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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. C'est exactement ça le paysage ! Merci ! Comme tu as dit : IL EST PERMIS DE RÊVER ! C'est pas le tout, faut que je relise mon texte maintenant...
  2. La villa du bord de mer L'histoire commence quand... "L'histoire commence quand..." Cette phrase me parle ! Elle vient d'où ? Il faudra que j'y revienne : poursuivons ! L'histoire commence quand nous devons quitter NOTRE VILLA du bord de mer. Et c'est bien dommage car je ne pourrai pas vous la décrire. Trop tard ! (Puisque je ne l'ai pas vue.) Elle se trouve où ? Pas d'information non plus. Je l'imagine sur la Presqu'Île de Giens. Vous vous rendez compte ? Giens les pieds dans l'eau ! Bien sûr là-bas les villas se touchent et il existe une villa voisine avec ses occupants. J'aperçois d'ailleurs un bonhomme de l'autre côté du mur. Il est assez grand, avec un visage... comment dire ? Lisse, poupin. Ses yeux regardent de travers et sa bouche aussi est de travers. Il semble un peu anormal... Et il paraît étonné de notre présence : nous sommes les nouveaux arrivants dans le secteur. Je lui dis : ("Tu parles toujours à tout le monde, toi !") -- Nous sommes passés devant cette belle villa et nous avons vu qu'il n'y avait personne, ou plutôt qu'il n'y avait que deux vieux, alors nous les avons tués pour prendre leur place ! Mais qu'est-ce qui m'a pris de lui dire ça ? Je me reprends : -- Non ! En fait c'est un... héritage. L'héritage de la Tante Henriette. (La fille de Tante Elisabeth.) Nous nous nous le sommes partagé et il nous est revenu cette villa ! Mais le fait est que nous devons rentrer pour le moment. Et nous sommes assez nombreux. Donc deux véhicules. Une voiture et... le Solex ! Et vu que la voiture est pleine, nous sommes trois sur le Solex. Mon fils pilote, un petit fils debout devant, les pieds joints sur la petite margelle, et moi, bien sûr L'ETERNEL SACRIFIé, sur le strapontin ! Je veux dire le porte bagage. Vous allez me dire qu'un Solex ne peut pas tirer tout ça et vous aurez raison, alors, on a attelé la Titinette devant en chien de traineau ! (Elle fait deux kilos toute mouillée, la Tintinette) Et ça fonctionne ! Elle galope devant que c'est un plaisir de la voir ! Mais voilà qu'en remontant chez nous (dans le Haut-Pays) nous devons traverser une ferme... Et la Titinette ne court plus devant. Elle s'est écartée sur la gauche et a ralenti. Pour examiner sur la droite cette fois, de mon côté donc par rapport à elle et au delà de moi sur ma droite, quelque chose dans le poulailler de la ferme que nous longeons pour l'heure. Et ce quelque chose c'est un petit animal qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. C'est tout son portrait à elle ! A part que ce n'est pas un chien mais un lapin ! je pourrais la faire entrer dans le poulailler pour lui permettre de faire mieux connaissance avec son sosie fortuit, mais je m''en abstiens, quoi que les grillage ait quelques défauts par où il serait aisé de lui ménager un passage, étant donné que ce poulailler est peuplé comme son nom l'indique, de POULES ! Ces animaux particulièrement bêtes et méchants qui auraient tôt fait de s'attaquer à elle... Nous poursuivons donc le long du chemin qui traverse la ferme... Devant une maison, un enfant est là qui nous propose : -- Pour deus euros, je vous vends un de ces ces petits vases fêlés ! Et nous comprenons que cette ferme est squattée par un genre de... Romanichels. Moi vous me connaissez ? J'ai horreur de me faire rouler ! Et je n'ai pas du tout envie d'accepter ce marché de dupe. Un vase fêlé ? Fi donc ! Mais c'est sans compter sur ma couardise ! Car plus loin, j'aperçois tout un groupe de types, plutôt patibulaires. Dons je conclus qu'il en va de notre sécurité d'accepter ce marché stupide. Couard certes, mais néanmoins radin ! Car je dis au gamin : -- Un euro ça suffit ! Tu n'aurais pas un vase fêlé plus petit ? Je cherche sur son étalage et j'aperçois un tout petit truc qui ressemble vaguement à une lampe à huile : -- Ce petit truc pour un euro ? Et je sors de ma poche une poignée de pièces. Le petit me dit : -- Un euro --il a vu la pièce d' un euro dans ma main-- mais aussi toutes ces petites pièces rouges de centimes ! Je lui dis : -- D'accord ! Et nous cherchons dans ma main toutes les pièces rouges en cuivre... Je vois alors que tout "mon monde" du Solex comme de la voiture s'est égayé dans la cour de la ferme, et je m'écris suffisamment fort pour que tous m'entendent : "L'anan ou li mandan lou drolé ?" Une locution bien connue pour ceux qui la connaissent. (Et je suis fier de montrer à ceux de la ferme que je parle une langue qu'ils ne connaissent pas !) Je la traduis pour les étrangers qui me liront : "Nous y allons ou nous y envoyons le petit ?" On l'utilise quand on a un peu trop et trop longtemps trainé et qu'il faut bien se décider enfin à se remuer... Voilà toute l'histoire. Et tenez, je me souviens d'où vient l'impression de souvenir de la phrase du début : "Lo ver commenç' quand vei del fau ses fuelha lo cim e'l branquilh..." Le poème commence quand je vois de hêtre La cime et les branches sans feuilles... Je l'ai chantée cette chanson... Un classique. Et je réalise le génie de son auteur : Mettre le froid de l'hiver en musique... Faudrait que je vous la fasse entendre... Vous comprendriez.
  3. confus ? Pas du tout : je m'y vois bien !
  4. Tu n'a pas osé bien regarder ?
  5. Je pense que tu fais des associations et des déductions trop rapides. Ca tourne à la caricature. mais je sais que j'en fais souvent autant ! Il ne faut pas aller trop vite et considérer quand on peut l'antithèse. "compter, plutôt avec ma tête, qu'avec mes dix doigts." il est quasiment établi que si notre tête est ce quelle est c'est largement grâce à nos doigts : après l'homo erectus c'est l'homo habilis qui est apparu avant et qui a sans doute permis l'homo Sapiens. Tu sembles aussi opposer à la tête, à l'esprit, à l'âme, le phallus, le sexe, la luxure. Il s'agit là d'un triste héritage du monothéisme du moyen orient. Une névrose ! Le judéo-christianisme voire l'Islam (qui à ce sujet n'est pas en reste !). Une civilisation peut très bien exister sans cette névrose. Les gréco-romains : La culture Indoue : "pas un sein ni un sexe qui dépasse" ? "Mens sana in corpore sano" ( Juvénal ) (Un esprit saint dans un corps saint) Je ne me lève pas de là. Quant aux Olmèques, on n'en sait à peu près rien.
  6. Cette inversion des choses est étonnante ! "un athée à qui on démontre que son athéisme est parfaitement incohérent, voire stupide" !!! Alors que tu viens de dire ! "Eh bien, désormais, les croyants ne croient plus que l'univers n'a que six mille ans, mais continuent à croire en Dieu créateur du ciel et de la terre." Si je me souviens de MON Descartes : "Il est de la prudence même de ne pas croire en ceux qui vous ont une fois trompés". Eh bien non : on m'a trompé mais je continue d'y croire. L'incohérence me semble plutôt là... Ce qui me fait comprendre la nature de la foi : la foi est un désir... Si je dis "j'ai foi en Dieu" c'est dire : "je désire que Dieu existe". Peut-on ne pas désirer ce qu'on désire ? Et en premier pourquoi désire-t-on ceci ou cela ? Pour se... "soigner" de la foi () Il s'agirait donc de comprendre ce qui en nous a construit ce désir... Ce désir est-il un besoin ? Légitime ? Nécessaire -à ma survie- ? Un manque ? Une compensation... etc. Mais si j'ai raison quand je dis que la foi est un désir et que je pense que le premier fondement du désir est de désirer ce que l'on n'a pas... Oserai-je dire que je désire ardemment l'existence de Dieu parce qu'au fond cette existence est des plus improbables ?
  7. En Vérité en Vérité je vous le dis : Ces croyances ou non croyances sont cristallisées dans nos esprits. Il nous revient donc de faire un test pour découvrir quelle cristallisation est la plus cristalline. Il est des cristaux purs et des cristaux solubles. Que ceux qui ont des oreilles m'entendent ! Ô vous doux croyants, quelle serait votre réaction si je vous DEMONTRAIS que votre croyance est absolument fausse ? Diriez-vous OK je me suis gourré et je me rends à la raison ? Et vous ô tristes athées ! Si je vous présente Dieu EN PERSONNE lui direz-vous : "Pardonnez-moi ô Seigneur de n'avoir point cru en vous " ? Prenez garde : de votre réponse dépend votre salut pour les siècles des siècles ! Car il y a salut et salut ! Le salut américain avec la paume de la main tournée vers les sol et le salut français , Madame ! Avec la paume tournée vers l'avant ! Un salut qui se cache et un autre authentique ! Fier de lui ! Oui ! ... Zactement !... ...On parlait de quoi déjà ?... -- Du salut ! -- Ouf ! J'avais peur de m'être égaré ! Pour une fois je suis resté pile dans le sujet !
  8. Je crois que l'intelligence commence par un peu d'application... Juste un peu. Et là tu t'appliques pas du tout ! Tu dis par exemple qu'avant de vivre on était déjà mort... Non ! La mort c'est seulement si on a vécu avant. Si on n'a pas encore vécu on n'est pas mort : On n'existe pas. Tu dis aussi qu'on est sûr qu'après la mort on n'est pas mort. Ce qui est faux. On n'en est pas sûr du tout. Et au dessus tu manques d'empathie pour ceux qui ne croient pas. Est-ce que ça te sera pardonné ? Ai-je le droit de te dire que tu seras bien puni quand le jour de ta mort tu sauras que tu n'es plus vivant du tout, même pas ton âme qui ne te survivra pas ? Ben non ! Je sais que tu ne le sauras jamais que tu t'es trompé toute ta vie ! Bien heureux les simples d'esprit... Le paris des athées c'est un pari d'honnêteté ! Si Dieu existe il est honnête ! Et si Dieu existait c'est de ça qu'ils seraient récompensés ! En revanche ceux qui les ont incités à être malhonnêtes et à rechercher leur intérêt, je donnerais pas cher de leur âme...
  9. Merci de m'avoir fait découvrir cette série de vidéos. J'en ai regardé plusieurs... extraordinaire de voir tous ces mythes que les religions se repassent d'une à l'autre... a prtir des premiers, ceux de la Mésopotamie... même Adam et Eve... tout y est ! C'est une travail et une réflexion admirables... Dans le mythe babylonien originel du premier couple, c'est un homme qui n'a pas su "se retenir" et commet le péché, et ds le mythe biblique c'est la femme comme dit au dessus. Il faut quand même être de bien mauvaise foi pour dire que c'est la femme qui est la plus portée sur les choses du sexe !!! Et que les hommes sont de petits anges ! J'essaie de me représenter le "raisonnement" : Quand un homme regarde une femme si celle-ci l'excite c'est bien sa faute à ELLE ! L'homme n'y est absolument pour rien ! Il faut donc la cacher : Voiles, Burka... etc. C'est quand même un vrai truc de faux culs ! C'est de la SPIRITUALITE !
  10. Sorry j'avais raté vos réponses ! La tienne et celle de @Good Venins ! Les deux bien à leur place.
  11. Blaquière

    Les triolets

    D'accord ! C'est futé ! Ca m'a stupéfié et j'en suis resté stupéfait ! Merci quand même ! On peut même plus se permettre une licence prosaïque !
  12. Blaquière

    Les triolets

    Tu me rassures, je trouvais un peu qu'elle était absurde mon histoire !
  13. Blaquière

    Les triolets

    Je ne sais pas si les gendarmes étudient le solfège...
  14. Les Manuscrits de la Mer Morte... On y trouve de choses étonnantes... Comme ce précepte qu'il faut éliminer les gens qui ont un défaut PHYSIQUE parce qu'ils sont une offense à Dieu... C'est surtout des commentaires sur les textes et les psaumes que l'on trouve déjà dans l'Ancien Testament... et des considérations politiques du moment. Il faut les décrypter parce que les vrais noms des personnages existants sont changés. L'idée que le peuple Hébreu maltraité sera vengé par Dieu à la fin des temps revient souvent. Il y est aussi souvent fantasmé d'une victoire finale éclatante... Et c'est la plupart du temps des hébreux (ou des juifs) qui sont accusés de trahir leur propre peuple. De... collaborer !!! On comprend que des sectes rivales s'opposent et se font la guerre en permanence... Ils attendent un Messie --un oint de Dieu-- qui doit les sauver. L'arrivée d'un Jésus Christ dans cette "ambiance" n'a rien d'étonnant finalement.
  15. Blaquière

    Les triolets

    Les triolets Je viens de croiser un copain, Pierre, sur le trottoir devant chez moi. Il m'en a appris une qui m'a stupéfait : -- Je me suis marié avec Joséphine ! Qu'il m'a dit tout de go. -- Joséphine ? Mais c'est la femme de Jean ! -- Mais Jean est mort ! -- Jean est mort ? -- Il y a deux mois ! En effet, je réalise soudain que ça fait bien quelque temps que je ne le vois plus. Il passait parfois sur la route, à vélo. Il s'arrêtait et on discutait un moment... On était bien copains et même plus que copains. A une époque on a fait de la musique ensemble. Il jouait du violon et moi je l'accompagnais à la guitare. Le violon c'était sa première passion. Même avant le vélo. Et il fabriquait ses violons lui-même ! Et je vous prie de croire que ça n'était pas du bricolage. Il était très doué ! Ses violons, on aurait juré que c'était de vrais violons faits par un luthier professionnel ! -- Mais comment ça se fait que jean soit mort ? Qu'est-ce qu'il a eu ? -- Il s'est suicidé ! Je le revois chaque fois qu'il venait de finir un nouveau violon, comme il était fier de me le dire. De me le décrire. C'est lui qui m'a appris que le violon a une âme. Une petite quille de bois juste coincée et surtout pas collée, entre la table du dessus et celle du dessous. Pour que les vibrations s'uniformisent et que les pressions s'équilibrent... "Si tu entendais ce son !" qu'il me disait. Du coup je le vois mal se suicider... C'était un enthousiaste ! Certes il avait un problème avec les triolets. je n'avais jamais vu ça chez un musicien. C'était sa patte si on peut dire. Les triolets. Il n'y arrivait pas. Vous voyez ce que je veux dire ? Le binaire c'est plus simple, il le maitrisait : un, deux ; un, deux ; un, deux... Mais les triolets, c'est dans le même temps trois notes au lieu de deux : un, deux, trois ; un, deux, trois. Le ternaire tout seul aussi c'est facile : un, deux, trois ; un, deux, trois ; un, deux, trois...C'est la valse ! Le difficile c'est quand on mélange les deux : ça donne un, deux ; un, deux ; un, deux, trois ; un, deux, trois ; un, deux ; un, deux... Il n'y arrivait pas et ça donnait : un, deux ; un, deux ; un, deux-trois, par exemple... Je sais que c'est difficile à expliquer. Il faut anticiper, penser avant les trois notes qu'il va y en avoir trois de la même durée et pas deux et encore une... caser à l'avance dans le même temps, trois au lieu de deux dans sa tête. Mais enfin il n'y a pas de quoi se suicider !!! -- Et il s'est suicidé comment ? -- Il a respiré du gaz !... -- Du gaz ? Et là je me souviens que pour vernir ses violons "au tampon", il m'avait dit qu'il utilisait un alcool au cyanure ! Qu'il devait même passer avec un masque à gaz ! Ca doit être ça... Une erreur de manipulation ? A ce moment, Pierre me dit que Jean était quand même un peu bizarre. Autrement dit un peu anormal. -- Comment ça anormal ? On a souvent fait de la musique ensemble, et --mis à part pour les triolets je me dis en aparté-- Il était tout-à-fait normal, Jean ! -- Parfois, quand il parlait à sa femme, de temps en temps, au lieu de la tutoyer, il la vouvoyait ! -- Tu m'étonnes ! Je ne l'ai jamais remarqué ça ! -- Ben oui ! Du genre : "Joséphine passe-moi le sel !" et à la suite immédiate "Vous pouvez me dire où sont les clés de la voiture ?" C'est en effet assez étrange, me dis-je. Mais est-ce qu'à cet instant il était bien seul avec sa femme ? S'il y avait une autre personne peut-être ? Là tout de même, je dis à Pierre : -- Il est mort il y a seulement deux mois et vous vous êtes déjà mariés ensemble ? -- Oui ! Il faut dire qu'on se voyait déjà avant !... -- Ah bon ? je n'étais pas du tout au courant... Le Pierre alors a continué sa route... "Merde ! Je me suis dit : ils se font pas chier, les deux !" Et soudain, j'ai senti une sorte de désespoir, un chagrin terrible m'envahir et je me suis mis à pleurer et à hurler : "Mais Jean est mort : Il est mort !" Et mes pleurs et mes cris redoublaient ! "C'est pas possible : IL EST MORT ! MORT ! MORT ! C'est fini pour lui ! Les larmes me brouillaient les yeux... Comme si j'avais reçu un coup de poing dans l'estomac... Même si on ne se votait plus autant... Et je me le reprochais..." Je ne sais pas vous, mais moi, cette histoire me semble étrange. Vous en pensez quoi ? La première idée qui me vient c'est qu'il faudrait vérifier le masque à gaz que Jean utilisait pour passer son vernis au cyanure... Est-ce qu'il n'aurait pas été trafiqué ce masque ? Arroser un peu le charbon actif avec du cyanure, ça aurait suffit à mon avis... Ou légèrement dévisser la cartouche... Et Hop ! Le tour est joué ! Et les deux tourtereaux vont filer le parfait amour ! Du trio-triolet, ils ont supprimé la note qui gênait ! Est-ce que je ne devrais pas aller signaler ça à la Police ?
  16. Mon Dieu quel galimatias ! Pardon pour la grossièreté mais c'est vraiment un raisonnement de m.... qui ne tient pas debout ! De même qu'une personne n'est pas juste en soi ni injuste mais peut avoir un comportement plus ou moins juste ou injuste vis à vis des autres personnes, une société peut être organisée de façon plus ou moins juste... Est-il interdit que dire qu'une balance pèse le poids juste sous prétexte que ce serait un anthropomorphisme ? La balance servant aussi de symbole à la justice ... Quoi qu'il en soit, Le libéralisme est à la liberté ce que la prétendue spiritualité est à l'esprit : leur dévoiement ! (Chacun des deux l'étant aussi de l'autre !) Moi aussi je sais faire mon Nietzsche ! En plus je peux vous le prouver d'une seule image :
  17. Ca me fait penser à la démonstration stupide de Macron l'autre jour : "Vous êtes assis là devant moi mais il n'est pas exclu que vous vous leviez". Comment a-t-il pu s'empêtrer là dedans ? Et à l'arrivée il a démontré le contraire de ce qu'il voulait dire à savoir que ce qui n'était pas exclu c'était ce qui allait arriver certainement. Mon Dieu ! Le problème avec les libéraux c'est qu'ils son persuadés d'être super intelligents alors que leur faculté d'entendement est restée figée au niveau de l'amibe : Si je te mange j'ai gagné si tu me manges t'as gagné !
  18. A ne pas se brûler quand on prend sa vessie pour une lanterne !
  19. Une certitude : ça me plaît bien ce que tu viens d'écrire ! C'est immédiat ça !
  20. Je suis pourtant sérieux ! J'ai le sentiment que ceux qui se targuent de spiritualité le font -parfois -souvent -toujours (rayer les mentions inutiles !) Pour masque un manque d'empathie ou un certain cynisme, bref un vide réel... Tiens : la spiritualité est une... certitude ! Comme on débat dans le sujet d'à côté. Un imposteur ? Je ne dis pas non, mais il faudrait que tu en dises plus !
  21. Oui ! Mais est-ce vraiment possible ? Je vais te faire exploser !... "Être purement un masque" je rapproche assez facilement ça de la.... SPIRITUALITE !!!!
  22. Et encore j'y crois guère. Pour rester dans le sujet -merci @Elisa*- Est-on maître des ses certitudes ? Non ! mais de ses doutes peut-être... Une certitude est comme une cristallisation elle y est elle y reste ! Quand au doute il est en solution libre des se cristalliser ou pas. Le doute est un voyageur...
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