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Scrongneugneu

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Tout ce qui a été posté par Scrongneugneu

  1. OK, je suis en parfait accord avec ta première phrase. Néanmoins, une multitude de partis avec parfois des candidats "guignols", subventionnés aux élections majeures, n'est pas de nature à améliorer les choses. Pour exemple, un journaleux a fait une étude suite aux dernières élections départementales à 2 têtes sur la connaissance de leurs rôles à ce poste. 70% avouent ne pas connaitre grand chose dont 30% connaissent "queue dalle"...et çà va toucher une moyenne de 2000 euros par mois, car ce n'est pas un travail à temps plein et ces braves gens gardent donc leur métier. Où sont les compétences ? Zéro formation préalable pour être candidat à un poste déterminé. Elus uniquement sur étiquette et humeur du moment. Remarque, çà permet de voir un 1er ministre, nommé par le roi tout puissant, à l'Assemblée dire, la main sur le coeur "comprendre la souffrance et la désespérance", tout en palpant ses 10 000 euros mensuels + avantages, ainsi qu'une retraite chapeau à venir...super foutage de gueule au frais du gogo électeur. Et nous faisons tous partis de ces gogos électeurs...
  2. Je trouve normal de fustiger les partis politiques dans le sens où nos élus n'ont rien à faire du quidam gogo électeur qu'ils enfument afin de s'en mettre plein les fouilles au frais de la nation. Les idéologues, genre Mao ou Hitler ou des gens bien de chez nous ne pensent qu'à leur confort. A ma connaissance aucun membre d'un pouvoir quelconque est mort dans la pauvreté. En revanche, le peuple pointe au chômage et à la précarité, avec en prime de petites castes qui ont mis à profit le monopole étatique pour obtenir des avantages à vie, genre régimes spéciaux à la Française.
  3. Pssst ! le photographe du mois ! Pas la peine de t'énerver les nerfs. Ce que mon "pois chiche" ( ma pensée ) exprime, c'est tout simplement que dans notre beau pays on peut se permette de s'exprimer librement dans un cadre démocratique. Donc, mon souhait est de mettre en avant la laïcité afin d'éviter les gueguerres religieuses qui se terminent toujours mal. Preuve en est où à la lecture de certains "posts" l'anti-catho est mis en avant, ce qui laisse augurer des réactions islamophobes....et en avant la musique...
  4. Cé sla voui ! Va exprimer ton expression au Yemen, en Arabie Saoudite et même en Algérie, je pense que tu sera servis à ta juste pensée. Je suis d'accord avec "Bianca", nous sommes un pays laïque point.
  5. Tout ce qui est "franco-machin-chose" permet à ces doubles nationaux d'avoir le beurre et le fric qui va avec.
  6. Donc on ferme ! Le dialogue sociale à la Française genre "on casse tout" si nos propositions ne sont pas acceptées en mettant les politiciens sclérosés dans la course se termine toujours par une fermeture ou usine à gaz au frais des contribuables. Et pendant ce temps le marcher du transport aérien va bien, puisqu'il est prévu de doubler d'ici à 2022...
  7. A un moment il faut cesser de croire que les méchants sont les patrons et les actionnaires. Partout où l'Etat est actionnaire, la gestion est catastrophique au grès de la politique et qui se termine toujours dans un puis sans fond au frais du contribuable. Tourne comme tu veux, celui qui mène la danse est le client. Nous voulons tous du "pas cher" et la vision du monde au rythme d'internet n'est pas dans la nature syndicale à la Française et nos élus majoritairement issus d'un partis et de la fonction publique ringarde ont la mentalité des années 50. Cela va encore se terminer en "eau de boudin" volontairement pourris, et où les protagonistes, malgré les plaintes vont terminer en prison avec sursis. Qui paiera ? Les "pauv'con"...
  8. Peut être...Ils demanderont de l'aide à l'Europe et accuseront les capitalistes de les étouffer, mais leurs dirigeants auront une belle villa et tout et tout, comme tous ceux qui détiennent le pouvoir. Qui seront les dindons ?
  9. T'avais pourtant bien encadré un de mes propos sur des emplois "spécifiques" de contractuels, dans la fonction publique. Je maintiens qu'un fonctionnaire titulaire n'a pas droit d'exercer un second métier sauf le détachement et autre mic-mac emploi public de droit privé où le n'importe quoi réglementaire est de mise avec abus de passe droit. Qu'un agent de maintenance d'un hôpital public essai d'avoir un 2ème emploi, je lui souhaite bon courage...en revanche plus tu grimpes dans la hiérarchie et plus tu es proche d'un "influant" quelques peu magouilleur et c'est le jack-pot au frais du contribuable. Maintenant, là où je peux être d'accord, c'est l'utilisation abusive de contractuels, où la règle du contrat ainsi que de son renouvellement est hors la loi dans la Fonction Publique.
  10. Ne pas confondre contractuel et celui reçu a un concours pour entrer dans la fonction publique. Le contractuel n'est là que pour compenser des absences ( maternité, longue maladie, travaux spécifiques....). Il peut avoir un job de complément, ce que n'a pas droit un fonctionnaire. Et s'il veut avoir son embauche, il est soumis à concours. Une fois reçu, il y a une période dite de stage d'une durée de 1 an avant titularisation. Il arrive parfois que la hiérarchie a des doutes et la période de stage peut être prolongée. Rarement négatif, je considère donc, que cette titularisation est automatique. Sans s'énerver, mais avec objectivité, là où je peux être d'accord, c'est que des abus sont fait avec les contractuels où ils servent de bouches trous, contrats renouvelés plusieurs fois hors légalité, pour dire "tchao" au bout du compte. Souvent, ils font le boulot d'un titulaire absent, mais n'a pas droit aux primes et indemnités. Souvent, aussi, un fonctionnaire a droit à certaines de ces indemnités liées uniquement au poste occupé. Il les gardes, même en absence et son remplaçant peu se caresser le bidon, car lui a droit à peau de chic. Comment je sais tout çà ? Une compagne fonctionnaire et simple conseiller municipale durant une législature. J'ai malheureusement vu des postes et titularisations obtenu sur concours bidons, mais légaux. Quand un poste est ouvert suite à création ou départ d'un titulaire pour diverses raisons, un concours est obligatoirement publié dans la presse et affiché en Mairie ( dans le cas de la Territoriale ), et le gagnant est ? Soit le fils ou fille de "machin chose" très influant ou de sensibilité politique de la Municipalité. Pourquoi ? Parce qu'à l'entretien final où l'oral le questionnement est largement orienté en faveur du candidat souhaité.
  11. "CAL22", j'ai l'impression que tu fais une confusion sur le rôle des fonctionnaires ( et assimilés ). Si l'Etat était un bon gestionnaire, non seulement çà se saurait, mais aussi nous ne serions pas à polémiquer sur des corporations ou des remises en cause de conventions et statuts. Un fonctionnaire n'est pas là pour faire de la production au sens industriel et de réaliser des bénéfices, mais pour permettre au rouage économique de fonctionner dans la légalité, mais aussi rendre service à la population. Economiquement parlant, il est bien plus rentable de distribuer le courrier dans les grandes villes que dans les petits patelins et fermes de la Creuse, tout comme aménager une route servant 2 grands centres industriels qu'une route de montagne servant un lieu-dit de 20 habitants. Seule l'argent public est en capacité de s'occuper des zones très déficitaires, tout comme l'argent public est seule en capacité de s'occuper de l'éducation et des soins. Globalement la fonction publique et assimilé est obligatoirement déficitaire. Nul ne contestera ( je pense ) qu'un agent de la fonction publique d'Etat ou Territoriale a droit à la protection juridique et certaines primes dues à la spécificité du métier, incluant la pénibilité, mais le système permet aux glandeurs et pratiquants la maladie de se fondre au détriment des 80% qui font correctement leur service. Le système de notation et d'évaluation bidon, tout comme la titularisation systématique au bout d'un an, rend l'agent quasiment inlicenciable sauf faute juridique grave ( viol, meurtre, agression physique...). L'incompétent est muté de poste en poste, et même s'il est reconnu nul au boulot, la procédure de licenciement est tellement longue ( des années ) que bon nombre de directeurs baissent les bras. La mise au "placard" est aussi une pratique pour les bons à rien en attendant leur retraite ( payé à rien foutre ). Et, cerise sur le gâteau, les passes au delà du droit ( doubler le nombre de jours de congé exceptionnel pour mariage, décès d'un proche, rajout de droit à RTT ) sont légions. Pas moi qui le dit, mais la Cour des Comptes. Pour finir, comme nous sommes en crise, nous lorgnons sur ceux qui ont trop de fric ( à nos yeux ), mais aussi sur ceux qui ont davantage de droit que soi, car la vraie précarité et le chômage n'est réservé qu'au secteur privé.
  12. Qui te parles de supprimer le statut de la fonction publique ? Macron a seulement émit l'idée de le mettre au regard de la réelle situation. L'écart protecteur est trop important, puisque seul le privé pointe au chômage, d'une part, et le système d'avancement quasi-automatique, sans réelle évaluation du service rendu par l'agent, permet aux "glandeurs" et autres pratiquants de l'arrêt maladie de se fondre dans le système au détriment de ceux qui se décarcassent, d'autre part. Par ailleurs, la Cour des Comptes, pointe assez régulièrement les sureffectifs dues essentiellement à certains avantages ( congés, RTT...) des fonctionnaires territoriaux et certaines catégories allant au delà des droits du statut. Même si les fonctionnaires paient des impôts et consomment comme tout un chacun, ils sont rémunérés par de l'argent public, donc par les contribuables. Dans le rouage économique, un fonctionnaire est essentiel, mais c'est bien le privé qui finance son service. Ceci coûte cher et le moins que l'on puisse demander c'est que le service rendu soit à la hauteur des attentes. Or, le système verrouille toute évolution possible.
  13. Oui, il y a des intérêts particuliers, comme par exemple défendre le statut figé de la fonction publique, les régimes spéciaux et la totale inégalité de droits, d'age, de départ et d'avantages à la retraite, pour ne citer que cet exemple. Comment peut-tu expliquer que certains peuvent prétendre partir en retraite 10 ans plus tôt que les autres ? Même une infirmière n'y a pas droit, comme si son travail n'est pas pénible et à toute heure. Pénibilité, oui, la prendre en compte, mais de tels écarts ? Où est la justice sociale ? sachant que déjà les travaux sous régimes spéciaux ne sont pas à 35h, mais bien moins. Un employé en boulangerie va pouvoir prétendre sous drastiques conditions à 2 ans de réductions d'age de départ en retraite...le belle affaire que voilà tandis que le secrétaire de bureau SNCF, sans contrainte horaires se barre 5 ans plus tôt. Pour moi, la vraie justice sociale, c'est l'égalité de traitement et de droits liés à la réalité du travail. Et çà, public, privé, élus, régimes particuliers, professions diverses, nul n'est à la même enseigne, tout est baratin pour détourner le regard sur la réalité des choses. Ce que je critique surtout c'est le système légale d'inégalité de droits. Surtout ne pas parler de jours de carence, ne pas parler d'avantages à vie, ne pas parler des retraites, des salaires...mais braquer le regard sur les 200 000 aisés et riches du pays pendant que des dizaines de millions de gens simples paient des avantages acquis par certaines corporations grâce à leur monopole sans concurrence. Mon nombril ? Il va bien ! Retraité à 43.5 années de cotisation sans aucun avantage à vie....
  14. "Zigbu", tu dois être ancien fonctionnaire où régime spéciale pour marquer ta différence de pensée en rouge, avec moi. Mais tu peut tourner les choses comme tu veux, un fonctionnaire est bien rémunéré par de l'argent public, d'une part, et les avantages obtenus, ne sont que la situation de monopole total, sans aucune concurrence possible tel que sont les organismes d'Etat ou Territoriaux et assimilés d'autre part Un boulanger qui ne produit pas de pain, ne pourra pas se dégager le moindre revenu, à contrario de la fonction publique. La réponse facile tu style "t'avais qu'à être fonctionnaire", tout comme la petite cuillère en argent n'est pas la possibilité mentale ou chanceuse de la majorité d'entre nous. Juste pour info, je fais partie d'une communauté de commune dirigée par des socialistes associés à des communistes. Essaie, de rentrer ne serait-ce qu'employé municipale, si tu n'as pas un parent dans la place. Le concours est totalement bidon, certes publié dans la presse et les panneaux d'affichages en Mairie, puisque c'est obligatoire, mais le gagnant est ? ... j'ai des noms... Je maintiens que nous ne naissons pas tous égaux en droit dans notre pays, uniquement par des avantages acquis grâce au monopole de catégories professionnelles. Regarde les droits à retraite...Même certaines catégories de fonctionnaire ne sont pas égales.
  15. "Louise", inutile de t'égarer à défendre à tout va le statut de la fonction publique. C'est un carcan qui, tout en protégeant l'agent, l'enferme dans un système où l'évolution de carrière est mince et où les "glandeurs" jouent de ce système au détriment de ceux qui se décarcassent. Et l'arrêt maladie est une profession permettant de s'octroyer pas mal de "ponts" où quand la hiérarchie ose déranger le train-train. Mieux le statut de la fonction publique réglemente aussi les droits à congés dit normaux et exceptionnelles, mais bon nombre de territoriaux et Hopitaux de Paris par exemple ont droits à beaucoup plus, laissant largement penser qu'il y a sureffectif. Maintenant, si tu veux parler de justice sociale, allons-y ! Le chômage n'est réservé qu'au secteur privé. Ensuite, trouves-tu normal que nous ne naissons pas tous égaux en droit au pays des droits de l'homme. Pas les mêmes droits à retraite ( age et avantages ), fonction publique à forte protection sociale, régimes spéciaux avec avantages à vie, privé, profession diverses où les passes droits tels que les impôts sont légions. Ne parlons pas aussi de monopole d'embauche syndicale tels que le livre, docker, et essaie de rentrer à l'EDF où la SNCF et d'en d'autres secteurs d'emploie municipaux où l'embauche est quasiment de père en fils, syndicale, ou de partis politique. Ce n'est qu'un enfumage "légale" car nous sommes régie par des lois, mais pas mal d'avantages ont été obtenu au détriment d'une grande partie de la population, de préférence le privé et le contribuable.
  16. D(où sort tu ces chiffres ? Cela ressemble à une complainte syndicale qui ne cherche que des avantages à se mettre sous le coude au frais des contribuables. L'intérim n'est utilisé que pour compenser des absences par les Chefs d'Etalissements ainsi que certains contrats CDD. D'autre part, les gros travaux ainsi que l'entretien de matériels de haute technologie, sont sous traités pour des raisons évidentes de savoir faire, de connaissances et d'utilisation de matériels spécifiques. Tu parles de DDE, les Allemands sous-traitent davantage, car chez nous le cloisonnement des compétences est tel que la DDE de l'Aude par exemple, n'intervient en aucun cas dans les départements voisins. Dans l'Est de notre pays, le déneigement des routes s'arrête au porte du département voisin, même si ce voisin n'a qu'1 km à déneiger. Le public ne connait pas la mutualisation des moyens et le personnel est formaté pour traîner des pieds ne serait-ce que sur l'utilisation de l'outil informatique. De plus, les syndicats sont eux aussi formatés pour trouver tous les moyens de ne pas faire, au lieu de chercher une solution pour pouvoir faire, avec les moyens attribués. Tout ceci, grâce au carcan du statut.
  17. Hellina, le vrai problème n'est pas la soit disant lutte privé-public, mais bien ce statut qui est un carcan où une fois en place, le fonctionnaire se trouve dans un système où celui qui se décarcasse, n'aura rien de plus que celui qui se contente de faire son petit boulot. Pire, celui qui la ramène en proposant des améliorations, risque de s'attirer les foudres de la hiérarchie d'une part, mais aussi de ses collègues qui ronronnent en attendant la retraite, d'autre part. Comme un fonctionnaire est tributaire de sa notation ( obsolète, hors de toute évaluation annuelle des "performances", et résumé en une phrase du service rendu ), celui ou celle qui propose des améliorations de poste prendra du retard parce qu'il dérange.à contrario du collègue qui se fait oublier dans son coin. Et si, la hiérarchie essaie de faire pression sur un agent, ne serait-ce que pour qu'il accélère ses performances, le burne out et l'arrêt maladie, sans conséquence sur son salaire et ses congés sont une pratique professionnelle des spécialistes utilisant le système à merveille, puisque ce sont ses collègues qui font son boulot durant ses absences. Quand aux réformettes à mettre en place à chaque changement de ministre, où, parfois, le quidam de base, ne sait plus où il en est, arrivent à démotiver les plus dynamique. Je n'invente rien, car ma compagne était fonctionnaire, et je fus toujours en admiration devant sa notation et appréciations de la hiérarchie, sans évaluation réelle du service rendu, avec un avancement systématique, due à l'ancienneté. Donc, ce statut est bien à réformer, dans le sens où, si nul ne conteste qu'un fonctionnaire au service du public doit être protégé par l'Etat, en revanche une réelle évaluation des performances et service rendu, indiscutable, pas à la tête du client, adaptés à la notation, ainsi que des jours de carences, comme le privé serait plus juste socialement. Il ne s'agit pas de virer systématiquement fonctionnaire défaillant, mais par exemple, lui donner une chance, par des formations adaptées à son poste, et si une évaluation est négative suite à sa formation, la remise en cause de sa place est à envisager. Sur les millions de fonctionnaires, seuls quelques centaines sont licenciés chaque année, uniquement pour des problèmes juridiques sérieux...
  18. Je ne doute en aucune manière de la complexité sur la situation chaotique du moyen orient. D'autre part tu as parfaitement raison dans le sens où l'ennemi était parfaitement identifié en 40 car je suis issu d'une famille de paysan. Donc, effectivement la défense de la terre avait un sens à contrario du quidam miséreux au 4ème étage de la triste bâtisse familiale où résister et se battre paraît totalement inutile. Néanmoins, autant je comprend celui qui fuit avec sa famille, car lui, essaie au moins de la protéger, autant je n'ai aucune compassion pour celui qui fuit en laissant sa famille à son triste sort. L'accueil de tels lâche me dérange fortement. Et l'on peut me tenir tous les discours et tous les arguments pour justifier l'abandon de sa famille, je ne le cautionnerait jamais.
  19. OK...Je fais donc partie d'une famille de "pauv'con" de Français qui ont préférés se battre au lieu de fuir ou de collaborer lors de la seconde guerre et 5 membres de ma famille que je ne connais que par quelques photos puisque 3 sont morts au combat et 2 par "purge" SS. Rien de bien noble ? Peut-être ! Mais je pense que c'est grâce à ces "pauv'con" et tous ceux d'ailleurs qui sont venus se battre pour ta liberté que tu peut t'exprimer en toute quiétude sur Internet.
  20. T'énerve pas les nerfs ! Je n'ai fait que regarder les divers reportages et "ma" vision est surtout de remarquer qu'une grande majorité sont des hommes. Je maintiens encore "mon" point de vue sur le fait que ces hommes abandonnent courageusement leurs familles en les laissant à leur triste sort au lieu de lutter. Je ne doute en aucune manière que quelques uns ont tout perdu et que d'autres partent en amont. Ce qui me gène, c'est le comportement de nos politiques, où le mensonge et trucage de chiffres à but électorale ( bien payé avec avantage sur le dos des contribuables ) au lieu de traiter le problème connu avec objectivité et résultat.
  21. Mon pôv' môssieur, encore un sujet qui fait mal...Sûr que pour le Larzac ou la Creuse, çà va pas se bousculer...De plus a bien regarder les divers reportages, me semble que c'est à 90% des hommes qui, courageusement, abandonnent leurs familles à leur triste sort...à moins que les pro-migrants actuels aient un autre regard....
  22. Changer un système à privilèges ne veut pas dire, faire une révolution avec son cortège de morts et de drames de nos jours. Regarde bien tout ce bon peuple d'élus, d'où ils sont issus. Les Ricains, avec leurs défauts, ont au moins un vrai avantage sur nous en donnant de vraies leçons de démocraties. Pas de subvention des partis, pas plus de 2 mandats, être clean sur le plan morale et financier ( Sarko et Hollande tous 2 en délicatesse avec leur compagne n'auraient jamais pu se présenter ), avoir fait de sérieuses études et avoir un métier autre que politique ( 80% de l'Assemblée et du Sénat non éligible en France ), avoir une équipe de base à présenter aux électeurs une fois investit afin d'éviter la nomination de parfaits inconnus sortit du chapeau une fois sur le trône, et surtout le parjure conduit directement au tribunal. Est-ce possible en France ? Un candidat oserait-il présenter un tel programme pour que çà change ? Au states toujours, les politiciens prêtent serment une fois élus, et leurs fonctionnaires prêtent serment de servir le public...rien que ce dernier point donne le chemin que nous avons à parcourir pour une véritable justice sociale...même droits pour tous...
  23. Le système ne peut être changé que par la loi. Or, qui vote les lois ? Le Parlement ? Du pipeau ! Nous élisons un Président, qui par sa toute puissance nomme des crétins ministres, inconnus, aux ordres, sinon viré, et des députés, pas moins aux ordres, issus du militantisme, qui ne connaissent rien en anticipation et économie. Sans compter des syndicats politisés, sclérosés et subventionnés. Le seul but de tout ce joyeux monde, c'est de s'en mettre plein les fouilles, avec avantages à vie pour la plupart. Et nous, on compte les points, avec à l'esprit la possibilité de croire que l'on peut changer les choses, mais nous ne détenons aucun pouvoir...à part, râler comme tout bon Français.
  24. Scrongneugneu

    comportement breton

    Toujours le même problème. A la création de l'Europe, c'est la France qui a le plus eut de subvention de l'UE suivit de l'Italie et de l'Espagne. Mais avec la venue de l'Angleterre ( passons les détails ), tout doucement la France s'est mise à cotiser davantage que le retour, ainsi que la PAC avec ses cotas et les diminutions de subventions prévues dans le temps. Nos pays voisins ont anticipés cet état de fait, pas nos paysans, dont la culture ( sans jeu de mot ) est "on casse tout pour avoir gain de cause". Ce système a marché jusqu'à aujourd'hui et çà marche encore. Pour combien de temps ? Nous sommes tous responsable de la situation. Nous voulons du "pas cher", nous l'avons. Mais on a créé une agriculture sous perfusion où seuls les céréaliers ( qui ont toujours des subventions...chercher l'erreur ) s'en mettent plein les fouilles. L'Allemagne a des mégas élevages, mais aux normes, espaces et stations d'épuration...Mais comme les Français ont dit "non", à la constitution Européenne, qui prévoyait une égalité des salaires, à profession égale, tout au moins un sérieux rapprochement, c'est une véritable foire inégalitaire. Là aussi, c'est nous les responsables. Pour finir, si on élisait des politiciens qui savent anticiper et qui connaissent un peu le monde économique, mais non, on préfère élire des apparatchicks...purement issu du militantisme.
  25. L'évolution dans la fonction public en général est difficile, car le système, s'il est protecteur, est très cloisonné et c'est l'agent lui-même qui doit se battre pour avancer. Ce n'est qu'un constat. Les formations ne tombent pas du ciel, c'est surtout à lui de demander et d'insister. De plus, c'est rarement sur son lieu de travail, donc déplacements, pas forcément au mieux de l'intérêt du service et de l'agent. Un jour, un agent m'a montré sa fiche de notation annuelle...Lamentable...Sa hiérarchie directe met une appréciation en 1 phrase et le Chef d'Etablissement met la sienne suivit d'une notation bidon, car d'après ce qu'il m'a dit, son ancienneté ne pouvait pas dépasser tant de points pour les primes. Et il a rajouté, que tu te décarcasse ou pas, c'est comme çà ! Pire m'a-t-il dit. Les primes sont liées à la notation et ce sont les anciens qui sont automatiquement les mieux notés, mais aussi les mieux payés. Donc, primes conséquentes à contrario du jeune, qui aura beau bosser, il n'aura que des miettes de primes. Aucune évaluation du travail fournit. Où est la motivation et l'envie si à la base, le système est verrouillé ?
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