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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Voilà ! C'est exactement ma théorie ! Ce n'est pas l'univers qui enfle mais la matière qui rétrécit ! Parallèlement le temps s'accélère. D'où l'accélération apparente de l'expansion qui est une contraction ! Et les trous noirs où la matière sous l'effet de la gravitation est "forcée" de se rétrécir encor plus vite que la "normale" sont assimilables à des plongées plus rapide vers le futur... Et c'est pour ça qu'ils ne disparaissent pas puisque les temps futurs sont infinis... La distribution temps-espace y est différente : aller vers le centre correspond à aller vers le futur. Le problème c'est que le chemin inverse, du futur vers le passé ne peut pas se faire car le temps n'a qu'un sens. du passé vers le futur... Mais personne veut m'écouter ! J'en suis bien marri ! J'édite ! En théorie, le retour ver le passé est imaginable. Il suffirait de pouvoir faire "enfler" à nouveau la matière. Ce qui de fait la détruirait si l'on part du principe qu'elle ne "tient" qui parce qu'elle est "moins" qu'avant : qui peut le moins, peut le moins, mais le plus c'est pas sûr !
  2. Parle pour toi ! Moi je trie rien et je prends tout ! Je me gave de tout ! Et je ne jette rien ! Oui j'accumule ! A l'entonnoir, à la canule C'est sans espoir Je porte tout et... je m'enfonce ! Après je pionce. Je suis la mule cérébrale ! Et je supporte jusqu'au râle Mon cerveau, c'est une décharge ! Une vraie barge A niveau d'eau Et j'en suis barge... Chuis barjot Un vrai cageot ! Aque des produits périmés... Car j'ai fini de m'escrimer ! Plus c'est pourri Et plus j'adore Et je n'ai qu'un seul cri : Encore ! ()
  3. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    '(Autocritique) C'est une histoire vraiment dingue : Il est comme la glue ! On met cinq sous dans le bastringue Et il s'arrête plus ! Il claironne qu'il est bilingue, Que c'est sa plus-value En vérité il est lourdingue : Juste un irrésolu ! Une espèce de Ribouldingue Il n'est que farfelu Pour le stopper faut qu'on le flingue ! Tout sera résolu !
  4. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    J'fus oublieux De tant d' voeux Pieux pour mon vieux pieu, Pour mon épieu : Qu'il soit MAJESTUEUX ! Talentueux Et fastueux Voire astucieux... Non vénéneux Mais Gracieux !!! Volumineux ! Et... a-mou-reux ! Bon j'arrête ! Tout ça devient bien facétieux...
  5. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Mais qui est vieux ? Oui je suis vieux Et je m'en veux ! C'est malheureux... Qu'est-ce que j'y peux ? Un peu gâteux Mais généreux ! Et pas haineux Ni même hargneux Je tente un vœux Bien hasardeux Limite honteux Et ce vœux pieux, Ben c'est mon pieu ! (C'est graveleux !) Qu'il soit curieux (J'ai dit mon pieux!)! Peu vertueux Même vicieux ! Industrieux ! Et vaniteux ! Bien plus joyeux Que besogneux Et langoureux Et luxurieux En un mot mieux Qu'en deux : Aventureux ! Tudieu ! ( : cela va sans dire !)
  6. Et j'irai même plus loin Cette mode actuelle de parler d'une infinité de possibles participe de la même prétention. Se donner plus d'importance qu'on en a. Quand les dés ont été jetés, il s'avère toujours qu'il n'y avait bel et bien qu'une possibilité, celle qui est advenue. Et s'il nous fallait tout recommencer à zéro, nous referions certainement les mêmes "conneries" (ou des équivalentes.) C'est un peu "l'avalisme" de @Fraction. Simplement parce que l'eau va à la pente. Il y avait une théorie dont j'ai oublié le nom : dans tous les cas, c'est la solution la pire qui l'emporte" !... La pire, la plus miteuse, la plus facile. Et les exemples abondent ! Il n'y a que ça ! De Johnny Hallyday à De Gaulle, les "meilleures" possibilités finissent bien en catastrophes ! En désastres ! C'était juste pour vous remonter le moral : on n'est pas plus mauvais que les pires !
  7. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Merci pour ta réaction : ça m'a quand même serré le cœur d'écrire ça, parce que c'est vrai..... Putain le con ! Il est mort un premier avril: signé Vicomte des Blaquières ! (L'élégance en plus...) Depuis quelques jours ça devait me travailler sans que je m'en rende compte...
  8. Je suis pas loin de penser comme toi ! Je crois que c'est pour se donner des émotions, pour se garder un petit coin magique... Pour se dire... après tout pourquoi pas ? Et puis y'a aussi Dieu ou Jésus, qui nous aiment trop, et puis quand on meurt, on meurt pas et notre âme comme un nuage s'en vole au vent... les "Bouchées à la Reine"... Tsoin, tsoin, Tagada !
  9. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Le Roi Prolo ! Je souffle le chaud Et le froid Un jour prolo, Un autre roi ! Un truc que je tiens de mon père (Le vrai Vicomte Des Blaquières!) Et son credo ? "Aristocrate ou prolétaire ! Bourgeois ? Zéro !" En 40 il fut réfractaire... (Je vous conte l'individu Je n'en suis que le... résidu...) Des comme lui on n'en fait plus Son maître mot : "C'est absolu !" Donc on voulut le décorer Ça, ça la vraiment fait marrer Tout de go il a refusé ! D'être un héros, s'est excusé : "Chuis pas parti en Allemagne Non pas pour battre Charlemagne Mais pour garder ma Juliette ! Je suis fou d'elle, Elle est trop belle : Parti ? j' étais aux oubliettes ! Ici y'a bien trop de lascars Trop de mastards, des très bavards (Les mêmes qui m'ont dénoncé) Qui rêvaient de me la faucher J'veux bien affronter la Wehrmacht Même à mains nues Chuis résolu ! Mais pas pour la gloire : pour l'Art ! Pour ma Joconde, et son amour ! Votre médaille de bravour' Vous pouvez bien vous la garder !" (C'est comme ça que je suis né...) Nota béné : Yan Solo l'a dit au ciné : Dans cette histoire... "tout est vrai !"
  10. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Merci, merci c'est trop ! Ça m'apprendra à jouer les trop beaux ! Car la réalité est bien plus moche : Faudrait voir sous mes yeux les valoches ! Et mon dos trop courbé Qui n'a rien d'un Courbet !
  11. "A mon avis , c ' est l ' idée de notion de causalité qui permettrait de mieux comprendre en quoi et comment nous pourrions penser comme ci le temps et l ' espace n ' existaient pas ..." Ce que tu dis correspond un peu au sens purement géométrique de ce qu'est la compréhension. Pas besoin du temps, mais de l'espace, oui : est compris ce qui est intérieur à ce qui comprend... "En fait l idée de néant pourrait se comprendre , s ' entendre comme ignorance tandis que la notion de causalité serait le chemin du savoir ... Si par exemple on disait que l ' univers se suffit , ce serait assez faux sinon nous aurions aucune raison d ' exister ... L ' univers sans nous , n ' existe pas .." Je te comprends bien. Mais je m'efforce de revenir toujours à une simplicité : pour le savoir, j'essaie de le considérer comme une relation créé, fabriquée, et non comme une entité créatrice en soi. Et cette relation est la création d'un moyen terme entre ce qui est su (on va dire le monde) et un sujet sachant. La disparition de ce moyen terme, de ce savoir ne me semble pas entraîner la disparition d'un des deux éléments de base. Ni le sujet sac ni le monde su. Je sais que ça peut paraître assez "rustique" comme façon de penser et je m'en excuse... Si par exemple on disait que l ' univers se suffit , ce serait assez faux sinon nous aurions aucune raison d ' exister ... Ce que je pense, là, c'est que bien sûr, l'univers se suffit ! et nous n'avons aucune raison d'exister ! Nous somme "en plus" : "La cerise sur le pompon !" . On a juste du pot ! Nous sommes à la fois constitués du monde, une partie du monde, et capable de considérer ce monde qui nous contient comme extérieur à nous. C'est juste une place privilégiée.Une singularité ! Mais quantitativement, dans l'univers, nous ne sommes qu'une infinitésimale partie. Tout ça pour ça (nous)?! Pessimisme ! Infimes, oui, mais on se débrouille pas si mal dans l'ensemble. Optimisme !
  12. Ça devient presque délirant ! Il y aurait un univers parfait, immuable, le néant ? (!) qui se serait localement "dégradé" en notre univers "temporel" bien existant ! En quelque chose... On n'est pas loin de la conception religieuse de "l'homme déchu"... "Déchu" d'un état antérieur où il n'existait pas (l'univers). Le temps qui ouvre une parenthèse dans le néant. Ça fait une belle formule ! Je ne sais pas si ça signifie grand chose !
  13. Je crois que nous ne pouvons pas penser hors du temps. Le temps est une des conditions obligatoires à l'existence même de la conscience et de notre compréhension. Comprendre a deux sens. Un sens statique ou... géométrique dans le sens des ensembles où un point est compris ou situé (ou non) à l'intérieur d'une figure. Le temps n'est pas nécessaire ici, tandis que s'il s'agit d'une compréhension (au niveau de l'esprit), le temps est indispensable : il y a une progression ou une dynamique du comprendre. Une acquisition qui est mouvement. C'est l'apprentissage qui est progressif. S'effectue dans le temps. Si l'on revient à des notions simples, les deux "côtés" ou versants du temps (le passé et le futur) ne sont pas symétriques. Si tous les possibles sont envisageables pour la partie à venir, il le sont moins pour la partie dépassée. C'est l'instant présent qui change tout. et rend caducs tous les possibles non advenus. Je parle à notre échelle, bien entendu. Et si le passé bouge encore comme on se plaît à le dire aujourd'hui, c'est plutôt à une échelle "microscopique" qui finalement ne change rien ! Comme si des îlots hors du temps persistaient un peu partout dans un univers qui lui n'est fait que du temps. n'existe que par le temps. (Y compris notre compréhension, notre conscience de cet univers. Plus qu'apparent à eux, le temps constitue les événements. Je ne sais pas comment les scientifiques ont fait pour calculer ça, (mais je fais confiance) ! J'ai lu que la moindre des particules a une durée de vie. Très longue certes mais une durée finie tout de même... si bien que si l'on élimine le temps, en quelque sorte, (sur une durée absolue ou totale) plus rien n'existe !... Ce n'est donc pas le temps qui serait (qui nous donnerait) une vue illusoire ou faussée d'un univers par ailleurs fixe mais un univers dont la seule vérité ou existence est le temps. Le temps qui serait la seule "vérité" de l'univers. C'est je crois ce que vous avez dit...
  14. Je ne suis pas sûr de vous suivre sur le temps et l'éternité. L'éternité dans le sens où le temps ne s"écoulerait pas ? Mais je vois deux possibilités. Notre univers où le temps s'écoule et un hypothétique univers où le temps ne s'écoulerait pas. Où tout les instants se superposeraient dans un temps comme arrêté et total : l'éternité, ou "le temps de Dieu". (Ceci dit pour me faire comprendre : je ne crois pas !) L'univers où le temps s'écoule, on le connaît : c'est le nôtre! Donc l'autre univers est une hypothèse. --Mais les deux possibilités sont : soit les deux univers, le nôtre et l'autre coexistent, sont parallèles et sont deux versions (ou deux "points de vue") du même univers, --soit notre univers est comme un bulle où le temps s'écoule, dans un univers plus vaste où le temps ne s'écoule pas. Une singularité en quelque sorte. Les deux univers sont séparés. Ne peuvent se confondre. --Mais dans ce cas de deux univers séparés, L'un contenant l'autre, il est possible que notre univers où le temps s'écoule soit le "Grand Univers', et qu'il contienne l'autre ou les autres, et qu'il soit empli de plus petits univers où le temps ne s'écoulerait pas.... ou au moins différemment... Le premier problème à résoudre (je reviens au tout début) est de savoir si le temps peut pour un même univers, à la fois s'écouler et ne pas s'écouler. Si oui, tout est en double ! Au moins !...
  15. Marci ! Je l'ai cherché partout et je l'ai pas trouvé ! J'en avais trouvé une autre version en grec ou Antonito était arrêté par des gendarmes ! Sans doute une version plus politisé ? Plus anti fasciste ! Avec Théodorakis, ce serait pas étonnant ! Je vais voir si c'est de celle-là qu'il s'agit ...
  16. Miikis Théodorakis, c'est ma madeine ! Je me retrouve dans les années 70/80 ! Il y a aussi la langue grecque qui est phénoménale. Ma chanson préférée à cette époque (et encore maintenant) : "To spiti mou inai mikro" : ma maison est petite... (On pense au latin "parva sed apta mihi et paucis amicis" (de mémoire avec sûrement des fautes...) C'est si bien prononcé qu'on peu comprendre facilement... Je vais chercher les paroles... J'ai trouvé ! Pour apprendre un peu du grec, y'a pas mieux ! (Je comprends pazs pourquoi le premier couplet de la traduction reste pas ! ça fait trois fois que je le mets ! Το σπίτι μου είναι μικρό Το σπίτι μου είναι μικρό και δε χωράει η αγάπη μου πες μου που θα `ρθω να σε βρω Το σπίτι μένει σκοτεινό κι έχει τη νύχτα μοίρα του και δε χωράει τον ουρανό Ζωή μικρή, ζωή πικρή, πληγή με το μαχαίρι φτώχεια, φαρμάκι, δάκρυα, χειμώνα καλοκαίρι Τα παραθύρια είναι φωλιές για τα πουλιά της άνοιξης και για τις άδειες αγκαλιές Κι είν’ η καρδιά μου μοναχή, κι είναι το σπίτι που άφησες σαν νύχτα με πολλή βροχή Ma maison est petite Ma maison est petite et mon amour n’y est plus dis moi où je peux venir te chercher La maison reste sombre elle est plongée dans la nuit on n’y voit plus le ciel Vie petite, vie amère, blessure au couteau pauvreté, poison, larmes, L’ hiver comme l’été A ses fenêtres ils y a des nids pour les oiseaux du printemps et (pour) les caresses oubliées (et) Mon cœur est seul, et la maison que tu as quittée est comme une nuit sous la pluie
  17. Blaquière

    Une légende

    Ben dis-donc, la femme est pas encore libérée... (Si vous en êtes encore à prendre pour vos désirs, les désirs des hommes...) (Je suis très amical, surtout avec toi, c'est juste pour inciter à la réflexion... le fessier, (déjà j'aime pas du tout ce mot !) ça ne peut être (à mon avis) qu'un transfert de pruderie. Mais forcément inconscient...) A part ça, tout ce que tu dis sur Clint, ça m’intéresse vachement (de mieux le connaître). Il a ces deux versants : d'un côté, je ml trouve génial, vraiment bonnard comme personnage, de trop dur un peu faux dur caricatural, d'un autre, je me dis "qu'il est con !" (Trump!) J'attends la suite de Clint avec impatience...
  18. Blaquière

    Une légende

    Ôte moi d'un doute : "Joli fessier" c'est un code entre vous (les filles) pour dire...
  19. Je me souviens de l'avoir étudié, la muerte de Antonio el Camborio... Je evais reliree ton post ! Mais cet aprèm, me sont revenus deux vers, tout clairs : "Volveran las oscuras golondrinas En tu balcon sus nidos a colgar.." Sans plus savoir de qui c'était... Donc je tape : "volveran..." et paf ! la suite s'affiche, entière ! (C'est pas beau internet ?! Donc voilà : c'est de Gustavo Adolfo Bécquer, XIXème... J'ai traduit (en m'aidant de google au départ) et en changeant ce qui n'allait pas à mon avis. Si je me suis planté, Tison qui est meilleur hispanisant me rectifiera... C'est plus classique comme forme, comme inspiration mais je trouve ça assez beau... Volverán las oscuras golondrinas en tu balcón sus nidos a colgar, y otra vez con el ala a sus cristales jugando llamarán. Pero aquellas que el vuelo refrenaban tu hermosura y mi dicha a contemplar, aquellas que aprendieron nuestros nombres... ésas... ¡no volverán! Volverán las tupidas madreselvas de tu jardín las tapias a escalar, y otra vez a la tarde aún más hermosas sus flores se abrirán. Pero aquellas cuajadas de rocío cuyas gotas mirábamos temblar y caer como lágrimas del día... ésas... ¡no volverán! Volverán del amor en tus oídos las palabras ardientes a sonar; tu corazón de su profundo sueño tal vez despertará. Pero mudo y absorto y de rodillas, como se adora a Dios ante su altar, como yo te he querido..., desengáñate, nadie así te amará. ______________________ Oui, elle reviendront les sombres hirondelles sur ton balcon pour accrocher leurs nids, et de nouveau l'aile rasant tes carreaux en jouant elles appelleront. Mais celles qui retenaient leur vol pour contempler ta beauté et mon bonheur, Celles qui ont appris nos noms ... Elles... ne reviendront pas! Le chèvrefeuille dense reviendra Escalader les murs de ton jardin, et de nouveau le soir, encore plus belles ses fleurs s'ouvriront. Mais ces buées de rosée Dont nous regardions trembler les gouttes tombant comme les larmes du jour ... Elles ... ne reviendront pas ! Des mots d’amour ardent Reviendront tinter à tes oreilles ton cœur de son profond sommeil parfois s'éveillera... Mais muet, attentif, à genoux, comme on adore Dieu à son autel, comme je t’ai aimée..., détrompe-toi : Jamais personne ne t'aimera.
  20. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Oui ! Le réel, c'est la Nature ! Et la nature, la cambrure ! Et la nature c'est la physique (où veut-il en venir ? Je le sais pas moi-même !) mâtinons-la de la métaphysique ! (J'ai dis : l'imaginaire...) C'est ma grammaire ! Or ma nature préférée, (quel amalgame !) C'est la nature... de la femme ! Blaquière est comme un chat affectueux : Quand on le jette en l'air, il retombe toujours sur sa... queue !
  21. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Comme disait un vieux barbon (c'est parfois mon souci) "Où est la précision Commence la poésie"! Si pour la vielle, c'était pas de la frime, (1) Le "clavicorde", lui, juste pour la rime ! (1) et j'ai même une preuve (Putain de chemise !) :
  22. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    J'ai dit "Apache" Qui rimait bien avec potache... Mais la machine était lancée ! Ma "troisième" n'est pas fanée ! Depuis j'en ai cassé des cordes ! Joué d'la vielle, du clavicorde, J'ai joué Bach, Django Reinhardt; Mais les Shadows , C'était de l'ART !
  23. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Je m' souviens d'une blagu' de potache (Du temps où j'écoutais "Apache") : Un' limonade et "cinq contre un" : Femm' et champagne, y'a pas plus fun !
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