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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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ça, c'est Atome kid !
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On est pareil ! Mais on est obligé de reconnaître que faire passer des braqués contre à la simple expectative, c'est fort ! C'est bien joué ! En fait il a pas grand chose à faire pour être meilleur que les précédents. On a eu un cowboy, un gourmand, et maintenant... Jupiter ! Comment y croire ?
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Et je le prouve ! C'est la honte absolue ! ON ME DIRAIT UN AMERICAIN !
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Premier Grenadier Voltigeur ! (Excuse du peu !)
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Enigme : Tenez, et moi qui vous parle (et qui ne mens jamais !) , j'ai fait du chameau à douze et pourtant j'étais seul sur mon chameau... Ce "douze", c'est un vrai mystère... @jeandin et si Ezechiel , avait juste rêvé ou fait un cauchemar avoue que ça aurait l'air bête de passer des heures à vouloir justifier son délire. La veille, il s'était endormi dans la rue, assis, contre sa maison. C'était l'heure de la sieste. Et petit à petit il a glissé sur le côté et s'est retrouvé la tête... dans la caniveau. (un peu comme Gavroche!). Soudain, un grand bruit le réveille : c'était la charrette du maraîcher qui ramenait ses carottes, ses tomates, ses poivrons et ses haricots du marché. La roue lui est passée à 15 centimètres du nez... Il a vu cette roue... ENORME en gros plan... Et il a compris sur le champ que s'il n'avait pas été écrabouillé, ça ne pouvait être que grâce à une intervention divine. Et la nuit, il en a rêvé. La roue, c'était bien Dieu : il ne s'était pas trompé ! On ne vous dit pas tout dans les textes sacrés ! Heureusement que je suis là pour compléter... Quand je pense qu'il y en a qui croient que c'est une soucoupe volante d'extra-terrestre qu'il a vue, Ezéchiel ! Pourquoi voudriez-vous que des extraterrestres ramènent des carottes d'un marché palestinien sur une charrette ?!!! En plus, les carottes les tomates les poivrons et les haricots, y'en avait même pas là-bas à cette époque ! Avec ou sans charrette, avec ou sans soucoupe, même des martiens n'auraient pas pu en ramener du marché ! CQFD ! Ou alors, il aurait fallu qu'ils fassent une première halte au Mexique, remplissent leurs charrette avec des légumes de là-bas... Mais comment traverser l'océan en charrette ? Hein ? vous y avez pensé à ça ?!!! Même en mettant la charrette sur un radeau, les légumes seraient arrivés complètement fanés, desséchés, au marché ! Tout le monde se serait moqué d'eux ! Or, personne ne l'a remarqué, parce que les clients, au marché, ils sont intraitables sur la fraîcheur des produits ! S'ils s'en foutent il se rabattent plutôt sur les petits pois ou les lentilles en conserve, de l'épicerie, ça c'est sûr ! Moi, je le dis toujours : le marché, c'est LA fraîcheur ! Donc... Il n'ont pu traverser l'océan qu'avec leur soucoupe ! Patce que une soucoupe, ça file vite et ça permet de préserver la fraîcheur des produits. Et vous voulez que leur soucoupe roule à la verticale à 15 centimètres du nez de Nezéchiel qui s'était endormi par terre contre sa maison ? Mais toutes les cagettes de légumes se seraient renversées !!! C'est totalement invraisemblable !
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En tout cas ça veut dire quelque chose d'être insoumis. "En marche" on peut aussi bien marcher vers la soumission que vers l'insoumission. ça dit tout et rien. Mais l'absence de sens est à la mode. Et ça trafique notre cerveau, la mode... On va finir par trouver absolument génial de n'avoir aucune idée... ça s'appelle aussi le snobisme... Il faut en avoir les moyens. Marchons ! Marchons ! ...etc.
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C'est le sens de ce nom qui m'interpelle : La République En Marche. (Soyons clair, si Macron et son équipe arrivent à améliorer les choses, je signe tout de suite ! Et le fait qu'il soit jeune, je trouve plutôt ça sympa.) Non c'est le sens du nom de ce parti. Quand je l'entend, j'ai envie de rire, tellement ça ne veut rien dire ! Et pourtant, plus de la moitié de la population semble adhérer ! Ce nom me fait l'effet d'une blague : on ne devrait pas oser dire des trucs pareils. C'est le vide. Une imposture... mais ça marche ! ça marche, pardi, c'est fait pour ! ça le dit ! Tout l'intérêt de la marche c'est d'aller quelque part, pas de marcher pour marcher : Autant s'asseoir et regarder les sportifs qui se fatiguent ! (Passons sur le fait que "la France en marche" était un slogan pétainiste. Juste à mettre au compte de l'ignorance. Encore que le nom même de République y était mal vu.) On peut marcher vite, doucement, vers la catastrophe !... Et, et, et.... "la République En Marche", ça veut tellement rien dire qu'on peut très bien le comprendre comme "la République En Marche Arrière" ! (On a été échaudé : des "républicains" qui sont peu ou pas républicains, des "socialistes" qui ne sont pas socialistes ! On en comprend l'astuce : En Marche ça ne dit pas où l'on va : on ne ment pas puisqu'on dit... rien ! Les nouveau élus se font une gloire de venir du... PRIVé ! Le privé c'est formidable ! c'est l'efficacité, la compétence... etc. Mais la République, c'est la "res publica" pour autant que je me souvienne. La "chose publique". Et le"le privé", c'est bien son contraire ?! Non ? Alors, pourquoi ne pas changer de nom ? Désormais nous vivrons sous le régime politique de la "res privata" ; en français : VIVE LA REPRIVATE ! (Il s'agit bien de la République En Marche Arrière...)
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Qui dit ontologie dit métaphysique ; entièrement d'accord. (Je ne dis pas ontologie ! à partir de l'idée que l'être (pur) n'est rien.) Je vais relire le passage de Sartre sur la jeune femme qui ne retire pas sa main !...
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J'aimerais bien en être capable ! Y'en a que oui ?
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Je comprends pas !
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Non ! Mentir c'est être conscient au moment où l'on ment que l'on ment ! Le refoulement fait du refoulé un inconscient. Le "sujet de l'inconscient" ce n'est pas nous, c'est l'autre en nous : on l'a assez dit !!! Je l'ai dit mais la mauvaise fois reste pour moi un mystère si elle ne fait pas intervenir l'inconscient. Le refoulement ne se contente pas de dissimuler : il élimine du champ conscient. Enfin, je crois... Si on fait toujours semblant, si l'on part du principe que l'inconscient n'est que feint, il n'y a plus de psychologie possible : tout devrait se régler facilement par la logique. Il faudrait pouvoir s'entraîner ou s'habituer à penser que le conscient n'est pas l'essentiel (de l'esprit) mais simplement un reliquat bâtard -à la marge- de l'inconscient.
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Je réalise que c'est à la suite de ce que je viens de dire ! "Le mot n'est jamais la chose" là, je dis : Bravo ! Mais est-ce mentir ? Le mensonge reste volontaire (à l'aune de l'inconscient ou de la mauvaise foi). Du fait que le mot ne soit jamais la chose, on n'en ment pas pour autant : on est dans l'erreur !
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Je dirai ni oui, ni non : ça pose problème ! Pour moi, la mauvaise foi reste un mystère. Sartre parle de mauvaise foi pour éviter de passer par l'inconscient. Moi... (pas peur le Blaquière : Sartre dit... mais moi, je dis !...) N'empêche que la mauvaise foi reste un mystère. Si Sartre a raison, elle serait intermédiaire entre le conscient et l'inconscient. Elle serait un conscient que l'on refoule consciemment ! Mais le résultat serait un refoulé quand même qui dès lors devient inconscient. (L'exemple de Sartre, je crois me souvenir est la jeune femme qui ne retire pas sa main qui entre en contact "fortuitement" avec celle du jeune homme ; elle a forcément conscience de ce contact mais feint de l'ignorer. Pour Sartre, la mauvaise foi est un faux inconscient, je dirai. Bien sûr on peut la rapprocher (la mauvaise foi) du mensonge donc du conscient, mais la vraie mauvaise foi, pure et dure (efficace pour soi !) va plus loin que le mensonge (conscient) pour être fermement niée par celui ou celle qui la "commet". Déjà, on peut remarquer que le menteur a souvent tendance à croire (un peu) en son mensonge... Quand il ne le fait pas cela relève du parfait cynisme. Peu en sont capables. Croire -en partie- en son mensonge c'est aussi ça, adhérer à ses pensées...
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Sa valeur au regard de la vie, c'est tout le travail (ou développement) psychique (inconscient) qui a conduit a affirmer cette proposition. C'est l'intérêt que l'on en tirera plus ou moins sans le savoir, sans le reconnaître ni se l'avouer. La vérité première de cette proposition, c'est sa cause. C'est pourquoi on l'énonce. On comprend qu'il s'agit plus d'affirmer un certain intérêt (vital, organique, psychologique, égoïste) que d'énoncer une quelconque Vérité universelle. Ainsi ce sujet précisément : Peut-on se passer vraiment de métaphysique ! N'est pas une question, mais dit qu'on ne peut pas s'en passer. ça fait du bien à celui qui l'a posée de penser cela. Finalement, ce n'est pas à d'autres (à nous) mais à celui qui l'a posée de comprendre l' en quoi, le comment, le pourquoi de ce... "plaisir", En quoi la métaphysique lui est baume... Moi je dis non car elle m'est blessure (!) c'est MA vérité, et la Vérité avec une majuscule n'y a pas sa part. Le "c'est vrai que..." est bien de la poudre aux yeux. De la poudre à ses propres yeux pour se cacher que la Vérité n'est pas notre problème. Alors, si toute pensée prétend à la vérité, n'est que de prétendre à la vérité, toute pensée est forcément fausse. Pourrait-on se résoudre à convaincre l'autre d'accepter son mensonge ou son erreur ? Ou faire sien son propre problème ? Et c'est pourtant bien ça, convaincre autrui ! (Finalement, prétendre à la Vérité nous aide beaucoup... psychologiquement !)
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Pas de pot ! tu choisissais la phrase d'à côté et on était d'accord !!! (On s'amuse!) Je sais les deux options : la métaphysique parlerait soit de Dieu(etc.), soit des choses en soi. Les choses en soi qui ne peuvent être l'objet d'une connaissance objective (à sortir du cadre de l'expérimentation) si l'on considère que les sens ne perçoivent que les phénomènes (i.e. les choses... "pour soi"). D'accord. Mais cette conception de la métaphysique, bien que moderne ou actuelle est-elle légitime (à savoir la connaissance improbable du monde en soi). En tant que connaissance, sans doute n'est elle pas la nature du tout (ni en soi ni pour soi) mais la connaissance de cette nature. Mais tout de même.. il est dur d'accepter que la nature qu'elle soit en soi (en elle-même) ou pour soi (dans sa façon de nous apparaître) soit au delà de la nature... Ou alors réduire la signification du terme de nature (la physis de la métaphysique) à sa seule apparition (perception, phénomène) pour nous. Le concept de nature me semble un concept implicitement objectivé. Quand bien même pas nécessairement connaissable en soi. (Je m'exprime peut-être mal, ou lourdement, mais vous saisissez ce que je veux dire ?...) On en revient au pb : la pensée est-elle elle-même et toujours métaphysique ? Non !... Jamais ! (Là j'exagère un peu !) (Puisqu'elle est ou dépend dun mécanisme physique.) (Et l'on pourrait déjà entrevoir que "la nature pensée" ou "penser la nature" est un autre mode d'existence (voire l'avènement d'une certaine forme d'être) de la nature", bien sûr précédé par son existence pure, dure et brute. En soi. Mais ce n'est que le fait pour nous de penser la nature qui lui confère cette forme (légère !) d'être. (Dont la nature (le monde) se passent très bien... EN SOI !!! (Qui existe -j'en accepte volontiers l'hypothèse !- avant et sans nous.) Non ! En fait la notion de métaphysique n'est acceptable ( relativement !) qu'au regard du sujet sur lequel elle s'interroge. Un sujet qui (à mon avis) doit se situer "au delà" -en un certain sens- de la réalité, du réel. Et ne plus se cantonner ni à une démarche de la raison ni s'inquiéter de preuves effectives, mais s'affirmer avant tout comme croyance. Le sujet devient alors (je passe mon temps çà redéfinir le sujet !) "Peut-on vraiment se passer de croyance ?" Sans oublier le principe Kantien qu'il faut "abolir le savoir pour laisser une place à la croyance"... à la métaphysique.
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Pour accepter ces jugement a priori ( synthétiques?!) Il faudrait déjà démontrer qu'on peut être intelligent sans penser.
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Peut-on vraiment se passer de métaphysique? Tout dépend d'où l'on a décidé de placer le curseur. Et cela devient une question de définition. Méta-physique : "Après la physique". Qui devient "au delà de la physique". Et... "au delà de la nature". "Surnaturel" ? L'esprit et la pensée sont-ils de la mature ? Sont-ce des phénomènes naturels ? Pour autant qu'on les connaisse, les neurones, leurs liaisons électriques... oui : tout cela est naturel, chimique, physique (tiens !). L'esprit est un phénomène biologique. La vie est-elle naturelle ? Il semblerait. On n'y trouve pas de causes surnaturelles. A moins que ... Dieu, l'âme, l'immortalité. Mais sans aller aussi loin, le vivant est un autre mode d'organisation ou d'existence que le... minéral. J'ai déjà dit que la vie rend probable l'esprit. (Reproduction, sexualité, donc prise en considération obligatoire de l'autre -qui est plus que le non soi- et donc de soi, de sa propre existence, et peu ou prou d'une certaine conscience de soi. (Qui se construit par rapport à l'autre.) )La vie s'achemine donc (à mon avis) vers l'esprit. Il n'empêche que l'on peut constater un effet de seuil. De même que la vie est autre chose que le non vivant, la conscience (l'esprit) au delà d'un certain développement est autre chose que le simple vivant. Mais cette montée en puissance reste progressive... On pourra donc décider d'appeler métaphysique tout ce qui touche à l'esprit. Mais ce sera en changeant le sens de "métaphysique", s'il s'avère que l'esprit reste un phénomène naturel. Et n'est pas surnaturel. Or quand on parle de métaphysique, (aujourd'hui) c'est ce genre d'idée qu'on désigne ; le surnaturel ; Dieu, l'âme, l'immortalité, les jugements synthétiques a priori (!)
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On ne peut pas laisser passer ça ! L'envie de chier ne renvoie qu'à la sensation de tripes en bataille ! Mais le phénomène de la pensée ne nous est pas propre (Cf ci dessus!). Mon chat qui n'est pas particulièrement intelligent, comparé à d'autres que j'ai pu avoir fait montre d'un comportement psychologique certain. Les voisins ont un petit chien un Yorkshire. il est vraiment minuscule. Et il passe sous la haie pour venir nous voir. On lui donne un morceau de jambon de temps en temps. C'est amusant cette petite bête. Et avec mon chat (qui est plus gros que lui), ils vivent relativement en bonne intelligence. Le chien se couche pour montrer qu'il n'est pas agressif, et tout se passe bien. Hier, je lui ai parlé au chien : "Mais qu'est-ce qu'il fait ce petit toutou ?" (Ou un truc du genre.) Or mon chat, lui, ça lui a pas plu ! Il est immédiatement monté sur mes genoux pour faire comprendre à tout le monde au chien, à moi... que lui seul pouvait prétendre être mon préféré. Il y a de la jalousie, de la personnalité, une affirmation, une démonstration dans tout ça : ce comportement est le résultat d'une "pensée" assez complexe d'une certaine conscience de soi par rapport aux autres... J'AI UN CHAT METAPHYSIQUE ! (Et je l'ai déjà dit, en plus, il est particulièrement couillon !)
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Je dirai même mieux ; dès qu'on interprète, on se fourvoie dans la métaphysique !...
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Je me demande si je vais faire tremper les graines de persil 48 h avant de les semer comme il est conseillé ou si je les mets directement en terre en prenant soin de tenir toujours humide. Je pèse le pour, le contre : je pense ... C'EST DE LA METAPHYSIQUE !
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Oui ! Il y a cette distinction essentielle du corps et de la raison. Mais la pensée de Platon me fait plus l'effet d'une mystique de la raison. D'une mystique de la Vérité. Qui à se dégager du corps, deviennent délirantes. On nous habitue à distinguer les présocratiques de Platon; un peu avec ce jugement : "Enfin Socrate vint !" Démocrite était-il un de ces "présocratiques corporels"? Platon lui reproche de ne pas être venu assister à "l'exécution" de Socrate ! C'est donc un pré-post-socratique... "Chez Platon, et encore plus Aristote, le corporel cède au théorique." On pourrait aussi dire que chez Platon, le réel cède à l'imaginaire. C'est bien ça la métaphysique. C'est d'autant plus curieux chez Aristote qui étudie la nature ! Pour eux, le réel doit se plier aux exigences de l'esprit ou de la raison. Chez Descartes aussi ! Dans la démarche scientifique moderne (expérimentale), c'est le réel qui contrôle l'esprit. J'en apprécie la modestie de la raison, de l'esprit. L'idée de pensée sauvage m'était floue, je m'attendais un peu à un délire de Claude Lévi-Strauss ! Mais en le lisant je me suis trouvé particulièrement en phase avec ce qu'il dit ! (Bien sûr que l'esprit d'un "sauvage" n'est pas différent de celui d'un scientifique ou d'un philosophe contemporain !) Les deux étant des pensées... mécaniques ! (je ris !) (Je m'attendais un peu à une conception mystique (encore!) de la pensée chez Strauss.)
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Je ne vois pas la contradiction. Notre esprit est une mécanique, fonctionne mécaniquement. Le plaisir, s'amuser tout cela reste mécanique... Délirer est mécanique ! Très complexe, mais mécanique. Si ça n'était pas mécanique, notre "âme" par exemple serait immortelle et Dieu existerait, or...
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La question de départ se transforme donc en "la pensée est-elle un phénomène métaphysique?" Et j'y réponds immédiatement : non ! La pensée est un phénomène entièrement naturel et pas "métanaturel"pour deux sous. Il y a souvent une surévaluation de notre capacité de penser. Une amibe est-elle métaphysique ? Non ! Dès lors que la vie sous sa forme la plus simple existe, par sa simple évolution, "la pensée est dans ses cartons". Elle est possible, probable. Je veux dire que dès que la reproduction sexuée se met en place (la reproduction étant le centre de la vie), pour que la vie se perpétue, il est nécessaire qu'un individu ait recours à un autre individu. Il est donc obligé de prendre en considération qu'il n'est pas seul et qu'il a besoin de l' AUTRE. Il est "contraint d'entrer en relation, de considérer que l'autre existe. Il suffira d'attendre le temps qu'il faut, le temps nécessaire pour que que la psychologie et donc l'esprit s'installe. A des degrés différents, mais il n'y a pas de différence majeure entre un animal rustique ou primaire et nous. Bien sûr la qualité de mammifère va aider à cette montée en puissance de la psychologie. Ce n'est qu'une différence de niveau, de complexité. L' hypertrophie de nos facultés intellectuelles a ses avantages et ses défauts. Des avantages comme comprendre, déduire, résonner, inventer, et des défauts comme les religions ou la métaphysique... (En dehors de la nature, il n'y a rien. Si notre esprit n'était pas de la nature, il ne fonctionnerait pas !) Pour appuyer le fait que nous surévaluons notre esprit (qui n'est qu'une mécanique), je dirai qu'il se développe sur le mode de l'erreur. Penser c'est se tromper. C'est "manipuler" non pas le réel mais des représentations de ce réel. Et ces manipulations-représentations peuvent soit revenir sur le réel (qui les recadre) soit déboucher sur des délires... Ceci dit, c'est aussi bien amusant de délirer ! Puisqu'on le peut...
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Et donc ?
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Je pouvais pas t'imaginer autrement que comme macroniste !!! (Le vide absolu !)
