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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Mince ! j'en reviens pas ! J'avais donc vu juste ?! Que voulez-vous :moi, la physique... je la ressens ! Donc me voilà au bout d'un certain temps arrêté au centre de ce monde. Logiquement, là, mon centre de gravité perso, (peut-être au niveau du nombril ou plus bas si j'ai de grandes jambes, mais restons correct !) doit coïncider exactement avec le centre de gravité de ce monde ?! Mais à partir de la, toutes les forces d'attraction se dirigeant vers mon nombril, ma tête va vouloir descendre ? Mes pieds, monter ? Ne risqué-je pas de diminuer, de me ratatiner, d'imploser vers/sur mon nombril ? En espérant que ni Azad2B ni Repy, ni Hérisson ni Oldman ni Italove ni tous les autres (Bande d'escogriffes !) n'aurez pas l'idée saugrenue de balancer tout ce qui vous tombe sous la main dans le trou !
  2. Ce ne serait pas le contraire que tu veux dire ? Si tu (ou nous) as (avons) tort, nous le saurons à notre mort, mais si c'est ce qui croient (en l'au-delà) qui ont tort, personne n'en saura jamais rien... (si je t'ai compris!) C'est un peu le pari de Pascal ! Si on croit, on n'a rien à perdre ! Puisqu'on ne saura jamais qu'on a perdu. (Bien, ce que tu disais sur ton père. C'est dur aussi...)
  3. Blaquière

    La langue d'oc

    La leçon de français… C’est un morceau d’anthologie (à mon avis!). L’auteur, Marius Trucy. Un "poète" provençal de Lorgues (Haut var). Trucy Critiquait Mistral en disant « pour Mistral, tout est poésie ! ». On pourrait penser que pour un poète c’est bien la moindre des choses ! Bien sûr c’est le lyrisme de Mistral qui le gênait. Et en un sens il n’avait pas tort. Sa Provence à lui, Marius, c’est une Provence rustique qu’il veut être la « Vraie Provence ». Le succès de Mireille, d’une Provence qui à son avis n’existait pas a pu le faire enrager. Mais ce qui est curieux, c’est que pour son « Margarido » qu’il concevait comme une « Mireio » véritable, bien réelle, contrairement à celle de Mistral, il a employé le mètre exact des strophes de Mistral ! Le passage où ses deux paysans qui comparent le français au provençal, et qui termine l’introduction à son poème « Margarido » est savoureux. Quelques mots nous manquent seulement. Je mets la version en français. Le texte provençal viendra plus tard…. "Légende" Écoutez la belle besogne qu'ont faite ces « sans vergogne » deux paysans l'autre jour, marchaient en se disant Maudits soient les chemins de fer ! Que l'éternité les emporte ! Ils ne viennent ici que pour nous prendre que ce que nous avons de meilleur; et qu’est-ce qu’ils nous apportent ? Rien ! Mais François dit : – Et si qu'ils nous apportent des beaux « Françiots » qui nous importent une langue nouvelle; c’est rien, ça ? Tonnerre de l'air ! Croirais-tu, Dominique, qu'à Marseille on appelle enfant une fille ? Qu’un voulamé, est une faucille ? – Pas possible ! – C'est sûr ! Je le sais depuis hier ! Une camié, ils l'appellent chemise pour grafien, ils disent cérise la chichourlo est jujube et cinq centimes, un soou ! le magaou, ils l'ont baptisé pioche; jeu de boule, le jué dé bocho ils disent béquille pour dire crocho -- Où allons-nous, mon pauvre François ? -- Qui tonnerre de Dieu le sait ? C'est pas tout !.. le tourdré, ils l'appellent la grive, à présent, la bugado, c'est la lessive; tapéno, se dit câpre, — et banéto, haricot ! chat-huant veut dire machoto ils nomment cave ce que nous appelons croto nos boutièro sont des botes... -- Mais, François où allons-nous donc? Où allons-nous comme çà ? Pour dire tranèlo, ils disent trèfle; les gnaspou ils les appellent nèfles. Ah çà mais... fit Dominique ils ont donc tout renversé ? J'ignore, Dominique, quel diable les possède mais ils appellent téton ce que nous nommons pouço le mot recuite, à présent, signifie brousso. (?) -- Mais enfin, François, ils donnent leurs raisons ? -- Ils nous traitent d'arriérés ! Tu n'es pas au bout, mon camarade ! la mingrano est une grenade un esqueirar, solive et conque un caraviou aux pécègué, ils disent des pèches une eissado, ils l'appellent bêche; jusqu'à l'agrupi, qu'ils disent crèche -- Oh les misérables! C'est donc pour se moquer de Dieu ? Croirais - tu que ce que nous appelons blé ils le nomment mâche (?) qu'une déstraou est une hache? Tiens pour te dire tout, il y en aurait jusqu'à demain !... l'aïgarden se nomme eau de vie; une booudufo, une toupie, une boufigo une vessie. Dominique l'arrête en s'écriant: -- François, nos dieux s'en vont ! -- Oui, ils s'en vont de notre présence ils vont chercher dans une autre Provence le ciel bleu, l'air si pur, et l'eau de nos fontaines Ils vont fonder, sur d'autres rivages, nos gracieux pèlerinages et nous verrons nos antiques usages disparaître peu à peu. François nos dieux s'en vont ! La dernière strophe, quand Trucy s’essaie au Lyrisme… C’est… un peu à côté ! Il tombe vite dans "ma belle Provence" !... il est à noter aussi l'incohérence entre "se moquer de Dieu" et "Nos dieux s'en vont"... Mais c'est aussi le reflet de l'opposition idéologique ou politique de l'époque "blancs-rouges" particulièrement vive dans le haut Var à cette époque : Trucy n'arrive pas à choisir...
  4. "Ou est l'amour là-dedans ?" Mais c'est bien ! Tu as presque compris ce que je voulais dire !
  5. Tu sais ce que tu dis, là ? En fait tu dis que c'est stupide de croire. Stupide de croire sans savoir. Mais au lieu de dire "pas du tout, je ne suis pas stupide!" et de le prouver, et de montrer que tu sais, tu dis : "Ouais, et puis les autres sont aussi bêtes que moi !" La belle affaire !
  6. Je résume : croire a deux sens : croire et ne pas croire ! De même, Blanc a deux sens : blanc et noir... Grand a deux sens : grand et petit... Rond a deux sens : rond et carré... Intelligent a deux sens : intelligent et bête... Parler a deux sens : parler et se taire... Bleu a deux sens : bleu et jaune ! Non ! Bleu et rouge ! Non bleu et vert... non ! Bleu et... et... Allez, multicolore et n'en parlons plus. Je parle, je parle et je ferais mieux de me taire. Tiens, j'ai rien dit !
  7. Meuh non ! "Un' demoisell' sur un' ba-lan-çoire !" ... etc.
  8. Quel dommage ! Bon l'idée d'un trou qui transpercerait de part en part la terre me plaît ! D'accord, dans la terre, avec le "feu" ou la chaleur, le noyau central c'est pas possible. mais imaginons une planète de la taille de la terre entièrement refroidie... ça doit bien pouvoir se trouver ça, quelque part ?! Et on la perce de part en part... et on se jette dans le trou ! qu'est-ce qui se passe ? On s'arrête au centre ? Je ne crois pas... Avec la vitesse acquise, à mon avis, c'est sûr qu'on va le dépasser le centre... Et on va commencer de remonter de l'autre côté.... Jusqu'où ? Jusqu'à la surface de l'autre côté ? Ou on s'arrêtera un peu avant ? Et puis, on va retomber vers le centre ! Ce va et vient pendulo-oscillatoire va durer... UN CERTAIN TEMPS... S'il ne s'arrête pas, c'est... le mouvement perpétuel !... D'un autre côté, ce serait pas une vie, ça...
  9. Vous faites passer des trucs dans les fentes... ça commence à m'intéresser la physique ! (Mais que je suis con !)
  10. Blaquière

    ça pousse chez vous ?

    On pourrait même ajouter : quelle beauté, quelle... GÉOMÉTRIE !
  11. Blaquière

    ça pousse chez vous ?

    Quelle force, quelle puissance on sent là dedans !
  12. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Fait hier : "La cicatrice" :
  13. Heu !... Je croyais que c'était ironique ! Enfin, ça l'est mais pas vraiment si j'ai bien compris !
  14. Blaquière

    La langue d'oc

    Tu te fais du mal, là ! Français : "galiote" Provençal XIVème : c'est bien lisible ! Il st à remarquer que Mistral quand il cite Bertrand Bouisset : Fait deux erreurs : le "i" de "galeota" et le "s" de 'breganson"... Le provençal du 14ème correspond à son "roman" (qu'il note "rom"), et pourtant il ne site la graphie "galeota" que pour l'espagnol : A-t-il eu accès à l'original ? Si oui, il peut s'agir d'un effet idéologique pour "prouver" que le provençal moderne reste proche de celui du moyen âge. J'ai souvent remarqué que le provençal, encore au 16ème, en tout cas dans l'écrit est assez proche de l'espagnol. Quand on y voit l'article "les" écrit "los" (puisque le "o" se prononce "ou"), ça en devient frappant ! Et je forme l'hypothèse que les provençaux du début du 16ème (du temps de la rivalité François 1er / Charles Quint) pouvaient mieux se comprendre avec les espagnols qu'avec les français... L'Edit de Villers Cotterêts, en 1539, l'année suivante de l'entrevue des deux princes à Nice en 1538 où les gens d'armes des deux camps se sont certainement côtoyés, pourrait en prendre un sens un peu différent... Ce n'était peut-être pas que le latin qui était visé... Mais tout particulièrement le provençal ? J'avais d'ailleurs été amusé de trouver dans les archives du village à propos des espagnols : "los espanhols inimics de notre prinse" (les espagnols ennemis de notre prince) : c'était pas les leurs d'ennemis !!! Mais c'est aussi un trait de profonde sagesse populaire.
  15. Dire que "nous trouvons en tout/s cette volonté de liberté" c'est peut-être trop dire 'Nous trouvons en tous cette volonté de vivre", là je suis d'accord... Mais ce serait aussi ne rien dire ! Puisqu'on vit, c'est forcément qu'on veut bien vivre. Quand ce ne serait que très passivement. Dans l'ensemble des réponses que je lis (des croyants) j'ai comme l'impression que l'impasse est faite sur la psychologie. Comme si tout le monde était parfaitement clair et transparent pour lui-même. Le vieux "connais-toi toi-même" semble ne poser de problème à personne. Ainsi certain -ou certaine- annonce ne rien prendre qui vient de l'extérieur, ou des hommes.... Mais notre "intérieur" psychique, (en dehors des données structurelles biologiques ou physiologiques) n'est construit, n'est meublé que d ce qui se trouve à l'extérieur ! Qu'en fonction des autres hommes !... Le simple langage qui nous permet de penser vient de l'extérieur il n'est pas du tout notre fait. Ainsi, penser pouvoir ou avoir trouver le "Vrai Dieu", c'est avoir décrété que le vrai Dieu existe ou puisse exister avant même de penser à le chercher. Et c'est cette décision, ce décret a priori qui... pose problème, qui mériterait que nous nous posions la question de son origine. Et là, pour une fois, son origine... je la connais ! C'est les autres ! Il est donc étrange de penser trouver le "vrai Dieu" en faisant abstraction des autres, alors que cette cette idée même de Vrai Dieu vient d notre culture, de notre expérience au contact des autres... On le voit bien puisque dès qu'on pense "vrai Dieu"n Paf ! c'est la figure de Jésus Christ qui apparaît ! C'est lui qui va nous enseigner la voie vers le Vrai Dieu... Mais tout ça, c'est très local, très culturel. Même à l'échelle de l'humanité, le principe "Vrai Dieu - Jésus Christ" est très minoritaire... alors, représentons nous à l'échelle de l'Univers... Pourtant les mots ont un sens : Vrai, C'est vrai ! Et ça devrait l'être partout et toujours... Là encore, ça a été dit ! "Dieu est en moi". C'est ce que nous avions dit plus haut. Un équivalent de Dieu (un petit Dieu !) C'est moi. "Dieu m'habite" (ne rions pas !) Il serait plus exact de dire "je sens Dieu en moi". Sentir... ressentir... Et l'on s'achemine vers le sentiment... Soyons rigoureux ! Je n'ai guère que le droit de penser "je crois sentir Dieu en moi", 'j'ai cette impression". Et si je considère que ce Vrai Dieu - Jésus Christ que je crois vraiment ressentir en moi, vient forcément de l'extérieur, de ma culture, de mon langage, des psaumes que j'ai lus... cela complique l'affaire pour s'y retrouver soi-même. La question à se poser, c'est pourquoi veux-je que Dieu ou le Vrai Dieu existe... D'où me vient ce besoin, ce désir (historiquement -dans mon histoire personnelle-, moralement -idem-) ... etc. plus que les Dieux "de rencontre" eux-mêmes (Dieu-Jésus, Allah, ou Yahvé que la vie a pu me proposer au cours de mon chemin Parce qu'une fois que les dés sont jetés, qu'on veut une chose, qu'on a décidé qu'elle nous est nécessaire, la moindre psychologie nous incite à penser qu'on a tôt fait de prendre des vessies pour des lanternes. On risque d'être victime d'une sorte "d'autoallumage" ! D'auto-hallucination ! Peut-être que toutes les anciennes religions, tombées en désuétude pourraient nous permettre déjà de relativiser nos croyances ? Quand je vois une cathédrale, je me dis, "pour pouvoir construire un tel truc, c'est qu'il doit forcément "y avoir quelque chose"" ! Puis je regarde un temple de Zeus avec ses colonnes gigantesques, et je dis "Il doit forcément y'avoir... eh ben non ! Zeus... y'a pas !" C'est vraiment culturel... Mes sentiments, mes impressions sont des phénomènes, objectivement -chimiquement!- réels, mais dépendent entièrement de représentations totalement ou très majoritairement culturelles.
  16. Tu veux dire peut-être que Dieu c'est l'infini ? Pourquoi pas ! Ce serait une autre définition de Dieu. Mais sans doute en désaccord (à mon avis) avec l'idée de Dieu que se font toutes les religions. Y a-y-il une différence entre dire "Dieu est infini" et "Dieu c'est l'infini" ? Et aussi on peut se demander s'il n'y a qu'un infini ou plusieurs ? Une certain logique tendrait à nous faire penser qu'il n'y en a qu'un. (Puisque il contient forcément tout ?) Alors Dieu est et c'est l'infini ? Il contient tout ? Dont nous ? Nous sommes une partie de Dieu ? Pourquoi pas ?! Le problème, c'est alors l'esprit, la pensée. (Avec l'idée que penser reste... ponctuel, penser c'est sélectionner choisir). Et "tout penser" penser le pour et le contre, les grand et le petit "EN MÊME TEMPS" (!) n'est-ce pas ne pas penser ? (Ce qui nous renvoie un peu au sujet sur "l'intelligence de l'univers") Si l'intelligence, l'esprit fonctionne par/comme une représentation, peut-on être à la fois, et une représentation et ce dont elle est la représentation ? L'opacité, la brutalité de l'existence rend bien légère "l'essence" même. La rend presque... décorative !
  17. L'idée c'est qu'ils ne savent pas qu'ils se servent de Dieu, ils croient que c'est Dieu qui les meut, ils sont persuadés que c'est Dieu qui les commande... qui les aime... qui leur montre la voie... C'est de l'inconscient ! Enfin... ON Y CROIT OU PAS ! (à l'inconscient !) Comment prouver comment savoir comment prendre conscience de ce que l'on désire inconsciemment ? C'est quand il y a parfaite adéquation entre ce que l'on souhaiterait et ce que l'on trouve en Dieu, qu'on est en droit de se dire qu'il y a anguille sous roche... C 'est le "trop beau pour être vrai" en quelque sorte... Perso, je pourrais dire que j'ai pas de patron... Et que je travaille que pour moi... En surface, c'est vrai, mais dans le fond pas vraiment ! Je me sens aussi obligé, toujours, pour des tas de raisons... En ce moment j'essaie un peu plus d'y remédier. La liberté c'est une lute de tous les instants... Il faut être fort... Je ne sais pas si je le suis vraiment... Où est la limite entre être fort et être insensible ou... cynique ?...
  18. Blaquière

    La langue d'oc

    Philippe Rigaud avait en 1984 sorti une étude sur "la capture d'une galeota catalane en Camargue en 1469"... (Je sens du Valls, là dessous ! )
  19. Blaquière

    La langue d'oc

    Je constate que Mistral, dans son Grand Trésor, rajoute ce "s" qui n'y est pas !
  20. Blaquière

    La langue d'oc

    Il reste que ton hypothèse d'une "galéote" venue de Bregançon n'est pas à exclure car on peut vérifier sur le texte que le mot de "breganso" (avec l'accolade sur le "o" pour remplacer le "n") n'est pas au pluriel puisque dans ce cas Boisset aurait écrit "bregansos", (avec l'accolade : "bregansons"). Il est rare qu'il commette ce genre d'erreur. Comment savoir si Brégançon était ou non réputé pour être un foyer de pirates au XIV-XV ème ? Je n'ai pas souvenir d'avoir lu ce nom dans les archives de Toulon au XVème en tout cas.
  21. Blaquière

    La langue d'oc

    ça a été rapide c'était qu'à la 27 ème page ! et encore au début y'a baucoup de pages en latin et j savais que c'était pas là ! Je ne sais pas s'ils venaient de Brégançon, mais ce qui est sûr c'est que c'était des brigands ! La vache ! les "martégaus", ils ont pas fait de quartier ! Et dire qu'aujourd'hui, ils passent pour des farceurs ! Mais il n'est rien dit sur les pêcheurs arlésiens qui avaient été enlevés.... L’an .M. CCC LXXXXIIII. Lo jorn. Quatre davost Fon .1. galeota armada de breganson al gras de rose e preron . XIIII. homes pescados darle an tota lur rauba et apres sen a- neron alila de martegue quant foron lay. las gens de lila salhiron sus la galeota et ausiron hi quatre homes e priron tots los autres que foron ennombr(on) los vieus .XVII. Lescrivan layseron anar quar pendet tot los autres. Ce qui semble vouloir dire (mot à mot) : L’an 1394, le jour quatre d’août fut une petit galère armée de breganson à l’embouchure du Rhone et ils prirent 13 hommes, pêcheurs D’Arles avec toutes leurs affaires (?) et après s’en allèrent à L’île des Martigues quand ils furent là, les gens de l’île sortirent sur (envahirent) la galère et y occirent quatre hommes et prirent tous les autres qui étaient en nombre (ou "en comptant"?) les vivants 17. Il laissèrent aller l’écrivain (le secrétaire) car il avait pendu tous les autres. J'ai fait rapide : y'aurait sûrement à retoucher. Il put toujours y avoir un contresens monumental : ça arrive ! Il sembleraient qu'ils aient fait pendre les "briganson" par leur propre "écrivain" . Il faudrait encore y réfléchir... je vais vérifier "pendet"... Non c'est bien le passé simple 3ème prsonne singulier de "pendre" [pèndré] (Fr=pendre !)
  22. Blaquière

    La langue d'oc

    Je vais essayer de chercher, si c'est dans ses chroniques, je trouverai....
  23. Blaquière

    La langue d'oc

    Oui ! Pour les habitants je ne vois guère que la forme provençale classique et générale : "lei bregançonencs" ce qui nous avance pas ! (et bregançonencos" pour le féminin.) (Tolonenc/tolonenco)
  24. Blaquière

    La langue d'oc

    Je viens de penser au navire "brigantin" depuis le XIII ème siècle et à une de ses voiles la "brigantine". Sur Wiki, on ne donne aucune étymologie...
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