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Name

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Tout ce qui a été posté par Name

  1. J'ai toujours du mal avec le concept de liberté d'expression ; Nicolas Bedos a le droit de se moquer des asiatiques, ça c'est clair. Mais pourquoi le fait d'exprimer son désaccord ou de trouver ça raciste, qui relève aussi de la liberté d'expression et d'opinion, serait considéré comme allant contre la liberté d'expression?
  2. Name

    Le coronavirus est arrivé en France

    Ça sent la guerre civile tout ça.
  3. Il est tous les jours sur le trône.
  4. Tuning, activité consistant pour un homme à prendre soin de sa voiture plus que de sa compagne, en la rendant plus belle chaque jour, pour l'entière satisfaction de son pot d'échappement.
  5. Non, le colonel Moutarde avec le chandelier dans la bibliothèque. Il se débrouille.
  6. Cette réponse a cela d'idiot qu'elle oublie que ce n'est qu'un jeu de mot.
  7. Nous devrions surtout revoir les positions intimes qui sous-tendent les valeurs que nous choisissons. Oui, parce que ces valeurs trop souvent ne sont pas de l'ordre de l'intime mais du social. Elles sont choisies pour habiller l'ego en société, pour le paraître. Ce sont les autres qui sont pétris de valeurs négatives, pas soi. Les valeurs ne sont que des manifestations, des conséquences. Et tout le monde est persuadé de posséder les bonnes valeurs. De se séparer de soi pour laisser place à l'ego. Notre être intime est en décalage avec l'interface que nous montrons au monde, l'ego. Le décalage intérieur se reflète à l'extérieur. C'est le péché originel et l'aune de véracité de nos valeurs : si nous voulons que ces valeurs soient partagées, c'est que nous privilégions l'ego. Si nous voulons simplement les vivre, c'est qu'elle sont sincères et viennent de nôtre être intime. Offrir au monde nos valeurs, gratuitement, sans rien demander en échange, c'est l'enrichir et rester constamment en lien avec lui.
  8. "je ne vois pas non plus en quoi le monde dans lequel nous vivons devrait nous faire perdre nos valeurs qui sont de l'ordre de l'intime, ni même comment il le pourrait." "je ne vois pas non plus en quoi le monde dans lequel nous vivons devrait nous faire perdre nos valeurs qui sont de l'ordre de l'intime, ni même comment il le pourrait." La vulgarité et l'insulte ne sont pas des crimes, elles sont condamnables dans les rapports sociaux et propagent des valeurs négatives, et comment condamner chez l'autre ce qu'on pratique soi-même ? Parce que c'est l'autre qui a commencé ? Il suffit donc que l'autre n'agisse pas selon nos valeurs pour perdre les siennes ? C'est en contradiction avec ton discours. Parce que la réaction à des valeurs négatives qu'on a émises ne sont pas proportionnées ? On a donc le droit de propager des valeurs négatives, mais il ne faut pas que ces valeurs dégénèrent. Pourtant, c'est le principe : si je veux que les valeurs positives se propagent, j'enclenche une réaction en chaîne pour que le bien individuel dégénère en toujours plus de bien collectif. Il en va de même pour les valeurs négatives. Dans un cas c'est pour le meilleur, dans l'autre le pire. L'insulte, le blasphème, l'outrage se nourrissent tous à la même source, qui n'est pas juridique. Ce ne sont pas des crimes et délits, ça n'en demeure pas moins des valeurs négatives. En vertu du principe d'incarner le changement voulu dans le monde, c'est affirmer accepter un monde empreint de valeurs négatives, en le sanctionnant, dans le cas du blasphème, de la bienveillance juridique. C'est ce principe que tu appliques.
  9. J'applaudirais ce discours, en y apportant une nuance sur incarner le changement, si tu l'appliquais. Dans le topic sur Mila, on n'entends pas ce discours sur l'exemplarité et le pouvoir de la bienveillance, bien au contraire, on y défend le droit à propager l'insulte et la vulgarité sous couvert de liberté d'expression.
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