "De ses gestes visqueux et trop courts d'estropié, ce fou (le potier) qui court sur place a décidé d'emprisonner l'espace." (moi !) PS : je note ta citation de Lao Tseu dans mes tablettes !
  10. Blaquière

    La psychanalyse

    Puisque apparemment t'es pas capable de faire une poterie, tu aurais au moins pu me répondre en chanson... Pas capable non plus ?
  11. Blaquière

    La psychanalyse

    Oui ! Mais une jouissance sans plaisir devient une jouissance qui ne jouit pas... (Effectivement comntendre jouissance comme une sorte de flux de libido qui emprunte les bords des trous, (la bouche dans ton exemple)me tu dis le mot perd son sens courant !) Il faut bien que ce flux vise une certaine satisfaction. quand bien même son "destin" serait de toujours la manquer. Le manque du manque, ou plutôt le manque générique. Un mécanisme.
  12. Blaquière

    La psychanalyse

    Je me demande si ça n'est pas un contresens total que d'apparenter la jouissance à une pulsion de mort. j'y verrais plutôt la pulsion de vie (=la reproduction) dans son état le plus pur. Bien sûr l'expression "petite mort" est là pour nous "enduire d'erreur" ! Qui vient sans doute de l'expression particulièrement tétanisée de l'individu jouissant (!). N'empêche que la jouissance sexuelle pointe à n'en pas douter la réalité (la survenue, la réalisation) de la reproduction et de la vie se perpétuant. De même que l'état de l'individu après "l'acte" ("Post coitum... etc !). Mais la tristesse n'est pas la mort (encore heureux !) Et là encore ce n'est que la décharge (!!!) subite (décidément!) de la pulsion de vie qui vaut pour une apparence de pulsion de mort qui n'est dans ce cas qu'une absence de pulsion (de vie).
  13. Blaquière

    La psychanalyse

    Je crois que vous avez raté votre vocation. Au lieu de faire semblants de réfléchir, vous devriez écrire des chansons ! Je trouve que vous avez de belles associations sonores : 'Je me fiche, Je triche Et j'affiche Mon MOI ! Sophie ? Vos sophismes Font prisme A ma voix ! Car à votre source Je me penche pour ce Qu'enfin je me vois ! ............................................... "Vos biais cognitifs, (Le "biais cognitif" : je trouve ça particulièrement poétique) Reculent, Reculent, Vos biais cognitifs Sont mon laxatif !" "Votre incorrection Logique, Logique, Votre incorrection, Logique érection..." ......................................................... Pro....sper, Yop la Boum ! C'est le propre des propos ! Propos qui se perd Qui se perd sur le foroum ! .............................................................. 'Je lis de la merde, Je crois de la merde, Me disent les gens ! Que ma voix se perde ! Quand ma plume sert de Gloire aux indigents. Je vis dans la mer de Sarcasme et l'amer de Mes mots affligeants " Ouaip : faut développer : y'a du bon dans ce que vous dites ...
  14. "Elie Elie laMa sabactani" (Il faut dire ça en crachant par terre, genre "je le jure" !) Pour mon examen de conscience, je prends dessin et communisme facultatif, histoire de faire monter ma moyenne...
  15. Blaquière

    Primaires à droite

    Y'a une minute à la télé, un soutien de Fillon : "Si on veut gagner la présidentielle, IL FAUDRA QU'ON AILLE AU PEUPLE ! (comme on dit.)" Merde ! Il faut les arrêter avant Varennes !
  16. Blaquière

    Primaires à droite

    Pègue ! Je m'imaginais vraiment pas drogué à la redistribution ! Les bras m'en tombent.
  17. OK Pour l'inconscient ; j'apprécie la réponse ! L'insonscient, (disons ce qui va devenir l'inconscient une fois la conscience apparue) n'est pas collatéral, c'est le donné a priori, le cerveau reptilien en quelque sorte. Je le vois comme ça... Comme "ça" ! (je l'ai pas fait exprès ! Je comprends que vous vouliez faire de la crucifixion un symbole extraordinaire. Il n'empêche qu'elle a (a eu) une réalité : Jésus remettait en cause les dirigeants religieux, et disait qu'ils ne suivaient pas le droit fil du judaïsme. Comme il était très certainement intelligent et qu'il commençait à être écouté, ces dirigeants ont pris peur, il ont pensé que leur pouvoir était en danger, et ont préféré l'éliminer. Voilà c'est ça la réalité de la crucifixion. On en a tué d'autres aussi qui gênaient : je pense à Jaurès, Kennedy, Peut-être César lui-même, Napoléon, qui a été éliminé d'une autre façon... Robespierre... Le Duce !... On a souvent essayé pour Fidel Castro, Réussi pour le Ché... pour Allende... On toujours a éliminé plein de gens qui gênaient.
  18. Depuis que je demande à des croyants de me parler de leur foi, là vous êtes en plein dedans ! Bravo ! Mais j'en reste médusé ! Le "moi" de Jésus Christ ? C'est intéressant de lui en donner un. Pour son sur-moi, on imagine facilement : Dieu ! Et son "ça", ou son inconscient vous l'envisagez comment ? Je ne cherche pas du tout à polémiquer, mais je pense (perso) que notre conscience et la conscience en général est un effet (ou un dommage si l'on voit ça avec humour) collatéral de l'inconscient. (Ainsi les animaux qui ne sont qu'instinct -pas tous, bien sûr, la plupart- ne "tournent" que sur l'inconscient et n'ont de ce fait pas de conscience, -n'ayant pas à proprement parler d'inconscient puisque n'étant qu'inconscience-.) Il me semblerait donc nécessaire si l'on considère le "moi conscient" de Jésus de s'interroger sur son inconscient. Vous me suivez ? Pas d'inconscient pas de conscience. Et Jésus et même Dieu ne peuvent qu'avoir une conscience... (PS : je vous parle avec le coeur !)
  19. Je doute que les juifs "qui restent" aient tous plus de 2000 ans et les musulmans plus de 1500 ans. Il semblerait que les chrétiens, eux, oui !
  20. On s'en fout du porc ! Jésus Christ a réglé le problème une fois pour toutes en disant que ce n'est pas ce qui entre dans notre bouche qui nous rend impurs mais ce qui en sort (ce qu'on dit). Sur ce sujet, les juifs et les musulmans sont restés arriérés. Circulez, y'a rien à voir ! Et je ne suis pas chrétien le moins du monde.
  21. C'est quand même un comble. Je dis que Dieu préfère la chair (un peu pour plaisanter) à préférer Abel, et Vintage dit que c'est parce que Caïn ne lui a pas donné ses plus beaux fruits. J'ai pensé qu'il pouvait plaisanter mais j'ai vérifié ce que dit "le" texte. Il pouvait avoir raison et ce détail pouvait m'avoir échappé. Mais effectivement il n'est rien précisé en ce sens. Je le signale, et chacun peut vérifier. Mais non, "on" continue dans ce sens ! Je résume : Un problème se pose, une preuve flagrante est présentée, le texte lui-même, mais ça ne change rien. Le délire continue. On continue à nier l'évidence. Que voulez-vous que je vous dise ? Rien. On est dans la quatrième dimension.
  22. Je viens de vérifier (Ma Bible ne me quitte pas !) Il n'est pas question de cela. Il est précisé que Abel lui a donné du gras aussi. Dieu aime le gras, donc Il a préféré Abel, par pur chouchoutage !... Et parce qu'il préfère la viande et le gras.
  23. Est-ce que si j'avais reçu la Révélation, les pucerons ne viendraient plus sur mes fèves ? That is the question. Si oui, ça mériterait que j'y réfléchisse.
  24. Je vous rappelle quand même que Caïn a tué Abel, parce que Dieu avait préféré ce dernier qui était allé se promener avec ses moutons à Caïn qui avait trimé comme un malheureux à planter ses choux et ses fèves. Dieu aime la chair ! (Tiens, au fait ! il faut que j'aille les semer mes fèves si j'attends le printemps, c'est les pucerons qui vont en profiter... Des pucerons inventés par Dieu, j'imagine ? il veux vraiment pas nous faciliter la tache !)
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