

Yardas
Membre-
Compteur de contenus
7 068 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
44
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Yardas
-
Mais coco, ce qui est avancé sans preuve peut être réfuté sans preuve. C'est à toi d'apporter les preuves de l'existence de ta Grande Intelligence. Des preuves autres que "c'est évident !".
-
Ben non. C'est une question sur l'évolution, ce qui est, SURPRISE, le sujet du topic. Tant que tu ne sauras pas à répondre à cette SIMPLE question, ça n'aura aucun intérêt de discuter. C'est la base.
-
Décidément, ça ne rentre pas... Tu vas répondre ou bien ?
-
Je repose ma question :
-
Toujours aucune preuve de ce que tu avances... Wipe, je vais reprendre ton exemple. Dis-moi Immatériel, on prend une population bactérienne et on la met dans un environnement plus froid. Que peut-on dire sur la génération suivante (c'est à dire après une seule division) en terme d'adaptation ?
-
L'évolution "travaille" sur des centaines de millions d'années, petit à petit, pas à pas. Même avec toute l'intelligence du monde, le temps nous manque !
-
Si tu lisais ça irait peut-être mieux : On ne dit pas que les arguments des religieux ne sont pas acceptables, par contre on dit que si ces arguments sont basés sur leur livre sacré, ça ne l'est pas. Ben... Oui.
-
Ça c'est bien l'argument le plus hypocrite de tous.
-
-
Sophisme. Sophisme. Sophisme. Si même Arthur le dit, la discussion est close.
-
J'avais un doute mais c'est officiel : RocketLuncher est juste un petit troll. Aucun intérêt.
-
Non, pas pour ça. Pour plusieurs autres remarques. Ce n'est pas une question de honte ou quoi que ce soit. C'est juste que ça n'apporte rien au débat. Marrant, je me faisais la même réflexion... Tu débarques ici sans prendre la peine de lire, en racontant du grand n'importe quoi et c'est nous les cinglés... Bien bien !
-
Mon dieu, on a récupéré un deuxième epmd71... NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON
-
Quand je mords, j'ai mes raisons. Là, tu n'en as aucune. Donc j'éviterais de la ramener à ta place Parce que Fafaluna, ELLE, mord vraiment
-
C'est bon lui on a le droit de le traiter d'homophobe ou c'est toujours pas permis ?
-
Paranoïa et attaque totalement gratuite.
-
Les détraqués ? Bravo, le masque tombe, ça aura pas mis longtemps. Mon orientation sexuelle n'a rien à foutre dans la discussion. Ouais, vraiment une flèche, comme je disais...
-
Tu savais qu'ils savaient bien danser ?
-
Sept raisons, pour moi catholique, de ne pas m’opposer au mariage gay
Yardas a répondu à un(e) sujet de Elsa dans Religion et Culte
Je ne sais pas si l'article a été posté ici, mais je ne l'avais jamais vu : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/751560-de-sodome-au-mariage-pour-tous-la-bible-ne-condamne-pas-l-homosexualite.html Vu la tournure homophobe que prend souvent la discussion sur le mariage pour tous, je trouve qu'il est temps de faire une mise au point sur un des arguments le plus souvent utilisés par les croyants et religieux. La position de la hiérarchie catholique (dossier du journal "La Croix" du 6 novembre 2012) est la suivante : "Il est vrai que la position de l’Église sur [l’homosexualité] intervient en toile de fond [du débat sur le mariage]." Cette position de l’Église s’appuie sur la Bible et les évêques qui interviennent sur le sujet, comme les théologiens, disent rejeter l’homosexualité pour cette raison : "On a un héritage biblique qui objectivement a horreur de l’homosexualité", a affirmé Xavier Lacroix. Le texte biblique le plus fréquemment cité, celui qui vient spontanément à l’esprit de la plupart des gens, est le récit du châtiment de la ville de Sodome. Pour l’opinion commune, la terrible vengeance de Dieu qui détruit par le feu Sodome et Gomorrhe concernerait l’homosexualité et en serait la condamnation sans appel. De telles affirmations, étant donné leurs conséquences, méritent un examen approfondi. En effet, la vengeance divine ne pouvait-elle pas viser d’autres comportements présents à Sodome ? Quand on est obsédé par la sexualité, on croit que de tout temps les humains ont partagé cette obsession. Et on lit la Bible sans se rendre compte que, dans ses différents livres, les fautes les plus graves concernent le culte divin et non la morale sexuelle. Et les habitants de Sodome et Gomorrhe sont bien présentés comme tellement accaparés par les jouissances matérielles qu’ils ne pensent plus à Dieu et méritent d’être punis. La lecture de l’épisode ne laisse aucun doute. C’est bien ainsi que l’on a compris ce texte pendant des siècles : toutes les citations bibliques, sans exception, renvoient à cet oubli de Dieu, à l’abandon de l’Alliance À Sodome Dieu n’a pas puni l’homosexualité Ézéchiel précisera (XVI,49-50 ; cf. "Ecclésiastique", XVI,8) : "Voici quel fut le crime de Sodome : orgueil, voracité, présomption et insouciance, telles furent les fautes de Sodome et de ses filles ; elles n’ont pas secouru le pauvre et le malheureux." De même, Luc (XVII,28) énumère ce qui pour lui représente la faute des habitants de Sodome, soit ne s’occuper que d’activités matérielles et ne laisser aucune place à Dieu dans sa vie : "On mangeait, on buvait, on achetait, on vendait, on plantait, on bâtissait." Chez Matthieu, Jésus donne l’exemple de Sodome pour illustrer le refus d’hospitalité (X,15). Quant à l’épître de saint Jude ("Sodome, Gomorrhe et les villes voisines qui se sont prostituées de la même manière et ont couru après une chair différente", v.7), elle ne peut évoquer l’homosexualité (une chair différente !) mais, comme le précisent d’ailleurs les notes de la Bible de Jérusalem, elle se réfère au comportement de certains anges qui se sont laissés séduire par les filles des hommes (cf. "Genèse" VI,1-2 et le livre d’Hénok), et souligne le scandale que représente ce mélange de chairs différentes, humaines et angéliques. De plus, les récits parallèles à celui des événements de Sodome sont indubitablement des réflexions sur l’hospitalité, à Gidéa (les gens de la ville demandent à un de leurs concitoyens d’origine étrangère de leur livrer un étranger qu’il héberge ; "Juges", XIX,22) comme à Jéricho (où les gens de la ville avaient bien raison de se méfier des étrangers, qui étaient en mission d’espionnage ; "Josué", II et VI). La tradition patristique confirme cette interprétation, jusqu’à Salvien de Marseille, au Ve siècle, qui ne reprend jamais l’accusation d’homosexualité à propos de Sodome, mais parle de manquement à l’hospitalité, alors qu’il traite du problème et cite d’autres passages bibliques (les lettres de Paul) pour critiquer les homosexuels. Et jusqu’à Isidore de Séville, au VIIIe siècle, qui attribue le châtiment des habitants de Sodome à leur avidité immodérée de biens matériels ("Sententiae", XLII, 2) : "La première des luxures est l’abondance de nourriture. C’est pour cela que le prophète Ézéchiel (XVI, 49) accuse Sodome d’être rassasiée de pain. Car, consommant la nourriture sans modération, les habitants de Sodome sombrèrent dans la turpitude des vices et méritèrent, par leur orgueil, d’être brûlés par les feux du ciel, parce qu’ils n’avaient pas gardé la mesure dans leur gloutonnerie." Interprétation des textes ecclésiastiques Le premier, dans le domaine ecclésiastique, à avoir explicitement relié l’épisode de Sodome à la condamnation par Dieu de l’homosexualité est Pierre Damien (1007-1072), qui désirait faire officiellement interdire cette pratique et ne parvenait pas à trouver d’autres justifications de son opinion personnelle dans tous les textes ecclésiastiques. Il va donc inventer cette interprétation du texte, comme plus tard, au XVIIIe siècle, l’anglais Bekker a déformé l’interprétation de l’épisode d’Onan (qui parle de retrait) pour étayer sa condamnation de la masturbation. Pour l’histoire, ni le pape ni les évêques réunis en concile n’ont accepté l’interprétation de Pierre Damien, et aucune décision à propos de l’homosexualité n’a alors été prise. Aujourd’hui, les spécialistes, catholiques ou non, sont d’accord pour récuser l’interprétation homosexuelle et défendre celle du manquement aux règles d’hospitalité. Patrice Vivarès, prêtre, dans un livre né de conférences données dans sa paroisse parisienne, constate dans "Les chrétiens et la vie affective" (Centurion, 23): "La pointe du texte n’est pas celle de la violence sexuelle… mais le refus de l’hospitalité qui touche directement Dieu puisque ces hommes sont des anges. À cette violence, à ce refus, Dieu répond par la violence : la ville est détruite…" Donc, ni les contemporains, ni les autres auteurs de la Bible, aucun des pères de l’Église, personne ne pense que l’épisode de Sodome concerne l’homosexualité. Évoquée au XIe siècle, cette escroquerie intellectuelle ne se répandra que plusieurs siècles après, pour finir par s’imposer au fur et à mesure que l’homophobie s’installe dans la société. Il reste que, en toute logique, une seule conclusion s’impose : à Sodome, Dieu n’a pas puni l’homosexualité. -
Va lire le sujet au lieu de raconter des bêtises. On la connaît l'excuse débile, elle est utilisée pour tous les débats de société. "VOUS DEVRIEZ AVOIR HONTE DE DISCUTER DE DROITS ET DE QUESTIONS SOCIÉTALES ALORS QUE DES SOMALIENS MEURENT DE FAIM". Ridicule. C'est certain que ce débat-là est tellement plus important !
-
Les deux c'est toi ?