Dnl Svr
Banni-
Compteur de contenus
98 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Dnl Svr
-
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
Étrange, il me semblait que le ''fiat lux'' prenait place dès le premier jour, et que le 7ième jour, Dieu se reposa. Faudrait que je relise ce qui est écrit dans la bible. :gurp: -
Il me semble aussi de bonne convenance que face à ceux qui répondent que nous sommes dans l'incacité de trancher la question, on réponde que ce peut bien être le cas ou non. Encore faudrait-il qu'une preuve de l'existence de Dieu soit clairement définie, et qu'une preuve de son inexistence le soit également. Alors on peut bien se demander : ''Qu'est-ce qui prouverait qu'un éventuel Dieu aurait créé l'univers, ou qu'est-ce qui prouverait qu'un éventuel Dieu n'en serait pas à l'origine? L'incapacité à répondre revient à la position voulant que l'on soit incapable de définir une preuve. Mais sommes-nous vraiment incapable de définir ce que serait une telle preuve ou ne serait-ce qu'une absence de volonté en ce sens? Croire que l'on est incapable de trancher, alors que l'on est incapable de trancher sur le fait qu'on serait capable ou non de trancher, ça relèverait de l'inconscience, et inconsciemment, ça se ramène au fait qu'on n'y croit pas sans vouloir se l'avouer. Position insuffisante, effectivement. Position paresseuse, ça en a tout l'air!
-
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
??? L'hypothèse Dieu explique tout... sauf Dieu. Mais bien sûr Dieu n'a pas besoin d'explications, puisqu'il est parfait! Où avais-je la tête? Peu importe l'hypothèse, elle ne s'explique pas d'elle-même, puisque c'est à nous de l'expliquer, de la confirmer ou de l'infirmer, à moins de demander à Dieu de s'expliquer lui-même, mais alors il ne serait plus une hypothèse, mais une réalité. Si jamais une ''théorie du tout'' venait à être formulée, alors elle expliquerait tout, sauf la ''théorie du tout''. Car pour s'expliquer elle-même il faudrait qu'elle soit en réalité, et non en théorie. -
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
Faisons comme aimait si bien le faire Einstein et projetons-nous dans le cadre d'une expérience de pensée. Alors imaginons donc qu'une seule entité existe et qu'il n'y a rien hors d'elle. Imaginons que cette entité se coupe un morceau, qu'elle crée un espace entre elle et ce qui n'est plus elle, c'est le principe de la division, avec une pierre on fait 2 coups. On peut imaginer qu'avant, il n'y avait rien entre l'entité et son morceau, et qu'après il y a un rien qui les séparent. Notre entité aurait donc pris un petit rien pour créer quelque chose de différent d'elle. Imaginons ensuite que cette entité modèle ou donne une forme à ce morceau qui n'est plus partie intégrante d'elle-même, on peu dire qu'elle se sert de ce petit rien pour l'insérer et l'étendre dans le morceau et en faire quelque chose d'encore plus différent. Elle peut même diviser encore et encore ce morceau avec ce petit rien, et en faire ce qu'elle veut à volonté. Cette entité n'en restera pas moins elle-même dans le fond, mais sa forme aura changée d'un iota. Ainsi elle aura créé quelque chose à partir de rien. ;)On aura donc, au final, cette entité et tout le petit univers qu'elle se serait créé à partir d'elle-même. Un univers bien distinct d'elle-même et qui existe autant qu'elle. -
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
Cela voudrait-il dire que tu crois en l'existence d'un Dieu qui ne contrôlerait pas l'univers ou notre destin? Je ne crois pas que la notion d'un Dieu créateur impliquerait ce type de contrôle, sinon on parlerait d'un Dieu manipulateur. Un Dieu créateur se contenterait de créer, de créer selon sa volonté, pour ce qui serait de savoir jusqu'où irait cette volonté et ce qu'elle contiendrait alors on ne peut qu'essayer de deviner, et cette recherche est à la base de ce qui est créatif. -
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
En fait, il précise bien ce qui existait avant que l'espace-temps existe, selon sa théorie, le big-bang serait issu d'une fluctuation du vide quantique, donc le vide quantique et ses fluctuations pré-existaient au big-bang. Ce qui est le plus drôle, c'est que le terme ''fluctuation'' implique déjà une différence et un mouvement, un changement, donc un temps qui s'écoule. Comme précisé, ce serait une fluctuation du vide quantique qui représenterait le processus ''big-bang''. Le tout repose sur une question de hasard ou de volonté, il ne donnerait pas de volonté propre au vide quantique pour expliquer ces fluctuations, il ferait appel au hasard. Mais alors on peut lui reprocher justement de faire du vide quantique le Dieu de la science et du hasard sa volonté de faire. On en reste à la petite formulation que tout le monde connait bien : Au commencement (à l'origine) Dieu (du vide quantique) créa (émergea) le Ciel (le temps) et la Terre (et l'espace). Ça n'explique en rien d'où vient Dieu (le vide quantique) ni ce qui provoque son action, soit sa volonté (la fluctuation). Et encore moins si le hasard tel qu'on le connait ne serait que le fruit d'une volonté ou si cette volonté ne serait pas le fruit du hasard. Ce qui ramène à la question, pourquoi le mouvement, pourquoi un changement ou une évolution aurait pris place dans notre petit monde? Est-ce une question de volonté à l'origine? Comme tu le dis si bien, l'étincelle était-elle déjà présente, sinon comment aurait-elle pu survenir, par le biais d'une autre étincelle? -
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
Oui , le néant ne peut contenir quelque chose qui émerge de lui , ce serait lui attribué une propriété qu'il n'a pas par définition . Et puis penser le "rien" n'est pas penser à rien ; dès que l'on parle du néant , on lui attribue ,qu'on le veuille ou non , une existence , une propriété existentielle, hors il n'en a pas , donc quand il n'y a rien de rien et bien ça continue éternellement ... ou alors l'existence a toujours existé , ce qui est d'une certaine façon , plus facile à imaginer mais on a toujours pas l'origine de cette existence éternelle . Logiquement, peut-être devrait-on rendre à César ce qui est à César, et réduire le néant à néant. :) Que resterait-il alors? -
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
Normal puisque je n'explique rien du tout, je ne fais que questionner logiquement sa proposition de départ. Si déjà cela n'était pas clair pour toi alors j'espère que maintenant ça l'est. Mais puisque tu voudrais une explication alors je vais t'en proposer une sur les même bases. Supposons donc que le temps n'existait pas avant le big-bang, cela impliquerait que l'on ne pourrait faire la différence entre 2 états successifs (l'avant et l'après) qui caractériserait le big-bang, donc qu'il n'évoluerait pas, que rien ne changerait, que tout serait toujours identique et du pareil au même, pas de temps donc aucun mouvement digne de ce nom, aucun changement. Maintenant supposons qu'à partir de cet état ou rien ne change, ou le temps ne ''passe'' pas, le temps finisse par ''apparaître'', par passer, que quelque chose change, alors c'est qu'il y a un certain temps qui s'est écoulé entre le moment ou le temps n'existait pas et celui où il apparait, où il commence à exister, sinon, si il n'y a pas cette différence, c'est qu'entre le moment ou le temps n'existait pas et le moment ou il existe enfin, il y a une différence de 0, donc que l'avant et l'après sont un seul et unique instant. En conclusion on en vient à dire que si le big-bang ne se déroule pas dans le temps alors le temps ne peut pas passer, et si le temps ne peut pas passer pour qu'apparaisse le temps alors le temps ne peut apparaître. Maintenant, il faut comprendre que le big-bang n'est pas un état, mais un déroulement, une évolution. Et qui dit évolution dit temps, dit changement, dit mouvement. Il est illogique de poser que le changement provoquerait ce qui permet à un changement de s'opérer, soit que temps passe, car le temps se doit déjà de passer pour que le changement survienne entre le temps où le temps n'existait pas et le temps où le temps existe. Peut-être que cette réflexion prend place dans un autre temps, que le temps ne serait pas encore venu pour que ce soit clair pour toi. Il était une époque ou les mots manquait pour dire ou exprimer ce que l'on pense, mais les choses n'ont pas vraiment changer depuis. Comment explique-t-on l'existence et la provenance du vide quantique, par une fluctuation du vide quantique peut-être? Ou par l'existence de lois qui feraient en sorte que le vide quantique devienne une réalité? Mais dans ce cas, ces lois seraient-elles issues d'une fluctuation du vide quantique? L'imaginaire n'a pas de limite, on peut donner la forme que l'on veut à ce que l'on ne connait pas, mais dans le fond ça ne change rien puisque ça reste une question de fond et non de forme. Alors si le temps n'existait pas, comment pourrait-il trouver le temps pour faire en sorte d'exister? -
''C'est dans la tête qu'on est beau.'' :)
-
La création de L'univers vu par Stephen Hawking
Dnl Svr a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Religion et Culte
Moi je trouve ça drôle, il y aurait eu assez de temps dans une autre bulle d'univers pour que le big-bang se produise à l'intérieur de celui-ci, mais qu'en ce qui concernerait Dieu, on ne trouverait pas le temps de lui trouver du temps. :gurp: Si le big-bang ne se produit pas dans le temps produit par le big-bang lui-même, il a tout de même pris du temps pour se produire et pour produire le temps. Trop de concept ne sont pas déterminés dans sa vision des choses et posés sans explication, comme la préséance de l'infini ou du vide quantique, ou même certains principes comme l'incertitude. Ça vaut ce que ça vaut en fait. -
Une chanson qui fait retomber en enfance.
-
Immensité.
-
Parfois, c'est plus sage d'être un peu fou. :)
-
Un souffle.
-
http://www.youtube.com/watch?v=enN50RIOZLw Je demande une chanson qui vous donne de l'inspiration.
-
Je demande une chanson qui parle d'indifférence.
-
Wow! On dirait que mes propos en fait de l'écho! C'est fou!
-
J'aime bien le ''si'', je dirai alors que si tu peux vérifier ta supposition c'est que c'est la vérité. Mais comme tu ne le peux pas alors ce n'est pas la vérité. CQFD Encore mieux, en théorie, ta petite proposition est ce que l'on appelle un axiome, et un axiome est une vérité indémontrable, tu sais ce que c'est n'est-ce pas, un axiome? J'ajouterais même qu'un certain monsieur Godël a établi qu'il existe certaines vérités qui sont indémontrables, lis-le, tu grandiras. Le propre de la vérité est l'adéquation à la réalité, qu'on puisse le prouver ou non n'a rien à voir avec le fait que ce soit la vérité, tu confonds encore une fois, cette fois-ci c'est le véritable et le vérifiable, la vérité et la vérification. Mais amusons-nous encore un peu! Imaginons donc qu'un certain Paul tue un certain Pierre, mais qu'on ne puisse le prouver, qu'on ne puisse le vérifier, on se retrouve alors avec le fait que Paul a tué Pierre, mais que ce ne serait pas la vérité. C'est fou, hein! Vérifier, c'est uniquement chercher à savoir si c'est vrai, malheureusement pour toi, on n'a pas besoin de savoir si une une proposition est vraie pour qu'elle le soit, et en conclusion, tu finiras par comprendre un jour que ce n'est pas parce que tu ne veux rien savoir au sujet de la vérité de quelque chose que cette vérité n'existe pas. Normal puisque c'est une réponse, pas une hypothèse, tu t'enfonces encore. Tout ce qui n'a pas toujours existé a été crée par ce qui a toujours exister. C'est logique et non-contradictoire. Peut-être es-tu capable d'expliquer et d'argumenter ta petite réflexion, mais j'en doute. Tu veux dire que ce scientifique penche pour l'hypothèse voulant que quelque chose qui n'existait pas aura été créé par quelque chose qui n'existe pas, ou tu veux dire que quelque chose qui existait aurait créé quelque chose qui existe? Pour se créer tout seul, il fallait que ça n'existe pas avant et que ça existe après, mais peut-être ne comprends-tu pas non plus le sens du mot créer, soit que la chose créée n'existait pas avant de l'être. 2 réponses absurdes de suite, tu te surpasses vraiment, il est vraiment tenace ton intégrisme athée. Dommage que tu ne veuille rien savoir, tu ne pourras jamais vérifier si c'est la vérité, si l'axiome de base de ta théorie de la vérité est que ''la vérité, c'est ce qui se vérifie'', évidemment. Mais j'espère que ce n'est qu'un axiome dis, j'espère que tu n'en fait un dogme. Veux-tu en discuter? Bla-bla-bla. Une hypothèse est une hypothèse, qu'elle soit bleue ou rouge ne fait pas de différence, ça reste une hypothèse. C'est comme pour les carottes, crues ou cuites, ça reste des carottes. Mais la nuance existe, c'est juste qu'elle ne change rien à l'histoire. On construit sur ce qui n'existe pas dans les 2 cas (Dans l'hypothèse ou Dieu n'existe pas, évidemment). Voilà. Et en poussant un peu plus loin, on en arrive à la conclusion finale ; que Dieu existe ou non, ça ne fait aucune différence, et donc Dieu ne sert à rien. C'est la preuve que toutes les hypothèses ne se valent pas. Dis, tu viens de comprendre enfin toute l'absurdité de ta formulation, toute l'absurdité voulant que faire ''comme si'', c'est se réfugier dans l'illusion, que faire comme si ça n'existait pas ne changera rien au fait que ça existe si ça existe. Que faire comme si Napoléon n'était pas mort ne changera rien au fait qu'il le soit. Si tu es engagé dans une course et que tu cours dans tout les sens, alors ça ne change rien tant que le marathon n'est pas fini, tu peux bien faire ou penser ce que tu veux, personne ne t'en empêche, tu sauras au final (Dans l'hypothèse ou Dieu existe), à moins que même à ce moment, tu ne veuilles encore rien savoir, ça reste à vérifier pour toi. Alors je répète ma phrase sans les absurdités de ta reformulation : Le fait de ne pas prouver l'existence de quelque chose ne prouve pas son inexistence. Et pour ta conclusion finale, ben tu peux faire ''comme si'' ça ne faisait pas de différence et ''comme si'' ça ne sert à rien, mais tu conclueras toujours des absurdités sur des bases absudes. Le plus absurde étant encore de ne pas donner de sens à quelque chose, de dire que ça n'a pas de sens par la suite et de faire comme si c'était vrai. Je te salue, gentil petit intégriste athée, que le dogme soit avec toi.
-
J'aime bien le ''si'', je dirai alors que si tu peux vérifier ta supposition c'est que c'est la vérité. Mais comme tu ne le peux pas alors ce n'est pas la vérité. CQFD Encore mieux, en théorie, ta petite proposition est ce que l'on appelle un axiome, et un axiome est une vérité indémontrable, tu sais ce que c'est n'est-ce pas, un axiome? J'ajouterais même qu'un certain monsieur Godël a établi qu'il existe certaines vérités qui sont indémontrables, lis-le, tu grandiras. Le propre de la vérité est l'adéquation à la réalité, qu'on puisse le prouver ou non n'a rien à voir avec le fait que ce soit la vérité, tu confonds encore une fois, cette fois-ci c'est le véritable et le vérifiable, la vérité et la vérification. Mais amusons-nous encore un peu! Imaginons donc qu'un certain Paul tue un certain Pierre, mais qu'on ne puisse le prouver, qu'on ne puisse le vérifier, on se retrouve alors avec le fait que Paul a tué Pierre, mais que ce ne serait pas la vérité. C'est fou, hein! Vérifier, c'est uniquement chercher à savoir si c'est vrai, malheureusement pour toi, on n'a pas besoin de savoir si une une proposition est vraie pour qu'elle le soit, et en conclusion, tu finiras par comprendre un jour que ce n'est pas parce que tu ne veux rien savoir au sujet de la vérité de quelque chose que cette vérité n'existe pas. Normal puisque c'est une réponse, pas une hypothèse, tu t'enfonces encore. Tout ce qui n'a pas toujours existé a été crée par ce qui a toujours exister. C'est logique et non-contradictoire. Peut-être es-tu capable d'expliquer et d'argumenter ta petite réflexion, mais j'en doute. Tu veux dire que ce scientifique penche pour l'hypothèse voulant que quelque chose qui n'existait pas aura été créé par quelque chose qui n'existe pas, ou tu veux dire que quelque chose qui existait aurait créé quelque chose qui existe? Pour se créer tout seul, il fallait que ça n'existe pas avant et que ça existe après, mais peut-être ne comprends-tu pas non plus le sens du mot créer, soit que la chose créée n'existait pas avant de l'être. 2 réponses absurdes de suite, tu te surpasses vraiment, il est vraiment tenace ton intégrisme athée. Dommage que tu ne veuille rien savoir, tu ne pourras jamais vérifier si c'est la vérité, si l'axiome de base de ta théorie de la vérité est que ''la vérité, c'est ce qui se vérifie'', évidemment. Mais j'espère que ce n'est qu'un axiome dis, j'espère que tu n'en fait un dogme. Veux-tu en discuter? Bla-bla-bla. Une hypothèse est une hypothèse, qu'elle soit bleue ou rouge ne fait pas de différence, ça reste une hypothèse. C'est comme pour les carottes, crues ou cuites, ça reste des carottes. Mais la nuance existe, c'est juste qu'elle ne change rien à l'histoire. On construit sur ce qui n'existe pas dans les 2 cas (Dans l'hypothèse ou Dieu n'existe pas, évidemment). Voilà. Et en poussant un peu plus loin, on en arrive à la conclusion finale ; que Dieu existe ou non, ça ne fait aucune différence, et donc Dieu ne sert à rien. C'est la preuve que toutes les hypothèses ne se valent pas. Dis, tu viens de comprendre enfin toute l'absurdité de ta formulation, toute l'absurdité voulant que faire ''comme si'', c'est se réfugier dans l'illusion, que faire comme si ça n'existait pas ne changera rien au fait que ça existe si ça existe. Que faire comme si Napoléon n'était pas mort ne changera rien au fait qu'il le soit. Si tu es engagé dans une course et que tu cours dans tout les sens, alors ça ne change rien tant que le marathon n'est pas fini, tu peux bien faire ou penser ce que tu veux, personne ne t'en empêche, tu sauras au final (Dans l'hypothèse ou Dieu existe), à moins que même à ce moment, tu ne veuilles encore rien savoir, ça reste à vérifier pour toi. Alors je répète ma phrase sans les absurdités de ta reformulation : Le fait de ne pas prouver l'existence de quelque chose ne prouve pas son inexistence. Et pour ta conclusion finale, ben tu peux faire ''comme si'' ça ne faisait pas de différence et ''comme si'' ça ne sert à rien, mais tu conclueras toujours des absurdités sur des bases absudes. Le plus absurde étant encore de ne pas donner de sens à quelque chose, de dire que ça n'a pas de sens par la suite et de faire comme si c'était vrai. Je te salue, gentil petit intégriste athée, que le dogme soit avec toi.
-
J'aime bien le ''si'', je dirai alors que si tu peux vérifier ta supposition c'est que c'est la vérité. Mais comme tu ne le peux pas alors ce n'est pas la vérité. CQFD Encore mieux, en théorie, ta petite proposition est ce que l'on appelle un axiome, et un axiome est une vérité indémontrable, tu sais ce que c'est n'est-ce pas, un axiome? J'ajouterais même qu'un certain monsieur Godël a établi qu'il existe certaines vérités qui sont indémontrables, lis-le, tu grandiras. Le propre de la vérité est l'adéquation à la réalité, qu'on puisse le prouver ou non n'a rien à voir avec le fait que ce soit la vérité, tu confonds encore une fois, cette fois-ci c'est le véritable et le vérifiable, la vérité et la vérification. Mais amusons-nous encore un peu! Imaginons donc qu'un certain Paul tue un certain Pierre, mais qu'on ne puisse le prouver, qu'on ne puisse le vérifier, on se retrouve alors avec le fait que Paul a tué Pierre, mais que ce ne serait pas la vérité. C'est fou, hein! Vérifier, c'est uniquement chercher à savoir si c'est vrai, malheureusement pour toi, on n'a pas besoin de savoir si une une proposition est vraie pour qu'elle le soit, et en conclusion, tu finiras par comprendre un jour que ce n'est pas parce que tu ne veux rien savoir au sujet de la vérité de quelque chose que cette vérité n'existe pas. Normal puisque c'est une réponse, pas une hypothèse, tu t'enfonces encore. Tout ce qui n'a pas toujours existé a été crée par ce qui a toujours exister. C'est logique et non-contradictoire. Peut-être es-tu capable d'expliquer et d'argumenter ta petite réflexion, mais j'en doute. Tu veux dire que ce scientifique penche pour l'hypothèse voulant que quelque chose qui n'existait pas aura été créé par quelque chose qui n'existe pas, ou tu veux dire que quelque chose qui existait aurait créé quelque chose qui existe? Pour se créer tout seul, il fallait que ça n'existe pas avant et que ça existe après, mais peut-être ne comprends-tu pas non plus le sens du mot créer, soit que la chose créée n'existait pas avant de l'être. 2 réponses absurdes de suite, tu te surpasses vraiment, il est vraiment tenace ton intégrisme athée. Dommage que tu ne veuille rien savoir, tu ne pourras jamais vérifier si c'est la vérité, si l'axiome de base de ta théorie de la vérité est que ''la vérité, c'est ce qui se vérifie'', évidemment. Mais j'espère que ce n'est qu'un axiome dis, j'espère que tu n'en fait un dogme. Veux-tu en discuter? Bla-bla-bla. Une hypothèse est une hypothèse, qu'elle soit bleue ou rouge ne fait pas de différence, ça reste une hypothèse. C'est comme pour les carottes, crues ou cuites, ça reste des carottes. Mais la nuance existe, c'est juste qu'elle ne change rien à l'histoire. On construit sur ce qui n'existe pas dans les 2 cas (Dans l'hypothèse ou Dieu n'existe pas, évidemment). Voilà. Et en poussant un peu plus loin, on en arrive à la conclusion finale ; que Dieu existe ou non, ça ne fait aucune différence, et donc Dieu ne sert à rien. C'est la preuve que toutes les hypothèses ne se valent pas. Dis, tu viens de comprendre enfin toute l'absurdité de ta formulation, toute l'absurdité voulant que faire ''comme si'', c'est se réfugier dans l'illusion, que faire comme si ça n'existait pas ne changera rien au fait que ça existe si ça existe. Que faire comme si Napoléon n'était pas mort ne changera rien au fait qu'il le soit. Si tu es engagé dans une course et que tu cours dans tout les sens, alors ça ne change rien tant que le marathon n'est pas fini, tu peux bien faire ou penser ce que tu veux, personne ne t'en empêche, tu sauras au final (Dans l'hypothèse ou Dieu existe), à moins que même à ce moment, tu ne veuilles encore rien savoir, ça reste à vérifier pour toi. Alors je répète ma phrase sans les absurdités de ta reformulation : Le fait de ne pas prouver l'existence de quelque chose ne prouve pas son inexistence. Et pour ta conclusion finale, ben tu peux faire ''comme si'' ça ne faisait pas de différence et ''comme si'' ça ne sert à rien, mais tu conclueras toujours des absurdités sur des bases absudes. Le plus absurde étant encore de ne pas donner de sens à quelque chose, de dire que ça n'a pas de sens par la suite et de faire comme si c'était vrai. Je te salue, gentil petit intégriste athée, que le dogme soit avec toi.
-
J'aime bien le ''si'', je dirai alors que si tu peux vérifier ta supposition c'est que c'est la vérité. Mais comme tu ne le peux pas alors ce n'est pas la vérité. CQFD Encore mieux, en théorie, ta petite proposition est ce que l'on appelle un axiome, et un axiome est une vérité indémontrable, tu sais ce que c'est n'est-ce pas, un axiome? J'ajouterais même qu'un certain monsieur Godël a établi qu'il existe certaines vérités qui sont indémontrables, lis-le, tu grandiras. Le propre de la vérité est l'adéquation à la réalité, qu'on puisse le prouver ou non n'a rien à voir avec le fait que ce soit la vérité, tu confonds encore une fois, cette fois-ci c'est le véritable et le vérifiable, la vérité et la vérification. Mais amusons-nous encore un peu! Imaginons donc qu'un certain Paul tue un certain Pierre, mais qu'on ne puisse le prouver, qu'on ne puisse le vérifier, on se retrouve alors avec le fait que Paul a tué Pierre, mais que ce ne serait pas la vérité. C'est fou, hein! Vérifier, c'est uniquement chercher à savoir si c'est vrai, malheureusement pour toi, on n'a pas besoin de savoir si une une proposition est vraie pour qu'elle le soit, et en conclusion, tu finiras par comprendre un jour que ce n'est pas parce que tu ne veux rien savoir au sujet de la vérité de quelque chose que cette vérité n'existe pas. Normal puisque c'est une réponse, pas une hypothèse, tu t'enfonces encore. Tout ce qui n'a pas toujours existé a été crée par ce qui a toujours exister. C'est logique et non-contradictoire. Peut-être es-tu capable d'expliquer et d'argumenter ta petite réflexion, mais j'en doute. Tu veux dire que ce scientifique penche pour l'hypothèse voulant que quelque chose qui n'existait pas aura été créé par quelque chose qui n'existe pas, ou tu veux dire que quelque chose qui existait aurait créé quelque chose qui existe? Pour se créer tout seul, il fallait que ça n'existe pas avant et que ça existe après, mais peut-être ne comprends-tu pas non plus le sens du mot créer, soit que la chose créée n'existait pas avant de l'être. 2 réponses absurdes de suite, tu te surpasses vraiment, il est vraiment tenace ton intégrisme athée. Dommage que tu ne veuille rien savoir, tu ne pourras jamais vérifier si c'est la vérité, si l'axiome de base de ta théorie de la vérité est que ''la vérité, c'est ce qui se vérifie'', évidemment. Mais j'espère que ce n'est qu'un axiome dis, j'espère que tu n'en fait un dogme. Veux-tu en discuter? Bla-bla-bla. Une hypothèse est une hypothèse, qu'elle soit bleue ou rouge ne fait pas de différence, ça reste une hypothèse. C'est comme pour les carottes, crues ou cuites, ça reste des carottes. Mais la nuance existe, c'est juste qu'elle ne change rien à l'histoire. On construit sur ce qui n'existe pas dans les 2 cas (Dans l'hypothèse ou Dieu n'existe pas, évidemment). Voilà. Et en poussant un peu plus loin, on en arrive à la conclusion finale ; que Dieu existe ou non, ça ne fait aucune différence, et donc Dieu ne sert à rien. C'est la preuve que toutes les hypothèses ne se valent pas. C'est rigolo, tu viens de comprendre enfin toute l'absurdité de ta formulation, toute l'absurdité voulant que faire ''comme si'', c'est se réfugier dans l'illusion, que faire comme si ça n'existait pas ne changera rien au fait que ça existe si ça existe. Que faire comme si Napoléon n'était pas mort ne changera rien au fait qu'il le soit. Si tu es engagé dans une course et que tu cours dans tout les sens, alors ça ne change rien tant que le marathon n'est pas fini, tu peux bien faire ou penser ce que tu veux, personne ne t'en empêche, tu sauras au final (Dans l'hypothèse ou Dieu existe), à moins que même à ce moment, tu ne veuilles encore rien savoir, ça reste à vérifier pour toi. Alors je répète ma phrase sans les absurdités de ta reformulation : Le fait de ne pas prouver l'existence de quelque chose ne prouve pas son inexistence. Et pour ta conclusion finale, ben tu peux faire ''comme si'' ça ne faisait pas de différence et ''comme si'' ça ne sert à rien, mais tu conclueras toujours des absurdités sur des bases absudes. Le plus absurde étant encore de ne pas donner de sens à quelque chose, de dire que ça n'a pas de sens par la suite et de faire comme si c'était vrai. Je te salue, gentil petit intégriste athée, que le dogme soit avec toi.
-
J'aime bien le ''si'', je dirai alors que si tu peux vérifier ta supposition c'est que c'est la vérité. Mais comme tu ne le peux pas alors ce n'est pas la vérité. CQFD Encore mieux, en théorie, ta petite proposition est ce que l'on appelle un axiome, et un axiome est une vérité indémontrable, tu sais ce que c'est n'est-ce pas, un axiome? J'ajouterais même qu'un certain monsieur Godël a établi qu'il existe certaines vérités qui sont indémontrables, lis-le, tu grandiras. Le propre de la vérité est l'adéquation à la réalité, qu'on puisse le prouver ou non n'a rien à voir avec le fait que ce soit la vérité, tu confonds encore une fois, cette fois-ci c'est le véritable et le vérifiable, la vérité et la vérification. Mais amusons-nous encore un peu! Imaginons donc qu'un certain Paul tue un certain Pierre, mais qu'on ne puisse le prouver, qu'on ne puisse le vérifier, on se retrouve alors avec le fait que Paul a tué Pierre, mais que ce ne serait pas la vérité. C'est fou, hein! Vérifier, c'est uniquement chercher à savoir si c'est vrai, malheureusement pour toi, on n'a pas besoin de savoir si une une proposition est vraie pour qu'elle le soit, et en conclusion, tu finiras par comprendre un jour que ce n'est pas parce que tu ne veux rien savoir au sujet de la vérité de quelque chose que cette vérité n'existe pas. Normal puisque c'est une réponse, pas une hypothèse, tu t'enfonces encore. Tout ce qui n'a pas toujours existé a été crée par ce qui a toujours exister. C'est logique et non-contradictoire. Peut-être es-tu capable d'expliquer et d'argumenter ta petite réflexion, mais j'en doute. Tu veux dire que ce scientifique penche pour l'hypothèse voulant que quelque chose qui n'existait pas aura été créé par quelque chose qui n'existe pas, ou tu veux dire que quelque chose qui existait aurait créé quelque chose qui existe? Pour se créer tout seul, il fallait que ça n'existe pas avant et que ça existe après, mais peut-être ne comprends-tu pas non plus le sens du mot créer, soit que la chose créée n'existait pas avant de l'être. 2 réponses absurdes de suite, tu te surpasses vraiment, il est vraiment tenace ton intégrisme athée. Dommage que tu ne veuille rien savoir, tu ne pourras jamais vérifier si c'est la vérité, si l'axiome de base de ta théorie de la vérité est que ''la vérité, c'est ce qui se vérifie'', évidemment. Mais j'espère que ce n'est qu'un axiome dis, j'espère que tu n'en fait un dogme. Veux-tu en discuter? Bla-bla-bla. Une hypothèse est une hypothèse, qu'elle soit bleue ou rouge ne fait pas de différence, ça reste une hypothèse. C'est comme pour les carottes, crues ou cuites, ça reste des carottes. Mais la nuance existe, c'est juste qu'elle ne change rien à l'histoire. On construit sur ce qui n'existe pas dans les 2 cas (Dans l'hypothèse ou Dieu n'existe pas, évidemment). Voilà. Et en poussant un peu plus loin, on en arrive à la conclusion finale ; que Dieu existe ou non, ça ne fait aucune différence, et donc Dieu ne sert à rien. C'est la preuve que toutes les hypothèses ne se valent pas. Dis, tu viens de comprendre enfin toute l'absurdité de ta formulation, toute l'absurdité voulant que faire ''comme si'', c'est se réfugier dans l'illusion, que faire comme si ça n'existait pas ne changera rien au fait que ça existe si ça existe. Que faire comme si Napoléon n'était pas mort ne changera rien au fait qu'il le soit. Si tu es engagé dans une course et que tu cours dans tout les sens, alors ça ne change rien tant que le marathon n'est pas fini, tu peux bien faire ou penser ce que tu veux, personne ne t'en empêche, tu sauras au final (Dans l'hypothèse ou Dieu existe), à moins que même à ce moment, tu ne veuilles encore rien savoir, ça reste à vérifier pour toi. Alors je répète ma phrase sans les absurdités de ta reformulation : Le fait de ne pas prouver l'existence de quelque chose ne prouve pas son inexistence. Et pour ta conclusion finale, ben tu peux faire ''comme si'' ça ne faisait pas de différence et ''comme si'' ça ne sert à rien, mais tu conclueras toujours des absurdités sur des bases absudes. Le plus absurde étant encore de ne pas donner de sens à quelque chose, de dire que ça n'a pas de sens par la suite et de faire comme si c'était vrai. Je te salue, gentil petit intégriste athée, que le dogme soit avec toi.
-
J'aime bien le ''si'', je dirai alors que si tu peux vérifier ta supposition c'est que c'est la vérité. Mais comme tu ne le peux pas alors ce n'est pas la vérité. CQFD Encore mieux, en théorie, ta petite proposition est ce que l'on appelle un axiome, et un axiome est une vérité indémontrable, tu sais ce que c'est n'est-ce pas, un axiome? J'ajouterais même qu'un certain monsieur Godël a établi qu'il existe certaines vérités qui sont indémontrables, lis-le, tu grandiras. Le propre de la vérité est l'adéquation à la réalité, qu'on puisse le prouver ou non n'a rien à voir avec le fait que ce soit la vérité, tu confonds encore une fois, cette fois-ci c'est le véritable et le vérifiable, la vérité et la vérification. Mais amusons-nous encore un peu! Imaginons donc qu'un certain Paul tue un certain Pierre, mais qu'on ne puisse le prouver, qu'on ne puisse le vérifier, on se retrouve alors avec le fait que Paul a tué Pierre, mais que ce ne serait pas la vérité. C'est fou, hein! Vérifier, c'est uniquement chercher à savoir si c'est vrai, malheureusement pour toi, on n'a pas besoin de savoir si une une proposition est vraie pour qu'elle le soit, et en conclusion, tu finiras par comprendre un jour que ce n'est pas parce que tu ne veux rien savoir au sujet de la vérité de quelque chose que cette vérité n'existe pas. Normal puisque c'est une réponse, pas une hypothèse, tu t'enfonces encore. Tout ce qui n'a pas toujours existé a été crée par ce qui a toujours exister. C'est logique et non-contradictoire. Peut-être es-tu capable d'expliquer et d'argumenter ta petite réflexion, mais j'en doute. Tu veux dire que ce scientifique penche pour l'hypothèse voulant que quelque chose qui n'existait pas aura été créé par quelque chose qui n'existe pas, ou tu veux dire que quelque chose qui existait aurait créé quelque chose qui existe? Pour se créer tout seul, il fallait que ça n'existe pas avant et que ça existe après, mais peut-être ne comprends-tu pas non plus le sens du mot créer, soit que la chose créée n'existait pas avant de l'être. 2 réponses absurdes de suite, tu te surpasses vraiment, il est vraiment tenace ton intégrisme athée. Dommage que tu ne veuille rien savoir, tu ne pourras jamais vérifier si c'est la vérité, si l'axiome de base de ta théorie de la vérité est que ''la vérité, c'est ce qui se vérifie'', évidemment. Mais j'espère que ce n'est qu'un axiome dis, j'espère que tu n'en fait un dogme. Veux-tu en discuter? Bla-bla-bla. Une hypothèse est une hypothèse, qu'elle soit bleue ou rouge ne fait pas de différence, ça reste une hypothèse. C'est comme pour les carottes, crues ou cuites, ça reste des carottes. Mais la nuance existe, c'est juste qu'elle ne change rien à l'histoire. On construit sur ce qui n'existe pas dans les 2 cas (Dans l'hypothèse ou Dieu n'existe pas, évidemment). Voilà. Et en poussant un peu plus loin, on en arrive à la conclusion finale ; que Dieu existe ou non, ça ne fait aucune différence, et donc Dieu ne sert à rien. C'est la preuve que toutes les hypothèses ne se valent pas. Dis, tu viens de comprendre enfin toute l'absurdité de ta formulation, toute l'absurdité voulant que faire ''comme si'', c'est se réfugier dans l'illusion, que faire comme si ça n'existait pas ne changera rien au fait que ça existe si ça existe. Que faire comme si Napoléon n'était pas mort ne changera rien au fait qu'il le soit. Si tu es engagé dans une course et que tu cours dans tout les sens, alors ça ne change rien tant que le marathon n'est pas fini, tu peux bien faire ou penser ce que tu veux, personne ne t'en empêche, tu sauras au final (Dans l'hypothèse ou Dieu existe), à moins que même à ce moment, tu ne veuilles encore rien savoir, ça reste à vérifier pour toi. Alors je répète ma phrase sans les absurdités de ta reformulation : Le fait de ne pas prouver l'existence de quelque chose ne prouve pas son inexistence. Et pour ta conclusion finale, ben tu peux faire ''comme si'' ça ne faisait pas de différence et ''comme si'' ça ne sert à rien, mais tu conclueras toujours des absurdités sur des bases absudes. Le plus absurde étant encore de ne pas donner de sens à quelque chose et dire que ça n'a pas de sens par la suite. Je te salue, gentil petit intégriste athée, que le dogme soit avec toi.
-
Un jour je serai enfin assez fou, Assez four pour fabriquer la clé, Assez fou pour traverser le pont, Assez fou pour ouvrir la porte, Assez fou pour gagner le lieu, Et y vivre avec ma folie. Parce ma folie, c'est toi. :blush:
-
Puisque c'est toi-même qui le et te détermine ainsi, alors tu n'as pas le choix du libre-arbitre, tu réponds parfaitement à la définition. Tu n'avais et n'as toujours pas le choix de te déterminer entièrement toi-même... c'est fou, hein! Ce qui est plus fort que toi, ben c'est le libre-arbitre. Tu inverses les causes et les effets. Ce n'est pas moi qui détermine mes réponses, ce sont les déterminismes qui me constituent. Tu parles de tes réponses, tes réponses à toi donc, et tu dis dis que ce ''toi'' est un ensemble de détermismes, ainsi tu n'es toi-même que déterminisme en te déterminant ainsi. Que peut donc faire un détermisme sinon que de déterminer? Que peux-tu donc faire d'autre, en tant que déterminisme, sinon de te déterminer toi-même? Tu n'as donc pas de libre arbitre, selon ta logique, tu en est un. Tu es donc plus fort que ce qui te constitue. Si tu sais ce que tu es, tu ne le comprend pas nécessairement, mais tu n'as pas besoin de comprendre que tu te détermines entièrement en tant que déterminisme pour te déterminer toi-même, car le libre-arbitre est bel et bien un déterminisme. Pas besoin de comprendre qui on est pour l'être. Ainsi, le déterminisme que tu es détermine entièrement le déterminisme que tu es. Tu te détermine donc toi-même. Les causes produisent des effets qui sont eux-mêmes des causes. Tu es un libre-arbitre qui n'a pas le choix d'en être un, qu'il l'assume ou non.
