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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
Moi aussi quand j'aime bien je chatouille bien ! -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
T'as pas choisi LA bonne partenaire ! -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
Non ! tu exagère ! Il faut respecter les croyants : ils sont dans l'émotion... L'aime-motion ! Et l'amour, quoi de plus beau ? -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
Impénétrable ? Impénétrable ? Ça reste à voir ! Pas plus tard que ce matin..... -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
Voilà le genre de raisonnement qui me plaît ! (God - michet ? respect !) (Évidemment le fond de nos rapports à Dieu ne peut être QUE SEXUEL ! ) Et si ce que je viens de dire au lieu de vous amuser, vous énerve, c'est la preuve que j'ai raison ! -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
C'est un peu ce que ,j'ai essayé de dire : croire en Dieu c'est aussi avoir peur de Dieu... Peut-être. A l'arrivée la croyance (en Dieu) est surtout émotionnelle. -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
Croire en Dieu est un oxymore. Puisque croire en Dieu c'est être persuadé, sûr que Dieu existe, alors que croire c'est par définition ne pas être sûr... La croyance en Dieu bat en brèche la logique même. Et sans doute que "l'intelligence pure" (disons, pratique) s'appuie fondamentalement sur la logique ? Puisqu'elle se fortifie du résultat. De la causalité, de la finalité... etc. Même le croyant le plus fondamentaliste ne se sentira pas de dire "je sais Dieu". Un croyant a toujours un peu peur de son idée de Dieu. Dieu est une émotion. Pas une raison. Et l’on est habitué à juger de l'intelligence à l'aune de la raison, du raisonnement. Ça a été dit. Par quels canaux vient aux croyants leur croyance ? Je crois que c'est par l'émotion. Et l'émotion, toute émotion est vraie, réelle, puisqu' effectivement ressentie. L'idée fantasmagorique de Dieu profite de cette réalité. L’extorque en quelque sorte. Peut-être que lorsque la raison a ainsi démissionné une fois devant l'émotion, cela formate comme une habitude, un inclination en nous ? Ou peut-être qu'avant même qu'il ne soit question de Dieu, certaines "complexions" (largement issues de notre vécu) ont déjà une tendance émotionnelle plus affirmée, qui l'emporte (originairement) sur la composante raisonnable ou déductive de l'esprit. Plus j'y pense, plus je CROIS (!) que c'est du côté de l'émotion qu'il faut chercher Dieu. Quand bien même toute émotion ne conduit pas à Lui. Et peut-être même que Dieu constitue (parfois) comme une dérivation à toute notre émotivité. Une sorte de cul de sac. Pour s’en débarrasser. Putain, je crois que c'est intelligent, ce que j'ai dit là ! -
Les athées plus intelligents que les croyants ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Religion et Culte
Je crois pas ! Les croyants sont malins, RETORS, ça passe pour de l'intelligence... Mais ça n'en est pas ! -
ce que je sais c'est que c'est pas le contraire d'une remontrance...
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Croyez vous en la vie aprés la mort?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de zeyas dans Esotérisme & Paranormal
Euu!... c'était juste un jeu de mot ! (Comment "l'âme" qui est produite par notre corps pourrait encore être produite quand le corps n'existe plus ?) La mort, c'est l'âme hors... JEU ! Comme au foot : quand tu vas trop loin, ça compte pas ! C'est pas du jeu ! On n'a pas le droit ! L'âme n'a pas le droit de la jouer hors jeu, ni perso ! -
Moi aussi, je suis pour les croisements amoureux ! Dans le temps, quand dans une famille blanche de tous les côtés, il naissait un enfant noir, on disait de la mère : "A-z-agut paur d'ün négré !" (Elle a eu peur d'un noir !) Peur... façon de parler !
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Il faut réécrire l'histoire et pis c'est tout ! VERCINGÉTORIX : LES LÉGIONS DE CÉSAR :
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Et alors ? Pas besoin de faire les malins : dans 15 000 ans, ils seront blancs ! COMME TOUT LE MONDE ! D'un autre côté, si ça se réchauffe trop, même les esquimaux ils seront noirs ! Et même les ours blancs ! Na ! Euh... j'ai dit une bêtise ?
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Et les pets de nonnes ? Y'ne aurait des choses à changer ! PARCE QU'IL Y'EN A MARRE ! Je m’énerve si je veux ! On nous rejoue 40 000 ans après l'invasion de nos chers ancêtres néandertaliens pas l'homo sapiens-sapiens VENUS D'AFRIQUE ! Le réchauffement et le Virus, ils ont bon dos !
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« Boire un grand bol de sommeil noir... »
Blaquière a répondu à un(e) sujet de satinvelours dans Littérature
je tombe sur ça, qu'est-ce que c'est beau ! Antonio Machado, Cantares - Traduction par Serge Pey CAMINANTE NO HAY CAMINO (MARCHEUR, IL N’EXISTE PAS DE CHEMIN) Todo pasa y todo queda, pero lo nuestro es pasar, pasar haciendo caminos, caminos sobre el mar. (Tout passe et tout demeure, mais notre sort est de passer, passer en traçant des chemins, des chemins comme sur la mer. Nunca persequí la gloria, ni dejar en la memoria de los hombres mi canción; yo amo los mundos sutiles, ingrávidos y gentiles, como pompas de jabón. Jamais je n’ai cherché la gloire, ni laissé dans la mémoire des hommes ma chanson ; j’aime les mondes subtils, immatériels et charmants, comme des bulles de savon. Me gusta verlos pintarse de sol y grana, volar bajo el cielo azul, temblar súbitamente y quebrarse... Nunca perseguí la gloria. Caminante, son tus huellas el camino y nada más; caminante, no hay camino, se hace camino al andar. Al andar se hace camino y al volver la vista atrás se ve la senda que nunca se ha de volver a pisar. Caminante no hay camino sino estelas en la mar... J’aime les voir se peindre de soleil et de rouge puis voler sous le ciel bleu, et encore trembler d’un coup sec et se rompre... Je n’ai jamais cherché la gloire. Marcheur, ce sont tes traces qui font le chemin et rien d’autre ; marcheur, il n’existe pas de chemin, le chemin se fait en marchant. En marchant se fait le chemin et quand on regarde derrière nos épaules on voit un sentier sur lequel plus jamais on ne marchera. Marcheur, il n’existe pas de chemin sinon mais un sillage sur la mer... Hace algún tiempo en ese lugar donde hoy los bosques se visten de espinos se oyó la voz de un poeta gritar «Caminante no hay camino, se hace camino al andar...» Ici il y a quelque temps à l’heure où maintenant les arbres s’habillent d’épines on a entendu la voix d’un poète en train de crier « Marcheur, il n’existe pas de chemin, le chemin se fait en marchant... » Golpe a golpe, verso a verso... Coup après coup, vers après vers... Murió el poeta lejos del hogar. Le cubre el polvo de un país vecino. Al alejarse le vieron llorar. «Caminante no hay camino, se hace camino al andar...» Le poète est mort loin de sa demeure, recouvert par la poussière d’un pays voisin. En s’éloignant on vit couler ses larmes. « Marcheur, il n’y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant... » Golpe a golpe, verso a verso... Coup après-coup, vers après vers... Cuando el jilguero no puede cantar. Cuando el poeta es un peregrino, cuando de nada nos sirve rezar. «Caminante no hay camino, se hace camino al andar...» Quand le chardonneret ne peut chanter. Quand le poète est un pèlerin, quand il ne sert à rien de prier. « Marcheur, il n’est pas de chemin, le chemin se fait en marchant... » Golpe a golpe, verso a verso. Coup après-coup, vers après vers. "todo passa y todo queda" : c'est exactement ce qu'on a dit un jour sur le temps ! -
« Boire un grand bol de sommeil noir... »
Blaquière a répondu à un(e) sujet de satinvelours dans Littérature
J'adore ! Je le connais par cœur, celui-là ! Sans doute est-ce stéréotypé... (Mince, j'aime l'Espagne comme un touriste !) Mais on est comme ça, ICI ! Je me souviens il y a au moins 40 ans, au sud de Madrid... On s'arrête avec la 4 L pour déjeuner, le midi, au bord d'un ruisseau d'arrosage. On entend un échange un peu vif, à quelques mètres. je me rapproche et je demande ce qui se passe. Un type particulièrement énervé me dit que son voisin avait pris l'eau d'arrosage alors que c'était son heure à lui ! J'ai compris là qu'en Espagne, j'étais aussi chez moi ! La guitare ou la pétanque, c'est pour le folklore, pour s'amuser. C'est l'eau qui est vraiment sacrée, chez nous ! J'ai trouvé dans les archives du village au XVIème siècle que le règlement des "arrosants" précisait qu'il était interdit d'aller arroser avec une... ARME ! Muerto en 1947 ? el año de mi nacimiento ! Soy su reencarnación ! (J'aimerais bien, question poésie !) Euh... Si no se trata de política ! (S'il n'est pas question de politique !) -
À bas les sectes! Combat conservateur contre le rationalisme, l'étranger, le pluralisme et la liberté.
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Tu as raison. Ce qui est condamnable c'est le plaisir, la jouissance que doit (sans doute ?) procurer le pouvoir sur les autres. Mais dans quelle mesure, la jouissance à être sous le pouvoir d'autrui (si elle existe ) à être dominé, est condamnable ? Peut-être considérer les deux (limite sadisme et masochisme) comme des maladies psychiques ? Pour ce qui est des sectes, le terme de "secte" sert aussi à discréditer un mouvement. Toutes les religions sont des sectes. Et même la quête dans les églises peut être considérée comme une façon d’extorquer de l'argent ! Dans l'antiquité, les pythagoriciens, (Tout de blanc vêtus !) ou les épicuriens (le Jardin d’Épicure était le plus refermé des lieux philosophiques) étaient sectaires... C'est dans le détail de ce qui se passe à l'intérieur des sectes qu'il y a lieu ou pas de s'en inquiéter. S'il y a manipulation des esprits ou pas. Il faut donc qu'elles soient un minimum ouvertes aux institutions judiciaires extérieures du moment. Rien n'est absolu. On ne peut qu'inciter à, et conseiller la vigilance. Dès lors que la ou les morales ne sont plus transcendantes, il faut accepter leur relativité. Il faut bien que les lois des hommes remplacent les anciennes "Lois divines". C'est ça l'humanisme. Il y a des grincements de dents... Cette instabilité est-elle systématique (systématiquement humaine) ou seulement momentanée ? Propre à notre époque ? En "gros" (!) une civilisation ou une culture planétaire (stable, donc) est-elle envisageable ou impossible ? Puisqu'on a pu constater par ailleurs que tous les grands empires ont toujours fini par se morceler... Du point de vue de l'empire romain ou de celui de Charlemagne, la France, la Belgique et l'Italie sont des sectes !... On devine alors que c'est une certaine stabilité qui est recherchée dans les sectes. Des a priori, des certitudes servis sur un plateau. L'élimination des troubles, du doute. C'est aussi que l'esprit humain aime rester au repos. Comme si la liberté, trop de liberté était gênante. -
C'est vrai que c'est amusant, mais c'est une supercherie ! En résumé, il se sert de l'évidence de la réalité, des vrais objets pour dire que le réel n'est que les ombres de lui-même. C'est le principe religieux des paraboles : ça sert à tromper le client ! Et pour faire court, les objets réels restent le réel et les idées de ces objets ne sont que leurs ombres. Là est la "vérité" ! Il passe du mode symbolique au mode réel. Dans le Timée, c'est pareil : il se sert de l'exactitude de la géométrie pour la projeter sur ses divagations religieuses et en faire la preuve : Puisque le triangle est ainsi, c'est DONC que Dieu et sa création sont aussi ainsi ! C'est une parfaite imposture.
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L'obscurantisme, en quoi consiste-il ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
J'essaie de comprendre la motivation de @Maroudiji qui dit que les instincts n'existent pas chez l'homme. Sans doute est-ce pour différentier absolument l'homme de l'animal ? Pourquoi est-ce donc si insupportable intellectuellement de considérer que l'homme est aussi un animal.? Cette aversion on la retrouve chez les intégristes religieux américains. Ils tiennent à se différentier absolument des animaux. Revenons aux instincts. Qui n'est pas tout-à-fait conscient que la partie instinctive de nos comportements d'humains, comparée à celle des animaux est congrue ? Ils 'tournent' en effet largement sur leurs instincts quand chez nous ces instincts ont aussi largement été remplacés par des comportements culturellement acquis. Oui ! En conclura-t-on que l'homme n'est pas du tout un animal ? Qu'il n'a rien à voir avec l'animalité ? C'est tout l'enjeu de cette réflexion, je crois. L'homme a-t-il été parachuté depuis quelque au-delà, tout conçu, tout fini et clés en main ? C'est le problème qu'il faut résoudre. Sans oublier cependant qu'abstraction faite des instincts, absolument toutes nos fonctions corporelles sont à l'évidence animales. Respiration, nourriture, reproduction... etc. Partons donc de cette évidence : notre corps est animal. Il n'a donc pas été "parachuté". Nous sommes bien d'ici ! Reste notre esprit. Est-ce donc lui alors qui a été parachuté dans nos corps animaux ? On comprendrait bien que ce bel esprit venu d'ailleurs ait dès son arrivée chassé ces instincts bestiaux... "A vraiment non ! pas de ça chez moi !" Cependant chez nos amis animaux ces instincts ont de bien jolies conséquences. Passons sur le minou qui enterre son caca. Mais l'abeille ? Mais la guêpe ? Ou encore l'araignée ? Qui "d'instinct" composent leurs demeures ou leurs pièges de façon si parfaitement géométrique ! L'esprit universel, n'y aurait-donc pas sa part ? Fi donc ! "L'esprit parachuté" de l'homme l'a-t-il déchu de ces si beaux et si parfaits instincts ? Ou les lui a-t-il tous permis, lui en a-t-il permis toutes les découvertes grâce à sa réflexion ? Pour la toile d'araignée il a inventé le tissage, Pour les guêpes et les abeilles le carton, la stéarine, le plastique et la géométrie. Et pour le caca du minou (ça m'amuse!) il a inventé la chasse d'eau ! J’imagine fort bien notre esprit « parachuté » tombé tout nu et apprenant tout de la Nature.... Hay : there’s the rub ! Car la Nature, elle, elle l’a appris d’où ?! PS : Je triche un peu par ma question car j’ai (un peu) la solution ! Tant qu’à naître tout nu, notre esprit a bien pu le faire dans notre corps animal. Qui peu le moins peut le moins ! Quant à la Nature (ou la vie), elle en a eu du temps des millions, des milliards d’années pour tester ce qui tenait en équilibre et ce qui tenait pas. J'ai bien connu une araignée des tout débuts et qui faisait sa toile pleine de trous... Elle a rien attrapé ! Et est morte de faim... La pauvre. -
J'avais remarqué ça, déjà. Dieu préfère Abel le "branleur" (qui se promène avec ses moutons!) à Caïn "le bosseur" qui pioche ses légumes ! C'est le travail en général qui est méprisé. La sueur. Pour qui fonderait sa nation sur "Travail, Famille, Patrie", c'est largement incompréhensible. A moins que l'on décrypte cette devise dans la bouche d'une aristocratie (éventuelle) comme "travail, famille, Patrie pour les autres"... Dieu est du côté des chefs !!! (Le roi est de droit divin. Louis XVI fuit qui n'a pas de Patrie et Attali précise : "la France est un hôtel".) Si l'on remet les choses dans le bon ordre, les chefs inventent Dieu pour se forger une légitimité. (Et évacuer leur culpabilité ?!) A l'arrivée, la liberté est nécessairement du côté des branleurs. Socrate : "Ne sommes-nous pas de loisir ?" (Nous pouvons donc philosopher...) Curieusement, Marx comme Hitler (le communisme et le fascisme) se retrouvent du même côté des "contraigneurs" des peuples, depuis l'idée que "le travail libère les travailleurs" à "Arbeit macht frei"... Pour être largement assez travailleur, il faut bien que je me dise pourtant que le travail n'est pas une vertu. Ni l'oisiveté d'ailleurs. Pour un peu, j'en reviendrais à Platon que j'aime guère : " Car toutes ces choses que nous faisons ne sont pas belles ou bonnes en elles-mêmes mais belles et bonnes suivant la façon que nous les faisons." (De mémoire)
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L'obscurantisme, en quoi consiste-il ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
"La bandaison, papa, ça n'se commande pas !" (air connu) Tiens et le vertige ? Voilà un instinct qui est peut-être propre à l'homme... Excusez la vulgarité, mais pisser debout pour un homme et à croupie pour une femme... -
Le Timée de Platon. Je n'en reviens pas des stupidités qui y sont développées... Le vue, c'est le "feu froid" des yeux (l'âme) qui va se projeter sur le "feu chaud (la lumière) des choses" ! Le semblable avec le semblable : un pur délire mystico-idéaliste ! Quand les simulacres de Démocrite émanant des choses et venant "percuter" nos yeux, restent relativement proche de la réalité... Et on nous a fait de Platon, le "Prince des philosophes" ! Lui qui voulait brûler tout Démocrite...
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Je suis l'âme Membrane, Une brane Encore moins : Juste un fil Une âme funambule Somnambule Qui déambule Entre deux. Et je prends garde à droite : Néant Et je prends garde à gauche : Néant. Une corde en discorde Attachée Une corde un peu ivre Qui vibre Sa liberté.
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La vie "intelligente" vaut-elle le coup de vivre ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de shyiro dans Philosophie
Je vous ai vus parler de l'émotion. C'est un beau mot en cul de sac. Au delà il n'y a rien qui vaut la peine. J'ai dit un jour : "on ne s'apitoie que de soi". Je n'en étais pas plus avancé ! Bien sûr l'émotion ressentie on la ressent soi. Mais est-ce que c'est bien la nôtre ? Je ne veux pas dire qu'on se la joue, encore que. Mais à notre propre émotion on y résiste assez bien finalement, on lui fait face. C'est celle des autres, celle qu'on prêtre aux autres (autrement dit bizarrement quand on prend celle des autres !) c'est celle-là qui nous submerge. On va dire l'empathie. L'émotion qu'on vit à la place des autres est un gouffre. Peut-être parce qu'on la croit plus grande qu'elle n'est ? En tout cas on ne peut pas la maîtriser parce qu'elle n'est pas la nôtre. Je le redis : elle nous submerge. (Moi, ça va ! Je tiens le coup !) Ça peut paraître obscur ce que je dis, mais je parle d'expérience ! Perso, c'est la douleur des autres qui m'est insupportable. Plus que la mienne. C'est peut-être une question de caractère? Peut-être qu'on ne ressent pas tous les choses de la même façon... Il est même sûr que la douleur des autres puisse réjouir certains caractères... (Expliquer ce mécanisme me semble assez simple.) -
À bas les sectes! Combat conservateur contre le rationalisme, l'étranger, le pluralisme et la liberté.
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Les sectes comme beaucoup d'autres choses c'est à la fois du bien et du mal. Le plaisir de se sentir "entre soi", (l'instinct grégaire), protégé, à l'abri, c'est bien ! Mais se sentir "entre soi", va de pair avec repousser les autres et ça... c'est aussi mal ! C'est Valéry qui a dit je crois : (Phèdre :) "Les éponges et les sots ont ceci de commun qu'ils adhèrent, ô Socrate !" Est-on toujours sot d'adhérer ?
